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Rapport de stage
Effectué au Bureau de Contrôle du Bâtiment et des Travaux
Publics (B.C.B.T.P)
I-Présentation du BCBTP………………………………………………..............5
I.1-Situation géographique et historique
2-présentation de l’entreprise
3-Localisation……………………………………………………………………...6
I.2- HISTORIQUE
I.3.1- ORGANISATION
I.4-FONCTIONNEMENT………………………………………………………….11
:
DEUXIEME PARTIE Déroulement du stage…………………………............13
1
c. Poids spécifique………………………………………………………19
2- Essai de portance………………………………………………………. ...20
a. Essai Proctor
b. Essai C.B.R……..………………………………………………………...22
3- Essai d’identification des matériaux pour la formulation du béton…………...26
2
Remerciements :
Avant tout développement sur la période enrichissante de mon stage au sein du Bureau de
Contrôle du Bâtiment et des Travaux Publics, il serait opportun d’exprimer mes plus sincères
remerciements envers ceux qui ont contribué à ce que ce travail aboutisse. Particulièrement à :
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PREMIERE PARTIE:
Presentation de l’entreprise
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I-Présentation du BCBTP
I.1-Situation géographique et historique
Le bureau de contrôle du bâtiment et des travaux publics en sigle BCBTP est une entreprise
qui a beaucoup d’expérience dans le BTP. Elle met ses compétences aux services des
gestionnaires d’infrastructures routières, des gestionnaires de voiries urbaines, des
gestionnaires aéroportuaires des entreprises de BTP. Cette entreprise offre des prestations
dans les domaines suivants :
- Expertise en BTP ;
- Auscultation des chaussées ;
- Etude et contrôle d’agrément et conformité des matériaux de construction ;
- Reconnaissance et études des sols de fondations et sols routiers ;
- Réalisation des forages d’eau ;
- Surveillance des réseaux routiers et étude de l’évaluation du trafic ;
- Mesures des performances de la qualité du revêtement ;
- Etudes et contrôles de la qualité des bétons.
2-présentation de l’entreprise
Le bureau de contrôle du bâtiment et des travaux publics dénommé BCBTP est créé par la loi
N° 10/86 du 19 mars 1986 comme établissement à caractère technique et scientifique, doté de
la personnalité morale physique et de l’autonomie financière. Placé sous l’autorité du
ministère de l’équipement et de l’entretien routier. Les présentations du BCBTP Se résument
comme suit :
L’exécution de tous les essais et analyses, recherches, études et contrôles concernant les sols,
les matériaux et procédés de construction du bâtiment et des travaux publics. La réalisation
des forages d’eau dans les milieux urbain et rural. L’adaptation des rapports techniques pour
la souscription auprès des assureurs et réassureurs de la police d’assurance de responsabilité
décennale. Le BCBTP est aussi chargé de la construction et de la tenue à jour de la
documentation technique, de renseigner les services d’études et les entreprises dans le
domaine du BTP. Son contrôle technique assure la qualité des travaux avant, pendant et après
son exécution. Il permet d’éviter tous les différents aléas susceptibles de compromettre :
La stabilité de la structure ;
La qualité de l’ouvrage ;
Le bon fonctionnement des équipements techniques.
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3-Localisation
Le BCBTP est implanté à Bacongo derrière les locaux de l’ancienne faculté des sciences, plus
précisément sur la rue du lycée français saint Exupéry. Après les évènements politico-
militaires de décembre 1998 que notre pays a connu, le BCBTP était provisoirement
délocalisé au quartier Och à Moungali III DANS les locaux de la société de promotion et de
gestion immobilière(SOPROGI).
I.2- HISTORIQUE
Créé par la loi N° 10 /86 du 19 mars 1986, le BCBTP est une structure et fonctionne selon les
dispositions des décrets N° 87 /315 du 16 juin 1987 approuvant son statut et N° 87 /798 du 30
décembre 1987 portant organisation et attribution de sa direction générale. La loi de 1998
instituant l’obligation du contrôle technique, représente une assurance sur la qualité des
travaux réalisés. Elle est soumise aux règles comptables et fiscales édictées par la législation.
Objectifs généraux:
Remettre à niveaux le système de production, de transport et des distributions des
marchés ;
Améliorer les contrats et les recouvrements.
