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Introduction :
Partie I : Bibliographie :
1. Le mesurande : grandeur à mesurer et moyens de détermination
2. Définitions des principaux termes employés
Partie II : Réalisation expérimentale :
1. But et Objectif
2. Domaine d’application
3. Documents de référence
4. Matériels et méthodes
4.1 Matériel
4.2 Principe
5. Réalisation pratique
5.1 Opérations préliminaires
5.2 Mode opératoire : programme d’étalonnage
5.3 Montage s’il y a lieu, dispositif de mesure
6. Etude métrologique
Recherche bibliographique :
I. Le mesurande :
Le micromètre est une unité de longueur du Système international d'unités (SI) valant un millionième de
mètre et ayant pour symbole μm, valant 0,000001 mètre (10 -6 mètre).
● Définition du mesurande : La grandeur à mesurer est la longueur.
● Positionnement dans le système International des Unités, SI : L'unité de mesure de base de la
longueur, dans le système international (SI), est le mètre (m).
● Méthodes de mesure directe ou indirecte :
Il existe deux méthodes pour réaliser des mesures dimensionnelles : la mesure directe et la mesure indirecte. La
mesure directe consiste à mesurer directement les dimensions de la cible au moyen d’un instrument tel qu’un pied
à coulisse, un micromètre ou une machine à mesurer tridimensionnelle. Les mesures réalisées sont appelées
mesures absolues. La plage de mesure admissible est relativement étendue, en fonction de l’échelle de l’instrument
de mesure, mais cette méthode présente un risque d’erreur car le résultat repose sur la lecture correcte de l’échelle.
La mesure indirecte consiste à mesurer les dimensions au moyen d’un instrument de mesure tel qu’un indicateur à
cadran, qui évalue la différence entre la cible et la référence (cale étalon, bague de contrôle, etc.). Les mesures
réalisées sont dites comparatives, car une comparaison à un objet aux dimensions standard est effectuée. Plus la
forme et les dimensions de la référence sont précises, plus la mesure est facile. Cependant, cette méthode
présente aussi l’inconvénient d’offrir une plage de mesure limitée.
Pour mesurer de très petites longueurs telles que le diamètre d’un globule du sang , les dimensions d’un microbe ,
on utilise :
a) Le micron , en abrégé m ( mu) , est égal à 0,001 mm.
b) Le millimicron , en abrégé mm , est égal à 0,001 m
Pour exprimer de très grandes longueurs , par exemple la distance entre deux astres , les astronomes utilisent :
a) l’unité astronomique : distance de la terre au soleil , soit environ 150 millions de km.
b) L’année lumière : distance parcourue en 1 an par la lumière dont la vitesse est de 300 000 km par seconde
;
c) Le « parsec » qui est égal à environ 3, 25 années – lumière.
Les instruments utilisés pour la mesure des longueurs ont , suivant les cas, des formes diverses
et sont construits avec différents matériaux.
Les mètres rubans sont composés de plusieurs réglettes ; la première réglette est divisée en centimètres et
millimètres et les autres uniquement en centimètres.
Le mètre pliant en bois ou métal :
Le double décimètre :
Le double décimètre ou décimètre sont des réglettes plates , biseautées en bois , métal , ou en matière plastique ,
divisées en centimètres , millimètres et demi- millimètres .Ces instruments sont utilisés par les dessinateurs.
Chaîne d’arpenteur :
Le double décamètre , le décamètre , le décimètre ,servent aux arpenteurs pour mesurer les
dimensions d'un terrain
Rayon laser :
Plus fréquemment , les arpenteurs mesurent les distances par des visées au moyen d’appareils d’optique appelés
« télémètres »
Mesure des petites longueurs : Mesure de précision :
Pieds à coulisse :
Il permet de mesurer les longueurs à 0,1 mm prés ou 0,05 mm près . ( 2 centièmes de mm)
Les palmers :
Le palmer est utilisé par les mécaniciens de précision pour mesurer le diamètre d’un fil , l’épaisseur d’une tôle ,
etc.…Sa partie principale est une vis très bien travaillée qui se déplace de 1 mm à chaque tour . La tête de cette vis
est munie d’un tambour divisé en 100 parties égales , ce qui permet d’apprécier le centième de tour , c'est-à-dire de
mesurer une épaisseur à 0,01 mm près.
