Sommaire :

 
 

Fiche signalétiqu 3
1) Analyse sociologiqu 4
I- Entretient avec un membre de l’entreprise 4

II- Grille d’observation 8

III- Les di érents acteurs de l’entreprise 9

2) Analyse Economiqu 9
I- Domaine du climat, de l’environnement et de l’économie circulaire 10

II - Énergie renouvelables 11

III- Mobilité durable 12

IV- Hydrocarbures responsable 13

3) Analyse juridiqu 18
I- La forme juridique de l’organisation et ses organes de direction 18

II- Problème de droit rencontré par l’organisation 19

ANNEX 20
- Organigramme de l’entreprise 20
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 Fiche signalétique 
Nom de IFP Energies nouvelles
l’entreprise :
-1-4 Av. du Bois Préau, 92852 Rueil-
Adresse : Malmaison

01 47 52 60 00
Téléphone : h ps://www.ifpenergiesnouvelles.fr/
Site internet : ifpen/domaines-dac vites

775 729 155 00017

N° de Siret :
Etablissement public à caractère
Forme juridique :
Spécialisée dans le secteur d'ac vité
Quelle est l’ac vité de la recherche-développement en
principale de autres sciences physiques et naturelles
l’entreprise ?
Ac vité de
l’entreprise Développe des solu ons perme ant,
Quels biens ou quels d’une part, d’u liser des sources
services produit d'Energie alterna ves et, d’autre part,
l’entreprise ? d’améliorer les technologies existantes
liées à l’exploita on des énergies
Plus de 50 mé ers sont représentés :
Les di érents
Les mé ers de - techniciens
mé ers de
l’entreprise - ingénieurs
l’entreprise :
- Directeur scien que
Fonc ons supports et administra ves
Les Nombre de salariés : 1 633 salariés
caractéris ques
de l’entreprise Chi re d'a aires : Sur l'année 2020 : 37 753 000,00 €.
Date de créa on du
01/01/1900
siège actuel :
Historique de
l’entreprise La transi on énergé que vers des
Quelles sont les
formes d’énergies plus propres
perspec ves
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 1) Analyse sociologique  

I- Entretient avec un membre de l’entreprise

Présenta on générale et présenta on du mé er :

Marie Hélène Klop er , employée à l’IFP depuis 1999, depuis donc 22ans.
Elle est diplômée en Ingénierie et à e ectuer une thèse en physico-chimie
des polymères. Elle est actuellement ingénieur de recherche et depuis
2006 elle est également chef de projet. Pendant 12 ans elle a e ectué un
partenariat avec l’entreprise Technip. Elle changera d’ac vité en 2018 on
elle débutera un projet touchant à l’impact des addi fs que l’on peut être
amené à jeter dans un puits pour augmenter le taux de récupéra on du
pétrole

Avez-vous constaté des changements et des évolu ons ?

La demande sur le marché ayant changé, ça implique que les salariés

doivent s’adapter. Cependant les employées n’ont pas forcément la même
souplesse au changement. L’entreprise subissant un virage important,
certains sont enthousiaste pendant que d’autres ont peur pour l’avenir.

Quan té Le travail est-il régulier toute l’année ?

Non. Il varie souvent, en e et il existe des pics de travail selon les projets
qu’elle entreprend.

Quel est l'ambiance de travail et les condi ons ? (2021)

Depuis le Covid la façon de travailler a changé, beaucoup de réunion

s'e ectue en distanciait, il y a donc plus de partenaire qui peuvent assister
mais ils ne par cipent, et ne parle pas forcément. Il est donc di cile de
savoir s’ils suivent la conversa on.
Il manque les moments de pauses, conviviale qui perme ait de créer des
liens autrefois. En e et il est plus compliqué de demander réellement
l’avis des personnes que l’on connaît pas d’avant. Autrefois, lorsque de
m’intervenant venait en présence, ils pouvaient y avoir des sor es en
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 extérieurs, en dehors du travail et cela perme ait d’apprendre à connaître
ces personnes. C’est à présent, malheureusement plus possible.

En présen el, on peut croiser des personnes pour qui ont est pas le
responsable référent et pouvoir s’informer sur leur travail, cela amène à
des échanges construc fs. De plus les condi ons de travail actuel
impliquent un régime où les salariés sont pendant deux jours en
télétravail par semaine. Ils peuvent choisir leur journée et faire en
fonc ons de leur désire. Cela permet d’e ectuer certains travails que l’on
peut plus di cilement faire quand on est en présen el.

