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JEAN-PAUL SARTRE

Il est nait dans une famille de la grande bourgeoisie. Après la mort de son père il a vécu
entre sa mère et les livres. Étudiant brillant, il abandonne l’enseignement pour se consacrer
exclusivement à ses oeuvres philosophiques et littéraires, où son existentialisme prend
forme. Le deux livres principaux qui mettent en place le problème de l’existence sont : la
Nausée (1938) et les Chemins de la liberté.
Il a joue un rôle important dans la politique: il n’a jamais ménagé ses critiques à DeGaulle
est a participé les combats de l’extrême gauche.

OEUVRE

La Nausée

Ce livre a été le plus important livre de référence pour le génération des années 40: il traduit
le mal de vivre de ceux qui ne savent plus quelle signification donner à l’existence.
Roquentin, le personnage principal, parvient à douter de lui-même et aussi de sa pensée. En
parodiant Descartes il affirme : “je ne pense pas, donc je suis un moustache”. À la fin, il
croit d’avoir trouver la solution de l’art comme ultime justification. Au contraire, l’écrivain
Sartre, prendre conscience du poids de la réalité, en rejettent l’idée de l’art.

La Nausée se présente sous la forme d’un journal intime tenu par Antoine Roquentin, un
jeun homme. Il poursuit des recherches d’histoire et se rend à Bouville pour consulter des
ouvrages à la bibliothèque municipal. L’atmosphère qu’il vit dans la cité, lui transmet un
sens de Nausée, un sentiment de dégoût de l’existence. Tout lui semble absurde et ses
recherches sur le passé lui semblent tot à coup vaines. De retour à Paris, Il décide
d’abandonner l’histoire pour se consacrer à la littérature, de cette façon s’il avait réussi à
faire une oeuvre d’art en racontant sa vie, il aura trouvé sa propre justification.

Parcours existentiel

Roquentin, en proie à la Nausée , comprend soudain la raison de son état: les choses existent
indépendamment d’une quelconque volonté.

L’experience du marronnier
Roquentin se trouve dans un jardin public, assis sur un banc. En observant en bas il note la
racine d’une marronnier enfoncé dans la terre. En ce moment, les mots perdent de
signification et ce qu’il observe n’est plus une racine, mais tout simplement une masse noire
et noueuse. Il parle d’une illumination qui lui coupe le soufflé. Il comprendre, de cette
façon, le sens du mot “exister” en prenant conscience de l’existence de la mer verte, de la
mouette que dans la vie quotidienne il n’a jamais considéré. En effet il dit que à l’ordinaire
l’existence se cache. Il met l’accent sur le verbe être que dans le phrases, habituellement,
exprime seulement une qualité. Donc, il faut aller au déla.

L’experience de la main

Roquentin ici, décrit d’abord sa main en la comparant à un être vivant, un crabe, et arrive à
la conclusion qu’elle est une entité indépendante de lui et c’est cette main qui domine les
outres objects (poche). Où il la met, elle continuera à exister et il ne pourrait jamais la
supprimer. À travers la chaleur de la cuisse qui passe par le toffe. il comprend que la main
existe.

Je pense donc je suis…Variations

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