1-Définition de micromètre :
Le micromètre, ou anciennement « palmer », est un instrument de mesure de longueur. Sous sa forme
courante, il est très utilisé en mécanique pour mesurer épaisseurs, diamètres de cylindres (micromètre
d'extérieur) ou diamètres d'alésage (micromètre d'intérieur)…
2. Le principe du palmer :
La fonction des palmers se base sur le principe de la transmission d’un mouvement de rotation à un mouvement à
une ligne droite.
Le palmer à une tige filetée avec un pas de 0,5 mm, pour transmettre les plus petites différences de mesure à une
indication visible sur l’échelle.
Il est constitué par un bâti en U, de dimension variable qui sert au guidage d’une vis micrométrique graduée en mm
(partie haute de la lecture) et en 1/2 mm (partie basse de la lecture). Un tambour également gradué en 50 parties
donne le complément de précision de la cote mesurée. L’approche rapide se fait par l’intermédiaire de la partie
moletée du tambour lui-même; le contact des touches sur la pièce est atténué par un système à friction qui réduit
l’effort exercé.
4. Principe de la graduation
5. La lecture
(partie basse).
On lit alors:
ce qui donne:
Autre exemple :
6. Le mesurage à l’aide du palmer
L’enclume du palmer est placée contre la pièce à mesurer. Par des rotations du tambour tournant s’approche la
surface de mesurage, que se trouve sur la touche mobile à la pièce à travailler étroitement. Pour la dernière partie,
on utilise le boulon de friction. Le boulon de friction doit éviter une trop grande force entre la pièce et les touches de
palmer car une trop grande force évite un mesurage exactement. A l’aide de palmers on mesure préférablement
des pièces à travailler, qui sont déjà finalement usinées p.ex.: les tourillons des axes, les arbres, des pièces
d’ajustage les plus diverses, les goupilles cylindriques, les ressorts d’ajustage.
de 0 à 25 mm
de 25 à 50 mm
de 50 à 75 mm
de 75 à 100 mm.
Réalisation expérimentale :
I. But et objectif :
Ce TP a pour objectif d’étalonner un micromètre en utilisant comme étalon plusieurs cales pour déterminer
la correction à ajouter à la valeur nominale ainsi que son incertitude correspondante.
II. Domaine d’application :
Parmi les principaux domaines d'application, citons le secteur automobile, l'aéronautique et la
mécanique de précision. Ces instruments sont utilisés aussi bien dans l'environnement de production que
dans les salles de métrologie ou les laboratoires.
4.2 Principe :
Pour l’étalonnage d’un micromètre, nous disposons d’un jeu de cales étalons
métalliques ayant été étalonnées plusieurs fois (5 fois) avec une périodicité annuelle.
Afin de garantir une mesure précise, la surface de la touche fixe doit être parfaitement plane. Après
plusieurs mesures, la surface peut devenir rugueuse en raison de l’usure et de l’accumulation de poussière.
De ce fait, on utilise régulièrement une pièce appelée cale étalon optique pour vérifier la planéité de la
surface en fonction des anneaux de Newton. Nous disposons ainsi de plusieurs certificats d'étalonnage
exploitables pour déterminer la dérive, et du dernier certificat qui est toujours en vigueur.
V. Réalisation pratique :
5.1 Opérations préliminaires : remise à zéro + nettoyage des cales
5.2 Mode opératoire :
● Mettre le matériel dans la salle de travaille 24h en avance pour assurer l’équilibre thermique
● Nettoyage des cales et du micromètre avec des produits spéciaux et en portant des gants ne
laissant pas de résidus de fibres.
● Désaimantation.
● Fixer les points d’étalonnage, le nombre de série de mesure et le nombre de mesure par
série.( 5 points d'étalonnage y inclus le zéro , 2 essais de mesure une à pleine touche et
l’autre a bout de touche , pour chaque point on dispose de 10 mesures).
● Relever la température de salle du TP qui égale à 27°C.
● Faire les mesures
● Re-relever la température de la salle 28°C.