Par ailleurs, par rapport à une vingtaine d’année, il est beaucoup plus
demandé aux salariés d’être plus réac f et de s’adapter
En ce qui concerne l’ambiance au travail, il y a eu une période au
département ou c’était plus compliqué et certain employé établissait des
ragots et des « bruit de couloir » ce qui perturbaient l’organisa on établie,
et qui transme ait une ambiance peu agréable. A présent, ça va mieux.
Cela s’explique par le changement d’entreprise de certaines employées
ainsi que par la mise en place d’un nouveau chef de département,
apportant un regard frais au problème. A ce jour le climat est sain.

Cependant certaines tensions restent, suite au Covid, l’embauche s’est

arrêtée et certaines employées en CDD (contrat à durée déterminée) très
compétent et ayant de bonne rela on avec l’équipe, ne se sont pas vu
proposées de CDI (contrat à durée indéterminé) ou alors trop
tardivement. Cela a eu un impact sur l’ambiance car ces personnes
par cipaient au bon climat général. La société connaît aussi un grand
changement en ce moment en termes de projet, ce qui ajoutes des
pe tes tensions.

Ce mé er est-il sujet à beaucoup de pression ?

Oui, mais surtout par période. La pression est présente quand il faut
rendre des projets et assister à des réunions importantes avec des
partenaires. Mais cela dépend également de la conscience professionnelle
de chacun.
Il y a des projets à l’IFP qu’il faut priorisés : P0, P1, P2
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 Les projets P0 sont prioritaire, les projets P1 sont moyennement

prioritaire et les projets P2 sont les moins prioritaires.

Il y a donc une certaine pression car lorsqu’on travaille sur un projet P1 et

qu’on nous impose un projet P0, nous sommes obligés de l’arrêter.

Selon vous, quel rôle joue votre responsable dans votre mo va on et

celle de votre équipe ?

C’est un chef de département. Le responsable a pour but de faire la

« pub » de son secteur et de promouvoir les ac ons que les secteurs
peuvent faire en les me ant en avant.

En tant que chef de département, il recense toutes les demandes que les
projets vont susciter et les dirigent au département. Il est également en
charge d’indiquer la possibilité ou non qu’un projet soit a ecté et les
personnes nécessaires à la résolu on de ce projet. Il s’assure que la
demande ne soit pas trop conséquente ou à l’inverse qu’elle soit
insu sante mais aussi de la bonne répar on des ingénieurs pour
e ectuer les di érents projets. Par ailleurs il à pour mission de valider les
projets et s'il y a un désaccord, c’est vers lui qu’il faut se tourner.

Le responsable s’assure de mo ver les employées et montrant leurs

points posi fs comme néga fs. Il s’assure que les interac ons entre les
salariées dans le département soit bonne. Mais également que les
personnes puissent créer des liens entre eux et puissent discuter. Il est
important pour lui que tout le monde trouve sa place.

Au quo dien, avec quels acteurs avez-vous des interac ons au sein de
l’entreprise et à l'extérieur et comment est le niveau d’interac on ?

En tant que chef de projet j’ai des interac ons avec les ingénieurs qui
travaillent dans le même projet que moi. Également avec les chefs de
département, lorsqu’on doit faire des ajustements, et avec le centre de
résultat où on peut avoir des interac ons avec les responsables de
programmes.
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Vous sentez vous intégrer au sein de ce e entreprise ?

Même s'il y a eu des phases compliquées, oui à ce jour je me sens bien

intégrer heureusement car cela est très important

Avec quels acteurs avez-vous des liens hiérarchiques présents ou moins

présents ?

Les personnes avec qui j’ai des interac ons fréquente sont mon
responsable, qui est le chef de mon département, c’est avec lui que je fais
mon entre en annuel. Mais aussi le directeur de physico-chimie
appliquées. Au quo dien, elle interagit le plus avec mon responsable de
programme.

Avec qui avez-vous le plus ou le moins d'interac ons dans

l’entreprise ?

J’ai notamment plus d’interac on avec le centre de résultat car en tant

que chef de projets, il faut être régulièrement présente pour les appels
téléphoniques et transme re l’avancement des projets. En e et un chef
de projet à gendarment plus d’interac on avec le centre de résultat
qu’avec son chef.

Êtes-vous parfois confronté à des situa ons de con it avec des

personnes au sein de l’entreprise et à l’extérieur ?

