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A tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre ont apporté une
aide à ce travail,
SOMMAIRE
CIGLES ET ABREVIATIONS
INTRODUCTION GENERALE
I – PRESENTATION DE L’ESTA
I.1. Situation géographique et adresse
Créée en 2003, l’ESTA est agréée par l’Etat du Burkina Faso : arrêté ministériel portant
autorisation d’ouverture 2004-125/MESSRS/SG/CNESSP/SP du 5 juillet 2004. L’école
est située à l’ouest de la mairie de nongr- massom à 400 m de l’hô tel Silmandé et
répond aux adresses suivantes :
- Adresse postale: 09 BP 384 OUAGADOUGOU 09 BURKINA FASO
- Téléphone : (226) 50 39 18 48
- Téléphone/Fax: (226) 50 39 18 49
- E-mail : esta@zcp.bf
I.2. Formations
La spécificité de l’ESTA au niveau de la formation repose sur :
- La qualité et la rigueur de l’encadrement pédagogique
- L’efficacité des partenariats développés
- La qualité du matériel didactique
Dans le souci de mettre à la disposition des entreprises nationales et sous- régionales,
des techniciens supérieurs et ingénieurs qualifiés immédiatement opérationnels et
répondant aux profils recherchés dans divers domaines d’activités, l’ESTA offre depuis
sa création, une formation professionnelle de haut niveau en cours du jour et soir dans
les filières ci-dessous.
I.2.1. Formations Diplômantes
Informatique de Gestion
Finances – Comptabilité
* DUT Français, en partenariat avec l’Université du Littoral (Bac + 2)
Génie Electrique et Informatique Industrielle
* Licence Professionnelle
L’ESTA assure également des formations post BTS en Licence Professionnelle dans les
filières suivantes :
Réseaux Informatiques et Télécommunications (RIT)
Electronique et Automatismes Industriels (EAI)
Systèmes d’Information et Réseaux (SIR)
Finances & Audit comptables (FAC), en partenariat avec l’IBAM
* Master d’Ingénierie
L’ESTA assure également des formations en master dans les filières suivantes :
Réseaux Informatiques et Télécommunications (RIT)
Electronique et Automatismes Industriels (EAI)
II.1. Historique
La Société Nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) est une société d’état depuis le
14 avril 1995. En 2007 la SONABEL disposait d’un capital social de 46 milliards de FCFA.
Son chiffre d’affaire est de 74 813 000 000 FCFA et les bénéfices s’élèvent à environ 3
milliards. Elle dispose d’une puissance thermique totale installée de 217 MVA et d’une
puissance hydroélectrique totale installée de 32MW. Son siège social se situe à
Ouagadougou. Elle compte 1420 agents à son actif.
Avant de devenir en 1975 un des établissements publics à caractère industriel et
commercial (EPIC) puis en 1995 une société d’état, la SONABEL a connu de nombreuses
mutations, tant au niveau de sa structure financière (capital) que de sa dénomination.
Parmi ces mutations nous pouvons retenir entre autres les dates suivantes :
1954 : l’énergie AOF qui était une société privée française débute l’activité de
production et de distribution de l’énergie électrique à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso
respectivement en février et en octobre ;
1956 : l’extension de l’activité de distribution d’eau dans les deux villes ;
1960 : la reprise de l’ensemble des activités par la Société d’Economie Mixte
Multinationale- SAFELEC- au capital de 150 millions de francs CFA ;
1968 : la société anonyme de droit voltaïque avec la dénomination Société Voltaïque
d’électricité (VOLTELEC) prend la relève du territoire national, dotée d’un capital social
de 1 million de francs CFA ;
1970 : l’abandon de la distribution d’eau par la VOLTELEC ;
1976 : la VOLTELEC prend la forme d’Etablissement Public à Caractère Industriel et
Commercial (E.P.I.C) ;
1984 : la VOLTELEC devient la Société Nationale d’Electricité du Burkina en abrégé
SONABEL ;
1995 : la SONABEL devient une société d’état ;
1997 : les statuts de la SONABEL comme société d’état sont approuvés ;
1998 : l’ouverture du sous-secteur d’électricité au privé ;
2004 : à 50 ans, la SONABEL compte 55 centres électrifiés et 234 860 abonnés
2009 : Elle compte 104 centres électrifiés, 1016 abonnés en MT et 337155 abonnés en
BT.
