Vous êtes sur la page 1sur 14

Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.

doc

PROJET PEREN

MAITRISE D’OUVRAGE

FBE - Fondation Bâtiment-Energie


ADEME
M. Jean-Louis PLAZY
500 Route des lucioles
Sophia Antipolis
06560 VALBONNE
Tél : (33) (0) 493 957 940
Fax : (33) (0) 493 653 196
E-mail : fbe@ademe.fr

_______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

RAPPORT N°21/420-07
ANALYSE ACOUSTIQUE - SIEGE GA
_______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

CONSULTANTS EN ACOUSTIQUE

TISSEYRE & ASSOCIES . Agence


16 chemin de Manel 16 Avenue de Friedland
31400 TOULOUSE 75008 PARIS
Tél : (33) (0) 561 255 319 Tél : (33) (0) 145 612 914
Fax : (33) (0) 561 527 423
E-mail : a.tisseyre@planete-acoustique.com

_____________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Rapport établi le 12 septembre 2007 par Thomas BUZZI – TISSEYRE & Associés

Diffusion : Visé par Alain TISSEYRE


Le 12 septembre 2007

1/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

OBJECTIFS HQE

INTRODUCTION GRILLE DES NIVEAUX DE PERFORMANCES


L'objet de ce rapport est de présenter une analyse acoustique du bâtiment « Siège GA » sur la base de la cible 9 acoustique d'une Le bâtiment est analysé comme étant un ouvrage livré « aménagé ».
part et sur la base des préconisations habituelles Tisseyre & Associés d'autre part. Dans un premier temps sont présentés les
objectifs HQE, les objectifs Tisseyre & Associés dans un deuxième temps puis l'analyse par rapport au HQE et finalement  Très performant
l'analyse par rapport aux objectifs Tisseyre & Associés. La dernière page présente un tableau de synthèse de ces deux analyses. 9.1 Optimisation des dispositions architecturales : Très performant

L’étage courant représentatif de l’ensemble des dispositions architecturales de ce bâtiment est retracé dans le plan ci-après. 9.1.1 Optimiser la position des locaux entre eux : atteint.
9.1.2 Optimiser la position des locaux par rapport aux nuisances extérieures : atteint.
9.1.3 Optimiser la forme et le volume des locaux vis-à-vis de la qualité acoustique interne : atteint.

9.2 Création d’une qualité d’ambiance acoustique adaptée aux différents locaux : Très performant

Bureaux individuels : Très performant.


Bureaux collectifs : Très performant.
Espaces ouverts : Très performant.
Espaces associés : Base.
 Performant

FB
9.1 Optimisation des dispositions architecturales : Performant

9.1.1 Optimiser la position des locaux entre eux.


9.1.2 Optimiser la position des locaux par rapport aux nuisances extérieures.
9.1.3 Optimiser la forme et le volume des locaux vis-à-vis de la qualité acoustique interne.

2 préoccupations sur 3 doivent être atteintes.

9.2 Création d’une qualité d’ambiance acoustique adaptée aux différents locaux : Performant

Bureaux individuels : Performant.


Bureaux collectifs : Performant.
Espaces ouverts : Performant.
Espaces associés : Base.
FB

 Base
9.1 Optimisation des dispositions architecturales : Base

9.1.1 Optimiser la position des locaux entre eux.


9.1.2 Optimiser la position des locaux par rapport aux nuisances extérieures.
9.1.3 Optimiser la forme et le volume des locaux vis-à-vis de la qualité acoustique interne.

1 préoccupation sur 3 doit être atteinte.


FB

9.2 Création d’une qualité d’ambiance acoustique adaptée aux différents locaux : Base
Sanitaires
Douches
hommes

Douches
femmes

Entrée clients
Salle de repos
du personnel

Bureaux individuels : Base.


batterie
Plonge
F

Bureaux collectifs : Base.


Préparations
froides

Cuisson

Espaces ouverts : Base.


Espaces associés : Base.
B ureau

Légumerie
déboitage

TABLEAU D’EVALUATION : SOUS CIBLE 9.1 « OPTIMISATION DES DISPOSITIONS


Réserve
Entrée
Laverie

ARCHITECTURALES »
Cette sous cible concernant les dispositions des locaux entre eux ainsi que leurs formes et volumes est supposée atteinte.
Coin café

La suite du document présente les objectifs que nous préconisons habituellement pour les immeubles de bureaux.

2/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

TABLEAU D’EVALUATION : SOUS CIBLE 9.2 "CREATION D’UNE QUALITE D’AMBIANCE ACOUSTIQUE ADAPTEE AUX DIFFERENTS LOCAUX"

Bureaux individuels Espaces ouverts Bureaux collectifs Espaces associés

Niveau

Niveau

Niveau

Niveau
Préoccupation Caractéristique Critères Critères Critères Critères

DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement - DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement - DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement
B B B
Isolement acoustique standardisé 5 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB 5 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB - 5 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB
9.2.1. Isolement des locaux vis- pondéré vis-à-vis des bruits des DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement - DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement - DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement - 5 dB et
P P P B
à-vis de l'espace extérieur infrastructures de transports 3 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB 3 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB - 3 dB et DnT,A,tr ≥ 30 dB DnT,A,tr ≥ 30 dB
terrestres DnT,A, tr (1) DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement et DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement et DnT,A,tr ≥ DnT,A,tr réglementaire logement et
TP TP TP
DnT,A,tr ≥ 30 dB DnT,A,tr ≥ 30 dB DnT,A,tr ≥ 30 dB
Salles de réunion/Espaces détente fermés
Sans exigence.
Circulations/Espaces détente ouverts
L'nT,w ≤ 60 dB B L'nT,w ≤ 60 dB B L'nT,w ≤ 60 dB B Sans exigence.
Niveau de pression pondéré du Halls
9.2.2. Niveau de bruit de chocs
bruit de choc standardisé L'nT,w Sans exigence. B
transmis dans les locaux Espaces de restauration
perçu dans les bureaux individuels
Réalisation d'une étude acoustique
spécifique et respect des exigences de cette
L'nT,w ≤ 57 dB P L'nT,w ≤ 57 dB P L'nT,w ≤ 57 dB P étude.
Espaces acoustiques
Sans exigence.

Salles de réunion/Espaces détente fermés


LnAT < 40 dB(A) B LnAT < 45 dB(A) B LnAT < 40 dB(A) B Sans exigence.
Circulations/Espaces détente ouverts
Sans exigence.
Halls
9.2.3. Niveau de bruit Niveau de pression acoustique Sans exigence.
B
d'équipements dans les locaux normalisé LnAT (2) LnAT < 38 dB(A) P LnAT ≤ 38 dB(A) P Espaces de restauration
Réalisation d'une étude acoustique
spécifique et respect des exigences de cette
étude.
Espaces acoustiques
LnAT < 35 dB(A) TP LnAT < 40 dB(A) P LnAT ≤ 35 dB(A) TP Sans exigence.