● Ranger les cales dans leurs étuis après avoir recouvert d’une graisse spéciale
● Préserver tous les instruments dans des conditions contrôlées
Pleine Touche :
Nb de mesure Essai pour 0 Cale 0.5 Cale 1.05 Cale 4.5 Cale 10
Bout de touche :
● Expression de la correction :
δ = (𝐿𝑁 − 𝐿𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟é𝑒) + 𝐶𝐸 + 𝐶𝑀
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
Or, 𝐶𝑀 = 𝐶𝑑 + 𝐶𝐺𝑟𝑎𝑑 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝐸
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
Or {𝐿 = grandeur Nominale
𝑁
𝐿𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟é𝑒 = grandeur moyenne (x bar )
𝐶𝑇 = correction erreur de température du micromètre = ∝∗ ∆t ∗ G avec T + 27+- 0.5 > ∆t = 1°C
𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜
NB : G = VALEUR NOMINALE
𝐶𝑑 0 mm 0 mm 0 mm 0 mm
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
𝐶𝐺𝑟𝑎𝑑 0 mm 0 mm 0 mm 0 mm
𝐶𝑑 0 mm 0 mm 0 mm 0 mm
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
𝐶𝐺𝑟𝑎𝑑 0 mm 0 mm 0 mm 0 mm
Or :
𝑣𝑎𝑟(𝐿) = 0
( )
𝑣𝑎𝑟 𝐿𝑙𝑢𝑒 est égale à l’écart type expérimental
2 2 2 2 2 2
𝑣𝑎𝑟(δ) = 𝑆𝑥 + 𝑆𝐸 + µ𝐸 + µ𝑑 + µ𝐺𝑟𝑎𝑑 + µ𝑇 + µ𝑇 + µ𝑇
𝐿𝑙𝑢𝑒 𝑙𝑙𝑢𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜 é𝑐𝑎𝑟𝑡
Or :
µ𝑑 =
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
µ𝐸 =
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
µ𝑇 =
é𝑐𝑎𝑟𝑡
µ²𝐺𝑟𝑎𝑑= grad/2
µ𝑇 =
𝑚𝑖𝑐𝑟𝑜
µ𝑇 =
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
Réalisation expérimentale :
L’incertitude élargie U est obtenue en multipliant l’incertitude type composé par un (k=2) par suite,
l’expression
L'incertitude et la correction en pleine cale est mieux que l’incertitude au bout de cale.
Manipulation 2 : Etalonnage d’une résistance
Introduction :
Recherche bibliographique :
I. Le mesurande :
c’est bien la résistance qui est une mesure de l'opposition appliquée au courant dans un circuit
électrique.
● Définition du mesurande : La résistance électrique.
● Positionnement dans le système International des Unités, SI : Le Ohm est l'unité SI pour la
résistance électrique elle est symbolisée par la lettre grecque oméga (Ω);Cette unité se réfère au
physicien allemand Georg Simon Ohm (1784-1854)L'Ohm est lié au courant et à la tension dans un
système: un courant de 1 ampère à 1 ohm de résistance électrique produit une tension de 1 volt à travers
lui.
Le code couleur :
Utilisation :
Réalisation expérimentale :
I. But et Objectif :
On cherche à étalonner une résistance avec une technique indirecte en utilisant la loi d’ohm
par la détermination de la correction à ajouter à la résistance et l’incertitude correspondante.
II. Domaine d’application :
Certains appareils électriques contiennent des résistances et mettent à profit l'effet Joule pour
dégager de la chaleur : fours électriques, appareils à raclette, bouilloires, radiateurs
électriques, sèche-cheveux, fers à repasser, etc . Mais aussi , le terme résistance peut être
employé dans le domaine de la médecine et de l'électricité.
La résistance en médecine :
En médecine, la résistance désigne l'adaptation des pathogènes aux
traitements mis en place. On parle par exemple
de la résistance aux antibiotiques (lorsque les bactéries qui n'ont pas été tuées
par un antibiotique se reproduisent et donc
donnent vie à des générations de bactéries résistantes aux traitements) ou plus
généralement de la résistance aux
médicaments (pour les virus, champignons, parasites). La conséquence de la
résistance est qu'il faut trouver de nouveaux
traitements pour lutter contre ces pathogènes adaptés.
