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d’entreprise
2020/2021 1
Dédicace
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Remerciement
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SOMAIRE
INTRODUCTION 5
Conclusion 23
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Introduction
Le concept de gouvernance d'entreprise est également appelé «gouvernance d'entreprise», qui est
un concept anglo-saxon et s'applique aux sociétés cotées. En fait, à la suite de grands scandales
financiers et comptables aux États-Unis qui ont sapé la confiance des investisseurs et nui au
développement des marchés financiers et à la croissance économique mondiale, il semblait
nécessaire de rendre la gestion des entreprises plus transparente et de faire de la "gouvernance
d'entreprise" un droit des sociétés moderne. Partie du cadre réglementaire. Par conséquent,
l’opinion générale des juristes convient que le type de gouvernement d’entreprise ou de
gouvernement d’entreprise peut être défini comme l’ensemble des mécanismes organisationnels qui
définissent la marge de manœuvre des administrateurs d’une entreprise et affectent la nature des
décisions prises.
La gouvernance d'entreprise est affectée par l'ensemble des règles, lois et règlements, notamment
à travers l'article 67 de la loi n ° 17-95 modifiée et complétée par la loi n ° 20-05 promulguée par
Dahir n 1-08-18 le 23 mai 2008. Une société anonyme, qui définit les méthodes de gestion de
l’entreprise. Le concept est lié à la supervision économique, financière et éthique de l'entreprise.
D'un autre côté, le concept de gouvernement d'entreprise présente un double avantage: d'une
part, il protège les droits des groupes minoritaires au sein de l'entreprise et, d'autre part, il s'agit
d'une bonne gestion de l'entreprise. La gouvernance d’entreprise peut être considérée comme une
mise à jour du contre-pouvoir des actionnaires.
Le terme gouvernance est à la mode. Pourquoi es-tu surpris? La gouvernance est un concept
pratique. L'idée descriptive d'authenticité est aussi un idéal normatif lié à la transparence, à
l'éthique et à l'efficacité de l'action publique. La gouvernance est donc devenue un mot talisman
agrémenté de tous les fantasmes liés à l'action publique, tout en adoptant des termes objectifs
techniques rassurants. Le terme «gouvernance» est sérieux, et il apporte également un brillant
avenir aux théoriciens du comportement public. De cette manière, le discours de la gouvernance
devient l'objet d'une double confusion. Le premier est dû aux vertus qui lui sont associées, et le
second est dû à sa négligence.
D'une part, la gouvernance est étroitement liée à tout. La gouvernance couvre à la fois l'éthique
politique, le contrôle des représentants politiques, la réforme des institutions internationales, les
accords public-privé et la réforme de la gestion des entreprises publiques. Le terme «bonne
gouvernance» (ou d'autres noms, «la poursuite de l'excellence») fait référence à la pierre
philosophale miraculeusement plastique sur laquelle les idéaux les plus contradictoires peuvent
être placés.
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CHAPITRE I : la gouvernance d’entreprise
Section 2 : Apparition et historique de la gouvernance
1. Emergence de la gouvernance au sein de l’entreprise
La première manifestation était en Etats unis après la découverte des scandales comptables
massifs dans des sociétés comme : Adelphis, Worldcom…. Ces scandales ont révèles les
défaillances du système de contrôle et surveillance des directions générales qui sont
considérés comme étant les plus performants
Enron, une entreprise très grande au Etats unis, sa faillite était une justification de
l’émergence de la gouvernance d’entreprise car cette chute est causée à un manque de
fidélité et manipulations des comptes.
Enron a esquivé le principe de diffusion des comptes qui donne une image fiable et claire de
la situation comptable de la société.
Alors en 1937 dans l’article de Ronald Coasse (The nature of the firme) exposant les
fondements de la nouvelle perspective, en introduisant l’idée des couts de transaction dans
la compréhension du comportement des entreprises.