A l’extérieur cela n’est jamais arriver mais au sein de l’entreprise,

il arrive d’avoir des con its entre collègues à cause des non-dits ou des
malentendus. Également certains con its légers en interne pour réaliser
des projets.
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 II- Grille d’observation 

Domaine Solidarité : fait preuve de solidarité,

émo onne aide, encourage, valorise les autres. X X X X

l posi f
Détente : cherche à diminuer la X X X X

tension, blague, se déclare sa sfait.

Accord : approuve passivement,

accepte tacitement

Domaine
de la Donne des sugges ons : donne des X X X X

tâche : direc ves, des indica ons.

réponse
Donne son opinion : analyse, évalue, X X X

exprime son sen ment, son souhait.

Donne des orienta ons : apporte une

X X X

informa on, explique, répète, clari e.

Domaine Demande une orienta on : apporte
de la une informa on, une con rma on. X
tâche :
ques on Demande une opinion : demande un
avis, une évalua on. X X X

Demande une sugges on : demande ce X X X

qu’il doit faire, des direc ons.

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 Domaine
émo onne Désaccord : désapprouve, reje e
l néga f passivement, refuse de l’aide.

Tension : se montre tendu, réclame de

l’aide, se re re de la discussion.

Antagoniste : fait preuve d’hos lité,

d’opposi on, dévalorise autrui

Légende : Client X - Employé X - Chef de projet X - Responsable X -

DirecteurX

III- Les di érents acteurs de l’entreprise

-> Voir organigramme p. 21

2) Analyse Economique 

Secteur de la comptabilité na onale

L’IFP est une SNF, c’est à dire une société non nancière. Cela implique
que sa fonc on économique principale est de produire des produits
marchands. Un produit marchant étant un produit payant et dont le prix
est des né à couvrir plus de 50% du coût de fabrica on.

Contribu on au PIB
La contribu on au PIB est mesurée par rapport à sa valeur ajoutée. Dans
le cas de l’IFP elle est de 2334000 euros.

Marché et secteur d’ac vité

IFP énergie nouvelles est une entreprise exerçant dans plusieurs
domaines :
Climat, environnement, économie circulaire (I)
Énergie renouvelable (II)
Mobilité durable (III)
Hypocarbures responsables (IV)
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 Le but de l’IFP est de gagner en e cacité énergé que. Ils cherchent
également à réduire les émissions de CO2 et de polluants. A n d’a eindre
cet objec f ils prennent des technologies déjà préexistantes, notamment
dans le domaine des énergies fossiles et les améliorent.

I- Domaine du climat, de l’environnement et de l’économie circulair

Captage, stockage et u lisa on du CO2 (CCUS)

Les procédés de captage du CO2, les technologies de stockage massif du

CO2 et la surveillance des sites de stockage

Recyclage des plas ques

IFPEN se posi onne sur le recyclage chimique, appelé à jouer un rôle en

complément du recyclage mécanique pour valoriser certains plas ques
usagés. Ses travaux visent à me re au point des technologies
performantes à un coût économiquement acceptable.

Surveillance environnementale

L’objec f des recherches d’IFPEN est de me re au point des méthodes

d’explora on, de caractérisa on, d’exploita on et de monitoring
perme ant le développement, en toute sécurité, des nouvelles
technologies de l’énergie reposant sur l’u lisa on du sous-sol.

Analyse de cycle de vie (ACV)

IFPEN réalise des études et développe des méthodologies a n d’évaluer

les performances des lières de l’énergie et des transports.

Métaux cri ques et terres rares

Les travaux d’IFPEN visent à proposer des technologies éco-e cientes de

produc on et de recyclage des métaux cri ques et terres rares pour
accompagner le développement des nouvelles lières de la transi on


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 énergé que.

II - Énergie renouvelables 

Biocarburants

Du prétraitement de la biomasse à la produc on du carburant, en passant

par l’op misa on de l’intégra on des di érentes étapes, les travaux
d’IFPEN portent sur l’ensemble de la chaîne de procédés.

Biogaz

IFPEN met au point des procédés éco-e cients de puri ca on du biogaz

avant sa réinjec on dans le réseau.

Chimie biosourcée

IFPEN travaille au développement de procédés, catalyseurs et

biocatalyseurs pour la transforma on de la biomasse en bases pour la
chimie (alcools, olé nes et aroma ques).

Éolien o shore et énergies marines

IFPEN contribue à l’essor de l’éolien, depuis l’évalua on de la ressource

jusqu’à la mise au point de systèmes de contrôle performants. IFPEN
oeuvre également au développement d’une technologie houlomotrice
performante, valorisable par l’industrie.