La résistance en électricité :
La résistance est un composant électrique dont la principale capacité,
précisément, est de montrer une forte
résistance au passage du courant électrique. Ce type d'appareil est d'une très
grande importance dans le monde moderne et ses applications sont multiples.
Il est en effet destiné à protéger les autres composants d'un circuit
électronique. Les anneaux de couleur à la surface du composant sont prévus
pour indiquer la valeur de la résistance
ainsi que sa tolérance. Les résistances sont faites d'un mélange de carbone, de
fil résistif ou de films de métal, et sont
reliées au circuit électrique via deux fils de connexion. La résistance est par
ailleurs à l'origine d'une perte d'énergie
sous forme de chaleur, c'est ce qu'on appelle l'effet Joule. Cette production de
chaleur peut être volontaire dans
certains cas. C'est le cas des résistances des plaques électriques ou des
grille-pains, par exemple.
III. Documents de référence :
Dossiers donnés pour TP techniques d’étalonnage.
wikipedia
IV. Matériels et méthodes :
4.1 Matériel :
on a pris avantage du matériel disposé dans le laboratoire ;
4.2 Principe :
Pour l'étalonnage d’une résistance Rx ; on a utilisé la méthode indirecte ou nous disposons de
deux multimètres (MX 554 et MX579 ) , d’une résistance étalon Re , générateur de tension AX 323
dont la valeur maximale de tension ne dépasse 30V. On a fixé le nombre de séries de mesures à 2 .
Pour chaque série de mesure on a choisi deux valeurs de tension (28V et 15V)inclue dans l’étendue de
mesure du générateur et pour chaque point d’étalonnage on effectue 10 mesures .
NB : pour chaque série de mesure on choisit deux résistances Rx et Re.
On branche le circuit suivant :
V. Réalisation pratique :
D'après l'étude du diagramme des causes d'erreurs (ISHIKAWA) , on peut classifier et calculer les
corrections et ses incertitudes , cela se traduit ci-dessous :
● Expression de la correction :
δ = (𝑅𝐸 − 𝑅𝑋) + 𝐶𝑓𝑖𝑙𝑠+ 𝐶 + 𝐶𝑇
𝑇𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑅𝑥
Pour le générateur :
𝐶𝑇 = correction erreur de température du générateur = ∝∗ ∆t ∗ G,T= 24+-0.25 > ∆t = 0.5 °C
𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
Pour le voltmètre :
𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 = correction erreur résolution du voltmètre= 0
𝐶𝑑 = correction de la dérive du voltmètre = 0
Pour la résistance Re :
𝐶𝑑 = correction de la dérive de la résistance Re = 0
𝑅𝑒
Pour la résistance Rx :
𝐶𝑇 = correction erreur de température de la résistance étalon Rx = ∝∗ ∆t ∗ G
𝑅𝑥
NB : G = valeur nominale
𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 0 0
𝐶𝑑 0 0
𝐶𝑇 3.2ppm*15*3*120k V 3.2ppm*15*3*1k V
é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡
𝐶𝑑 0 0
𝑅𝑒
𝐶𝑟é𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒
NB : on n'a pas venu à calculer ∆t car la température obtenue en classe était 25°C sans fluctuations ( on n’a pas
pris en considération les fluctuation ) donc on prend ∆t = 0
● Expression de l’incertitude sur la résistance : ( tous les paramètres sont indépendants et non
corrélés )
2
( )
𝑣𝑎𝑟(δ) = µ𝑅 = 𝑣𝑎𝑟 𝑅𝐸 + 𝑣𝑎𝑟 𝑅𝑥 + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑇 ( ) 𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑠𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡é) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑑) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝐸
𝑣𝑜𝑙𝑡𝑚è𝑡𝑟𝑒
+
𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑟é𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 ) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑡𝑒𝑚𝑝é𝑟𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒)
( )
𝑣𝑎𝑟 𝑅𝐸 = 0
𝑣𝑎𝑟( 𝑅𝑥) est égale à l’écart type expérimental
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
𝑣𝑎𝑟(δ) = 𝑆𝑅 + µ𝑇 + µ𝑟 + µ𝑑 + µ𝐸 + µ𝑇 +µ𝑇 + µ𝐸 + µ𝑇 +µ𝑇 +µ𝑑
𝑋𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒 𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑙𝑡𝑚è𝑡𝑟𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑅𝑒 é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑅𝑒 𝑅𝑒 𝑅𝑒
2 2
+µ𝑇 + µ𝑇
𝑅𝑥 𝑓𝑖𝑙𝑠
Pour le générateur :
µ𝑇 =
𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
Pour le voltmètre :
µ𝑑 =
𝑣𝑜𝑙𝑡
µ𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 = r/2
µ𝐸 =
𝑣𝑜𝑙𝑡
µ𝑇 =
é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡
µ𝑇 =
𝑣𝑜𝑙𝑡
Pour la résistance Re :
µ𝑑 =
𝑅𝑒
µ𝐸 =
𝑅𝑒
µ𝑇 =
é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑅𝑒
µ𝑇 =
𝑅𝑒
µ𝑇 =
𝑅𝑥
µ²𝑑 - - - -
𝑅𝑒
Réalisation expérimentale :
I. L’ expression finale
Le voltmètre est un appareil qui permet de mesurer la différence de potentiel électrique entre deux
points,il permet de mesurer une grandeur physique dont l'unité de mesure est le volt (V). Le plus
souvent, il peut mesurer des tensions continues et alternatives.