Et en 1970, dans cette période la gouvernance était un sujet de débat non seulement en
Etats unis mais en monde entier elle désigne la politique internes de l’entreprise ou
l’ensemble des dispositifs qui s’appliquent pour effectuer des coordinations efficaces sur
deux niveaux : les protocoles internes quand l’entreprise est intègre ou les contrats ,les
associations temporaires ,ainsi l’utilisation des normes quand le produit est sous-traité
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lieu, dans la sphère privée comme un standard de comportement des dirigeants ou des
membres du conseil d’administration leur permettant de se prémunir contre une mise en
cause judiciaire de leurs responsabilités par les actionnaires. Dès lors, le concept de
gouvernance n’a cessé d’envahir plusieurs domaines. Nous entendons principalement parler
de « gouvernance d’entreprise », de « gouvernance publique » mais également de «
gouvernance environnementale », de « gouvernance territoriale », de « gouvernance urbaine
», de « gouvernance mondiale » ou encore de « egouvernance », ce qui n’est pas de nature à
faciliter l’établissement d’une définition unique. La gouvernance est une question à laquelle
se sont intéressés les chercheurs de différents domaines allant des sciences sociales, aux
sciences politiques en passant par les législateurs et les institutions internationales comme la
Banque Mondiale et le FMI. La polysémie du terme « gouvernance » soulève des débats. Il
permet de réintroduire le pouvoir et la politique dans l’analyse économique. Par ailleurs, il
pose en des termes nouveaux la problématique des liens entre État et Marché, tout en
tenant compte de cet acteur que constitue la Société civile. La gouvernance est souvent
évoquée et pointée du doigt lorsqu’il y a un problème de performance au sein d’un système,
que l’on soit en entreprise, au niveau de l’État, d’une région, ou d’un territoire notamment.
Nous évoquons alors les problèmes de gouvernance ou la « mauvaise » gouvernance,
souvent sans réellement comprendre de quoi il s’agit. De même, il est frappant de constater
l’absence d’une définition commune vu le grand nombre d’études et les avis souvent
divergents, concernant ce domaine. 3 D’une façon générale, les modes de gouvernance
renvoient à l’attribution de pouvoirs aux différents acteurs. On peut imaginer une multitude
de cas allant de la délégation de pouvoirs au seul secteur privé, à la prise de pouvoir par le
secteur public jusqu’à la possibilité d’une gestion commune par ces deux secteurs, sans pour
autant oublier l’intervention d’un organisme international. Tout cela requiert un fondement
légal solide légitimant l’intervention de l’un ou l’autre des acteurs. Nous considérons que la
gouvernance s’applique à un système quel qui soit. Par système nous entendons l’idée
d’organisation vue comme caractéristique fondamentale des phénomènes organisés. Cette
notion de système est mise en avant par Füssel (2005 et 2007) en tant que composante
principale du cadre d’évaluation du concept de vulnérabilité. Le cadre conceptuel général de
Füssel (2007) est fondé sur la distinction de quatre groupes fondamentaux de facteurs
comme suit : le système d’analyse, l’attribut(s), les dangers, et la référence temporelle. Le
système pourra, dans la suite de cet exposé, être une entreprise, un État, une communauté,
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une région, ou un territoire, etc. Par la suite, nous présenterons les deux modes de base de
la gouvernance, notamment la gouvernance d’entreprise et la gouvernance publique.
Ensuite, nous évoquerons la gouvernance territoriale. Nous conclurons par la proposition de
notre propre définition du concept de gouvernance d’un système.
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gouvernance d’entreprise, nous allons : définir la gouvernance d’entreprise ; appréhender
cette notion dans une perspective d’agence ; préciser/expliciter les principes d’une « bonne »
gouvernance d’entreprise. Nous finirons par une explicitation de la notion de responsabilité
sociale de l’entreprise (RSE).
Le terme gouvernance fait référence à la manière de conduire les affaires d’une entité. Dans
le cadre d'une entreprise, mettre en place une gouvernance passe par une définition précise
du processus de décision et des parties prenantes impliquées dans les questions de gestion.
La gouvernance d’entreprise c’est un système de direction de l’entreprise ayant pour but la
direction effective de l’entreprise, ainsi que son contrôle, prônant la participation et la prise
en considération des parties prenantes aux orientations de l’entreprise.
Ainsi, elle se matérialise par la mise en place d’un ensemble de pratiques, des textes, et
également d’instances qui ont pour mission d’assurer et d’organiser la bonne consultation
des parties prenantes.
Elle contient donc une vision stratégique de l’entreprise, qui est considéré comme l’objectif à
atteindre, et le but poursuivi par l’entité, et qui donne l’orientation de la gouvernance d’une
entreprise. La gouvernance contient aussi des valeurs et une culture d’entreprise particulière
qui se doit d’être appliquée à toutes décisions et toutes actions de la vie d’entreprise.