Géothermie

Les travaux d’IFPEN visent à lever les verrous technico-économiques

limitant le développement industriel de la géothermie.

Hydrogène
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 IFPEN développe des technologies économiquement soutenables pour
insérer l’hydrogène dans le mix énergé que.

Stockage d’énergie

IFPEN concentre ses ac vités sur l’améliora on des procédés de stockage

en surface d’énergie électrique, adaptés aux services à fournir aux réseaux
tels que les microgrids.

III- Mobilité durable 

Les ac vités menées par IFPEN dans ce domaine s’inscrivent dans le cadre
de l’ins tut Carnot IFPEN Transports Energie.

Mobilité électri ée

Les travaux d’IFPEN couvrent le développement de machines électriques

innovantes, e cientes et à forte puissance massique, ainsi que de leur
électronique de puissance. IFPEN se consacre également à l’électri ca on
de fonc ons du groupe motopropulseur, ainsi qu’aux systèmes de
récupéra on de l’énergie thermique perdue.

Mobilité connectée

IFPEN développe des services et des applica ons pour véhicules

connectés dédiés à l’analyse énergé que, à l’écoconduite, au monitoring
des émissions polluantes et à l’analyse de la conduite sur le plan de la
sécurité.

Motorisa ons thermiques

IFPEN mène des recherches visant à améliorer les moteurs thermiques sur
les axes e cacité énergé que, réduc on des émissions de polluants et
dépollu on, ainsi que sur l’op misa on de l’u lisa on des carburants,

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 notamment à bas carbone.

IV- Hydrocarbures responsable

 
Carburants

Les recherches d’IFPEN portent sur le développement de catalyseurs et de

procédés d’hydrodésulfura on, d’hydrotraitement, de reformage
cataly que et d’isomérisa on des para nes, pour la produc on de
carburants plus respectueux de l’environnement.

Pétrochimie

Les travaux d’IFPEN visent à me re au point des catalyseurs et des

procédés de produc on d’olé nes et d’aroma ques perme ant
d’améliorer les performances des technologies existantes, d’accroître le
niveau de pureté des produits obtenus et de consommer moins
d’énergie.

Traitement de gaz

IFPEN étudie la conversion du gaz naturel, d’une part pour la produc on

centralisée d’hydrogène à travers le développement de procédés à haute
e cacité énergé que, d’autre part pour la produc on de carburant
liquide. IFPEN s’intéresse aussi à la désac1idi ca on du gaz naturel.

Modélisa on et simula on de bassins et de réservoirs

IFPEN développe des solu ons de modélisa on et simula on du sous-sol,

à l’échelle des bassins sédimentaires ainsi qu’à celle des réservoirs. Ces
di érentes solu ons perme ent de gérer au mieux les incer tudes liées à
l’explora on et l’exploita on du sous-sol et d’en réduire les risques.

Récupéra on améliorée (EOR)

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 Au sein de l’Alliance EOR, IFPEN mène des recherches visant à développer
des technologies adaptées aux di érentes condi ons de réservoir et à
tous types de procédés EOR. IFPEN s’inves t également sur la
probléma que de l’op misa on du cycle de l’eau en contexte EOR.

Forage et produc on o shore

IFPEN conçoit des équipements pour le forage en mer, ainsi que des
conduites exibles et des pompes polyphasiques pour la produc on à de
grandes profondeurs d’eau. IFPEN développe également des capteurs et
ou ls pour la ges on des risques de produc on.

Source: h ps://www.ifpenergiesnouvelles.fr/

Informa on sur le marché : Climat recyclage des plas ques :

Barrière à l’entrée :
Le marché du climat est sujet à plusieurs risques. Le risque de marché est
une modi ca on de l’o re et de la demande liée à la prise en compte
croissante des risques climat comme par exemple lorsqu’il y a une
varia on des ma ères premières.
Il existe alors plusieurs types de risques sur ce marché qui peuvent limiter
l’arrivée d’entreprise sur le marché du climat. On retrouve des risques
physiques, des risques juridiques et de de réglementa ons, risques
technologiques, des risques chroniques et étalements certains liés aux
catastrophes naturelles.

Les risques physiques :

Les risques physiques, sont les risques résultant des dommages
directement causés par les phénomènes météorologiques et
clima ques ;

Risques réglementaires et juridiques :

Risques réglementaires et juridiques, ce sont les risques liés au
changement fréquent de réglementa on qui deviennent de plus en plus
exigeantes. On note également une hausse des plaintes dans le secteur.