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Comme dit précédemment, le BCBTP est créé par la loi N°10/86 du 19 mars 1986 comme
établissement à caractère technique et scientifique doté de la personnalité morale, physique e
l’autonomie financière de gestion. Il est placé sous l’autorité du ministère de l’équipement et
de l’entretien routier. Le BCBTP est issu des cendres de la régie nationale des transports et
des travaux publics (RNTP). Les activités du BCBTP sont celles dévolues par le passé à la
direction des études du contrôle et de la planification (DECP) pour le contrôle technique des
travaux publics, du laboratoire national des études et travaux publics (LNETP) pour les
études, le contrôle de géotechnique et de l’habitat et enfin de la direction de construction de
l’urbanisme et de l’habitat (DCUH) pour les fonctions de contrôle du bâtiment.
I.3.1- ORGANISATION
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DIRECTION GENERALE
Responsable du management de la
qualité Assistant du Directeur Général
Assistant planification et
Chef d'agence de Point-Noire
suivi des projets
Direction
Direction Direction Controle et Financière et Direction Ressources
Laboratoire Surveillance Travaux comptable
Humaines
Division Pool
Division Division de Budget et
géotechnique Ingénieurs Comptabilité Affaires Ressources
Essais,matériaux l'appui contrôle de
et Chefs de et finances générales Humaines
et Expertise technique gestion
Hydrogéologie mission
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Organigramme des directions techniques
9
Direction Laboratoire
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Direction Controle et
surveillance des Travaux
Division appui
technique Pool Ingénieurs
(chef de division ) chefs de mission
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Organigramme des Directions administrative, financière et comptable
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I.4-FONCTIONNEMENT
Animée par un Directeur qui pilote, suit et contrôle des activités de sa direction, la
direction de laboratoire est chargée de :
Faire procéder à l’exécution de tous travaux et à la réalisation de toutes
commandes conformes à la mission du BCBTP dans le domaine du laboratoire ;
Procéder à l’exécution de tous les essais, analyses et recherches, études et
contrôles des sols, les matériaux et les techniques de constructions dans le secteur
du BTP ;
Participer pour le compte du BCBTP à la formation des techniciens de
l’administration dans les domaines qui relèvent de la compétence du laboratoire ;
Assurer le secrétariat permanent de la commission scientifique et technique,
organe consultatif qui aura pour tâche de donner son avis préalable sur les
questions concernant l’orientation du BCBTP et les programmes de recherche et
études d’intérêt général.
La division surveillance et contrôle des travaux est chargée d’assurer la maitrise d’œuvre
sur les chantiers de construction de BTP :
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I.4.4-La direction finance et comptabilité
La direction finance et comptabilité est animée par un Directeur. Elle a pour mission la
gestion financière, comptable, budgétaire et fiscale du BCBTP. Elle est chargée de:
La direction des ressources humaines est animée par un Directeur. Elle a pour mission la
gestion des services généraux, de la communication et de l’informatique, de
l’administration et du développement des ressources humaines. Elle est chargée
notamment de:
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DEUXIEME PARTIE:
Déroulement du stage
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Le stage pédagogique passé au B.C.B.T.P s’est déroulé du 9 septembre au 9 Octobre
2019 sous la tutelle du chef de paillasse Mr Baryt et son Equipe. Durant tout ce mois,
nous avons effectué plusieurs essais sur différents types de matériaux et cela selon la
demande des clients de la structure. Ces essais se présentent de la manière suivante :
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1-Essais d’identification des sols fondation et sol routier :
a.2 Principe : Consiste à mesurer sur une balance de précision les masses de
l’échantillon avant et après séchage dans l’étuve a 1050Celsius.
a.3 Appareillage :
Les matériels nécessaires pour la teneur en eau sont :
Une étuve de dessiccation à température réglable à 50°C et à 105°C ;
Une balance de précision ;
Deux petites tares qui ont une matière non altérable à l'humidité et à la chaleur
ou des bacs.
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a.5 Calculs:
me = (mh+T) - (ms+T)
ms= (ms+T) - mt me
W= ×100
Avec :me: Poids de l'eau ms
ms: Poids net matériau sec
W:Teneur en eau,unité(%)
Nature………………………… Argile
N˚ Tare A 13’
PH +Tare=Masse totale humide 208,9 203,4
PS +Tare=Masse totale sèche 172,6 170,0
Poids de la tare=Masse Tare 28,0 35,1
Poids d’eau=Masse d’eau 36,3 33,4
Poids matériaux sec=Masse sol 144,6 134,9
sec
Teneur en eau 25,10% 24,76%
Moyenne=Teneur en eau 25%
moyenne
b.2 Matériaux Utilise : Sables fins jaune a rougeâtre du sondage J10-5 et Sables
fins jaune a beige issue du sondage J10-6 du chantier PAN-F Engineering.
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- Une colonne de Tamis dont les diamètres sont les suivants : 5 mm ; 2 mm ;
1mm ; 400um ; 200um ; 80um.
