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ne pas présenter les auteurs comme des vérités. leurs arguments sont des points de vue
intersubjectivité
Questionner :
-
Reformuler :
enjeu : déterminé par notre nature/ instincts ou par les constructions sociales (déterminisme
biologique / culturel)
Plan :
I. Oui : déterminé par notre culture (au sens individuel)
II. Mais pas que : déterminé par notre culture (au sens communauté)
III. Non (modérer le oui, nuancer) : pas déterminé, mais influencé déterminisme
biologique
IV. Dépassement résolution : oui, nuancé autres cultures, acteurs de notre culture
Non:
- cas de révolte, opposition à des standards de la société
- nous sommes les acteurs de notre culture non logique : cela ne veut pas dire
qu’elle nous ne définit pas à mettre dans le depassement
- le vrai déterminisme est relatif aux individus
- déterminisme biologique
o relatif à l’individu
o relatif à l’espèce (ADN nous définit mais notre environnement influence
l’activation de certain gènes(ex : qqn vit dans en env. pollué + susceptible
d’avoir cancer)) épigénétique ( J-P. Chargeux)
- Psycho généalogie : on hérite des traumatismes de nos ancêtres ; signature
hormonale transmise
Méthode :
- Quand on trouve des exemples (cas d’étude), il faut trouver l’argument qui lui
correspond
- Conclusion : synthèse des thèses et de leur argument
Argument fort :
- supporté par la science
- n’a pas de contre argument, ni d’exemple qui le remet en question
- argument suffit à confirmer la thèse
Relativité des normes (ensemble des standards, ce qui est considéré comme normal)
- Exemples de la vie concrète :
o j’ai souvent l’occasion de manger du porc et boire de l’alcool mais, bien
que je ne sois pas religieux, la culture marocaine, donc musulmane,
m’influence dans mes choix et crée une sorte de barrière qui m’empêche de
consommer
o les superstitions et la religion influencent notre manière de vivre certains
évènements : une cheville foulée peut ne pas être perçu comme un accident,
mais une punition de dieu pour un péché ou la conséquence d’un passage
sous une échelle le hasard ou les accidents n’existe pas : tout évènement
a une cause, un responsable
Définitions :
- Anthropomorphisme : attribution de caractéristiques du comportement ou de la
morphologie humaine à d'autres entités
- Ethnocentrisme : Tendance à privilégier le groupe ethnique auquel on appartient
et à en faire le seul modèle de référence
- Ethnologie : étude des peuples et de leur organisation, leur coutume
- Ontologie : Branche de la philosophie qui se consacre à l’étude de l’être (animal,
humain, végétal ; ex : animisme) questions métaphysiques
o Dualisme : Séparation corps – esprit (âme) ( Descartes) vs. la cognition
incarnée : l’esprit est inscrit dans le corps car cerveau (F. Varela –
inscription corporelle de l’esprit)
o Animisme : Croyance dans laquelle tous les êtres vivants, et même les
objets, disposent d'une âme.
- Ethnographie : domaine des sciences sociales qui étudie sur le terrain la culture et
le mode de vie de peuples ou milieux sociaux donnés
- Naturalisme : En philosophie, le naturalisme est la conception d'après laquelle
tout ce qui existe – objets et événements – peut être expliqué par des causes ou des
principes naturels relativisme par rapport à la nature
≠ KANT car il est rationaliste (contre le sentimentalisme (nos jugements y compris notre
morale dépend de nos sentiments guide inné ; la vie en société nous éloigne de ces
sentiments (?) ), naturalisme de Rousseau)
≠THOMAS HOBBES car il n’a pas confiance en l’être humain, contrairement à Rousseau
pense qu’il faut maintenir les hommes par la force et la peur à travers une société
autoritaire: le monarque doit être un Léviathan (monstre de la bible qui fait peur aux
hommes)
Texte Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes
(1755)
- p. 240 :
o L’homme est différent des animaux par sa capacité à se perfectionner et sa
liberté face à la et sa nature c’est ce qui lui cause « la fièvre et la mort »
- p. 268 :
o L’homme ne peut se voir tel que la nature l’a formé car il a été défiguré et
profondément changé par le progrès, donc la société
o Le progrès nous éloigne de notre état primitif car plus on acquiert de
nouvelles connaissances, plus il devient difficile de nous connaitre
Texte Kant : Idée d’une histoire universelle au point de vie cosmopolitique (1784) ; p. 274
- la thèse de l'auteur : Étant donné que la nature n’a donné à l’Homme ni instincts, ni
connaissance innée, ce dernier a du tout créer de lui-même (moyens de survie,
habillement, etc.). plus reformuler, trop proche du texte
- les thèmes et problème traité :
o thèmes : différence Homme-animal, existence humaine
o problème traité : quel est le rôle de la nature dans la construction de
l’Humain ? En quoi l’Homme est-il différent des animaux ?
raison + volonté libre de Kant : faire des choix et s’y tenir à la base de l’autonomie
(capacité de l’Homme de penser et de se définir par lui-même)
l’Homme va donc progresser, évoluer
implicites du texte :
- Nature n maj : intelligence de la nature anthropomorphisme car personnifie la
nature
- l’Homme a une finalité, une fonction
- finalisme (idée retrouvée chez Aristote) la nature ne fait rien en vain (il y a
toujours une fonction, un but, une finalité) : chez Kant le projet de la Nature est de
laisser à l’Homme la capacité de s’autodéterminer, se définir par lui-même
- Réponse à « Peut-on opposer nature et culture ? » : la culture n’est pas une création
humaine, elle ne fait pas partie de la réalité matérielle (bien qu’elle puisse se
matérialiser). Puisqu’elle change constamment, d’après Aristote on ne peut pas
opposer Nature et Culture. bof
Il différentie :
- étants naturels indépendance par rapport à l’intervention de l’homme,
s’autodétermine
- étants artificiels causés (par l’homme en partie), le savoir-faire technique ; fin
déterminée
trous dans sa thèse : ex, création d’un enfant a besoin de l’intervention de l’homme,
mais parait totalement naturelle ; on ne sait pas s’il peut y avoir un mélange des deux
étants.
culture est tout ce qui est artificiel, tous les outils qui nous permettent de dépasser
l’ordre naturel (culture agriculture car savoir-faire); car la nature est définie par
opposition à tout ce qui est artificiel