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PHOTOGRAPHE PRO

"ÊTRE ET DURER"
17h40. Quelque part au dessus de l'Adrar des Ifoghas.

Cela fait presqu’une heure que nous survolons cet incroyable  désert du
nord Mali, dans un hélicoptère de combat de l’armée française.

A l’extérieur, le paysage est lunaire. Le contraste entre la désolation du lieu


et le vacarme des rotors de l’hélico est saisissant.

Assis avec mes deux appareils photos près de la porte ouverte de l’aéronef,
je profite de la vue. J’observe le sol qui défile à quelques mètres sous mes
pieds tandis que nous volons à plus de 200 km/h. 

Nous sommes en « vol tactique » pour éviter d’être repérés par les groupes
armés terroristes qui ont trouvé refuge dans cette région du Sahel.

Il y a quelques années, lorsque je passais la porte de mon école de


journalisme à Toulouse, j’étais à des années lumières de m’imaginer ce
moment : être reporter-photographe,  en commande (tous frais payés)
pour un grand magazine, dans un pays en guerre.

Je me souviens encore ces phrases que certains «  professionnels  » me


disaient…

« La presse est en crise, tu ne trouveras jamais de travail »

« Les journaux ne payent plus les photographes » 


« Tu ne trouveras jamais assez de clients pour vivre de tes photos » 

« L’époque où l’on envoyait les photographes en commande est finie depuis


longtemps » 

Et pourtant… 

Aujourd’hui j’ai la chance de vivre de ma passion. 

Mon travail en tant que photographe a été publié dans des dizaines de
journaux et magazines à travers le monde (Géo, Paris Match, VSD, Le Figaro,
the Guardian, National Geographic, etc…).

Plusieurs agences distribuent mes images, notamment Getty et l’AFP. 

Une partie de mes publications en 2017


Mais plus important : je suis libre et heureux.

L’argent et la reconnaissance c’est bien. Mais la liberté de faire ce que l’on


veut de ses journées, de ne pas avoir l’obligation de se lever le matin au
son du réveil, la possibilité de pouvoir voyager partout dans le monde
et de passer du temps avec ses proches, ce sont pour moi les seules vraies
richesses.

La photographie n'est pas seulement  un métier incroyable, c’est un style


de vie. 

Être photographe, c’est être curieux.


C’est avoir envie de vivre des expériences qui sortent de l’ordinaire,
rencontrer des gens, vivre des aventures uniques et prendre du plaisir à
créer, témoigner, informer, raconter.

Mais être photographe n’est pas fait pour tout le monde…


UN MÉTIER INACCESSIBLE ?

Vivre de la photographie, au même titre que vivre de sa passion en général,


n’est pas fait pour tout le monde.

Cela demande des efforts et des sacrifices que la plupart des gens ne sont
pas prêts à faire.

C’est un fait.

C’est pour cette raison d’ailleurs que beaucoup de gens critiquent les gens
qui réussissent et qui aident les autres, en les traitant de «  vendeurs de
rêves » ou « d’escrocs ».

Se lancer, prendre des risques, affronter le regard d’autrui et oser faire,


tout cela n’est pas facile. Tout cela fait peur, cela semble « fou ».
Or, «  la folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un
résultat différent », disait Einstein.

Celui ou celle qui n’est pas capable de sortir de sa zone de confort


n’atteindra jamais ses objectifs et ne réalisera jamais ses rêves.

Bien entendu, il ne suffit pas « juste » d’être conscient de cela pour percer
comme photographe.

Cela demande plusieurs qualités et des compétences qui s’apprennent


d’une façon ou d’une autre, comme par exemple :

- Faire de bonnes photos (donc apprendre la technique et le cadrage)


- Raconter de bonnes histoires (que vos clients vont vouloir acheter)
- Savoir vendre son travail (au bon tarif et aux bonnes personnes)
J’ai une bonne nouvelle pour vous : n’importe qui peut apprendre à faire
tout ça.
J’en suis la preuve vivante.