Tamisage à eau des échantillons Échantillons après lavage Pesée des matériaux tamisés
b.5 Calculs:
RC
%RC= ×100 %Passants=100−%RC
Mi
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COURBE GRANULOMÉTRIQUE
CAILLOU GRA- SABLE GROSSIER SABLE FIN LIMON AR-
100 X VIERS GILE
90
80
70
60
50
Axis Title
40
30
20
10
0
100 10 1 0.1 0.01 0.001 0.0001
Diamètres équivalents (mm) sédimentomé-
Ouverture nominale des tamis à maille carrés trie
c.2 Principe :
L’essai s’effectue sur une éprouvette de sol placée dans une boite de cisaillement
constituée de deux demi-boites indépendantes l’une de l’autre. Lorsqu’on Soumet les
échantillons de l’éprouvette a différents poids sur la machine ou appareil de cisaillement
en fonction du temps, ceux boites glissent et se séparent suivant le plan de cisaillement
de l’éprouvette.
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Extraire les échantillons des carottiers du terrain pour les mettre dans les anneaux
(carottiers du laboratoire) en utilisant l’extracteur comportant un piston et un
volant ou en utilisant la langue de chat et le piston.
Peser le carottier du laboratoire contenant la l’échantillon de sable sur la balance a
précision.
Placer le carottier dans le moule dont les deux demi-boites sont fixées l’une à
l’autre par les goupilles.
Placer le moule sur l’appareil de cisaillement
Faire les mise au point de l’appareil en vue de commencer les essais.
Faire trois essais sur chaque type de sable. Ces trois essais correspondent aux trois
poids utilisé
La lecture des valeurs sur le manomètre ce fait après toutes les 15 secondes.
Le cisaillement est atteint lorsque l’aiguille du manomètre atteint la valeur la plus
élevée et commence à décroitre:
d.3 Matériau Utilise : Sables fins jaune a rougeâtre du sondage J10-5 et Sables
fins jaune a beige issue du sondage J10-6 du chantier PAN-F Engineering.
Assiettes métallique
Balance à precision
Pycnomètres numéroté respectivement 1, 2,3, ...
Des entonnoirs
Une règle
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matériau avec de l’eau à l’aide d’une tige. Remplir le Pycnomètre jusqu'à ce que
l’eau déborde l’aide de la règle les gouttes en surplus. Peser le pycnomètre
contenant le matériau et rempli d’eau. Renverser le mélange, remplir d’eau le
Pycnomètre, le peser.
Faire les mêmes opérations pour les autres Pycnomètres.
2- Essai de portance
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a.1 But : Le but est de déterminer la densité sèche maximale et la teneur en eau
optimale (densité humide et densité sèche).
w
12,2 14,1 16,2 18,2 20,2 16,10
%
gd 1,58 1,64 1,66 1,64 1,58 1,660
23
D’où la courbe :
1.68 Proctor
1.64
kN/m3
- Moules CBR
-La dame
- Tares
-Cuvettes
-Un pinceau
-un Bac pour faire le quartage
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-Une truelle
-Une étuve
-Un bécher
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b.4 Mode opératoire:
A. Préparation des échantillons
L’essai se réalise grâce à la teneur en eau optimale déterminée par l’essai Proctor
modifié. De ce fait il convient de préparer le matériau de la même manière que pour
l’essai Proctor à savoir : - Le matériau sera séché à l’air ou à l’étuve; on se contente d’un
déméchage partiel suffisant sans être excessif pour ne pas éliminer l’eau absorbée qui
n’est pas un peu reconstituée lors de l’opération de mouillage.
Après avoir éliminé par tamisage les éléments supérieurs à 20mm, le matériau est
pulvérisé ; on écrase les mottes de terre en veillant à ne pas briser les graviers.
On réalise 3 moulages à 3 énergies de compactage différentes, il faut donc prévoir au
moins 3 x 5,5kg de matériau écrêté à 20mm.
La connaissance de la teneur en eau du matériau en cours de préparation est
nécessaire. Ensuite par calcul on déterminera la quantité d’eau
Soit P un poids de matériau en cours de préparation à une teneur en eau du Proctor
modifié W1
Soit E la quantité d’eau à ajouter au matériau pour atteindre la teneur en eau W 2
(teneur en eau optimale Proctor modifié)
P×(100+W 2)
100+W 1
−P ( )
100+W 2
100+W 1
−1
E= ; E = P
Ce matériau est mouillé en malaxant soigneusement pour homogénéisation, il est
ensuite conservé jusqu’au lendemain dans des sacs étanches pour assurer une bonne
humidification. L’opération de compactage n’ayant lieu que le lendemain il est possible
de vérifier avec précision la teneur en eau. L’essai n’est réalisé que si le matériau est
effectivement à la bonne teneur en eau avec une précision de ± 0,2%
Si le matériau est légèrement trop humide, on le laisse aérer en l’homogénéisant, si
cette ultime correction consiste en un léger apport d’eau, avec peu d’expérience, le
risque d’erreur n’étant pas grand, on pourra commencer sans retard l’essai une
dernière vérification de la teneur en eau pouvant être effectuée à posteriori. Par contre
si cette ultime correction consiste à laisser sécher le matériau, même légèrement vérifié
la teneur en eau avec précision.
