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Fiche de lecture : Art des Temps Moderne Soumiya Sabia

11,5/20 Vous avez globalement compris la thèse de l’auteur. Mais vous n’avez pas
suffisamment rattaché votre argumentation à la chronologie. Attention, ensemble maladroit.

L’architecture peinte
En général l'architecture utilisée dans les œuvres d’art ont pour but premier de renforcer la
perspective et créer une sensation de profondeur. Mais dans l’architecture peinte cela permet avant
tout de représenter des scènes qui font parfois allusion à un contexte précis. (Pas vraiment…) En
fonction de l’œuvre qu’aura créée l’auteur, cela permettra au spectateur de voyager à travers
différents récits, et paysages (pas vraiment non plus)

L’auteur de l’ouvrage « l’homme en perspective » est Daniel Arasse, c’est un historien de l'art,
spécialiste de la Renaissance et de l'art italien. Ces sujets de recherche se penche donc davantage
sur ses deux thèmes, il cherche alors au-delà de l’iconographie en mettant en place ses propres
réflexions dans ses ouvrages. Trop vague

La thèse principale qu’Arasse soutient dans cet extrait et qu’il explicite notamment au début de
celui-ci est que l’architecture peinte sollicite ce qu’on appelle un « lieu mnémonique ».
Mentalement l’artiste va placer une architecture dans le décor qu’il aura imaginé et par la suite il va
la retranscrire dans son œuvre afin que le spectateur mémoriser mieux le récit de l’œuvre décrit.
(Bien mais expression maladroite) C’est-à-dire que cela ne sera plus un simple cadre (ou bien un
arrière-plan). Mais que cela permettra de se pencher davantage sur la manière dont elle interagit
avec la mémoire et les émotions que le spectateur peut ressentir, le « lieu mnémonique » est donc
une sorte de fils conducteur entre ces 2 (deux) éléments. Une autre de ces thèses implicites dans le
texte et que l'architecture peinte contribue à créer une évolution dans la narration, dans certains
cas cela peut être utilisé d’une tout autre manière (métaphoriquement). Ce n’est décrit qu’à la fin
de cet extrait de texte, l’auteur nous explique comment les artistes ont pu transformer une nouvelle
fois l’utilisation de l’architecture peinte dans leurs œuvres afin de donner l’impression que les
figures peuvent se déplacer et interagir dans l’espace pictural. C’est une évolution de la
Renaissance = faites référence à la chronologie

L’un des arguments qu’utilise l’auteur pour démontrer l’une de ces thèses et que les détails et la
disposition dans l’architecture peinte permet de faciliter la méditation des notions et des émotions
de l’œuvre comme par exemple dans des scènes religieuses. Un autre de ces arguments est qu’afin
de solliciter la mémoire et de ressentir plus simplement les émotions, il nous explique que tout est
fondé sur les techniques de « l’art memoriae ». Cela permet de crée des combinaisons mentales de
lieux et dans notre cas ceci permet au spectateur de ce souvenir plus simplement des récits décrit
dans les œuvres d’art. Enfin, il nous apprend que tout éléments architecturaux comme des escalier,
des ouvertures… Donne l’impression que les personnages peuvent se déplacer à l’intérieur de
l’image.

Dans le but de démontrer ses thèses, l’auteur utilise plusieurs méthodes, il analyse de nombreuses
œuvres afin de nous montrer comment ces différents artistes, on fait appel à l’architecture et
comment elles vont alors jouer un rôle important dans l’interaction avec les figures. De plus,
l’auteur va suivre l’évolution dans le temps de cette utilisation de l’architecture peinte tout en nous
introduisant différents éléments spatiaux utiliser par différents artistes au cours du temps
permettant justement cette impression de déplacement et d’interaction.

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