Au départ, rien ne me destinais à une carrière de photographe.

Après mon Bac, j’ai fait une licence d’histoire-géo à la Fac. Puis j’ai intégré
Sciences-po pour faire du journalisme. Ce n’est qu’après avoir eu mes
premiers cours de techniques rédactionnelles et après quelques rencontres
que j’ai découvert la photographie de presse.

J’ai acheté mon premier appareil à ce moment là et j’ai tout de suite


commencé à « jouer » les photo-reporters.

N’ayant pas eu de formation de photographie au cours de mes études, je


me suis formé seul sur le terrain, au gré des rencontres et des lectures.

Par la suite, j’ai réalisé que j’avais fait une erreur, celle de penser que je
n’avais pas besoin de payer un cours de photo auprès de professionnels…
J’ai perdu du temps.

Depuis, je me forme régulièrement en achetant des formations que ce soit


en ligne ou en présentiel afin d’avancer plus vite.

Acquérir les bases techniques, c’est important.


Pratiquer quotidiennement et oser se dépasser, c’est primordial.

Pendant des années, j’ai testé, expérimenté, réalisé, analysé et énormément


produit avant d’atteindre les résultats que je m’étais fixé.
Et comme tout le monde, j’ai fait beaucoup d’erreurs et j’ai perdu beaucoup
de temps.
NE TOMBEZ PAS 

DANS LE PIÈGE !

Comme je le disais précédemment, j’ai fait l’erreur de penser que je n’avais


pas besoin de me former. 

C’est normal d’avoir de l’égo, d’avoir parfois un trop plein de confiance en


soi. Mais c’est bien de s’en rendre compte et d’accepter que nous n’avons
pas la science infuse.

C’est quelque chose que l’on comprend quand on discute avec des gens
qui ont connu un très grand succès au niveau professionnel.

Tous les grands entrepreneurs et autres penseurs ont à un moment ou un


autre de leur vie, fait appel à d’autres «  cerveaux  » pour atteindre leurs
objectifs…  Depuis les philosophes des Lumières au 18e siècle jusqu’aux
clubs d’entrepreneurs de nos jours.

La photographie est probablement l’un des secteurs où on apprend le plus,


tous les jours, que ce soit en prise de vue ou en terme de business.

Car le, ou plutôt, « les  » marchés de la photo évoluent constamment, en


fonction des supports et des types de clients.

Ce qui marche aujourd’hui, ne marchera probablement plus demain.


ON S’EN FOUT DU MATOS !

Une autre erreur que j’ai fait à mes débuts a été de donner trop
d’importance au matériel.

Il est clair que la photographie, c’est cher.

Et même si acheter du matériel performant est bien plus abordable


qu’avant (notamment grâce aux avancées technologiques du numérique), il
n’en reste pas moins que bien s’équiper peut être un énorme
investissement.

Mais vous n’avez pas d’avoir plus de 10 000 euros de matos dans le sac à
dos pour commencer à correctement bosser.
Ce n’est pas l’appareil photo ou l’ouverture de l’optique qui va faire que vos
photos sont bonnes ou pas (encore moins s’elles sont achetées ou pas...)

D’ailleurs, vous n’avez même pas forcément besoin d’acheter du matériel


neuf et hors de prix pour commencer dans ce métier.

Trois pistes s’offrent à vous si votre trésorerie n’est pas au beau fixe :

1. La location (ou le prêt)

Si vous n’avez pas d’amis photographes qui peuvent vous prêter un boitier
de temps en temps, vous pouvez toujours louer du matériel des des
boutiques spécialisées (je vous laisse voir avec Google en fonction de votre
localisation).
Cela ne vous coûtera que quelques dizaines d’euros par jours selon ce que
vous louez.
Certains de mes confrères louent quasiment tout le temps du matériel pour
réaliser des travaux « corporate » (pour les entreprises ou les institutions).