Recherche bibliographique :
I. Le mesurande :
La tension électrique ou la différence de potentiel est une grandeur qui représente la circulation du champ
électrique le long d'un circuit elle s’exprime en VOLT , Elle sert à mesurer la force électrique du courant
qui passe le long de chaque circuit (dipôle).
● Positionnement dans le système International des Unités, SI :
Le volt (symbole : V) est une unité, de force électromotrice et de différence de potentiel et dérivée du SI.
Ce nom a été donné en hommage à Alessandro Volta, inventeur italien de la pile voltaïque en 1800.
Le volt est la différence de potentiel électrique qui accélère une charge électrique de 1 coulomb en lui
donnant une énergie de 1 joule. Il en résulte que le volt est ce qui déplace une charge d'un coulomb avec une
force de un newton sur une longueur d'un mètre.
Réalisation expérimentale :
I. But et Objectif :
Cette expérience a pour objet de déterminer la correction sur la tension affichée et l’incertitude sur
cette correction afin d'étalonner le Voltmètre utilisé.
II . Domaine d’application :
Les générateurs ont pour fonction de combler les lacunes créées par le manque du courant dans des
situations particulières .
Ce générateur est alimenté par un courant alternatif 220 Volt il n’a pas de sortie basse fréquence . Il
fournit 2x 0-30 V 2.5 A et 1x 4.5-5.5 V 2.5 A.
Multimetre MX 579 :
-> Principe de fonctionnement :
Multimetre MX 579 :
-> Mesure des tensions contenues :
- Brancher le cordon de mesure noir a la borne COM et cordon rouge a la borne V . Cette utilisation
conventionnelle des couleurs évite l'interprétation incorrecte des polarités .
- Enfoncer la touche V= . la diode électroluminescente correspondante doit alors s’allumer .
- Sélectionner le calibre de mesure en enfonçant une des touches situées à droite sous l’afficheur .
- Amener les points de touche au point de mesure et lire le résultat .
- Si l’ordre de grandeur n’est pas connu , il faut sélectionner à chaque fois le calibre le plus élevé, puis
passer finalement au calibre assurant la meilleure résolution ( Maximum des chiffres significatifs ) .
- Si la tension mesurée dépasse la limite du calibre utilisé , l’affichage passe à “0000” et clignote .
- Une polarité négative de la tension est indiquée par la présence de signe ‘-’ a la partie gauche de
l’affichage
Générateur AX 323 :
- Brancher le cordon de mesure noir a la borne COM et cordon rouge a la borne “+” . Cette
utilisation conventionnelle des couleurs évite l'interprétation incorrecte des polarités .
- Changer de voltage avec le variateur .
- La valeur de Tension est indiqué sur l’afficheur .
4.2 Principe :
On branche le voltmètre en parallèle avec le générateur étalon , changer a chaque fois la valeur de
tension et le calibre dans le voltmètre pour obtenir les valeurs de tension adéquates.
V. Réalisation pratique :
5.1 Mode Operatoire :
● Placer les instruments dans la salle de travail 24h à l’avance assuré la stabilité thermique .
