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Groupe 4

Guyane française et Wallis-et-Futuna

Isabella da Silva Santos


Julianne dos Reis Gouvea
Lucas Oliveira Martins

SCRIPT

Ju : Salut ! Le monde de la francophonie est énorme. Et aujourd’hui nous allons en


découvrir encore plus.

Isa : Bonjour ! Oui ! Nous allons parler de deux départements outre-mer français : La
Guyane Française et les îles Wallis et Futuna et de leurs saveurs.

Lucas : Ouaou ! Ça, c’est très intéressant. Savez-vous que la Guyane Française est
un département outre-mer localisé en Amérique du Sud, qui figure comme le plus
grand de cette catégorie ?

Kevin : Ah, bon ? Super ! Ce que j’ai appris, c’est qu’elle a été nommée
département outre-mer en 1946. Et sa population ?

Lucas : Comme un grand département, sa population est aussi grande. En janvier


de cette année, elle correspondait à un peu près de 294 milles personnes.

Ju : C’est fantastique. Du côté de la religion, la Guyane est de majorité catholique.


Mais, on peut trouver aussi des peuples qui ont leur propre religion traditionnelle,
comme les Indiens et les Noirs-marrons, descendants des esclaves africains.

Lucas : Et quelles langues on parle en Guyane ?

Isa : Les langues les plus parlées sont le français et le créole guyanais, une variété
qui mélange les langues africaines et le français. Le créole guyanais est aussi parlé
au Brésil, vous savez ?

Kevin : Non, j’en étais pas au courant. C’est très intéressant.

Isa : Oui, on parle cette variété de créole dans quelques parties de l’État d’Amapá.

Kevin : Mais, est-ce qu’il y a une langue officielle ?


Isa : On dit que la langue française est la langue officielle et le créole, la langue
véhiculaire, c’est-à-dire, la langue la plus courante.

Ju : Et du côté de la gastronomie ? Qu’est-ce qu’on peut trouver d’intéressant en


Guyane Française ?

Lucas : L’un des plats les plus typiques est le bouillon d’awara.

Ju : D’awara ? C’est quoi, ça ?

Lucas : Awara est un fruit typique de la région. Il a une couleur orangée et on prend
de la poulpe pour la préparation de ce plat. On la fait bouillir avec quelques légumes,
comme l’aubergine, le concombre et les haricots verts, et quelques viandes,
poissons et fruits de mer : comme le lardon, le poulet rôti, et encore, la morue et les
crevettes.

Kevin : Hmm ! Il a l’air copieux, ce plat-là. Moi, je suis pour les desserts. Le plat
sucré le plus typique guyanais a une forte influence française.

Isa : Ah, ouais ! Tu parles du dizé milé ?

Kevin : Oui, j’en parle. Vous savez que la traduction de son nom est “oeuf de mulet”
?

Lucas : “Oeuf de mulet”. C’est rigolo !

Kevin : Oui, vraiment rigolo. Sa préparation se fait comme celle de beignet. La seule
différence est qu’on utilise du saindoux au lieu du beurre.

Ju : Très intéressant. Et sa garniture, c’est quoi ?

Kevin : La garniture du dizé milé est la crème impériale, à base de la crème


pâtissière et quelques épices, comme la cannelle, le zeste de citron et la muscade.

Isa : Hmmm ! Il me semble délicieux. Allez ! On va en Guyane !

Ju : Allons-y ! Mais, avant, que dites-vous d’aller à Wallis-et-Futuna ?

Isa: Super. Wallis et Futuna sont des îles qui se trouvent au milieu de l’Océan
Pacifique, au niveau de la Polynésie. On dit que ces îles représentent une
collectivité outre-mer et son territoire a jamais été colonisé.

Kevin : Ça veut dire ?..


Lucas : Ça veut dire que les traditions des peuples wallisiens et futuniens sont
encore de forte origine pacifique.

Ju : Formidable ! J’ai appris que la population actuelle du territoire correspond à


environ 11,5 (onze virgule cinq) milles personnes.

Kevin : Une petite population. Par rapport à la religion, j’ai lu qu’ils sont de majorité
catholique. Mais, l’intéressant, c’est que, après les messes, il y a les cérémonies du
kaga et du katoaga.

Isa : Du quoi ?

Kevin : Le kaga et le katoaga sont des cérémonies de partage entre les présents et
de la présentation de quelques danses typiques.

Isa : Ah, oui, je vois. Par rapport aux langues, nous avons celles officielles, comme
le français et le wallisien. Mais, c’est aussi possible d’entendre d’autres langues
autochtones comme celle de Futuna, bien proche de la langue samoane.

Lucas : Très intéressant. Mais, allons à ce qui nous intéresse: la nourriture.

Ju : La cuisine wallisienne et futunienne ont des fortes influences de la culture du


peuple du Pacifique. Le plat le plus typique c’est le Umu.

Lucas : C’est quoi, ça ?

Ju : Le Umu, c’est la cuisson de plusieurs ingrédients, surtout du porc et des


coquillages avec quelques tubercules comme le taro et l’igname. Ils sont enveloppés
dans des feuilles de bananiers et placés dans un four creusé dans le sol.

Kevin : Appétissant ! Et du côté du dessert ? Qu’est-ce que nous en avons ?

Isa : Il y a le “lu”. Une préparation sucrée aussi cuite au four traditionnel creusé dans
le sol et qui est composée de lait de coco et de farine de manioc. Ce plat-là est une
tradition et est présent dans toutes les fêtes wallisiennes.

Lucas : Très intéressant. Je crois que maintenant nous avons deux grandes
destinations à découvrir.

Ju : Oui, je suis d’accord. Prenons nos bagages et allons-y !

Kevin : Allons-y !

Isa : C’est parti et au revoir !


Tous : Au revoir !

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