Quelques dizaines ou centaines d’euros dépensés pour plusieurs centaines


ou milliers qui rentrent, c’est un bon calcul !

2. L’occasion 

Personnellement, je n’ai jamais acheté une optique neuve.

Je ne comprends pas l’intérêt de faire cela quand on peut acheter la même


chose pour beaucoup moins cher auprès de professionnels qui ajoutent
même parfois une garantie lors de l’achat… 

Par ailleurs, il est assez simple de vérifier si une optique fonctionne bien
lors de l’achat. Ce n’est pas aussi complexe qu’un boitier.

3. Les partenariats avec des marques

Pour ma part, je travaille depuis plus de 2 ans avec la marque Fujifilm. En


échange de visibilité et de retours d’expérience de ma part sur leurs
produits, cette dernière me prête ce dont j’ai besoin pour travailler.

Je sais que la plupart des constructeurs sont ouverts à ce genre d’échange,


il suffit de proposer un projet cohérent et bien construit. 

Et par pitié, ne me dites pas qu’il faut forcément avoir les contacts de je-ne-
sais-quelle-personne pour y arriver… personnellement j’ai fait comme tout
le monde, j’ai cherché sur internet, dans les annuaires, je me suis déplacé
sur les événements et j’ai parlé aux gens ;) 
VOUS POUVEZ TRÈS BIEN
GAGNER VOTRE VIE

Encore une fois, gagner de l’argent n’est personnellement pas mon objectif
final.

Ce que je veux le plus au monde, c’est être libre.


Libre de faire ce que je veux et d’aller où je veux.

Mais pour y parvenir, il faut avoir les moyens de se payer cette liberté,
donc gagner de l’argent.

L’une de mes erreurs au début a été de croire ce que l’on me martelait


constamment, à savoir que ce métier est en crise et qu’il n’y a plus
d’argent...

C’est FAUX.

Quand on est ouvert et curieux, on rencontre rapidement  des gens très


différents et qui ont eu des résultats plutôt « extraordinaires » (en tout cas
par rapport à ce que l’on croit au début « ordinaire »)

Ces dernières années, j’ai eu la chance de rencontrer des photographes qui


gagnent très bien leur vie dans des secteurs qui semblent pourtant
« bouchés » ou du moins très fortement concurrentiels.

J’ai rencontré un photographe qui gagne plus de 100 000 euros par an
avec des photos de voyage ou encore des photographes de mariages qui
facturent des prestations plusieurs milliers d’euros par jour.
Vous pouvez par exemple écouter l'interview que j’ai réalisé de Franck
Boutonnet, qui est «  destination wedding photographer  » et qui travaille
pour 4000 euros la journée en moyenne

>> écouter l’épisode ici : http://www.destination-reportage.com/metier-


de-reve-destination-wedding-photographer/
Moi même, je vends mes reportages pour plusieurs milliers d’euros chacun
lorsque je travaille pour la presse magazine et mes frais de voyage peuvent
être pris en charge.

L’un des problèmes dans le marché de la photographie, c’est que


beaucoup de gens pensent qu’il n’est pas possible de vendre plus cher ses
images.

Sous prétexte qu’ils vont forcément  perdre contre des «  concurrents qui
cassent les prix du marché », beaucoup de professionnels abandonnent ou
baissent eux même leurs tarifs…

Alors qu’il faudrait au contraire faire l’inverse afin de se démarquer et


toucher les clients avec qui VOUS avez envie de travailler, vous savez, ceux
qui ne se plaignent pas, qui ne cherchent pas à négocier et qui veulent
vraiment travailler avec vous et pas un autre.
LA QUESTION DE LA
LÉGITIMITÉ NE DOIT PAS SE
POSER !

Comme tout débutant, la question de la légitimité s’est posée  très


rapidement.