L’enjeu de cette nouvelle approche managériale de direction est d’augmenter et d’améliorer
la performance financière de l’entreprise, tout en améliorant et en établissant l'importance
du ressenti et de l’opinion des parties prenantes.
Bien que ne concernant dans un premier temps que les sociétés cotées, la gouvernance a fait
son apparition dans l’environnement des petits et moyens entreprises. À tel point que 88 %
des dirigeants de ses entreprises estiment qu’elle s’agit d’un levier décisif pour la
performance des entreprises.
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2. Les théories de la gouvernance
Taylor constate que les méthodes de travail sont inefficaces, Les salariés restreignent le
volume de leur production, Le rôle de l’encadrement est mal rempli du fait de son
incompétence, et que les salariés cherchent à travailler le moins possible.
Objectif :
Principes :
Avantage :
Inconvénients :
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Faible mobilité du personnel.
Risque de conflit d’autorité
Les critiques:
La séparation conception-exécution.
La division excessive du travail, les tâches répétitives, monotones, aliénantes.
L’idée que l’individu n’est motivé que par l’argent.
Fonction administrative
Principes :
La division de travail
L'ordre
L'union du personnel
L'autorité et la responsabilité
La centralisation
La Stabilité du personnel
La discipline
La hiérarchie
L'initiative
L'unité de commandement
Rémunération du personnel
L'unité de direction
L'équité
La subordination de l'intérêt particulier à l'intérêt général
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Avantage:
Inconvénient:
Déshumanisation de l’organisation
c. La bureaucratie Wébérienne
Apport :
Principe :
Division du travail
Sélection du personnel
Caractère impersonnel des relations
Structure hiérarchique
Règles et règlements normalisés
Avancement du personnel
Critique :
Déshumanisation de l’entreprise
Ignorer les relations interpersonnelles
Les facteurs de motivation limités au salaire
Rationalisation accrue
d. Théorie de la motivation :
Facteur d’hygiène :
Besoin physiologique Sécurité Appartenance.
Réaction interpersonnelle
Statut
Sécurité de l’emploie
Politique d’entreprise et administration
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Condition de travail
Salaire
Facteur de motivation :
Appartenance Estime Accomplissement.
Accomplissement
Progression
Reconnaissance
Responsabilité
Promotion
Le travail en lui-même
e. La théorie X Y de Mc Gregor:
Principe :
Théorie X :
Théorie Y :
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3. Les principes de la gouvernance d’entreprise
Pour ce faire, chaque organisation doit définir les règles qu’elle suivra pour mettre en
application la bonne gouvernance. Cependant, elle se base sur des principes universels
reconnus. Il est important de s'assurer que ces principes guident les règles spécifiques
suivies par l'entreprise.
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5. La transparence : L'entreprise ne se contente plus de communiquer uniquement avec
des actionnaires. Désormais, elles doivent rester ouverts et transparents envers toutes les
parties prenantes, y compris le public, leurs clients et fournisseurs, et la communauté. Bien
entendu, la transparence ne signifie pas que tout le monde peut accéder à tous ses
chiffres. Mais il faut savoir communiquer directement quand c'est nécessaire, notamment
en cas d'incident.
10. Aptitude : Le conseil doit avoir une combinaison appropriée des compétences,
d'expérience et d'indépendance pour permettre à ses membres de s'acquitter efficacement
de leurs responsabilités.
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LA GOUVERNANCE FAMILIALE :
Dans cette structure, le capital est entre les mains d'une ou plusieurs familles. Les
entreprises familiales affichent généralement d'excellentes performances financières car
elles disposent d'un capital de confiance (entre managers, entre managers et salariés, et
entre l'entreprise et les clients / fournisseurs). Ce type de gouvernance présente
également l'avantage de la stabilité. Cependant, il peut y avoir des désaccords au sein de la
famille et affecter l'entreprise. Il peut également y avoir des différences entre les
propriétaires à forte personnalité et les cadres salariés. Enfin, les héritiers ne sont pas
toujours compétents et l'héritage peut poser de réels problèmes.
a) Stratégie liée : stratégie stable, fondée sur la durée qui donne d’avantage de
temps pour réussir le lancement d’un projet.
b) Organisation : souvent une structure centralisée ou la famille détient les postes
clefs.