● Relever La température du salle ( 18°C)
● Alimenter les dispositifs 30 min d’avance pour assurer la stabilité électrique .
● Choisir des fils de résistance faible pour éviter les pertes .
● Préciser les points d'étalonnage ( 1.5V , 6V ,12V?20V,30V) , le nombre des séries de mesure pour
chaque calibre pour chaque points .
● Répéter les mesures 10 fois pour chaque point d'étalonnage , un intervalle de 10s entre chaque
lecture .
● Re-relever la température de la salle ( 18°C ) .
● Remettre le Générateur à zéro .
● Débrancher et ranger, les instruments utilisés, dans les conditions initiales .
Tableaux de mesures :
Tableau des besoins :
2. Modèle Mathématique :
Calcul des corrections et des incertitudes :
D'après l'étude du diagramme des causes d'erreurs (ISHIKAWA) , on peut classifier et calculer les
corrections et ses incertitudes , cela se traduit ci-dessous :
Pour le générateur :
𝐶𝑇 = correction erreur de température du générateur = ∝∗ ∆t ∗ G avec ∆t =6
𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
Pour le voltmètre :
𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 = correction erreur résolution du voltmètre= 0
𝐶𝑑 = correction de la dérive du voltmètre = 0
● Expression de l’incertitude :
2
( )
𝑣𝑎𝑟(δ) = µ𝐺 = 𝑣𝑎𝑟 𝑉𝐸 + 𝑣𝑎𝑟 𝑉𝑥 + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑇 ( ) ) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑠𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡é) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑑) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝐸
𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
)
𝑣𝑜𝑙𝑡𝑚è𝑡𝑟𝑒
OR
( )
𝑣𝑎𝑟 𝑉𝐸 = 0
𝑣𝑎𝑟( 𝑉𝑥) est égale à l’écart type expérimental
2 2 2 2 2 2 2
𝑣𝑎𝑟(δ) = 𝑆𝑉 + µ𝑇 + µ𝑟𝑒𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 + µ𝑑 + µ𝐸 + µ𝑇 +µ𝑇 + µ𝑇 +
𝑋𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒 𝑔é𝑛é𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑣𝑜𝑙𝑡𝑚è𝑡𝑟𝑒 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑣𝑜𝑙𝑡 𝑔𝑒𝑛𝑒𝑟𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟
2 2
+µ𝑟𝑒𝑠𝑖𝑠𝑡𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑓𝑖𝑙 + µ𝑇
∝𝑡* ∆𝑇*𝐺
uTgenerateur = √2
U E = uE / 2
Ur =r / 2*racine ( 3)
U d = d / 2 * racine ( 3 )
Pour 30V :
Les incertitudes :
Etude d’un pyromètre
Introduction :
Partie I: Bibliographie
L’échelle de température la plus courante est le degré Celsius, dans laquelle la glace (formée d'eau) fond à
0 °C et l'eau bout à environ +100 °C dans les conditions standard de pression. Dans les pays utilisant le
système impérial (anglo-saxon) d’unités, on emploie le degré Fahrenheit où la glace fond à +32 °F et l'eau
bout à +212 °F. L’unité du Système international d'unités (SI), d’utilisation scientifique et définie à partir du
zéro absolu, est le kelvin 1 dont la graduation est identique à celle des degrés centigrades.
• Termes spécifiques
Fibre optique : La fibre optique désigne le support et la technologie associés à la transmission des
informations sous la forme d'impulsions lumineuses dans un fil ou une fibre de verre ou de
plastique.
1. But et Objectif :
2 . Domaine d’application :
Ce type de capteur de température est utilisé avec les hautes températures, il a
comme rôle la protection de l’humanité , il les aide à prendre les mesures
nécessaires sans un contact dangereux .
3 . Documents de reference :
Dossiers données pour le tp .
4. Matériels et méthodes :
4.1 Materiels
● Un pyromètre RAYTXCLTF8E
● Four étalon F54 4-14
4.2 Principe
On stabilise le four à un niveau de température bien déterminée , Puis on prélève la valeur
indiquée par la chaîne de mesure à pyromètre en plaçant le pyromètre sur plusieurs positions
sur le banc gradué .
5 . réalisation pratique :
5.1 Opérations préliminaires
● Mettre tous les instruments ( Four , Pyromètre ) dans la salle du travail Au moins
24h à l'avance pour assurer l'équilibre thermique .