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 Risques de catastrophes naturelles :
Tempêtes, ouragans, inonda ons, etc.

Risques technologiques :
Innova ons technologiques favorables à la lu e contre le changement
clima que.

Les risques chroniques

Liés à la hausse des températures sur le long terme ce qui à long terme
provoquera des changements comme l’éléva on du niveau de la mer ou
la dispari on de certaines ressources, etc

Nombre de concurrents : La concurrence a augmenté, il existe désormais

une quarantaine de concurrent sur ce marché.

Calcule du partage de la valeur ajoutée dans l’organisa on :

Dans l’organisa on le partage de la valeur ajoutée est la rémunéra on des

salariées.

On a alors :

Rémunéra on des salariés = Valeur ajoutée – subven ons d’exploita on

- autres imports sur la produc on - l’excédent sur la produc on

On remplace par les valeurs de l’entreprise :

Rémunéra on des salariées = 2334000-400000- 393000-690000

= 851000 Euros

Ra os caractéris ques

« Objec f de réduc on à zéro de la part des ac vités de recherche sur les

hydrocarbures nancées par la SCSP à l’horizon 2020. IFPEN annonce
avoir a eint l’objec f d’auto nancement dès la troisième année du COP,
ce qui signi e au fond que les ac vités NTE sont nancées principalement
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 par la SCSP, le taux de couverture par des ressources propres en ce
domaine n’étant que de 23 %.
Il est parallèlement constaté que le montant de la SCSP, traduisant
l’intérêt prioritaire de l’État pour les énergies nouvelles et la mobilité
durable, a poursuivi depuis 2015, le net repli engagé dès 2010. Ce e
subven on est ainsi passée de 169 M€ nets de réserve en 2010 à 132 M€
en 2015 pour s’établir à 124 M€ en 2019, soit une baisse pour la seule
durée du COP de plus de 6 %. Corrigée de l’in a on, la baisse réelle
s’élève à 9 %
IFPEN se trouve donc de fait dans une posi on consistant non seulement
à devoir nancer par lui-même ses recherches sur les hydrocarbures
classiques, alors que la demande ne faiblit pas, mais aussi à maintenir
l’e ort de recherche sur les NTE avec une subven on en décroissance, ce
qui pourrait apparaître comme deux injonc ons contradictoires de la part
de la tutelle. »
SOURCE « h ps://www.hceres.fr/sites/default/ les/media/downloads/
e2020-ev-0920815 dee-etab200021046-rd.pdf »

Grâce à l'entre en faite avec une employée de l’entreprise nous avons

appris que lors de son arrivée donc dans les années 2000, la contrainte
sur les budgets était moins présente.

En e et, une par e de leurs chi res d’a aires vient d’une dota on
budgétaire de l’État, le reste ils doivent le nancer eux-mêmes, soit par
des collabora ons, des presta ons ou des redevances (notamment des
redevances de la société Axens qui était à la base une liale de IFP car ils
développent des brevets avec eux). A l’époque l’IFP était encore nancer
par une taxe pétrolière, c’est à dire qu’à chaque fois qu’une personne
e ectuer un plein d’essence, il y avait quelque cen me qui était prélevé
sur ce e vente de carburant et qui revenez à l’IFP. Or cela a été annulé au
début des années 2000. C’est alors passée à un système de dota on
budgétaire de l’état.

Par conséquent l’IFP est devenue dépendant de ce e dota on, qui elle ne
fait que diminuer. Cela les amènent alors à avoir de plus en plus de



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 ressources propres. Il est alors demandé aux employées de ramener des
collabora ons, des presta ons, sans collabora on ils ne peuvent
désormais plus travailler d’eux-mêmes en fond propres (Sans avoir un
client derrière)

En 2016 l’IFP a une capacité d’auto nancement égale à 1,72 millions

d’euros.

– Tx d’auto- nancement = Épargne / Forma on brute de capital xe

= 1,72 millions

– Tx d’inves ssement = Forma on brute de capital xe / VA

= / 2334000

Ne trouvant pas la forma on brute de capital xe de l’entreprise, nous n’avons

pas pu calculer le taux d’inves ssement

Interac ons avec l’environnement

- Partenariat avec des laboratoires dans le but d’améliorer la consomma on des

ressources et limitées l’u lisa on des énergies fossiles.

