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En 1870, la majorité royaliste à l'Assemblée nationale veut la paix avec la Russie, car elle s'inquiète des poussées révolutionnaires

dans les villes qui réclament la guerre à outrance. Réfugiés à Bordeaux, ils désignent comme chef
de gouvernement provisoire Adolphe Thiers. Les objectifs sont d'obtenir rapidement la paix et de stabiliser le pays. Pour le choix entre la République et la monarchie, on verra plus tard : c'est le pacte de Bordeaux. L'Assemblée
nationale revient à Versailles et non à Paris. Dans cette dernière, est proclamée la Commune en mars 1870. Les mouvements de gauche et d'extrême gauche vont vers une République sociale. Thiers encèrcle Paris en avril, puis
l'affaire reprend en mai lors de la Semaine sanglante. Les chefs communaux sont exécutés ou déportés, comme Louise Michel. La majorité des Français approuvent l'écrasement de la Commune, mais cette dernière devient un
symbole et un martyr pour le mouvement ouvrier mondial. Entraînant une mémoire tendue de l'événement, malgré leur majorité, les monarchistes restent divisés en légitimistes et orléanistes. Le comte de Chambord, petit-
fils de Charles X, favori des légitimistes, refuse la République et le chapeau tricolore. Adolphe Thiers, une fois l'ordre est revenu, devient président de la République mais rompt le pacte de Bordeaux en se prononçant pour la
République. Les monarchistes le renversent et nomment MacMahon président.L'objectif est de faire une République d'ordre moral et de gagner du temps jusqu'à ce qu'ils se mettent d'accord avec les orléanistes. Mais l'opinion
évolue vers la République : les organisent se mettent d'accord avec les républicains modérés pour voter les lois institutionnelles en 1875. Aux élections législatives de 1876, les républicains obtiennent la majorité. MacMahon
dissout totalement l'Assemblée. En 1917, il y a de nouvelles élections et la victoire des républicains. MacMahon se soumet dans un premier temps et démissionne en 1879. Le triomphe des républicains se termine avec le retour
du gouvernement à Paris la même année. De nouveaux symboles sont mis en place : la Marianne, la Marseillaise, le drapeau tricolore, la fête nationale (14 juillet 1880). La République se renforce également avec les funérailles
nationales de Victor Hugo en mai 1885. Point de nouvelles garanties pour les libertés comme en 1880 la liberté de presse et de réunions, en 1884 la liberté syndicale, et les lois scolaires de 1880 à 1882 : l'école devient gratuite,
obligatoire et laïque afin de former les futurs citoyens. En 1892, le pape conseille aux catholiques de se rallier à la République.
Il y a une diminution du parti monarchiste. on a une presse forte et dynamique qui anime la France et permet les débats. Les républicains sont souvent accusés de corruption : comme le scandale des décorations en début des
années 1880. où le scandale de Panama en 1892. cela favorise les crises contre la République. comme la crise boulangiste  : le général Boulanger, ministre de la guerre est très populaire et populiste. les mécontent se rallie à lui et
il remporte un triomphe aux élections de 1889. mais hésitant sur la conduite à suivre, il est poursuivi en justice et il fut en Belgique où il mourra un an plus tard. Cela marque la fin de la première crise. la deuxième crise aussi
appelée crise anarchiste c'est la montée des tension sociale extrême qui recourt à une violence par les anarchistes. Auguste Vaillant est une bombe à l'Assemblée nationale en décembre 1893. caserio assassine le président
Carnot en juin 1894. en réaction, la République vote des lois qui limite et libertaire individuelle appelé loi scélérates.
(…Affaire Dreyfus)
Après l’affaire Dreifus qui a crée des tensions dans toutes les couches de la société, la République l'emporte mais des forces hostiles ont été identifiées. les radicaux républicains remportent les élections parlementaires en 1902.
ils mènent une république républicaine renforcée et anti-clericale sous la direction du président du Conseil Émile Combes. La politique anticléricale aboutit en 1905 à la loi de séparation de l'Église et de l'État, qui soulève les
tensions et continue de pousser certains catholiques à rejeter la République (crises des inventaires).entre 1906 et 1909 , Clémenceau est le président du conseil, il mène une politique social, laissant de côté les questions
religieuses, mais réprime sévèrement les grèves. les tensions internationales grandissent notamment avec l'Allemagne (1913 = service militaire étendu à 3 ans) point en 1914, lors de l'entrée en guerre, les tensions intérieures
disparaissent au profit de l'unité nationale. la République s'enracine d'abord dans les années 1870, temps face à la fois à la monarchie, et l'extrême gauche. elle se consolide par des lois et des symboles et résistent à plusieurs
crises. c'est donc un régime solide qui entre guerres en 1914.

En 1894, le capitaine Dreyfus est condamné pour espionnage par des preuves très légères mais motivés selon le principe qu'il est juifs. mais le vrai coupable est identifié et c'est esthériasy. En conséquence, Émile Zola désormais
partisans de Dreyfus publie « j'accuse » en 1898 qu'il dénonce ceux qui sont coupables d'avoir fait condamner un innocent point de quand se constitue alors premièrement les dreyfusards et les antidreyfusards. Les dreyfusards
se réclament des droits de l'homme et du mouvement des Lumières que doit représenter la République. Les antidépusards font passer en priorité l'État et mettre en avant le nationalisme nourrit par la xénophobie,
l'antisémitisme, l'antiparlementalisme. Les dreyfusards sont : Zola, Bloom, Jaurès, Clémenceau. Les anti drefusards sont deux points Barrès, Moras, Déroulède. il y a de très forte tension entre ces deux groupes. il y a alors des
tensions dans toutes les couches de la société. Cela entraîne la crainte de voir la République renversée et donc la mise en place d'un gouvernement d'union républicaine. Dreyfus est d'abord gracié en 1899, puis innocenté en
1806.

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