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PLAN DE TRAVAIL

INTRODUCTION

I. Le déroulement du veuvage : période, durée, lieu et rite de veuvage

II. Les principales fonctions socioculturelles et psycho-psychiatriques des rites de


veuvage

III. Abus ou dérives et conduite à tenir

IV. Changement intervenus et leurs facteurs explicatifs

V. Piste de solution pour maintenir, pérenniser et promouvoir la pratique sociale

CONCLUSION
INTRODUCTION

Le veuvage est l’état juridique et social de la personne dont l’époux ou l’épouse est décédé.
Elle devient alors juridiquement veuf ou veuve. Elle perd son statut et les droits associés lors d’un
remariage ou d’une remise en couple. Le rite de veuvage, est un rite de purification pratiqué sur un
veuf ou une veuve contre la souillure de la mort.
I. Déroulement du veuvage : période, durée, lieu et rite de veuvage

Le veuvage correspond à la période qui suit immédiatement la mise en terre dans les
sociétés patrilinéaire, se tient la palabres qui décide du lieu du deuil, de la durée, de celui-ci,
de la date, de la levée, de terre et du traitement de la veuve. Le plus souvent, elle devra se
soumettre à certaines pratiques et restrictions, comme pleurer tous les matins, évoluer de
manière discrète, ne pas prendre soin d’elle et obtenir la permission pour tout déplacement.
Les pratiques sociales prescrivent une période de réclusion de la veuve dont la durée peut
varier de sept à 30 jours.

II. Les principales fonctions socioculturel et psycho psychiatrique des rites de


veuvage

Le veuvage obéit à tout un processus et un rituel digne pour qu’on s’y


intéresse(purification et désenvoûtement), surtout qu’il relève d’une violation flagrante de
droits de l’homme, au regard d’un homme international en la matière. Pour cerner, toute la
rigueur des services de veuvage , nous allons nous intéresser au veuvage de la femme qui est
loin le plus contraignant avec diverses étapes.

III. Abus ou dérives et conduite à tenir

Au-delà de la pratique, c’est tout un symbole. Le rite de veuvage, tel que perçu par
nos aïeux, est un acte traditionnel dont le but est d’accompagner l’esprit du défunt vers le
monde des morts. C’est un rite de purification pratiquer sur un veuf ou une veuve Contre la
souillure de la mort. Aujourd’hui on peut regretter le faite que tous ceux qui le pratique ne
maîtrise pas du tout sa signification d’où les dérapages observer : du coup, chacun son
interprétation. Un coup, c’est un passage obligatoire dans lequel la belle famille décide du
sort de la veuve ou du veuf et une autre fois, c’est l’occasion de se venger de la veuve qui
aurait tiré profit les revenus du défunt de son vivant. On se rend alors compte que c’est la
veuve qui trinque à tous les coups. (À l’annonce du décès du mari, la femme entrer
directement dans le village : Elle reste couchée et assise à même le sol, elle est dépourvu
de vêtements, le visage couvert de cendres ou de kaolin blanc en signe de deuil, enfermé
dans la chambre du défunt, sans vêtement, sans nourriture, et sans droits de visite). Après
l’inhumation elle est soumise à une autre série d’épreuves, (chaque matin, elle est
contrainte de faire une course à pied, le corps à moitié nue.) Et pendant celle-ci, le corps est
à la merci des moustiques de la première rosée du matin et des herbes épineuse, ensuite
elle est chargé d’un caillou sur la tête, tout en dansant, en criant, le nom de son regretter
Mari, et pendant qu’elle chante, elle est battu par sa belle-famille sous prétexte qu’elle est la
cause du décès de son mari.

Pour ne pas subir tous ces abus après le décès du conjoint, la veuve devrait se
présenter auprès des autorités qui vont lui accorder une protection face aux abus du
veuvage. Cette protection va permettre à la veuve de vivre en sécurité face aux attaques de
la belle-famille, et va permettre aussi de récupérer et d’avoir des droits sur les biens de son
défunt mari.
IV. Changement intervenus et leurs facteurs explicatifs

Sur le plan de la santé, nous observons souvent, une dépression du conjoint encore
en vie, sa santé s’amenuise peu à peu et dans certains cas, entraîne la mort peu de temps
après la mort du premier conjoint aussi des troubles somatiques (troubles caractérisés par
des symptômes physiques persistant qui sont associés à des pensées excessives ou
inadaptées à des sentiments) ce changement est dû au vide laissé par le conjoint. Sur le plan
rationnel, le conjoint va restreint ses relations Avec son entourage, nous allons observer une
baisse des visites rendus et des conversations. Cela est justifié par le mal de vivre que
ressent le conjoint.

V. Piste de solution pour maintenir pérenniser et promouvoir la pratique sociale

Afin de maintenir et promouvoir la pratique sociale, nous proposons de revoir les


différentes pratiques de cette dernière de réduire les inégalités, les différentes formes de
violence faite aux conjoints restants. la sensibilisation Pourrait aussi t’être un élément
essentiel pour maintenir la pratique sociale.
CONCLUSION

À toutes fins utiles, le veuvage est la situation dans laquelle un époux ou épouse
perd son conjoint. Son but est d’accompagner l’esprit du défunt vers le monde des morts,
d’éloigner l’esprit du défunt du conjoint vivant par le passage de différentes étapes rituelles.
Toutefois, nous observons des abus dans L’exécution de ce rite. Lors du déroulement, nous
constatons certains changements dans la vie du conjoint resté en vie. Cependant, quelques
moyens permettent de maintenir cette pratique et de lutter contre les violences faites aux
veuves.
BIBLIOGRAPHIE

 . https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Veuvage

 http://www.sylviabongoondimba.org/assets/uploads/resources/
Livre_des_Veuves_ferme_BD.pdf

 https://www.cor-retraites.fr/sites/default/files/2022-04/
Doc_08_veuvage.pdf

 https://socialsecurity.belgium.be/sites/default/files/wp-risque-de-pauvrete-
fr.pdf

 http://aide-afrique.com/expose-sur-le-veuvage.html

 Certaines informations tirées de nos différents entourages

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