(1)
Au moment de la réception, si ce niveau est mesuré, il convient de se placer à une distance de 2 mètres de la façade.
(2)
Ce niveau doit être corrigé du bruit résiduel.
(3)
La classe de sonorité à la marche des revêtements de sol est définie dans la norme NFS 31-074. Cette norme s'intéresse au bruit de choc généré par le revêtement de sol quand on marche dessus, au sein d'un même local.
(4)
La majorité des revêtements de sol classiquement utilisés en ouvrage de bureaux entre dans les classes B et A.
(5)
Ce document devra être remis à l'exploitant.
(6)
Si l'ouvrage est livré en configuration "plateaux à aménager", il s'agit alors du potentiel d'isolement au bruit aérien. Il convient alors que le maître d'ouvrage élabore un document précisant les hypothèses de cloisonnement qui conditionnent l'atteinte de la performance et qu'il remette ce document à l'exploitant.
(7)
Il convient de s'assurer que les prescriptions de l'étude acoustique spécifique permettent a minima de satisfaire le niveau Base de cette préoccupation, ie une AAE plafond ≥ 0.6 S (surface au sol).

3/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

TABLEAU D’EVALUATION : SOUS CIBLE 9.2 « CREATION D’UNE QUALITE D’AMBIANCE ACOUSTIQUE ADAPTEE AUX DIFFERENTS LOCAUX »

Bureaux individuels Espaces ouverts Bureaux collectifs Espaces associés

Niveau

Niveau

Niveau

Niveau
Préoccupation Caractéristiques Critères Critères Critères Critères

Aire d'absorption équivalente du plafond


AAEplafond ≥ 0.6 S (surface au sol)
Justification de l'homogénéité de l'AAE en B AAEplafond ≥ 0.6 S (surface au sol du plateau) B
toute zone Justification de l'homogénéité de l'AAE en Salles de réunion/Espaces détente fermés
toute zone AAEplafond ≥ 0.6 S (surface au sol)
Circulations/Espaces détente ouverts
AAEplafond ≥ 0.75 S (surface au sol) AAEplafond ≥ 0.75 S (surface au sol) AAEplafond ≥ 0.5 S (surface au sol)
Justification de l'homogénéité de l'AAE en P Justification de l'homogénéité de l'AAE en P Halls
toute zone toute zone AAEplafond ≥ 0.33 S (surface au sol)
AAEplafond ≥ 0.6 S (surface au sol)
9.2.4. Acoustique Aire d'absorption Réalisation d'une étude acoustique spécifique et
Justification de l'homogénéité de l'AAE en toute zone du B B
interne des locaux équivalente du plafond respect des exigences de cette étude.
plateau
Espaces de restauration
Réalisation d'une étude acoustique spécifique et Réalisation d'une étude acoustique spécifique Réalisation d'une étude acoustique spécifique et
mise en œuvre des solutions identifiées comme et mise en œuvre des solutions identifiées respect des exigences de cette étude.
les plus performantes par cette étude(7) comme les plus performantes par cette étude(7) Espaces acoustiques
TP TP Réalisation d'une étude acoustique spécifique et
Elaboration d'un document précisant les Elaboration d'un document précisant les respect des exigences de cette étude.
hypothèses d'aménagement qui conditionnent hypothèses d'aménagement qui conditionnent
l'atteinte de cette performance(5) l'atteinte de cette performance(5)

Entre les bureaux individuels et tout type d’espace • Entre bureaux collectifs
Entre espaces ouverts
d’activité « bureau » • Entre bureau collectif et espace ouvert
B B B
DnTA ≥ 32 dB Salles de réunion/Espaces détente fermés
DnTA ≥ 38 dB DnTA ≥ 35 dB DnTA ≥ 43 dB (6)
Circulations/Espaces détente ouverts
DnTA ≥ 28 dB
Entre les bureaux individuels et tout type d’espace • Entre bureaux collectifs Halls
Entre espaces ouverts
9.2.5. Isolement au
Isolement acoustique d’activité « bureau » • Entre bureau collectif et espace ouvert Sans exigence.
bruit aérien entre P P P B
pondéré DnTA (dB) DnTA ≥ 35 dB Espaces de restauration
locaux DnTA ≥ 40 dB DnTA ≥ 38 dB Réalisation d'une étude acoustique spécifique et
respect des exigences de cette étude.
Isolement acoustique standardisé pondéré DnTA Espaces acoustiques
Entre les bureaux individuels et tout type d’espace (dB) entre : Réalisation d'une étude acoustique spécifique et
Entre espaces ouverts
d’activité « bureau » • Entre bureaux collectifs respect des exigences de cette étude.
TP TP TP
DnTA ≥ 38 dB • Entre bureau collectif et espace ouvert
DnTA ≥ 43 dB
DnTA ≥ 40 dB
Salles de réunion/Espaces détente fermés
Revêtement de sol a minima de classe B (5)
Circulations/Espaces détente ouverts
Revêtement de sol a minima de classe B (4)
9.2.6. Sonorité à la Classe de sonorité à la Halls
Revêtement de sol a minima de classe B (4) B Revêtement de sol a minima de classe B (4) B Revêtement de sol a minima de classe B (4) B B
marche marche des revêtements Sans exigence.
Espaces de restauration
Sans exigence.
Espaces acoustiques
Sans exigence.
(1)
Au moment de la réception, si ce niveau est mesuré, il convient de se placer à une distance de 2 mètres de la façade.
(2)
Ce niveau doit être corrigé du bruit résiduel.
(3)
La classe de sonorité à la marche des revêtements de sol est définie dans la norme NFS 31-074. Cette norme s'intéresse au bruit de choc généré par le revêtement de sol quand on marche dessus, au sein d'un même local.
(4)
La majorité des revêtements de sol classiquement utilisés en ouvrage de bureaux entre dans les classes B et A.
(5)
Ce document devra être remis à l'exploitant.
(6)
Si l'ouvrage est livré en configuration "plateaux à aménager", il s'agit alors du potentiel d'isolement au bruit aérien. Il convient alors que le maître d'ouvrage élabore un document précisant les hypothèses de cloisonnement qui conditionnent l'atteinte de la performance et qu'il remette ce document à l'exploitant.
(7)
Il convient de s'assurer que les prescriptions de l'étude acoustique spécifique permettent a minima de satisfaire le niveau Base de cette préoccupation, ie une AAE plafond ≥ 0.6 S (surface au sol).

4/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

OBJECTIFS T&A – NIVEAUX DE PERFORMANCES LIES AU BON DEROULEMENT DES ACTIVITES


(AUTEUR T&A)

1. ACOUSTIQUE INTERNE
1.1. OPEN SPACE
100
Problématique liée aux niveaux sonores dans les open space
99
Dans les open space recevant un certain nombre de personnes en activité, il n'est pas rare d'observer des ambiances sonores 81
élevées : niveau continu équivalent supérieur à 60 dB(A), voisin de 70 dB(A). Ces niveaux sonores sont induits par 80
l'émission de la parole de l’ensemble des occupants en activité.
Ce bruit ambiant relativement stable au cours du temps d'occupation peut être désigné comme étant un brouhaha général.