B. Compactage et imbibition
On prépare d’abord le moule, il faut veiller à ce qu’il soit propre et en bon état. On pèse
le tout à 5g près, puis on place le disque d’espacement.
On introduit ensuite le matériau selon le processus de l’essai Proctor modifié en 5
couches successives d’égale épaisseur qui sont chacune compactée avec la même dame
Proctor modifié selon les énergies de compactage différentes qui sont en général 10, 25
et 55 coups par couche. Le but étant d’obtenir 3 moulages ayant compacité nettement
différentes (ces compacités étant en principe et de façon très approximative
respectivement de l’ordre de 90%, 95% et 100% de la densité sèche maximale du
Proctor modifié).
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Une fois le compactage terminé, la hausse, dernière couche doit dépasser le moule
d’environ 1cm. On rase soigneusement puis on enlève le fond que l’on veut fixer sur la
face supérieure du moule après avoir placé un papier filtre à la surface de l’échantillon,
on retournera le moule, on retirera le disque d’espacement puis après avoir également
placé un papier filtre sur cette face, on pèse le tout à 5g près.
Après avoir pésé les moules en les plongent dans un bac , la durée de l’immersion est de 96h
Le moule est placé sur le plateau de la presse et centré de telle façon que le piston de
poinçonnement soit bien dans le prolongement de l’axe du moule.
La tête du piston est amenée en contact avec la surface de l’échantillon en faisant
monter le plateau de la presse. On remet alors les surcharges annulaires. La mise en
place du piston de poinçonnement est achevé en manœuvrant lentement le volant
de la presse jusqu’au moment où l’aiguille du comparateur de l’anneau
dynamométrie commence à bouger. A ce moment le piston est bien en contact avec
la surface de l’échantillon.
On fixe alors un comparateur au 1/100 de millimètre derrière le cadran de
l’indicateur, de cadence – comparateur qui coulisse le long d’une tige verticale
solidaire du bâti de la presse est fixé de telle façon que la pointe du palpeur du
comparateur vienne reposer sur le bord du moule. Le comparateur est amené à zéro,
puis l’indicateur de la cadence mis en marche.
L’opérateur se met alors au volant de la presse et commence le poinçonnement au
moment où le rayon repère de l’indicateur de cadence viennent se superposer à
l’aiguille du comparateur, il manœuvre lentement le volant de façon à maintenir en
coïncidence l’aiguille du comparateur et le rayon repère. En procédant de cette façon
de poinçonnement s’effectue avec la vitesse constante normalisée (soit 1,27mm /
minute)
Au cours de l’essai on note les pressions lues sur l’anneau dynamométrique qui
correspondent aux enfoncements suivants : 0,2 – 0,4 – 0,6 – 0,8 – 1 – 1,5 – 2 – 2,5 – 3
– 3,5 – 4 – 4,5 – 5 – 5,5 – 6 – 7 – 8 – 9 et 10mm. On arrête alors l’essai quand on
atteint ce dernier enfoncement.
c.1 Calculs
Poids humidecompacté
γh=
Volume du moulage
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Poids sol sec
γh
γd =
100 W%
Détermination de la compacité du moulage par rapport à la densité sèche maximale
(référence Proctor modifié)
γd
C%= 100 x
γd max
Détermination de la teneur en eau (W en %) après 4 jours d’imbibition.
Les échantillons servant à déterminer cette teneur en eau sont prélevés en fin d’essai. Après
poinçonnement lors du démoulage on effectue deux prises au-dessous de la surface de
chaque côté de l’emprunt de poinçonnement (*)
CBR
1.80
1.76
kN/m3
1.72
1.68
1.64
1.60
2 4 6 8 10 12 14
IP CBR
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3-Essai d’identification des matériaux pour la formulation du béton
a. Equivalent de sable :
a.1But : Déterminer le taux de propreté du sable. Cela permet de savoir si ce sable est
utilisable dans un béton.
a.3Matériau :
-Deux échantillons de Sable du fleuve
- la solution lavante
a.4Matériel utilisé :
a.4Mode opératoire :
-Faire le quartage du matériau au tamis de 2 mm.