En fait, ce problème ne touche pas uniquement les photographes, mais un


paquet (sinon toutes) les professions d’indépendants. Graphiste, peintre,
rédacteur, communiquant, journaliste, qu’est ce qui fait que l’on est légitime
ou non pour exercer un métier ?

Est ce le diplôme ? 

Quand on voit le travail de certains diplômés de formations soit disant


prestigieuses, on peut se le demander…

Et puis, en quoi le fait de savoir faire quelque chose implique forcément


que cela va être fait à la perfection ?

Est ce l’expérience ?

Il faut bien commencer un jour et vous n’allez pas forcément devenir grand
reporter pour des magazines du jour au lendemain (encore que…) ou avoir
des dizaines de clients dès le premier mois de votre activité.
Alors, qu’est ce qui vous rend légitime ?

Dans l’une de mes vidéos, dans laquelle j’ai interviewé le


talentueux  photographe Eric Bouvet, ce dernier a souligné que « l’on  est
tous photographe, mais on est pas tous très bons photographes ».

Et il a raison quand il met en avant le fait qu’aujourd’hui, tout le monde fait


des photos, donc tout le monde est photographe (dans un sens). 

Par ailleurs, le matériel étant de plus en plus performant et accessible, tout


le monde est potentiellement capable de faire de bonnes images et même
oser en vendre pour gagner de l’argent avec. 

Cela énerve une partie des photographes professionnels qui y voit une
concurrence insupportable, au lieu d’y voir une raison de plus de rester
humble et de chercher à s’améliorer continuellement. Mais c’est encore un
autre problème et on y reviendra un peu plus loin…

Chacun a le droit d’avoir son avis et sa définition de la légitimité. 


Pour ma part, est légitime un photographe qui s’est formé un minimum, qui
a fait le choix de se lancer à 200% dans son métier et qui a de l’ambition
(tout en ayant les moyens de ses ambitions). 
Peu importe son cursus, l’école qu’il a fait ou non, le nombre de ses clients
actuels ou passés, son nombre d’année d’expérience.

Si ce photographe souhaite vivre de sa passion et fait tout ce qu’il peut


pour atteindre cet objectif plus que louable, il est légitime pour vouloir être
photographe.

Si en plus, parce qu’il se donne à fond et qu’il est dans une logique de
progression, il a de bons résultats et qu’il fait de bonnes photos, il est alors
légitime pour être photographe professionnel et vendre sa production ou
ses services.

Personnellement, j’ai eu beau être diplômé en journalisme  d’une grande


école, je n’ai jamais dit à un seul de mes clients que « j’ai fait Sciences-Po »,
ni montré mon CV pour pouvoir vendre une photo ou un reportage à un
magazine.

Par ailleurs, comme tout le monde,  j’ai bien commencé de zéro, avec
aucun travail à montré et aucune référence à donné.

Pourtant, cela ne m’a pas empêché de gagner suffisamment d’argent en


vendant des reportages, pour acheter du matériel photo, payer mon loyer,
remplir mon frigo et  obtenir ma carte de presse de journaliste
professionnel.

Le fait est que si vous êtes passionné et ambitieux, vous allez être
convaincant et vos clients vont vous trouver légitime.
Mais encore faut il se convaincre d’abord soi-même avant de chercher à
convaincre les autres…

NON, il ne faut pas forcément « avoir un nom » pour


réussir à vendre ses photos !
LA CONCURRENCE EST UNE
CHANCE !

Attention, je ne dis pas que le marché n’est pas concurrentiel. Loin de là. 
Rien que dans le milieu du photojournalisme, les rédactions de magazines
ont clairement l’embarras du choix pour envoyer un photographe en
commande ou même pour acheter des sujets de qualité. 

Mais pour les photographes à succès, ceux qui ne se plaignent pas des «
fins de mois difficiles », la concurrence n’est pas un problème, c’est
même une chance. 

Pourquoi ? 