c) GRH : fidélisation du personnel, relation paternaliste
LA GOUVERNANCE MANAGÉRIALE (OU TECHNOCRATIQUE)
Nous voyons la séparation du pouvoir et de la propriété. L'entreprise est dirigée par des
«techniciens» de direction et des cadres salariés. Ces dirigeants donneront la priorité à la
croissance de l'entreprise plutôt qu'à la distribution de dividendes. Par conséquent, nous
avons vu l'émergence des écoles de gestion. Par conséquent, les entreprises sont dirigées
par des personnes compétentes. Cependant, le service central se développe et la
bureaucratie augmente. Les dirigeants entre eux ont formé un réseau, ce qui a renforcé leur
pouvoir. Stratégie de corrélation: Cette gouvernance est biaisée en faveur des stratégies de
croissance et de la domination du marché. Organisation: Organisez-vous en tant que groupe
de départements professionnels, de sorte que chaque centre de profit soit évalué. Gestion
des ressources humaines: vision plus contractuelle des ressources humaines. Échange de
capacités et de progrès, il existe encore une certaine forme de gestion paternaliste
(avantage, stabilité)
LA GOUVERNANCE ACTIONNARIALE :
C'est la gouvernance qui place les actionnaires au premier plan. La naissance des fonds
d'investissement a renforcé le pouvoir du marché financier. Par conséquent, nous
minimiserons les risques et serons très prudents quant à la rentabilité à court terme. Les
dirigeants sont également encouragés à devenir eux-mêmes actionnaires afin que leurs
décisions suivent la même direction que les actionnaires. Cette gouvernance offre
d'excellentes positions aux nouveaux participants (auditeurs, analystes, agences de notation,
consultants, etc.).
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Stratégie liée : toute nouvelle activité est d’abord évaluée en terme de rentabilité et
les résultats doivent couvrir rapidement les capitaux investis. Stratégie
d’externalisation de tout ce « qui n’est pas nécessaire ».
Organisation : Les grands groupes sont souvent scindés pour plus de lisibilité.
Le thème de la gouvernance d'entreprise est celui qui a suscité le plus de débats dans le
monde des affaires, de la politique et de l'enseignement au cours des dix dernières années. Il
ne fait aucun doute qu'une bonne gouvernance d'entreprise est une composante essentielle
de la croissance nationale.
Plusieurs tentatives sont en cours pour inspirer et obliger les nations à développer une
culture de la gouvernance. Il est clair que cette communication s'inscrit dans la vision de
contribuer à l'amélioration de l'efficacité du système de contrôle et au développement de la
culture de gouvernance, tout en présentant un cadre théorique qui explique le rôle du
contrôle interne et de l'audit dans la bonne gouvernance d'entreprise.
La gouvernance d'entreprise (GE) c'est un phénomène qui s'est répandu dans le monde
entier, tant dans les pays développés que dans les pays en développement.
Avec l'accélération de la mondialisation des échanges et de la globalisation des économies
au cours des deux dernières décennies, les réflexions théoriques sur la gouvernance
d'entreprise se sont de plus en plus structurées.
Dans ce contexte, il existe une abondante littérature financière sur le sujet, et différents
auteurs ont proposé diverses définitions. Nous nous en tiendrons à la définition de G.
Charreaux, selon laquelle « le gouvernement des entreprises recouvre l’ensemble des
mécanismes qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d’influencer les décisions des
dirigeants, autrement dit, qui ‘gouvernent’ leur conduite et définissent leur espace
discrétionnaire »
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L’Audit
L'audit est une profession qui a évolué au fil du temps, lui permettant d'atteindre un haut
niveau de maturité. Il est aujourd'hui reconnu comme un synonyme d'objectivité, de
performance et d'aide à la décision, grâce aux recommandations dont il est issu. Si l'entité
d'audit est interne, on parlera d'audit interne", et si elle est externe, onparlera d'audit
externe". Les objectifs et les domaines d'application des deux fonctions sont totalement
complémentaires et inextricablement liés.
L'audit interne : l’audit interne peut être décrit comme l'ensemble des politiques et des
procédures contenues dans les organisations et les procédures, dont le but est de garantir la
qualité des enregistrements, la préservation des actifs, le respect des lois telles que les plans
et les politiques de la direction générale, et l'efficacité des opérations de l'entreprise.
L'audit externe : Il s'agit d'un examen visant à " assurer la régularité, l'honnêteté et une
image digne de confiance. " La publication d'un avis sur la qualité des détails financiers et
comptables qui fera l'objet d'un rapport final de mission ". Le champ de l'audit externe ne
s'arrête pas à la certification des comptes, mais il se limite aux travaux du " commissariat aux
comptes. "
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l'évaluation interne recommande des changements pour améliorer ces processus et surveille
leur mise en œuvre.