Indice d'intelligibilité (%)


Ce brouhaha est plus ou moins bien ressenti selon la nature de l'activité, mais aussi selon les valeurs du niveau sonore 60
atteint. Nous pouvons poser la question : existe-t-il une valeur de niveau sonore à partir de laquelle, pour une activité
donnée, les occupants ressentent de façon pénible ce brouhaha ?

Deux types d’activité sont alors à distinguer : 40

• Les activités de réflexion et concentration intellectuelle : de l’expérience que nous avons, dès que le niveau
sonore ambiant dépasse en niveau continu équivalent la valeur de 55 dB(A), alors, les activités dites de
concentration sont réalisées avec beaucoup de difficultés. Nous observons alors des plaintes des occupants. 20

• La communication verbale : elle ne peut être assurée correctement que si les occupants ne doivent pas élever la
voix pour communiquer de manière intelligible entre eux. Pour cela, le bruit ambiant ne doit pas dépasser
Leq ≤ 60 dB(A). Sinon la communication sera alors ressentie comme pénible. 0
-20 -15 -10 -5 0 5 10 15 20 25
Problématique liée à l’isolement entre postes de travail d’open space Rapport
Rapportsignal-sur-bruit
signal-sur-bruit (dB(A)) (dB(A))
La fonction auditive a pour particularité que, lorsque les messages sont totalement intelligibles, la perception est réflexe et
donc ne fait pas intervenir d’activités cérébrales : l’occupant écoute de manière réflexe et n’a pas à réfléchir sur la fonction
d’écouter. Il peut se concentrer sur toute réflexion liée au contenu du message qu’il écoute (ou à autre chose s’il le Critères de niveaux sonores dans les open space
souhaite).
Nous pouvons voir, sur les bases de la description de cette problématique, que les niveaux sonores ambiants ne doivent pas
Dès que l’occupant se trouve dans une situation de niveaux sonores ambiants élevés, c’est-à-dire que le brouhaha ambiant dépasser un niveau continu équivalent de 60 dB(A), locaux en activité. Le retour sur expérience nous a conduit à conseiller
atteint des niveaux identiques, voire supérieurs, au niveau de la communication échangée, alors il y a altération de cette d’obtenir et de ne pas dépasser des niveaux sonores ambiants de l’ordre de 55 dB(A).
communication et perte d’intelligibilité d’une partie de ces échanges.
D’autre part, il est nécessaire d’obtenir une perte d’intelligibilité de 15 % de la conversation d’un poste de travail aux
L’occupant se trouve dans la situation de devoir reconstituer des morceaux de messages non perçus : l’écoute n’est plus postes de travail voisins.
réflexe, elle fait intervenir une activité cérébrale d’autant plus intense que le message se trouve altéré.
Ceci a deux conséquences : Pour obtenir cette perte d’intelligibilité, il est nécessaire d’avoir un rapport signal (émission du poste de travail voisin) sur
bruit (brouhaha) de – 5 dB(A).
• Si les occupants se trouvent dans cette situation de perte importante d’intelligibilité (supérieure à 15 %) alors, de
Si le niveau sonore ambiant est de 55 dB(A), comme le niveau de pression sonore d’une personne en train de parler à voix
manière réflexe, chacun élève la voix pour pouvoir continuer à échanger tout en limitant la perte d’information :
normale est de 60 dB(A), il est alors nécessaire d’atténuer de 10 dB(A) le niveau sonore d’un poste de travail à l’autre pour
nous sommes alors en présence d’une surenchère sonore, chacun des occupants du local ayant élevé la voix.
obtenir au final la perte d’intelligibilité de 15 %.
Le brouhaha ambiant augmente alors d’environ 5 dB(A).
• Si nous provoquons cette altération de 15 % d’intelligibilité des messages délivrés dans un poste de travail par
Nous pouvons voir à travers cet exemple que le besoin d’isolement entre poste de travail va donc dépendre directement de
rapport au poste de travail voisin, alors l’occupant voisin pourra, s’il le souhaite, s’isoler intellectuellement sur
la valeur du niveau sonore ambiant et du niveau sonore émis : fonctionnement bureau normal, marketing ou call center.
son activité. En effet, si son activité intellectuelle n’est pas centrée sur la reconstitution du message devenu par
trop inintelligible du poste de travail voisin, alors il peut se concentrer sur la communication interne à son poste
C’est pourquoi, il est nécessaire d’obtenir des niveaux sonores ambiants toujours supérieurs à 50 dB(A) pour que la
de travail ou sur sa tâche intellectuelle.
contrainte d’isolement ne dépasse pas les 15 dB(A) d’un poste de travail à l’autre. En effet, au-delà de 15 dB(A), les
dispositions constructives devant être mises en place ne sont plus compatibles avec la logique d’open space (sauf
En conclusion, nous pouvons dire que :
disposition particulière et sur mesure).
• à l’intérieur de chaque poste de travail, il est nécessaire que l’intelligibilité des messages soit supérieure à 95 % ;
• la perte d’intelligibilité d’un poste de travail à l’autre doit être supérieure à 15 %.

Ceci conduit à devoir concevoir des ouvrages open space de manière à obtenir des performances d’isolement telles que :
isolement minimum entre poste de travail = émission dans le poste voisin + 5 dB(A) – bruit ambiant.