Quand on s’intéresse à l’économie (d’ailleurs on apprend ça au lycée), on


apprend que le fait qu’un secteur soit fortement concurrentiel signifie qu’il
est en bonne santé et plein d’opportunités. Dans quasiment tous les
domaines, le monopole ne garanti pas forcément le succès d’une
entreprise. 

L’autre avantage de la concurrence, c’est que cela nous pousse à nous


dépasser continuellement, à donner toujours plus de valeur à nos clients,
à relever le niveau.

C’est parce que l’on sort de sa zone de confort et que l’on est dans une
logique de vouloir « faire mieux que les autres » que l’on peut progresser
réellement. 

Le fait d’être très nombreux sur un marché ne veut pas forcément dire que
l’on va se marcher dessus. 
Au contraire, si on le souhaite, c’est l’occasion d’apprendre des autres, de
trouver des opportunités de collaborations, de partenariats.

Certains de mes meilleurs amis sont photographes de presse et couvrent


parfois les mêmes sujets photographiques que moi… 

Il arrive très fréquemment que je « donne du boulot » à d’autres


photographes. Soit parce que je n’ai pas le temps de le faire, soit parce que
je n’ai pas envie.

Et de la même façon, il arrive que je sois contacté par un photographe pour


faire un travail qu’il ne veut ou ne peut pas faire. 

Qui donne reçoit ! 

Pour durer dans ce métier, il est primordial de bâtir un réseau, se faire des
amis, aller vers les autres.
POURQUOI JE FAIS 

TOUT ÇA ?

C’est justement parce que j’ai bien compris cela que j’aide les autres
photographes au quotidien.

Qu’ils soient amateurs ou professionnels comme moi, je fais de mon mieux


pour aider, conseiller et partager afin que cette profession que j’aime soit
plus belle pour tout le monde.

Je vois trop de gens talentueux galérer et trop de superbes sujets non-


publiés (ailleurs que sur les réseaux sociaux).

Personnellement, j’ai choisi le métier de reporter-photographe car je suis


convaincu que l’on peut tous, chacun à notre niveau apporter notre pierre à
l’édifice et changer le monde.

Je suis notamment  intimement convaincu qu’il est important de partager


avec les autres photographes car cela permettra d’améliorer nos conditions
de travail à TOUS. 

Imaginez un monde dans lequel aucun photographe ne dévalorise son


travail, un monde où les photographes partagent leurs « plans » parce qu’ils
ont compris l’intérêt d’avoir un réseau efficace, un monde dans lequel nos
clients ne nous paient plus au lance-pierre et nous respectent car
personne ne se laisse faire et que l’on propose tous des tarifs corrects.

Est ce que cela vous parle à vous aussi ?


MAINTENANT…

PASSEZ À L’ACTION !

Si vous lisez ces lignes, vous faites partie de l’infime pourcentage de lecteur
qui ont téléchargé ce livre et qui ont pris la décision de le lire jusqu’à la fin.
BRAVO !
Cela veut dire que vous êtes vraiment motivés pour atteindre vos objectifs
et réaliser ce rêve de vivre de votre passion.

J’ai envie de terminer avec une dernière chose vraiment capitale :

La différence entre un photographe qui arrive à vivre de sa passion et


celui qui n’y arrive pas est très simple : le premier vend ses photos,
l’autre non.

Ce n’est pas une question de faire de bonnes ou de mauvaises photos, c’est


une question de vente, c’est tout.

Maintenant, tout le monde ne sait pas forcément comment bien se vendre


ou bien vendre son travail.

La bonne nouvelle, c’est que cela s’apprend, comme on apprend à se servir


d’un appareil photo, avec des informations et des méthodes.

Pas besoin de se transformer en commercial ou en "business man" pour


vendre ses photos, il suffit juste d’appliquer la bonne stratégie.