● Alimenter le dispositif de mesure 30 min avant de commencer à travailler afin
d’assurer l'équilibre électrique .
● Fixer les points d'étalonnage ainsi le nombre de mesure dans chaque série (
répétabilité ) : 10 mesure dans chaque série / 3 séries
● Attendre la stabilité pour charge point de température 10 minutes au minimum
● noter les conditions ambiante ( 21°C )
● Relever les mesures relatives à l'étalonnage
● Remettre à 50°C la consigne du four .
● Re-Relever les conditions ambiantes ( 22°C)
● Débrancher les instruments et les ranger .
● Expression de la correction :
δ = (𝑇𝐹𝑜𝑢𝑟 − 𝑇𝑃𝑦𝑟𝑜 ) + 𝐶𝑓𝑂𝑈𝑅 + 𝐶𝑃𝑦𝑟𝑜 + 𝐶Banc
𝐶𝑑 = correction de la dérive = 0
2
𝑉(δ) = 𝑢
2 2 2 2 2 2 2 2
= 𝑆 + 𝑢𝐸.𝑓𝑜𝑢𝑟 + 𝑢𝑟.𝑓𝑜𝑢𝑟 + 𝑢𝑑.𝑓𝑜𝑢𝑟 + 𝑢𝑚.𝑝𝑦𝑟𝑜 + 𝑢𝑟.𝑝𝑦𝑟𝑜 + 𝑢𝐸𝑟𝑟𝑒𝑢𝑟.𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 + 𝑢𝑡𝑒𝑚𝑝
𝑢𝐸.𝑓𝑜𝑢𝑟=UE / 2
𝑢𝑑.𝑓𝑜𝑢𝑟= d / 2 * racine ( 3 )
Ur = r / 2 *racine ( 3 )
U temp =
Pour 150° c :
Les incertitudes :
Étalonnage d’un pied à coulisse PC
I. Bibliographie :
Le mesurande : ( la longueur existe dans la partie biblio de micrométre )
1. Définition :
Un pied à coulisse, ou calibre à coulisse, est un instrument de mesure de longueur composé essentiellement
de deux parties coulissantes l'une par rapport à l'autre, la partie mobile comportant le système de mesure
appelé vernier. Basé sur la juxtaposition de 2 règles graduées, une en mm et l'autre en fraction de mm1, cet
instrument, très utilisé en mécanique, permet de mesurer précisément (au 1/50e de mm pour la règle du vernier,
faisant 49 mm) et facilement les cotes extérieures d'une pièce, le diamètre d'un cylindre ou d'un alésage, une
profondeur.
Pied à coulisse numérique :
Les pieds à coulisse à lecture digitale. Ils permettent un affichage rapide dans un écran à cristaux liquides.
2.DESCRIPTION
Le pied à coulisse est composé essentiellement :
● d'une règle fixe graduée, munie d'une tête comportant une face plate correspondant à la position de
référence 0, et un curseur, muni d'une tête présentant une surface plate en opposition avec la face de
référence.
● suivant le type, on trouve soit des becs arrondis pour les mesures intérieures ou des petits becs en
opposition sur la partie supérieure.
● les mesures de profondeur peuvent être assurées par une jauge prolongeant le curseur, coulissant à l'arrière
de la règle principale, affleurant le bout de la règle en position 0.
● soit sur un vernier ou un cadran à aiguille pour les pieds à coulisse analogiques.
● soit par un afficheur à cristaux liquides, monté sur la partie coulissante des pieds à coulisse numériques. Ces
derniers utilisent le principe du potentiomètre linéaire.
Ce type de technologie permet une mise à zéro (référence) du curseur pour n'importe quelle localisation des
becs mobiles, et peut parfois permettre un enregistrement informatique via une prise RS-232 pour la
réalisation éventuelle de contrôle statistique.
● Réalisation expérimentale
1. But et objectif :
L’objectif de cet étalonnage est de procéder à l'étalonnage pied a coulisse
par comparaison à des cales étalon et déterminer sa correction et son
incertitude d'étalonnage. Pour cela on va utiliser les instruments suivants :
● Pied à coulisse numérique.
● Cales.