5/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

Contrainte d'isolement inter-poste open space 1.2. BUREAUX FERMES

Nous pouvons voir à travers ces exemples que le besoin d’isolement entre box va donc dépendre directement de la valeur Dans ces locaux, nous rechercherons à limiter la sensation de réverbération.
du niveau sonore ambiant et du niveau sonore émis. Deux fonctionnements sont à distinguer : bureau normal et marketing Aussi, le paramètre retenu permettant de déterminer cette dimension sera le temps de réverbération.
ou call center.
La valeur du temps de réverbération à ne pas dépasser, dans les bandes d'octaves centrées sur 500, 1 000 et 2 000 Hz,
C’est pourquoi, il est nécessaire d’obtenir des niveaux sonores ambiants toujours supérieurs à 50 dB(A), pour que la sera de 1 seconde environ.
contrainte d’isolement ne dépasse pas les 15 dB(A) d’un box à l’autre. En effet, au-delà de 15 dB(A) les dispositions
constructives devant être mises en place ne sont plus compatibles à la logique d’open space (sauf disposition particulière et 1.3. HALLS D'ENTREES - ESPACE D'ACCUEIL
sur mesure).
La problématique est double :
Par ailleurs, il est nécessaire d'obtenir des niveaux sonores ambiants n'excédant pas 60 dB(A) (pour la contrainte de valeur
absolue de niveaux sonores ambiants). • La première est de limiter la réverbération de ces volumes afin qu'elle ne vienne pas perturber l'intelligibilité de
la parole à moyenne distance : activité qui doit être assurée notamment par les personnes de l'accueil devant
Pour les postes de 2 à 4 personnes, le problème est qu’il n’y a pas formation du brouhaha constant car les émissions dialoguer avec les visiteurs et ce, afin de les orienter.
sonores de 2 ou 4 personne ne sont pas continues. Aussi, il n’y aura pas de possibilité d’effet masquant issu de l’activité • La deuxième est de ne pas être en présence de l'effet cocktail, à savoir de surenchère sonore, induite par la
des occupants (nombre insuffisant). Nous nous efforcerons donc de limiter le niveau sonore aux valeurs sus-citées et discussion de plusieurs personnes et provoquant un bruit ambiant tel que deux personnes entre elles ne peuvent
d’augmenter au maximum l’absorption acoustique du volume pour obtenir une sensation de "confort acoustique". plus continuer à discuter à voix normale et donc élèvent la voix (cf. description sommaire du phénomène au
paragraphe espace de restauration).
Isolement entre bureaux fermés
Les dispositions acoustiques pour ces volumes devront prendre en compte les contraintes esthétiques en parois et
L’isolement minimum nécessaire entre postes de travail est égal à l’émission dans un bureau ou un poste + 5 dB – le bruit
plafond.
ambiant. Le bruit ambiant d’un bureau fermé correspond au bruit des équipements techniques soit 35 à 40 dB(A). Ceci
conduit obligatoirement à obtenir des isolements minimums de 30 à 35 dB entre bureaux fermés. Cet isolement minimum 1.4. SALLE DE REUNION ET CONFERENCE
ne permet uniquement que d’assurer le fonctionnement.
Si l’on souhaite pouvoir obtenir un degré d’inintelligibilité suffisant entre bureaux fermés, il est nécessaire d’augmenter cet
Ces salles sont à usage essentiellement de conférences et de projection vidéos ou rétro projection.
isolement de 5 dB soit 40 dB.
Les critères d'acoustique interne doivent permettre de satisfaire une bonne intelligibilité des messages délivrés par un
Si l’on souhaite obtenir une intimité, il est alors nécessaire que cet isolement soit de 45 dB.
orateur à voix normale et par une sonorisation en ce qui concerne les projections ou les vidéos
Equilibre acoustique
L'intelligibilité de la parole dans ces locaux sera définie :
Nous pouvons donc constater qu’il est nécessaire de ne pas dépasser un certain seuil de niveau sonore qui va conduire à
des pertes d’intelligibilité et donc des difficultés de communication instantanée vis-à-vis des occupants et de leurs • par une valeur de temps de réverbération limite à ne pas dépasser de 1,5 s (à 1 kHz),
interlocuteurs. Sinon les occupants ne pourront pas assurer leurs tâches de travail correctement et nous observerons, dans • par une valeur de décroissance du son dans l'espace à ne pas dépasser (dépend du volume), de
cette situation, le départ des occupants pour aller travailler dans des endroits plus calmes. 3,5 dB(A)/doublement de distance.

D’autre part, il est nécessaire d’assurer la séparation des activités inter-postes. Il est nécessaire d’obtenir une perte Face à ces deux contraintes contradictoires, les solutions de traitements acoustiques seront réalisées par combinaisons
d’intelligibilité minimale de la conversation d’un poste vis-à-vis de son poste voisin : afin d’assurer son travail de de matériaux réfléchissants et absorbants, compte tenu des contraintes d'esthétique, de géométrie et de volume de
communication à son poste de travail, il est indispensable de ne pas comprendre totalement la conversation de son voisin. chacune de ces salles.

Sinon, nous nous trouvons en présence d’une dualité de perception qui conduit à nouveau les occupants à quitter leurs Equipements audio vidéo
postes de travail pour aller converser ailleurs. Ceci veut dire que le niveau sonore ambiant devra masquer la résultante
sonore de la conversation d’un poste vis-à-vis du poste voisin. Ceci ne sera effectif que si la disposition entre postes, leurs Le système vidéo conduit obligatoirement à procéder à des choix sur le système audio afin d'obtenir la superposition
mobiliers (écrans, cloisonnettes) ou le cloisonnement partiel, créent un isolement acoustique minimum entre ces postes. entre l'image visuelle et sonore.
Ce dernier doit être conçu en relation avec le système vidéo et les contraintes de volume et d'implantation des
Nous pouvons donc constater que la performance acoustique d’un open space sera obtenue à partir d’un équilibre occupants de cette salle.
niveau sonore ambiant/isolement minimum inter-postes.
1.5. LOCAUX DE TRAVAIL BRUYANT TYPE REPROGRAPHIES ET SALLES INFORMATIQUES
NB : si nous obtenons un niveau sonore ambiant trop bas, ceci peut être compensé par la génération d'un bruit masquant
par haut-parleurs dans le plafond. Pour obtenir un résultat convenable, ce bruit masquant devra générer un niveau compris Ces locaux recevant des machines très bruyantes sont à traiter de manière à obtenir des performances de réverbération
entre 45 et 55 dB(A). Les inconvénients de cette solution sont multiples : très faibles et de décroissance du son dans l'espace très importantes.

• Ce bruit masquant n'est porteur d'aucune information contrairement au niveau sonore ambiant dû à l'activité des Temps de réverbération à 1 kHz < 0,8 s (dépend du volume) et décroissance > 4 dB(A)/doublement de distance.
personnes. La gestion des surfaces doit permettre la mise en place de zones séparées, pour ces volumes contenant les différentes
• Ce bruit masquant sera ressenti comme une pollution sonore au même titre que le bruit des équipements machines bruyantes, vis-à-vis des bureaux des exploitants.
techniques : pour mémoire, l'objectif de niveau sonore maximum supportable par les équipements techniques est
toujours fixé à des valeurs inférieures à 40 dB(A). Le volume comprenant les machines bruyantes doit être équipé de matériaux fortement absorbants en plafond et en mur.

L'ensemble de ces restrictions nous conduit à dire que la mise en place d'un bruit masquant est un palliatif lorsque les
problèmes d'équilibres acoustiques précédemment cités n'ont pu être réglés dans le cadre de l'aménagement de l'espace de
ces bureaux.