La direction de la distribution ;
Pour mener à bien sa mission la SONABEL s’est fixée de nouveaux objectifs horizons
2013 à savoir :
Compétente ;
Soudée ;
Respectueuse de la clientèle ;
b. Organigramme de la centrale
L’organigramme de la centrale se présente comme suit :
I.2. La tuyauterie
Ce sont des récipients destinés au stockage de l’eau. Elles constituent des réservoirs
tampons entre les sources principales (ONEA, forage) et les différents systèmes
d’utilisation de l’eau. La répartition de la centrale en trois sous centrales va entrainer
l’utilisation de trois cuves d’eau brute. La centrale est organisée comme suit :
Sous centrale n°1 ou encore centrale A constitué des groupes G1, G2, G3, G4 et G5
alimentée par une première cuve A de capacité Renseignements sur les cuves. Cette
cuve permet également d’alimenter une cuve incendie par gravitation.
Sous centrale n°2 ou encore centrale B constituée par le groupe G8 dont
l’alimentation est assurée par la cuve B de capacité Renseignements sur les cuves.
Sous centrale n°3 ou encore centrale C constitué des groupes G6 et G7 alimentée par
une cuve C de capacité Renseignements sur les cuves. Cette cuve est en outre utilisée
comme cuve incendie.
Cuve A cuve B
I.4. Le forage
Un forage est trou creusé dans la terre pour trouver et exploiter des ressources
naturelles enfouis telle l’eau. Le forage de la SONABEL est essentiellement constitué
d’une pompe immergée GRUNDFOS SP pour le pompage de l’eau et de tubages pour la
canalisation de l’eau.
I.5. La commande du forage
II.2. Fonctionnement
L’ONEA constitue la source de remplissage des cuves d’eau par défaut. Le remplissage
des cuves par l’ONEA se fait de façon gravitationnelle. La baisse de la pression d’eau au
niveau de l’ONEA se traduit par un désemplissement progressif des cuves jusqu’à la
détection de niveau bas sur l’une ou l’autre des cuves. C’est à partir de cet instant
qu’intervient le forage pour faire l’appoint des cuves. Cependant, le fonctionnement de la
commande du forage ne permet pas de faire un appoint de toutes les cuves. En effet en
mode automatique, la pompe du forage ne gère que le remplissage de la cuve A : à la
détection du niveau bas de cette cuve, la pompe démarre afin de permettre son
remplissage à travers une vanne manuelle permanemment ouverte et pour ne s’arrêter
qu’à la détection du niveau haut. Pour ce qui concerne le remplissage des autres cuves à
travers le forage, il faut passer la commande de la pompe en mode manuel, ouvrir
sélectivement les vannes permettant le remplissage des cuves concernées et ordonner le
démarrage de la pompe. Pour chaque cuve pleine fermer la vanne de remplissage et à la
fin arrêter la pompe.
Littérature sur PO
Tout problème d’automatisation commence par celui de la saisie d’informations
provenant du système à automatiser. C’est ainsi que nous allons commencer par celui
des capteurs.
I. LES CAPTEURS
Les capteurs sont des dispositifs qui permettent de transformer une grandeur physique
(force, pression, niveau…) provenant d’un processus en une information logique ou
analogique sous forme de signal électrique exploitable par la partie commande. Les
principales caractéristiques d’un capteur sont : l’étendue de sa mesure, sa sensibilité, sa
rapidité, sa précision. En outre, plusieurs critères peuvent être pris en compte dans le
choix d’un capteur. Ce sont entre autre le type d’évènement à détecter, l’environnement
de l’évènement, la grandeur de l’évènement.
Pour ce qui concerne notre processus, nous allons essentiellement utiliser des
détecteurs de niveau déjà installé sur les équipements. Ils permettent de détecter les
niveaux d’eau (haut, bas) dans les différentes cuves mais aussi d’éviter la marche à vide
de la pompe du forage. Les différentes variantes de détecteur de niveau utilisées sont :
- Introduire les câ bles, monter les boites d’extrémité des câ bles et brancher
conformément au schéma de raccordement (voir intérieur du couvercle de
l’appareil et instructions). Raccorder la mise à la terre et l’équipotentiel.