- En ce qui concerne la transi on énergé que. Ils veulent être moins dépendant
des énergies fossiles. Notamment au niveau du taux de couverture qui est les
produits/diviser par les dépenses. L’an dernier sur l’hydrocarbure le taux
demandé était de 60 %, à par r de l’an prochain il sera demandé un taux de 100
%.

- Il demande à leur employé de trouvées de nouveaux domaines et marchés or

pétrole

Défaillance marché

Il s’agit d’un marché concurren el où les agents sont preneurs de prix. En e et, à
l’équilibre les quan tés o ertes sont égales aux quan tés demandées pour le
prix d’équilibre (ou prix de marché) et le surplus total est maximisé.


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 Ce prix de marché devrait donc perme re d’allouer de manière e cace les
ressources. Et pourtant ce n’est pas le cas, car ce prix ne prend pas en compte les
externalités néga ves. Une meilleure situa on que celle déterminée par
l’équilibre du marché existe, telle que la modi ca on du comportement de
certains acteurs perme rait d’améliorer la situa on de tous. Il s’agit en e et de
prendre en compte le coût marginal de la pollu on, et de l’ajouter au coût
marginal privé.

Ce e nouvelle o re ou courbe de coût marginal social permet de déterminer un

nouvel équilibre op mal, pour un prix plus élevé et des quan tés échangées plus
faibles.Le marché est donc défaillant car il conduit à produire des quan tés
supérieurs à l’op mum social. Lorsque les e ets externes sont posi fs, le marché
conduit à un équilibre qui est en deçà des quan tés op males de produc on et
de consomma on.

3) Analyse juridique  

I- La forme juridique de l’organisation et ses organes de direction

L’IFP Energies nouvelles est un établissement public na onal à caractère

industriel ou commerciale non doté d’un comptable public.
L’Ins tut français du pétrole (IFP) a été créé en 1944 sous la forme d’un
établissement professionnel de droit privé. En 2006, l’IFP est transformé en
établissement public à caractère industriel et commercial (Epic) par le décret
n°2006-797 du 6 juillet 2006. Par la loi n°201-788 du 10 juillet 2010, l’IFP a été
renommée IFP Énergies nouvelles (IFPEN).
L’ins tut est placé sous la tutelle du ministère chargé de l’énergie. Outre ce
ministère, les ministères en charge de l’industrie, du budget et de la recherche
siègent au conseil d’administra on (CA) d’IFPEN.

Les EPIC cons tuent d’abord des établissements publics, c’est-à-dire des
personnes morales de droit public à voca on spéciale créées par une autre
personne publique, en principe, l’État (établissement public na onal) ou une
collec vité locale (établissement public local).

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 En France, un établissement public à caractère industriel et commercial (ou EPIC)
est une personne publique ayant pour but la ges on d'une ac vité de service
public.
Il s'agit soit de créa ons pures (Ifremer), soit de na onalisa ons anciennes
(SNCF) e ectuées par souci d'e cacité et de contrôle de secteurs sensibles dont
le bon fonc onnement est essen el.
Les EPIC ont été créés pour faire face à un besoin ne pouvant pas être
correctement e ectué par une entreprise privée soumise à la concurrence.

II- Problème de droit rencontré par l’organisation 

Fait :
Axens, une liale d'IFP Énergies nouvelles, est une entreprise de taille
intermédiaire française, spécialisée notamment dans la fabrica on et la vente de
catalyseurs et d'adsorbants. La technologie Ester p-HTM (technologie qui
permet de réduire fortement les rejets générés par les technologies actuelle), a
déjà été mise au point par l’IFP. Elle est ensuite commercialisée par son
partenaire Axens.

Ce e technologie représente une innova on majeure dans le domaine de la

produc on des esters méthyliques d’huiles végétales. Elle permet la produc on
d’EMHV conformes aux normes européennes tout en assurant une pureté
inégalée au coproduit , la glycérine, dont la valorisa on reste un facteur
déterminant de l’économie de ce e lière.
Suite à cela une entreprise concurrente a Axens accuse l’IFP de concurrence
déloyale car il es me qu’Axens a subi une favorisa on entraînant une diminu on
de leurs chi res d’a aires.

Problème de droit :

Un entreprise peut-elle accusé de concurrence déloyale, un partenaire d’une

société concurrente, ayant mit au point une technologie aidant à une innova on
majeur, commercialisé par ce e liale partenaire, qui à eu pour conséquence
une diminu on de leurs chi re d’a aire ?
 



Conclusion :

Le concurrent d’Axens peut tenter un procès pour concurrence déloyale contre

l’IFPEN
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ANNEXE

- Organigramme de l’entreprise