POLEMIQUE 

: Miss Algérie 2019 ; Quand les critères de beauté dévoilent une face raciste !

Samedi le 05 janvier, Khadidja Benhamou a été élue au titre de Miss Algérie 2019. Cette dernière est originaire du Sud
d’Algérie, plus spécifiquement de la wilaya d’Adrar. Ce choix à été contesté par certains sur les réseaux sociaux, mais
d’autres ont apprécié la décision du jury.

Elle a été cruellement attaquée par un grand nombre de jeunes hommes/femmes qui postent des commentaires
négatifs et insultants sur les réseaux sociaux. Ils trouvent qu’elle ne remplit pas les critères pour devenir Miss Algérie. Sa
couleur de peau et ses cheveux crépus ne semblent pas plaire à ceux qui restent coincés dans leur complexe de supériorité.
Pour eux, la beauté se résume dans une peau blanche, cheveux lisses et corps très fin sans rondeurs. Cela montre qu’une
partie de la société algérienne souffre du racisme et d’hypocrisie ! Malheureusement, beaucoup de femmes se sentent
méprisées et perdent leur estime de soi à cause de cela. La société accorde beaucoup d’importance aux apparences et se
permet de juger des créatures que l’être humain est toujours incapable de reproduire !

Toutefois, d’autres internautes lui ont manifesté du soutien. Ils sont convaincus qu’elle est belle comme une Algérie
plurielle. Selon eux, elle est ravissante et représente la femme algérienne dans sa diversité. Son joli sourire dégageant des
ondes d’énergie positive peut être tout ce dont l’Algérie a besoin en ce moment. Ils estiment qu’elle est la représentante
de toutes ces belles femmes/filles qui ont été jugées laides parce qu’elles sont différentes. C’est une figure dotée d’une
beauté à la fois douce et sauvage.

Personnellement, je vois que toutes les femmes sont belles, et méritent toutes d’être Miss. La beauté réside dans le
cœur, dans l’âme et dans l’esprit. Le corps n’est qu’une coque qui permet d’être vu à l’œil nu…

Le matin d’Algérie/société. Asmaâ Bouzid est nouvelliste,

Chroniqueuse et étudiante en LLCE Anglais à l’université Toulouse Jean Jaurès 2

POLEMIQUE : Miss Algérie 2019 ; Quand les critères de beauté dévoilent une face raciste !

Samedi le 05 janvier, Khadidja Benhamou a été élue au titre de Miss Algérie 2019. Cette dernière est originaire du Sud
d’Algérie, plus spécifiquement de la wilaya d’Adrar. Ce choix à été contesté par certains sur les réseaux sociaux, mais
d’autres ont apprécié la décision du jury.

Elle a été cruellement attaquée par un grand nombre de jeunes hommes/femmes qui postent des commentaires
négatifs et insultants sur les réseaux sociaux. Ils trouvent qu’elle ne remplit pas les critères pour devenir Miss Algérie. Sa
couleur de peau et ses cheveux crépus ne semblent pas plaire à ceux qui restent coincés dans leur complexe de supériorité.
Pour eux, la beauté se résume dans une peau blanche, cheveux lisses et corps très fin sans rondeurs. Cela montre qu’une
partie de la société algérienne souffre du racisme et d’hypocrisie ! Malheureusement, beaucoup de femmes se sentent
méprisées et perdent leur estime de soi à cause de cela. La société accorde beaucoup d’importance aux apparences et se
permet de juger des créatures que l’être humain est toujours incapable de reproduire !

Toutefois, d’autres internautes lui ont manifesté du soutien. Ils sont convaincus qu’elle est belle comme une Algérie
plurielle. Selon eux, elle est ravissante et représente la femme algérienne dans sa diversité. Son joli sourire dégageant des
ondes d’énergie positive peut être tout ce dont l’Algérie a besoin en ce moment. Ils estiment qu’elle est la représentante
de toutes ces belles femmes/filles qui ont été jugées laides parce qu’elles sont différentes. C’est une figure dotée d’une
beauté à la fois douce et sauvage.

Personnellement, je vois que toutes les femmes sont belles, et méritent toutes d’être Miss. La beauté réside dans le
cœur, dans l’âme et dans l’esprit. Le corps n’est qu’une coque qui permet d’être vu à l’œil nu…

Le matin d’Algérie/société. Asmaâ Bouzid est nouvelliste,

Chroniqueuse et étudiante en LLCE Anglais à l’université Toulouse Jean Jaurès 2