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Compte rendu de lecture.

Littérature VI, 2019-2


1. Nom et prénom de l’étudiante : Sánchez García Carolina
2. Période concernée : 1930-1955
3. Genre concerné : Théâtre, Huis clos, Jean Paul Sartre
4. Référence bibliographique complète :
GALSTER, Ingrid.  Le théâtre de Jean Paul Sartre devant ses premiers critiques.
Paris : L’Harmattan, 2001.
SARTRE, Jean Paul. Un théâtre des situations. Gallimard, 1973 (version
numérique)
SCOLNICOV, Hanna. La obra de teatro fuera de contexto. Mexico: Siglo XXI,
1991.
« Biographie de Jean Paul Sartre », Alalettre. Consulté : 4 avril 2019
http://www.alalettre.com/sartre.php
5. Présentation générale :
La pièce de théâtre Huis Clos a été écrit par Jean Paul Sartre et a été publié en 1944
après la deuxième guerre mondiale, où il a été emprisonné. L´écrivain français est
né à Paris en 1905, et ses études l’ont emmené au monde de la philosophie et de la
littérature, bien que son époque lui a demandé devenir un homme engagé avec sa
société. En 1929 il a reçu un prix à l’agrégation philosophique et là il a connu
Simone de Beauvoir.
Sa création littéraire inclus des contes, des romans, des traités et des pièces
théâtrales comme : La Nausée, Le Mur, L’Être et le Néant, Les Mouches,
L’Existentialisme et un humanisme. Il a dirigé la revue Les temps modernes et a fait
des travaux journalistes.
L’œuvre a comme lieu un salon impérial, trois personnages qui ne laissent jamais le
salon, et elle se développe dans un seul acte, pour ces raison le poids narrative et
toute la tension naissent de l’interaction entre les personnages, la ligne iconique de
la pièce : « L’enfer, c’est les autres » de laquelle on pense comme les autres peuvent
avoir telle importance dans les vies d’autres pour créer un enfer, en ce n’est pas la
première pensé du grand génocide fait au temps de la guerre, mais le jours après où
peut être l’homme que achète du pain au marché c’est le même qui a torturé à ta
femme ou a tué à tes enfants. On peut penser dans une ville de la post-guerre pleine
de jugements et des remords après ces expériences vécues.
Donc, Sartre a écrit un œuvre dans seul acte que ne changera jamais et selon cet
unique acte on connaît aux personnages où personne est innocent et entre ils se
moquent du passé d’autres et se condamnent entre eux-mêmes, et comme cela pour
l’éternité, ils ne peuvent pas échapper ni se suicider.

6. Raisons ayant fondé le choix de ce texte :


J’ai choisi ce texte pour mes préférences personnelles, il y a certain temps que j’ai
commencé à lire l’œuvre de Sartre, en quand c’est possible je reviens à lui. J’aime
la philosophie existentialiste et comme elle relie l’existence individuelle avec les
autres existences, c’est-à-dire, les autres personnes qui n’existent pas comme nous,
mais qui peuvent reconnaître notre existence ou dans autre côté plus ténébreux, la
denier. Avant ce pièce j’avait lu La Nausée, et Le Mur, où ses personnages pendent
que pense, et sens sur leurs existences deviennent des personnages infinis, pas en
complexité mais en dimension. Et malgré l’absurde qui accompagne aux
existentialistes, il y a un espoir chez Sartre, tu es libre, et tu peux jouer, comme dans
le conte « L’enfance d’un chef », où le personnage peut imaginer toutes les scènes
possibles, et ainsi il ouvre autres mondes dans son intérieur.
7. Éléments pour comprendre l’inscription du texte dans sa période historique :
L’esprit des gens après la Deuxième Guerre Mondiale devait se renouveler, se
reconstruire, et même renaître comme l’humanité décide construire un monde après
avoir être victime de l’inhumanité. Je pense que la conciliation de gens avec les
autres et eux-mêmes, de quelque manière devait être promouvoir dans la littérature,
aussi le pardon, mais dans cet œuvre ce n’est pas visible. Les personnes devaient
accepter qu’est-ce qu’il avait passé, et dimensionner leur souffrance ou la bestialité
qu’ils avaient expérimentée. « Je te tue parce qu’il me tuera si je ne le fasse pas », et
bon, l’élection a été fait, dans le passé. Et l’humanité écrit son histoire chaque jour
et à chaque moment, la critique c’est nécessaire, nous nous dirigeons comme
humanité. Mais on doit être empathiques en faisant ces critiques, pour pouvoir
établir de relations, le journaliste Julien Green a dit : « L’enfer c’est avant tout de ne
pouvoir aimer. », au lieu de nous juger on peut nous aimer au premier lieu, nous
accepter, et dans une ambiance plus harmonique analyser les sujets qui peuvent être
problématiques entre sujets sans la possibilité de commencer une guerre, et comme
cela construit un monde paradisiaque, si on rêve un peu.
8. Axes probables d’analyse :
Le chaud c’est un élément de l’œuvre dont les personnages font plusieurs références
et indiquent que tel chaud ne permettrait pas la présence de certaines formes de vie
comme Estelle dit : « Des fleurs? (…) Elles se faneraient ici : il fait trop chaud. »
(Huis Clos, Sartre, p. 30), ils devaient être actives, interagir beaucoup, on peut
penser aux personnages du pièce de théâtre comme des molécules en état gazeuse
qui en fait a été la cause de la mort d’Inès, le gaz. De cette manière, la vision de
l’histoire est plus scientifique, un peu méthodologique, les mêmes personnages
doivent découvrir à travers de la logique pour quoi ils sont-là, ils sont des sujets
conscients sujets d’un expriment de laboratoire.
Il aide aussi à construire l’ambiance de l’enfer, un lieu insupportable, asphyxiant, où
il n’y a pas sortie, et tu dois répéter le même acte par toujours, mais tu ne le dois pas
répéter, cela est l’astuce, quand tu finis de raconter une histoire tu peut commencer
autre, ou tu peux la relie par l’éternité et n’acquérir ni les vivances ni les
connaissances pour agrandir tan vision, la nourrir, la développer ou même
l’expérimenter dans les situation différentes.
Bien que Sartre a dit que les personnages ne peuvent pas sortir de scène et rentrer
était parce qu’il ne voulut pas que ses amis pour lesquels il avait écrit l’œuvre
sentaient qu’un était plus importante que l’autre et pour cela un resté à la scène tous
ensembles. C’est intéressant que ce désir de collectivité donnât la perspective
infernale de la convivence humaine.
9. Textes critiques permettant d’approfondir la lecture
GALSTER, Ingrid.  Le théâtre de Jean Paul Sartre devant ses premiers critiques.
Paris : L’Harmattan, 2001.
SCOLNICOV, Hanna. La obra de teatro fuera de contexto. Mexico: Siglo XXI,
1991.

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