6/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

2. ISOLEMENT 3. EQUIPEMENTS TECHNIQUES


Les critères de niveau sonore maximum à ne pas dépasser lors du fonctionnement de l'ensemble des équipements techniques
2.1. ISOLEMENT AERIENS pour ces locaux, sont :

Les isolements aux bruits aériens, entre locaux, seront différents selon la nature des activités se déroulant à l'intérieur de • open space ......................................................... 40 dB(A)
ces locaux et le degré de confort recherché. • bureaux de direction .......................................... 30 dB(A)
• bureaux courants ................................................ 35 dB(A)
Aussi, de façon synthétique, nous avons retenu 3 tranches de valeurs d'isolement par rapport à un bruit rose à respecter • salle de réunion .................................................. 35 dB(A)
entre locaux : • hall ..................................................................... 40 dB(A)
• locaux de travail ................................................ 45 dB(A)
• Isolement supérieur à 45 dB : cette valeur sera recherchée pour les lieux où une certaine confidentialité est
requise pour des messages de type parole émis à l’intérieur de ces locaux vis-à-vis des locaux voisins ;
• Isolement supérieur à 40 dB: cette valeur sera recherchée pour des lieux où une certaine inintelligibilité (perte 4. ISOLEMENT ACOUSTIQUE DE FACADE
≥ 30 %) des messages sonores parlés est requise pour des messages de type parole, émis à l'intérieur de ces
mêmes lieux vis-à-vis des locaux voisins ; Objectif
• Isolement supérieur à 35 dB: cette valeur sera recherchée pour les locaux courants pour lesquels on ne
recherche qu'un minimum d'isolement permettant d’assurer le déroulement des activités. Les performances acoustiques de façade doivent satisfaire des niveaux sonores résultants permettant d’assurer le bon
déroulement des activités.
Ainsi, nous rechercherons des valeurs d'isolement supérieures à : Il n’y a pas de réglementation acoustique spécifique concernant les bâtiments tertiaires. Cependant, il est couramment
admis que les isolements de façade devant être satisfaits par les logements peuvent être applicables dans le cadre des
• 45 dB pour les bureaux de direction ou les locaux "confidentiels", bureaux sur la base d’un déclassement de 5 dB des performances de ces isolements de façade.
• 40 dB pour les locaux bruyants et les bureaux demandant une certaine intimité : bureaux, salle de réunion, Nous avons donc procédé à la définition du classement acoustique de façade dans le cadre d’une application de type
• 35 dB pour l'ensemble des bureaux courants. logement.
L'isolement bureaux/couloir sera au minimum de 5 dB inférieur à l'isolement entre bureaux concernés. La réglementation qui définit les exigences sur les bâtiments et l’arrêté du 30 mai 1996 relatif "aux modalités de
classement d’infrastructures et transports terrestres et isolement acoustique des bâtiments d’habitation dans les secteurs
affectés par le bruit", nous conduisent à une performance d’isolement de façade de 30 dB en prenant en compte le
ORIENTATIONS DE SOLUTION
déclassement de 5 dB mentionné plus haut.
Le classement des voies alentour conduit à une DnT,A,tr = 30 dB car aucune exposition à des voies classées.
• Isolement supérieur à 45 dB :
 Cloison d’indice d’affaiblissement acoustique > 50 dB
 Plafond Dn > 50 dB : plafond équipé de barrières acoustiques ;
 Faux plancher Dn > 50 dB : dalles de faux plancher spécifiques ou équipées de barrières acoustiques ; 5. ENVIRONNEMENT
 Portes acoustiques R ≥ 40 dB : portes acoustiques équipées de seuils ;
 Façade Dn > 50 dB. Les performances acoustiques de l’ensemble des installations fixes de ce bâtiment doivent respecter la loi cadre sur le
bruit de 1992.
• Isolement supérieur à 40 dB: Par application de cette loi cadre, il est demandé à ce que l’ensemble des bruits provenant de ces installations n’émergent
 Cloison d’indice d’affaiblissement acoustique > 45 dB pas de façon significative du bruit ambiant existant dans l’environnement actuel du bâtiment.
 Plafond Dn > 45 dB : plafond équipé de barrières acoustiques ;
 Faux plancher Dn > 45 dB : dalles spécifiques ou dalles avec barrières acoustiques ; L’application de cette réglementation conduit à ce que les niveaux sonores induits dans le cadre de l’exploitation de ce
bâtiment et les installations fixes ne modifient pas les composantes sonores des paysages sonores existants actuellement
 Portes acoustiques R ≥ 35 dB : portes acoustiques équipées de seuils ;
dans la zone. Pour cela, nous avons donc procédé à la caractérisation des niveaux sonores pouvant être observés sur ce
 Façade Dn > 45-50 dB.
site. Nous avons réalisé cela sur la base de l’application de la méthodologie UNM criteria.
• Isolement supérieur à 35 dB:
La méthodologie UNM criteria est issue du constat que les composantes sonores des paysages sonores urbains sont
 Cloison d’indice d’affaiblissement acoustique > 42 à 45 dB
directement liées aux morphologies urbaines en présence. Nous entendons par morphologie urbaine l’association tissu
 Plafond Dn > 40 dB : plafond lourd ou plafond classique avec barrières acoustiques ;
bâti, hauteur et densité et typologie de voies de transport (gabarit et trafic)
 Faux plancher Dn > 40 dB : dalles classiques équipée de moquette plombante ;
Ce constat nous a conduit donc à procéder à une identification de ces mêmes composantes sonores et de les relier aux
 Portes standards R ≥ 27 dB ;
composantes urbaines.
 Façade Dn > 45 dB.
Cet outil permet donc de connaître en n’importe quel point de l’espace urbain quelles vont être les composantes sonores
2.2. BRUITS DE CHOCS des paysages sonores issues de l’activité urbaine qui est la superposition du bruit des voies de transport et du bruit des
activités humaines de ce même espace.
Le niveau de bruit de choc L’nTw sera inférieur ou égal à 58 dB. Par application de cette méthodologie, nous avons défini les critères de niveaux sonores maximum admissibles de jour et
de nuit qui sont les suivants :
 critère de niveaux sonores maximum admissible de jour : 46 dB(A)
 critère de niveaux sonores maximum admissible de nuit : 39 dB(A)

7/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

ANALYSE DE LA SOUS CIBLE 9.2 HQE


CREATION D’UNE QUALITE D’AMBIANCE ACOUSTIQUE ADAPTEE AUX DIFFERENTS LOCAUX

BUREAUX INDIVIDUELS ESPACES OUVERTS

9.2.1. ISOLEMENT DES LOCAUX VIS-A-VIS DE L’ESPACE EXTERIEUR 9.2.1. ISOLEMENT DES LOCAUX VIS-A-VIS DE L’ESPACE EXTERIEUR

Le classement des voies alentour conduit à un DnT,A,tr = 30 dB pour les 3 niveaux de performance. Le classement des voies alentour conduit à un DnT,A,tr = 30 dB pour les 3 niveaux de performance.

Les 4 vitrages triples des façades GA permettent d’atteindre des performances d’indice d’affaiblissement acoustique Les 4 vitrages triples des façades GA permettent d’atteindre des performances d’indice d’affaiblissement acoustique
de 35 et 38 dB. Ceci permet d’atteindre le niveau « Très performant ». de 35 et 38 dB. Ceci permet d’atteindre le niveau « Très performant ».