● Domaine d’application :
Un pied à coulisse permet différentes applications.
• Mesurer les dimensions d’une pièce : son diamètre extérieur ou son épaisseur
grâce aux becs extérieurs. Ex : pour calculer le diamètre des tuyaux, des tubes et
d’autres objets de diverses formes (notamment cylindrique : les forêts, les fraises, …).
• Mesurer les dimensions intérieures d’une pièce, notamment le diamètre de perçage.
Les becs intérieurs, placés en haut du pied à coulisse, permettent de réaliser cette
opération. Ex : mesure d’un alésage.
• Mesurer la hauteur d’une pièce ou sa profondeur. Pour cela, il faut que le pied à
coulisse dispose d’une jauge de profondeur se trouvant à l’extrémité de la règle
graduée. Ex : mesurer la profondeur d’un trou.
• Mesurer l’épaulement
4.Documents de référence :
Dossier données pour TP techniques d’étalonnage
5. Matériels et méthodes :
→ Matériels :
● Pied à coulisse (numérique) : objet d’étalonnage
● Cales : étalon
● Principe :
Pour l’étalonnage d’un pied à coulisse numérique, nous disposons d’un jeu d’un
cales étalons métalliques ayant été étalonnées d’avant et comme méthode de
mesure on a opté vers la méthode directe vue de ce qu’en dispose comme
instrument de mesure.
6.Réalisation pratique :
TABLEAUx DE MESURES
Tableau de besoins :
2. Modèle Mathématique :
Calcul des corrections et des incertitudes :
D'après l'étude du diagramme des causes d'erreurs (ISHIKAWA) , on peut classifier et calculer les
corrections et ses incertitudes , cela se traduit ci-dessous :
● Expression de la correction :
δ = (𝐿𝑁 − 𝐿𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟é𝑒) + 𝐶𝐸 + 𝐶𝑀
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
Or, 𝐶𝑀 = 𝐶𝑑 + 𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝑇 + 𝐶𝐸
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 é𝑐𝑎𝑟𝑡 𝑝𝑖𝑒𝑑 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
Or {𝐿 = grandeur Nominale
𝑁
𝐿𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟é𝑒 = grandeur moyenne (x bar )
𝐶𝑇 = correction erreur de température du pied à coulisse = ∝∗ ∆t ∗ G avec T + 21+- 0.5 > ∆t =
𝑝𝑖𝑒𝑑
1°C
𝐶𝑇 = correction erreur de température de l'étalon = ∝∗ ∆t ∗ G
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
𝐶𝑑 = correction de la dérive = 0
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
NB : G = VALEUR NOMINALE
2
( )
𝑣𝑎𝑟(δ) = µ𝐿 = 𝑣𝑎𝑟 𝐿𝑁 + 𝑣𝑎𝑟 𝐿𝑙𝑢𝑒 + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝐸 ( ) 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑑
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 ) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑇 ) + 𝑣𝑎𝑟(𝐶𝑇 ) + 𝑣𝑎𝑟( 𝐶𝑇
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑 é𝑐𝑎𝑟𝑡
)
Or :
𝑣𝑎𝑟(𝐿) = 0
( )
𝑣𝑎𝑟 𝐿𝑙𝑢𝑒 est égale à l’écart type expérimental
2 2 2 2 2 2
𝑣𝑎𝑟(δ) = 𝑆𝑥 + 𝑆𝐸 + µ𝐸 + µ𝑑 + µ𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 + µ𝑇 + µ𝑇 + µ𝑇
𝐿𝑙𝑢𝑒 𝑙𝑙𝑢𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒𝑑 é𝑐𝑎𝑟𝑡
Or :
µ𝑑 =
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
µ𝐸 =
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
µ𝑇 =
é𝑐𝑎𝑟𝑡
µ²𝑟é𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛=r/2
µ𝑇 =
𝑝𝑖𝑒𝑑
µ𝑇
𝑐𝑎𝑙𝑒𝑠
NB : c’est le même travail fait avec le micromètre sauf que on est en train de raisonner avec un pied à
coulisse électronique donc on parle de résolution et non pas de graduation . juste il faut prendre en
considération le changement des fluctuations de températures = 1°C et le coefficient de dilatation du
pied à coulisse sinon ça reste le même concept.