Les audits internes sont réalisés en toute indépendance au sein de l'organisation par des
professionnels qui comprennent la valeur d'une gouvernance solide. Ils ont également une
connaissance approfondie des systèmes et des processus d'entreprise et sont
fondamentalement motivés par l'engagement qu'ils prennent pour la réussite de leur
organisation.
L'audit interne offre des perspectives et sert de catalyseur, permettant au management et
au conseil d'administration de mieux comprendre les processus et les mécanismes de
gouvernance. Pour l'IIA, la mise en œuvre de mécanismes de gouvernance, de gestion des
risques et de contrôle interne conduit à des changements et des développements
organisationnels positifs. Elle renforce la confiance dans l'organisation et permet de prendre
des décisions avisées. De plus, un audit interne performant peut avoir la maturité nécessaire
pour proposer à l'organisation une vision proactive en identifiant les tendances et en attirant
l'attention sur les défis émergents, avant qu'ils ne se transforment en crises.
2. Les règlements législatifs et comptables
Les normes IAS International Accounting Standard complété par IFRS International Financial
Reporting Standard sont des normes comptables internationales élaborées par l'IASB,
International Accounting Standards Board La loi Sarbanes Oxley : la loi de sécurité financière.
En effet ils ont comme but le fait de rétablir la confiance en instaurant fiabilité, transparence
et lisibilité des comptes. D’ailleurs le référentiel IAS/IFRSvise à garantir l'information
financière destinée aux investisseurs et a facilité l'évaluation globale des entreprises. Certes
depuis 2005 toutes les entreprises de l'union Européenne et leurs filiales sont tenues de
présenter les comptes consolidés en conformité avec ces normes comptables
internationales.
La loi Sarbanes Oxley, a été adoptée par le congrès américain en Juillet 2002 en outre elle est
la réponse aux scandales comptables et financiers. En effet cette loi comporte de
nombreuses obligations dont il ne faut pas chercher bien loin l'origine. Citons notamment
l'interdiction pour une société d'audit de combiner les prestations de conseil et d'audit pour
un même client, l'obligation pour les PDG et directeurs financiers de signer les comptes et
rapports financiers ou encore l'encadrement des avantages financiers (prêts) consentis par
l'entreprise à ses dirigeants.
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Cette loi extra territoriale concerne toutes les entreprises US ou non cotées au New York
Stock Exchange.
Fiche d’identité
Raison sociale : Maroc Télécom
Forme juridique : Sté Anonyme à directoire et CS
Capital social : 5 274 572 040
Secteur d'activité : Télécommunication
Adresse : avenue Annakhil Hay Riad Rabat Maroc
Marché : Eurolist hors zone Euro
Indices : Ai40, CAC International 25, MADEX, MASI,
SP Africa40, Ai100
Nombre de titres : 879 095 340
Président du Directoire : Abdeslam Ahizoune
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Président du conseil de surveillance : Nizar Baraka
Actionnaires principaux : Vivendi: 53,09 %
Royaume du Maroc : 30,00 %
• Le Directoire:
Président : Abdeslam Ahizoune ,Président du Directoire
Membres :
Membres :
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Conseil de surveillance
Le conseil de surveillance est composé d'au moins huit membres pour un mandat de six ans,
trois représentant le Royaume du Maroc et cinq représentant Vivendi
Le comité d’audit
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Conclusion
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SOMAIRE
Dédicace 2
Remerciement 3
INTRODUCTION 5
CHAPITRE I : la gouvernance d’entreprise 6
Webiographie 25
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Webiographie
https://www.cairn.info/la-gouvernance--9782130653530-page-7.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernance
https://www.lesaffaires.com/dossier/la-gouvernance-dans-tous-ses-etats/
gouvernance--huit-principes-a-respecter/567237
https://youmatter.world/fr/definition/gouvernance-definition-objectifs-principes-
volet-social-et-societal/
https://www.piloter.org/gouvernance-entreprise/index.htm
https://dscgue3.wordpress.com/2016/01/24/2-2-2-modes-de-gouvernance/
https://na.theiia.org/translations/PublicDocuments/Internal-Auditings-Role-in-
Corporate-Governance_FRE.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maroc_Telecom
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement_d%27entreprise
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