- Fermer tout d’abord le couvercle et appliquer la tension.
Schéma de connexion
Caractéristiques :
- Pression nominale PN 25 max. 25 bar à 300°C
- Température de service 0 à 300°C
- Température ambiante 0 à 70°C
- Densité du liquide min. 0,75 kg/dm3
- Différentiel fixe 12 mm
- Matériau coté liquide acier inoxydable (CrNiMo)
- Matériau bride acier inoxydable (CrNiMo)
- Matériau boîtier de fonte d'aluminium sous pression
commande résistant à l'eau de mer
- Dimensions de bride 92 92mm (diamètre cercle de
perçage : 92mm)
- Poids environ 1,8kg
- Indice de protection IP65
- Pouvoir de coupure 5A/250 VAC 5A/30 VDC
Entretient :
- Couper la tension d’alimentation avant d’ouvrir le boîtier. Les électrocutions
peuvent être mortelles.
- Amener le réservoir du processus à la pression atmosphérique, dans le cas
échéant abaisser le niveau.
- Desserrer la liaison bridée et démonter le contrô leur
- Vérifier le fonctionnement aisé et sans obstacle du flotteur sur la totalité de son
débattement
- Enlever les dépô ts de saleté de tartes etc.
- Vérifier le bon fonctionnement du module de commande à l’aide d’un contrô leur
de continuité à sonnette (bip) en manœuvrant le flotteur sur la totalité de sa
course.
Fonction :
- Utilisé pour vidanger des réservoirs
- Utilisé pour le remplissage de réservoir
- Utilisé comme alarme de détection niveau haut ou bas.
données :
- connexion proc : capteur flottant directement à la surface
- Puissance max : 5A à 250VAC
- Sortie : connecteur (C, NO, NC)
- Température de service 0 à 85˚C
La gamme de pompes immergées Grunfos est renommée pour son rendement élevé et sa
grande fiabilité. Réalisée entièrement en acier inoxydable résistant à la corrosion, les
pompes Grunfos conviennent à de large éventail d’applications comme par exemple
l’adduction d’eau brute, la surpression, l’irrigation et divers applications industrielles.
Les pompes Grunfos offrent par leur conception et leur matériau de réalisation une
grande résistance au sable et aux autres substances abrasives. Les caractéristiques
techniques de la pompe sont :
- Débit jusqu'à : 470m3/h
- Hauteur manométrique : jusqu'à 670 m
- Température liquide : 0° à 60°c
- Profondeur installation : Max 600 bar
- Démarrage direct.
- Tension alim : 3x400 V + 6%/-10 %
- Fréquence : 50/60Hz
Pompe Grunfos SP
Outre ces équipements il faut noter le système de commande que nous verrons plus
tard.
Ces deux boutons décrits plus haut vont être définis en configurant les touches Zx
présents sur la face avant du module dont nous ferrons l’étude ultérieurement.
III.2. Grafcet niveau 1
Le grafcet niveau 1 décrit les spécifications fonctionnelles, c’est-à -dire l’enchainement
des étapes sans préjuger de la technologie. Il fait abstraction à toute réalisation
technologique.
IV.1.1. Utilisations
Les modules Zelio Logic sont destinés à la réalisation de petits équipements
d’automatismes. Ils sont utilisés principalement dans les secteurs d’activité de
l’industrie et du tertiaire.
Pour l’industrie ils sont utilisés dans :
- Automatismes de petites machines de finition, de confection, d’assemblage ou
d’emballage,
- De petits équipement d’automatisme fonctionnant à ~ 48 V
- Automatismes décentralisés sur les annexes de grosses et moyennes machines
(domaine du textile, du plastique, de la transformation de matériaux,…),
- Automatismes pour machines agricoles (irrigation, pompage,…).
IV.1.2. Variantes
Il existe deux variantes de modules logiques programmables Zelio Logic :
a. Les modules logiques compacts
Ces modules répondent aux besoins d’automatismes simples. Les entées sorties
sont au nombre de 12 ou 29 E/S alimentées en 24 V AC ou 12 V DC ; 20 E/S
alimentées en 48 V AC ; 10,12 ou 20 E/S alimentées en 100…240 V AC ou 24 V DC.
b. Les modules logiques modulaires et extensions
Les entrées/sorties pour les modules logiques modulaires sont au nombre de 26
E/S alimentées en 24 V DC ; 10 ou 26 E/S alimentées en 24V AC, 100…240 V AC
ou 24V DC.