9.2.2. NIVEAUX DE BRUIT DE CHOCS TRANSMIS DANS LES LOCAUX 9.2.2. NIVEAUX DE BRUIT DE CHOCS TRANSMIS DANS LES LOCAUX

Une dalle de béton de 21 cm d’épaisseur équipée d’un faux plancher avec moquette permet d’atteindre le niveau le Une dalle de béton de 21 cm d’épaisseur équipée d’un faux plancher avec moquette permet d’atteindre le niveau le
plus élevé « Performant ». plus élevé « Performant ».

9.2.3. NIVEAU DE BRUIT DES EQUIPEMENTS DANS LES LOCAUX 9.2.3. NIVEAU DE BRUIT DES EQUIPEMENTS DANS LES LOCAUX

A l’heure actuelle, le niveau « Base » peut être atteint. L’étude acoustique initiée en juin sur le ventilo-convecteur a Le niveau le plus élevé « Performant » est atteint.
abouti à la fabrication d’un prototype permettant d’atteindre à ce jour 37 dB(A). Le niveau « Performant » est visé
en fin d’étude.

9.2.4. ACOUSTIQUE INTERNE DES LOCAUX

9.2.4. ACOUSTIQUE INTERNE DES LOCAUX Le plafond acoustique OWA Finetta possédant un αw = 0.7 permet d’atteindre le niveau « Base ».
L’obtention des niveaux « Performant » et « Très performant » passe par une étude acoustique. Cette dernière est
Le plafond acoustique OWA Finetta possédant un αw = 0.7 permet d’atteindre le seul niveau de performance présentée dans la suite de ce document.
« Base ».

9.2.5. ISOLEMENT AUX BRUITS AERIENS ENTRE LOCAUX


9.2.5. ISOLEMENT AUX BRUITS AERIENS ENTRE LOCAUX
Les espaces ouverts sont séparés par une cloison toute hauteur coupe-feu allant de dalle béton à dalle béton,
La cloison Léa de chez SADIF possède un Rw = 43 dB. Cette cloison est montée sur le faux plancher DENCO possédant un indice d’affaiblissement acoustique Rw=49 dB et porte coupe-feu. Le niveau « Très performant » est
compact 30.5 qui possède un Dnfw = 51 dB. atteint.
La cloison vient percuter la dalle béton haute.
L’ensemble de ces éléments permet d’atteindre le niveau « Base » DnTA ≥ 38 dB.
Les niveaux « Performant » DnTA ≥ 40 dB et « Très performant » DnTA ≥ 43 dB nécessitent une cloison plus
performante possédant respectivement un Rw de 45 dB et 48 dB avec mise en place d’une barrière acoustique sous 9.2.6. SONORITE A LA MARCHE
faux plancher de ce dernier cas « Très performant ».
Le seul niveau « Base » est atteint.

9.2.6. SONORITE A LA MARCHE

Le seul niveau « Base » est atteint.

8/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

ANALYSE DE LA SOUS CIBLE 9.2 HQE


CREATION D’UNE QUALITE D’AMBIANCE ACOUSTIQUE ADAPTEE AUX DIFFERENTS LOCAUX

BUREAUX COLLECTIFS ESPACES ASSOCIES


9.2.1. ISOLEMENT DES LOCAUX VIS-A-VIS DE L’ESPACE EXTERIEUR

9.2.1. ISOLEMENT DES LOCAUX VIS-A-VIS DE L’ESPACE EXTERIEUR Le classement des voies alentour conduit à un DnT,A,tr = 30 dB pour le seul niveau de performance « Base ».
Les 4 vitrages triples des façades GA permettent d’atteindre des performances d’indice d’affaiblissement acoustique de 35 et
Le classement des voies alentour conduit à un DnT,A,tr = 30 dB pour les 3 niveaux de performance. 38 dB. Ceci permet d’atteindre le niveau « Très performant ».

Les 4 vitrages triples des façades GA permettent d’atteindre des performances d’indice d’affaiblissement acoustique 9.2.2. NIVEAUX DE BRUIT DE CHOCS TRANSMIS DANS LES LOCAUX
de 35 et 38 dB. Ceci permet d’atteindre le niveau « Très performant ».
Sans exigence pour l’ensemble des espaces hormis espaces restauration. L’espace restauration étant au rez-de-chaussée sans
locaux dessous la préoccupation est « sans objet ».

9.2.2. NIVEAUX DE BRUIT DE CHOCS TRANSMIS DANS LES LOCAUX 9.2.3. NIVEAU DE BRUIT DES EQUIPEMENTS DANS LES LOCAUX

Une dalle de béton de 21 cm d’épaisseur équipée d’un faux plancher avec moquette permet d’atteindre le niveau le Sans exigence pour l’ensemble des espaces hormis espaces restauration. L’espace restauration étant au rez-de-chaussée sans
plus élevé « Performant ». locaux dessous la préoccupation est « sans objet ».
40 dB(A) ou NR35 doivent être respectés dans les espaces de restauration.
Les ventilo-convecteurs permettent de respecter ce niveau en tout point de la salle.

9.2.3. NIVEAU DE BRUIT DES EQUIPEMENTS DANS LES LOCAUX 9.2.4. ACOUSTIQUE INTERNE DES LOCAUX

A l’heure actuelle, le niveau « Base » peut être atteint. L’étude acoustique initiée en juin sur le ventilo-convecteur a • Salles de réunion/espaces de détente fermés : plafond OWA Finetta collé ou suspendu αw = 0.7
aboutie à la fabrication d’un prototype permettant d’atteindre à ce jour 37 dB(A). Le niveau « Performant » est visé Le plafond acoustique OWA Finetta possédant un α w = 0.7 permet d’atteindre le seul niveau de performance « Base ».
en fin d’étude.
• Circulations/espaces de détente ouverts : plafond OWA Finetta collé ou suspendu αw = 0.7
Le plafond acoustique OWA Finetta possédant un αw = 0.7 permet d’atteindre le seul niveau de performance « Base ».
9.2.4. ACOUSTIQUE INTERNE DES LOCAUX • Halls : plafond Quadril Knauf αw = 0.45
Le plafond acoustique Quadril Knauf possédant un αw = 0.45 permet d’atteindre le seul niveau de performance « Base ».
Le plafond acoustique OWA Finetta possédant un αw = 0.7 permet d’atteindre le niveau « Base ».
L’obtention des niveaux « Performant » et « Très performant » passe par une étude acoustique. Cette dernière est • Espaces de restauration :
présentée dans la suite de ce document. Etude acoustique spécifique.
• Espaces acoustiques :
Sans objet.
9.2.5. ISOLEMENT AUX BRUITS AERIENS ENTRE LOCAUX

La cloison Léa de chez SADIF possède un Rw = 43 dB. Cette cloison montée sur le faux plancher DENCO compact 9.2.5. ISOLEMENT AUX BRUITS AERIENS ENTRE LOCAUX 9.2.6. SONORITE A LA MARCHE
30.5 qui possède un Dnfw = 51 dB.
La cloison vient percuter la dalle béton haute. • Salles de réunion/espaces de détente fermés : DnTA = 43 dB • Salles de réunion/espaces de détente fermés
L’ensemble de ces éléments permet d’atteindre le niveau « Base » DnTA ≥ 35 dB et le niveau « Performant » Sans objet. Le seul niveau « Base » est atteint.
DnTA ≥ 38 dB .
Les niveaux « Très performant » DnTA ≥ 40 dB sera atteint par mise en place d’une cloison possédant un • Circulations/espaces de détente ouverts • Circulations/espaces de détente ouverts
Rw ≥ 46 dB. Sans objet. Sans objet.
• Halls
• Halls Sans exigence.
Sans exigence
9.2.6. SONORITE A LA MARCHE • Espaces de restauration
• Espaces de restauration Sans exigence.
Le seul niveau « Base » est atteint. Etude acoustique.
• Espaces acoustiques
• Espaces acoustiques Sans objet.
Sans objet.

