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Machines Electriques
Rapport TP
Réalisé par :
QATAOUI Imane Encadré par :
SAIAOUD Otmane M. Abdellah OUKASSI
SALHI Nohaila
TP1 : Machine Asynchrone
Description :
Un moteur asynchrone triphasé se compose de deux parties principales :
un stator (inducteur) et un rotor (induit).
Le stator : C’est la partie fixe du moteur (Figure 3). Une carcasse
en fonte ou en alliage léger renferme une couronne de tôles
minces (de l'ordre de 0,5 mm d'épaisseur) en acier au silicium. Les
tôles sont isolées entre elles par oxydation ou par un vernis isolant.
Le rotor : C’est l’élément mobile du moteur. Comme le circuit
magnétique du stator, il est constitué d'un empilage de tôles
minces isolées entre elles et formant un cylindre claveté sur l'arbre
du moteur.
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Montage:
Mode opératoire :
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des trois bobines. Les bornes sont reliées aux bobines selon le
schéma.
Les bobines sont logées dans les encoches du stator. Le moteur
asynchrone peut être couplé de deux façons au réseau électrique : soit
en triangle soit en étoile. Dans notre cas, on a couplé les bobines en
étoile, puisqu’il est
mentionné dans la
plaque signalétique
que sa tension
simple est 230V.
Bilan de puissance :
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série avec chacun des trois enroulements lors du démarrage du
moteur. En fonctionnement normal, les trois balais sont court-circuités.
Montage :
Mode opératoire :
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TP2 : Machine Synchrone
Description :
Autrefois utilisés quasi exclusivement en
alternateur, le développement de l'électronique de
puissance et la généralisation des aimants comme
inducteur permettent aujourd'hui d'employer les
machines synchrones en tant que moteurs dans
une large gamme de puissance. La machine
synchrone dans la très grande majorité des cas est utilisé en triphasé.
Constitution :
L'alternateur possède deux parties principales :
L'inducteur porté le plus souvent par le rotor.
L'induit porté par le stator parcouru par des courants alternatifs.
Principe :
Le synchronisme des champs magnétiques induit et inducteur impose
une procédure spécifique de démarrage.
- En mode alternateur : avant de connecter la machine synchrone au
réseau, il faut lancer le rotor à la vitesse de synchronisme par un
moteur annexe, puis en modulant le courant d'induction, amener la
fem crée par l'alternateur à la même valeur que la tension du
réseau.
- En mode moteur : un moteur synchrone ne peut démarrer
directement à pleine tension depuis le réseau. Pour une
alimentation directe, il faudrait donc au préalable amener la charge
à la vitesse nominale par un moteur auxiliaire puis connecter
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l'alimentation. C’est ce qu’on a choisi d’adapter dans cette
manipulation.
Montage :
Mode opératoire :
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- La machine synchrone en génératrice est entrainée par un moteur
à courant continu MCC à excitation séparée.
- L'inducteur est monté en parallèle avec l'induit, la tension aux
bornes du rotor est la même que celle aux bornes du stator, il s’agit
donc d’un moteur Shunt.
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TP3 : Machine à Courant Continu
Description :
Une machine à courant continu est une machine
électrique. Il s'agit d'un convertisseur électromécanique
permettant la conversion bidirectionnelle d'énergie entre
une installation électrique parcourue par un courant
continu et un dispositif mécanique. Elle est aussi
appelée dynamo.
- En fonctionnement moteur ; l'énergie électrique
est transformée en énergie mécanique.
- En fonctionnement génératrice ; l'énergie
mécanique est transformée en énergie électrique. La machine se
comporte comme un frein.
Mode opératoire :
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- Fonctionnement moteur : à excitation shunt, essai à vide et en
charge.
- Fonctionnement génératrice : à excitation shunt, essai à vide et en
charge.
1- Fonctionnement moteur :
Essai à vide :
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Pour éviter l’emballement, on utilise un rhéostat de démarrage. Il
permet ainsi de protéger le moteur contre toute coupure de courant
aux bornes de l’inducteur.
On alimente l’induit par une tension U et on relève la valeur du
courant I de l’induit.
Essai en charge :
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2- Fonctionnement génératrice
Essai à vide :
Essai en charge :
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On détermine la tension aux bornes de l’induit en fonction du
courant induitI = f(FEM)
Mode opératoire :
Essai à vide :
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Etant donné qu’il s’agit de tensions triphasées qui sont
évidemment identiques, il est suffisant d’insérer un voltmètre entre
deux fils pour mesurer la valeur de la tension enchaînée.
Essai en court-circuit :
TP5 : Redresseur
Description :
Le redressement commandé est la
conversion d'une tension alternative en
une tension continue de valeur
moyenne réglable, il permet d’obtenir
un courant unidirectionnel à partir d’une
source alternative, monophasé ou triphasé. Les redresseurs sont à
simple alternance ou à double alternance.
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Montage:
On alimente par un système triphasé équilibré de tensions sinusoïdales
le système à 3 diodes disposées de la façon suivante :
Mode opératoire:
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Le but de ce TP est d’étudier le fonctionnement d’un montage
redresseur triphasé à diode simple alternance du point de vue de la
commande et des commutations des semi-conducteurs, durant cette
manipulation on va visualiser la forme de la tension redressée et aussi
mesurer la valeur efficace aux bornes de cette charge.
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