Pour lus de performance et de flexibilité, les modules Zelio Logic modulaires
peuvent recevoir des extensions afin d’obtenir un maximum de 40 E/S :
- Extensions de communication réseau Modus ou Ethernet, alimentées en 24 V DC
par le module Zelio Logic de même tension.
- Extension d’entrées/sorties analogiques avec 4 E/S, alimentées EN 24 V DC par le
module Zelio Logic de même tension.
- Extensions d’entrées/sorties TOR avec 6, 10, ou 14 E/S alimentées par le module
Zelio Logic de même tension.
IV.1.3. Programmation
La simplicité de la programmation des modules Zelio Logic, garantie par l’universalité
des langages de programmation, satisfait aussi bien aux exigences de l’automaticien
qu’aux attentes de l’électricien. La programmation peut être effectuée de façon
autonome en utilisant le clavier du module Zelio Logic pour ceux muni d’écran (langage
à contacts), ou sur PC avec le logiciel “Zelio Soft 2”. Dans ce dernier cas la
programmation peut être réalisée soit en langage à contact (LADDER), soit en langage
blocs fonctions (FBD).
En outre on peut retenir que l’autonomie de l’horloge, garantie par une pile lithium est
de dix (10) ans et que la sauvegarde des données (valeurs de présélection et valeurs
courantes) est garantie également pour 10 ans par une mémoire Flash EEPROM
IV.1.4. Communication
La communication avec le module Zelio Logic se fait à travers :
a. Les outils de programmation par câ bles et sans fil
Ils permettent de connecter le module Zelio Logic au PC équipé du logiciel “Zelio
Soft”. Il s’agit de liaison par câ bles de type câ ble SR2 CBL01 sur port série 9
contacts ou câ ble SR2 USB01 sur port USB, de liaison sans fil via une interface
Bluetooth SR2 BTC01. En plus le module est capable de recevoir une cartouche
mémoire de sauvegarde qui permet de dupliquer le programme dans un autre
module Zelio Logic ou de sauvegarder le programme en prévision d’un
remplacement de produit.
b. Les extensions de communication réseau Modbus esclave et Ethernet serveur :
Ces modules permettent une connexion aux équipements d’automatismes tels
que des afficheurs ou des automates programmables.
c. Interface de communication Modem
L’offre “Interface de communication Modem” de la gamme Zelio Logic se compose
d’une interface de communication Modem SR2 COM01 connectée entre un
module Zelio Logic et un Modem, de Modems RTC (1) SR2 MOD01 ou GSM (2)
SR2 MOD02, du logiciel “Zelio Logic Alarm” SR2 SFT02.
Le logiciel “Zelio Soft 2” surveille les applications grâ ce à son test de cohérence. A la
moindre erreur de saisie, un indicateur passe au rouge. Il suffit d’un clic sur la souris
pour localiser le problème. En outre, le logiciel permet à tout moment de passer dans
l’une des 6 langues (anglais, français, allemand, espagnol, italien, portugais) et d’étudier
le dossier application dans cette langue.
Le logiciel “Zelio Soft 2” permet de configurer des blocs fonctions texte, affichables sur
tous les modules Zelio Logici avec afficheur.