9/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

ANALYSE DE L’ACOUSTIQUE DES OPEN SPACE PAR RAPPORT AUX OBJECTIFS T&A

OBJET DE L'ETUDE Version d'occupation maximale et décloisonnée

L'objet de l'étude est de présenter les résultats acoustiques obtenus pour le bâtiment du siège GA dans les espaces ouverts
dans deux scenarii d'occupation extrême. Une version call center d'occupation maximale et une version bureau tertiaire
telle que prévue par GA.

Pour un sol et un plafond identiques, ces deux versions extrêmes, équipées de mobilier adapté et partitionnées ou non
conduisent aux résultats présentés par la suite.
Les plans des deux versions sont présentés ci contre.

MODELISATION INFORMATIQUE

La modélisation du phénomène est basée dans un premier temps sur celle des performances acoustiques du volume à
étudier : modélisation des temps de réverbération et de la décroissance du son dans l’espace prenant en compte les
obstacles, cloisons et mobilier. Pour cela, nous mettons en place une maquette acoustique 3D prenant en compte la
volumétrie et la position des différents matériaux de revêtements intérieurs du volume à étudier et du mobilier. Ainsi ont
été pris en compte l’intégralité des cloisonnements intérieurs, les armoires ainsi que les performances acoustiques du sol, Version d'occupation basse standard, partitionnée
des murs et du plafond.

La deuxième étape consiste alors à positionner les sources sonores (les occupants), et à leur attribuer l’émission sonore
correspondant à l’activité.

Les puissances acoustiques émises par chacun des occupants sont directement issues des observations sur site que nous
avons pu effectuer sur environ 300 configurations d’open space déjà étudiées à ce jour.

A partir de là, il est possible de procéder à des cartographies de niveaux sonores ambiants, local en activité. Ces
cartographies peuvent être transformées en cartographie d’intelligibilité de la parole sur la base des fonctions de transfert
rapport signal sur bruit-intelligibilité. Cette modélisation est alors un outil d’aide à la décision, car il permet de jouer sur :
• la disposition des personnes entre elles : disposition des postes de travail les uns vis-à-vis des autres ; FB

• la quantité et la typologie des matériaux absorbants mis en place sur les plafonds, murs, cloisons et cloisonnettes ;
• les dimensions géométriques des écrans, des postes de travail ou cloisons partielles et/ou des armoires pouvant
être mis en place dans l’open space.

La configuration du local est telle que représentée sur le plan ci-contre.

A partir de cette maquette acoustique, nous allons pouvoir visualiser les performances issues de ce scénario de traitement.
Dans un premier temps, nous vérifions la satisfaction du non-dépassement des seuils de niveaux sonores ambiants ; dans
un deuxième temps, nous vérifions l’isolement acoustique inter-postes et inter-zones, par l’intermédiaire de la visualisation
des intelligibilités.

10/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

VERSION D'OCCUPATION MAXIMALE ET DECLOISONNEE


TRAITEMENTS ACOUSTIQUES, MOBILIER ET RESULTATS

TRAITEMENT ACOUSTIQUE ET MOBILIER NIVEAU SONORE AMBIANT


Plafond acoustique Hauteur : 1.4 m Leq en dB(A)
Surface = 600 m² Mobilier séparatif, h = 1.5 m, αw = 0.7 > 66
αw = 0.7 Cloisonnettes, h = 1.5 m, αw = 0.7 64 à 66
62 à 64
60 à 62
58 à 60
56 à 58
54 à 56
< 54

Les façades sont vitrées.


Le niveau sonore ambiant est proche de 60 à 62 dB(A), voir légèrement supérieur dans les zones très actives. Ceci est
Les murs sont constitués de plâtre ou de béton.
obtenu en instantané en occupation maximale et en période de forte activité. Le traitement acoustique plafond et
Le sol est constitué de moquette rase.
mobilier est donc insuffisant. Un traitement de plafond plus important est présenté ci-après.

NIVEAU SONORE AMBIANT AVEC PLAFOND αw = 0.9 INTELLIGIBILITE

Leq en dB(A)
> 66 Intelligibilité
64 à 66 (% de phonèmes)
62 à 64 > 80
60 à 62 75 à 80
58 à 60 70 à 75
56 à 58 65 à 70
54 à 56 60 à 65
< 54 55 à 60
50 à 55
< 50

L'intelligibilité d'un locuteur à un poste voisin soumis au brouhaha du plateau est inférieure à 70 %. L'objectif de perte
Le niveau sonore ambiant est, avec ce plafond plus performant, compris entre 58 et 60 dB(A) donc conforme à l’objectif. d’intelligibilité inter-postes est atteint.
L’intelligibilité qui en découle est présentée ci-après. L'étude de la table de six postes voisins (non présentée ici) conduit à une intelligibilité inférieure à 75 % aux postes voisins
donc conforme.

Conclusion :

Le niveau sonore ambiant est supérieur à l'objectif. Il est nécessaire de mettre en place un plafond acoustique plus performant et éventuellement d'ajouter du mobilier absorbant.
• postes côte à côte : l'intelligibilité est inférieure à 70 %. L'objectif est atteint ;
• postes face à face et dos à dos : l'intelligibilité est inférieure à 75 %. L'objectif est atteint.

11/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

VERSION D'OCCUPATION BASSE STANDARD PARTITIONNEE


TRAITEMENTS ACOUSTIQUES, PARTITIONNEMENT ET RESULTATS

TRAITEMENT ACOUSTIQUE PARTITIONNEMENT


Plafond acoustique Cloisons séparatives toute hauteur
Surface = 275 m² αw = 0.07
αw = 0.7

Les façades sont vitrées.