Le "marketing" n’est pas un gros mot, c’est un moyen qui va vous permettre
de trouver plus de clients, gagner plus d’argent et vivre pleinement de
votre passion.
J’y suis arrivé, vous pouvez le faire aussi. Voici quelques ressources qui vont
vous aider à le faire !
MES RESSOURCES POUR
PHOTOGRAPHE PRO

Cela fait plusieurs années que je suis photographe professionnel. Au fil du


temps, j’ai répertorié et même créé plusieurs ressources très utiles pour
mes confrères : 

- Des articles de conseils sur mon blog  https://www.destination-


reportage.com/ressources-photographes-professionnels/
- Un podcast dédié au business de la photographie, avec notamment
des interviews de personnalités comme Dimitri Beck (Polka), Oliviero
Toscani, Laurent Baheux, etc… https://photographe-stratege.com/podcast

- Des références bibliographiques avec des livres sur la photo mais aussi
sur le marketing pour photographe :  http://www.destination-
reportage.com/bibliotheque-photographe-stratege/
- Un groupe Facebook privé et gratuit pour les photographes qui veulent
avoir accès à plus de contenu et se créer un réseau : https://photographe-
stratege.com/facebook/
MON LIVRE POUR LES
PHOTOGRAPHES
STRATÈGES 

Ce livre est une carte au trésor. 


Et non, je n’exagère pas, ce sont les premiers lecteurs qui ont trouvé cette
métaphore. 

Dans ce livre, je dévoile et surtout, je développe, la Stratégie que j’utilise


dans mon business photo. 
Cette Stratégie est simple, efficace et extrêmement puissante. Elle est la
base du programme de ma  «  Masterclass pour Photographe Pro 2.0 »,
un « Mastermind » dans lequel je forme et j’accompagne personnellement
des photographes professionnels.

Mais ce n’est pas tout ce que vous trouverez dans ce livre, voici ce que vous
allez trouvez également à l’intérieur :

• Les très nombreuses opportunités qui sont à votre portée


• Les bases pour se lancer comme professionnel
• Des témoignages et des conseils de grands photographes
• Des méthodes pour fixer vos tarifs et des exemples précis
• Des techniques pour vendre grâce à Facebook et Instagram
• Les ressources que j’utilise personnellement pour progresser
Des invités exceptionnels !

Je ne me suis pas contenté de partager mes conseils personnels dans ce


livre, j’ai fait également participer d’autres professionnels !

Pour partager un maximum de valeur, il fallait un «  casting  » de rêve que


voici :

• Ambroise Tézenas – Photographe artiste qui collabore avec la presse


et de grandes entreprises
• Olivier Lavielle – Photographe d’art représenté par la galerie
YellowKorner et ambassadeur pour Panasonic
• Pierre Morel – Photojournaliste qui travaille régulièrement en
commande pour de grands magazines comme « Paris Match »
• Olivier Föllmi – Photographe voyageur mondialement connu et
reconnu pour ses livres publiés dans de grandes maisons d’édition
• Wilfrid Estève – Photographe et directeur du Studio Hans Lucas (plus
de 400 photographes dans le monde)
• Dimitri Beck – Directeur de la photographie du magazine « Polka », le
principal titre de presse spécialisé sur la photo
• Eric Lafforgue – Photographe voyageur distribué par des dizaines
d’agences de presse dans le monde
• Julien Mignot – Photographe artiste et de presse, il collabore avec
les plus grands médias comme « Le Monde »,  » The New York Times »,
« L’Obs », etc…
• Maral Deghati – Picture Editor au sein du World Press Photo
• Steven Herteleer – Photographe et réalisateur dans la mode mais
aussi influenceur voyage avec plus de 500 000 followers sur
Facebook et plus de 100 000 sur Instagram !

Ces professionnels de l’image partagent des conseils qui valent de l’or


pour un photographe qui se lance ou qui souhaite booster son activité !

Le livre est disponible en version numérique ici :  https://


photographestratege.podia.com/ebook-photographe-stratege
Et également en version papier sur Amazon : https://amzn.to/2vJ7BJ9

Les avis des premiers lecteurs

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