Pour ce qui concerne les langages de programmation, Zelio Soft nous offre deux
langages :
commande avec cinq (5) contacts et une (1) bobine. En mode LADDER nous disposons
des fonctionnalités suivantes : 16 blocs fonction textes, 16 temporisateurs chacun
paramétrable parmi 11 types différents (1/10 de seconde à 9999 heures), 16
compteurs/décompteurs de 0 à 32767, 1 compteur rapide (1 kHz), 16 comparateurs
analogiques, 8 horloges, 28 relais auxiliaires, 8 comparateurs de compteurs, 28 blocs
messages, un écran LCD avec retroéclairage paramétrable, diversité des fonctions :
bobine, contacteur, télérupteur …
V. PROGRAMME EN LADDER
Du grafcet niveau 2 décrivant le fonctionnement du système nous pouvons tirer le
tableau des équations suivant :
METHODOLOGIE DE DEPANNAGE :
CRITIQUES ET SUGGESTIONS
ESTA/Rapport de fin de cycle Page 42
Conception d’un automatisme de remplissage des cuves d’eau de la centrale Kossodo à partir du forage
CRITIQUES
Notre stage dans la centrale s’est déroulé dans un très bon climat de travail. L’esprit
de rigueur et de fraternité dans le travail des agents a facilité notre intégration dans
la centrale Ouaga Nord. Très vite nous avons fait le tour de toutes les sections et
compris les grands points du fonctionnement de la centrale. L’organisation est telle
que chaque section est impliquée dans le fonctionnement de la Centrale, ce qui
permet une harmonisation et une bonne marche du travail ; la plupart des petites
défaillances étant résolues dans des délais acceptables.
Par ailleurs nous avons constaté durant notre stage dans la centrale Ouaga Nord
certaines défaillances qui d’une manière ou d’une autre nuisent au bon
fonctionnement de la centrale.
Les lourdeurs administratives qui ralentissent certaines interventions de dépannage
et réparation. En effet, pour certaines pièces de rechanges non disponibles il faut
forcément passer par des boutiques témoins qui peuvent ne pas avoir ces pièces.
Nous avons pu remarquer que les agents une fois formés et mis sur le terrain ne
fournissent pas assez de recherche personnel dans la documentation de la central
afin d’accroitre leurs connaissances sur les équipements.
En outre, il existe des domaines dans lesquels il manque du personnel ayant une
connaissance très poussée. C’est le cas par exemple en automatisme où pour
certaines pannes il faut l’intervention de tiers personnes.
Par ailleurs, force est de noter que sur certains points les conditions de travail du
personnel ne sont pas des plus enviables. C’est le cas par exemple de la dotation en
habillement. Ainsi il est possible de voir des agents dans des tenus pas catholiques
pour le travail qu’ils effectuent.
SUGGESTIONS
Pour une meilleure rentabilité au niveau de la production, nous suggérons tout d’abord à
la SONABEL d’œuvrer plus à l’amélioration des conditions de vie et de travail de son
personnel car une entreprise ne vaut d’abord que par son personnel.
Ensuite il faudra procéder au recrutement et à la formation du personnel sur les
équipements dont ils ont la charge. Il faudra aussi trouver une stratégie pour encourager
le personnel à la lecture et à la culture personnelle.
Alléger les lourdeurs administratives en votant un budget disponible pour des cas
nécessiteux.
Pour ce qui est du forage, nous suggérons la commande et l’installation d’une deuxième
pompe qui pourrait fonctionner en parallèle.
CONCLUSION
Nous venons donc de mener une étude sur l’automatisme de remplissage des cuves
d’eau de la centrale de Kossodo à travers le forage. Dans cette étude, nous face au
nombre d’entrées/sorties limitées fait des recherches afin de proposer un module
satisfaisant au besoin d’automatisation et à un coû t abordable. Ensuite nous avons
proposé un programme de gestion rationnelle du fonctionnement d’appoint d’eau tenant
compte de contrainte telle la différence de capacité entre les cuves.
Cette étude va donc permettre à la SONABEL de bénéficier d’un système d’appoint
efficace de leurs cuves d’eau.
Pour ce qui nous concerne, ce stage à été particulièrement bénéfique dans la mesure où
il nous a permit de conjuguer nos connaissances théoriques aux réalités pratique du
terrain. Constituant en quelque sorte une transition entre notre vie estudiantine et la
carrière professionnelle que nous embrassons dès à présent. En outre le thème sur
lequel a porté notre étude, très en rapport avec notre formation nous a incité à plus de
recherches et nous a permis de puiser dans nos ressources théoriques pour résorber un
problème pratique.
Tout en espérant que cette étude satisfasse les attentes de la SONABEL, nous l’invitons à
faire d’avantage confiance aux étudiants et à les accompagner dans leurs études de fin
de cycle. Chose qui permettra, vu que le personnel manque de temps de résoudre bien
d’autres problèmes tels la résolution de la panne au niveau de la chaudière.