Les murs sont constitués de plâtre ou de béton. Remarque : les armoires adossées à des murs n'ont pas été prises en compte puisqu'elles n'ont pas d'effet acoustique
Le sol est constitué de moquette rase. particulier.
NIVEAU SONORE AMBIANT INTELLIGIBILITE
Leq en dB(A) Intelligibilité
57 à 59 (% de phonèmes)
55 à 57 > 85
53 à 55 82 à 85
51 à 53 79 à 82
49 à 51 76 à 79
47 à 49 73 à 76
45 à 47 70 à 73
43 à 45 67 à 70
< 67

Le niveau sonore ambiant est de l'ordre de 49 à 53 dB(A). Ces niveaux sont conformes à l'objectif et permettent aux L'intelligibilité d'un locuteur à un bureau voisin non occupé soumis au brouhaha des autres postes est inférieure à 80 %.
occupants de travailler sans gêne. L'objectif est atteint, les postes peuvent fonctionner indépendamment les uns des autres.
L'intelligibilité entre postes d'une même zone est supérieure à 95 % et ne permet pas de travailler séparément.

Conclusion : le niveau sonore ambiant est conforme à l'objectif. La perte d'intelligibilité entre zones de travail est aussi conforme à l'objectif.
Au sein d'une même zone de travail, soit le travail est commun c'est-à-dire travail d'équipe nécessitant une communication entre les occupants et l'objectif est atteint, soit les tâches de chacun sont différentes et l'objectif n'est pas atteint. Il est nécessaire, dans
ce cas, de mettre en place un mobilier différent avec des séparatifs qui amélioreront la perte d'intelligibilité entre postes ou bien de mettre en place un bruit masquant.

12/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

ANALYSE DES PROBLEMATIQUES 2, 3, 4, 5 TISSEYRE & ASSOCIES

CONCLUSION SUR L'ACOUSTIQUE INTERNE Analyse de la problématique d'isolement entre espaces de travail fermés
 Isolements aériens

Les deux éléments conduisant au résultat d'isolement sont :


• la cloison Léa de chez SADIF possédant un Rw = 43 dB.
• le faux plancher DENCO Compact 305 qui possède un Dnfw = 51 dB
Le respect des préoccupations de la cible 9 acoustique ne permet pas de décrire les dysfonctionnements que nous
observons par simulation en regard de la grille TISSEYRE & ASSOCIES. La cloison est posée sur le faux plancher et vient percuter la dalle haute béton.

L'isolement maximal prévisible est inférieur ou égal à 40 dB.


Ceci permet d'atteindre la classe d'isolement intermédiaire (voir chapitre 2 page 7).
Nos critères en termes d'intelligibilité et de niveau sonore ambiant permettent de décrire finement la problématique de La classe de base pour bureaux courants est atteinte.
fonctionnement acoustique des espaces ouverts et d'observer le fonctionnement des espaces ouverts.
Pour obtenir la classe d'isolement de 45 dB, il est nécessaire de mettre en place une cloison possédant un Rw ≥ 50 dB
ainsi q'une barrière acoustique sous le faux plancher.
Un plafond plus performant associé éventuellement à du mobilier acoustique est nécessaire en version d'occupation  Bruit de choc :
maximale.
Une dalle béton de 21 cm équipée d’un faux plancher avec moquette permet d’atteindre l’objectif.

Analyse des émissions sonores des équipements techniques


Pour la version d'occupation basse standard, la perte d'intelligibilité inter-zones est conforme. Au sein d'une même zone
de travail, le mobilier et l'implantation des postes de travail doivent être repensés de manière à améliorer l'isolement
Ventilo-convecteur GA : l'étude engagée sur le ventilo-convecteur conduit à l'heure actuelle à un niveau sonore de
entre postes et ainsi atteindre l'objectif.
37 dB(A) au centre du local. L'objectif de niveau sonore TISSEYRE & ASSOCIES n'est pas atteint pour les locaux
suivants : bureau de direction, salle de réunion et bureaux courants.

Ventilo-convecteur CARRIER 42N (serveur, reprographie, vidéoconférence et petite salle de réunion) : le modèle 25
dans la série centrifuge deux tubes en petite vitesse conduit à un niveau sonore de 32 dB(A) en salle vidéoconférence et
33 dB(A) en salle de réunion. L'objectif est atteint.

Groupe froid en toiture : voir paragraphe ci-après "contraintes sonores environnementales".

L'ensemble des autres équipements techniques de ventilation, extraction sont gainables et donc leur niveau sonore
peut, au besoin, être amélioré par mise en place de pièges à son. Les objectifs seront atteints.

Analyse de l'isolement acoustique de façade

Le classement des voies alentour conduit à un DnT,A,tr = 30 dB pour les 3 niveaux de performance.
Les façades GA permettent d'atteindre des indices d'affaiblissement acoustique de 35 et 38 dB et sont donc conformes à
l'objectif.

Analyse des contraintes sonores environnementales


Les habitations les plus proches se situent à 70 m.
Les deux installations en toiture les plus bruyantes sont les deux groupes froid. Leurs niveaux de puissance acoustique
sont :
• 30RA011 : 70 dB(A)
• 30RA050 : 82 dB(A)

Ces niveaux de puissance acoustique conduisent chez les voisins les plus proches à un niveau sonore respectivement de
27 dB(A) et 39 dB(A).
Le groupe 30RA050 est juste à la limite du critère de nuit.

Toute source sonore s'ajoutant à cette dernière, de nuit, conduirait à une émergence non réglementaire. Cet appareil étant
dédié à la petite salle de réunion et à la salle de vidéoconférence, son utilisation pourrait être asservie à des horaires de
jour au besoin.

13/14
www.planete-acoustique.com
Rapport d’étude acoustique n°21/420-07 Projet Peren – Siège GA Tisseyre & Associés – Réf. 1248C7TB0812.doc

SYNTHESE DES ANALYSES HQE ET T&A – ELEMENTS CONSTRUCTIFS

CF. NOMENCLATURE IDENTIFICATION DE


HQE TISSEYRE & ASSOCIES
TECHNOLOGIES ET DE SOLUTIONS

Isolement des locaux vis-à-vis de l’espace extérieur 3.1.2.1 DnT,A, tr = 30 dB satisfait = Très performant DnT,A, tr = 30 dB satisfait

2.2 Béton épaisseur 21 cm


Niveaux de bruit de chocs transmis dans les locaux Performant L'nT,w = 50 dB satisfait
9.1 Revêtement moquette

Conforme
• Locaux de travail
• Hall
• Open space
Niveau de bruit des équipements dans les locaux 4.1.4 Performant
Non conforme
• Bureaux courant et direction
• Salle de réunion

Occupation basse standard


Niveau sonore : conforme

Bureau individuel : Base Isolement


Espace ouvert : Base • inter zone : conforme
Acoustique interne des locaux 7.2 Plafond αw = 0.7
Bureau collectif : Base • Intra zone : non conforme
Espace associé : Base
Occupation maximale et décloisonnée
Niveau sonore : non conforme
Changement plafond ou complément

2.2
Bureau individuel : Base
3.1.2.1 DnT,A,maximum = 40 dB
Espace ouvert : Très performant
Isolement aux bruits aériens entre locaux 6.1.2 Traitement complémentaire pour bureaux direction et
Bureau collectif : Performant
7.2 locaux confidentiels
Espace associé : Base
9.1

14/14
www.planete-acoustique.com

Vous aimerez peut-être aussi