-Sur une balance de précision, peser 120 g de matériau sur lequel se fera l’équivalent des
sables.
-A l’aide du tube laveur, mettre du mélange de solution lavante dans l’éprouvette jusqu’au
premier trait de jauge.
-Mettre le matériau dans l’éprouvette contenant la solution, Fermer son bouchant puis
donner quelques couts sous l’éprouvette pour chasser les bulles.
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-A 10 min, on place la première éprouvette dans la machine a équivalent de sable qui secoue
l’échantillon pendant 30 secondes.
-Ajouter la solution lavante dans l’éprouvette jusqu’au second trait de jauge. Laisser reposer
pour faire la lecture 20 minutes après avoir laissé reposer.
h2
. 100 = ES.
h1
a.5 Tableau
1èreéprouvette 2èmeéprouvette
1. Masse de l’éprouvette MT(g) 120 120
h1 (mm) 98 98
h2 (mm) 94 93
100× (h2/h1) 96 95
(enregistré à un chiffre après la virgule)
Note : Il convient que les valeurs de 100× (h2/h1) pour les deux éprouvettes ne diffèrent pas de plus
de 4
Equivalent de sable (ES) est la moyenne de 100× (h2/h1) pour les deux éprouvettes exprimé au
nombre entier le plus proche
ES = 96 %
b.Formulation du béton
b.2Matériel utilisé :
-L’échantillonneur de laboratoire
30
-Une balance a précision
-Une colonne de Tamis pour les Granulats dont les modules sont
(46 ;45 ;44 ;43 ;42 ;41 ;40 ;39 ;38 ;34 ;31 ;29 ;26 ;20 ;19)
-Une autre colonne de Tamis pour les Granulats dont les modules sont (34 ; 31 ; 29 ; 26 ;
20 ; 19).
b.3Mode opératoire :
La formulation d’un béton fait appelle a plusieurs essais dont l’analyse granulométrique,
la teneur en eau, au coefficient d’aplatissement, l’équivalent de sable, …etc.
Eau= 206L
Caisse=50*60*20cmV=60000cm3
V=94.47L
S=594*94,47=56.115,18
G=1233*94, 47=116.481,51g
E=206*94,47=19.460,82g
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V=3375*6=20250*1, 5=30,375/1000=30,38L
C=350*30,38=10633g S.R=5,413Kg
c.Essai d’écrasement :
b.1But : Déterminer la résistance a la compression des éprouvettes cylindriques et
cubiques.
b.2Principe : Il consiste à compresser les éprouvettes de béton dans la presse à béton à une
vitesse constante de 0,50 m/s.
b.3Matériel:
-Truelle
-Presse à béton
-Brouette
-Le jour suivant, placer les éprouvettes dans la presse abéton tout en y ajoutant les discs de
part et d’autre.
-Entrer les paramètres de l’éprouvette dans la presse a béton à savoir la longueur, la largeur,
la hauteur, le diamètre, …
b.5 Calculs :
Poids Charge KN
¿ ; ¿ Densite Et R= = 2 =Mpa ; R=résistance
volume Surface( Section) m
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Date Partie Formulatio Slump(m Resistance
d’ouvra n m) a la
ge compressio
n
R.C R.C
a7 Moy
Réception Coulage Essais jour a 7
s jour
s
2,38 24,9
Béton
16/09/201 23/09/201 30/09/201
- Armé a 7,5 2,40 25,8
9 9 9
350 Kg
2,39 25,0
2,38 18,8
Béton
16/09/201 23/09/201 30/09/201
- Armé a 7,5 2,38 18,8
9 9 9
350 Kg
2,37 18,5
Béton
16/09/201 23/09/201 30/09/201
- Armé a 7,5
9 9 9
350 Kg
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TROISIEME PARTIE:
Critiques et Suggestions
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DIFFICULTES ET SUGGESTION
Manque des matériels comme les caches nez; casques et les bottes qui pouvaient
permettre aux stagiaires de se protéger contre la poussière et les chocs au niveau de la
tête et des pieds lors de l’écrêtage, l’Analyse granulométrique et des essais Proctor et
CBR.
SUGGESTIONS:
En ce qui concerne mon stage, je suggère que postérieurement le Bureau du contrôle
de Bâtiment et des Travaux publics puisse mettre en place une bonne politique de
gestion et de suivi de ses stagiaires, en créant une structure compétente pour
l’accueil des stagiaires en plus monté une équipe qui pourrait permettre aux
apprenants d’aller sur le terrain.
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