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Fiche de lecture sur le livre « 

Le Mzab une
leçon d’architecture »

André Ravéreau, né le 29 juillet 19191 à Limoges et


mort le 12 octobre 2017 à Aubenas2, est
un architecte français. En 1980 il reçoit le Prix Aga
Khan d'architecture. Il est élevé au rang d'Achir de
l'Ordre du mérite national d'Algérie en 2012.

Mon avis sur le livre :


Dans le chapitre 1 l’auteur pense que dans
l’urbanisme il faut choisir les éléments qui compose la
zone urbaine avec méticulosité c’est pour ça qu’il
admire l’architecture des mozabites, je comprends ce
point de vue de l’auteur car au Mzab l’urbanisme est
simple et harmonieux, il pense aussi qu’un architecte
doit mettre toute sa foie lors de la conception de son
édifices et que il doit coopérer toute l’équipe (maçon,
géographe…) et je suis tout à fait d’accord avec
l’auteur car l’architecte doit avoir le sens d’esprit
d’équipe afin d’avoir un résultat impeccable lors de la
conception d’un édifice.
Dans le chapitre 2 Ravéreau trouve le vrai sens de
l’esthétique dans la ville de Ghardaïa, et aime la
vivacité d’esprit des mozabites et parle à ce sujet que
l’homme doit accepter le changement pour avancer,
je partage ce point de vue avec l’auteur car le
changement et le pilier qui soutient l’architecture qui
est le fruit de l’utilisation maximale des ressources
intellectuelles et matériels

L’auteur estime que l’architecture d’un bâtiment a


impact psychologique j’ai remarqué ça à travers
l’architecture des prisons qui donne une envie
dépressive et de mette mal à l’aise les prisonniers.
La plus grande leçon que j’ai retenue de ce livre c’est
que l’architecture provient plus de l’esprit qui l’a
animé que la main qui la faite, car comme il a dit
l’auteur elle est représentative sans avoir recours au
symbolisme j’ai constaté ça quand je regarde les
bâtiment les bâtiments à fonction publique (mairie,
école, tribunal……) d’où on peut les distinguer sans
même qu’on nous le dise.
L’auteur pense l’architecture s’adapte au climat, on
ne va pas nier ça car on peut construire une maison
en Europe du nord comme on l’a construite au Mzab.
L’auteur est impressionner par l’authenticité et la
simplicité de l’architecture mozabite et surtout par
leur intuition qui est équivalente à celle des calculs
des ingénieurs du 19ème siècle je dois reconnaitre
qui si je n’ai pas lu ce livre j’aurai toujours penser que
le Mzab été une civilisation arriéré, mais j’ai vu à
travers les images et les description de l’auteur des
éléments architectoniques très raffinés (pinacle,
minarets, les ouvertures……) cela m’a fait
comprendre que le mozabites voyaient de loin et
avaient une plus grande vivacité d’esprits que nous
donc je soutiens le point de vue de l’auteur que le
Mzab est une leçon d’architecture.

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