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3) Consolidation de la bourgeoisie au pouvoir et

émergence de la classe ouvrière (1820-1871).


ÍNDEX.
• 1) Consolidation de l'État libéral en Europe (1820-1871).

• 2) Consolidación del Estado Liberal en España (1833-


1874).

• 3) Révolutions industrielles et origines du mouvement


ouvrier.

• 4) Industrialización y nacimiento del movimiento obrero


español.

• 5) Art: Le Romantisme.
1) Consolidación del Estado Liberal en Europa (1820-1871).
Nationalisme et Libéralisme : Ce sont des courants de
pensée politique et économique qui vient des philosophes
anglais du XVIIe siècle (Locke, Hobbes, Hume) et des
Lumières françaises du XVIII, qui convergent vers le concept
de souveraineté nationale (Russeau, « le contrat social").
-Le nationalisme repose sur le principe qu'un ensemble de
citoyens avec des caractéristiques culturelles et historiques
communes et la volonté de vivre ensemble constituent une
nation. Il y a deux courants nationalistes; l'unificateur (cherche
à réunir tous les peuples d'une même nation sous un même
Etat)) et le sécessionniste (cherche l'indépendance des
différentes nations qui dominent l'état dans lequel ils vivent).
-Le libéralisme, de son côté, affirme que la nation doit être
souveraine pour être gouvernée par son propre corps législatif
(constitution) démocratiquement convenu entre les citoyens
libres et égaux qui la composent (souveraineté nationale), qui
doivent également avoir certains droits garantis et devoirs dans
un cadre juridique de séparation des pouvoirs, d'égalité des
citoyens et de garantie de la propriété privée ou ce qui est le
même, dans un cadre politique que nous appelons l'État libéral.
Ces idéologies ont définitivement pris racine en Europe au
cours de la première moitié du XIXe siècle, notamment parmi
les bourgeoisies européennes à la suite de l'invasion
napoléonienne. Ils sont la cause principale de l'échec et de la
chute définitive du système convenu à Vienne (1815), quand
l'absolutisme a été restauré en Europe comme si le monde de
1815 pouvait retourner à celui de 1789. Cependant la
bourgeoisie (qui était déjà trop puissant par l’industrialisation)
ne va pas permettre ce retour au passé.
Les Révolutions de 1820, 1830 et 1848. L'ordre absolutiste, imposé par le
clergé et l'aristocratie en 1815, ne pourra pas contenir les aspirations d'une bourgeoisie
florissante, avide de reprendre le pouvoir politique. Les révolutions de 1820, 30 et 48 ont
définitivement fait sauter l'Ancien Régime.
a) Révolutions de 1820 : Elles ont commencé en Espagne, où le lieutenant Riego et son
armée, refusant de marcher sur l'Amérique pour réprimer la rébellion indépendantiste, ont
pris les armes et ont forcé Fernando VII à prêter serment dans la constitution de Cadiz.
Le Régime libéral ne durera pas longtemps, lorsque la Sainte-Alliance envoie une armée
(100 000 fils de Saint-Louis) en 1823 qui rétablit l'absolutisme. La nouvelle de la
révolution espagnole a atteint la Grèce où la bourgeoisie s'est rebellée contre l'Empire
ottoman, obtenant son indépendance après la Guerre d'indépendance grecque (1820-
1830). Au Portugal, la bourgeoisie, profite de l'absence de Juan VI (au Brésil depuis
1808), pour se rebeller et proclamer une constitution qui sera acceptée par le monarque.
b) Révolutions de 1830 : En France la bourgeoisie a pris les armes contre Charles X (frère
de Louis XVIII), après avoir réprimé la seule conquêtes révolutionnaires non abrogées (la
liberté de la presse). Une monarchie constitutionnelle de suffrage par recensement a été
établie avec Luis Felipe de Orleans comme roi. Aux Pays-Bas, la bourgeoisie catholique
francophone du sud s'est rebellée contre la noblesse hollandaise et protestante du nord et la
monarchie absolue de Guillaume Ier, obtenant son indépendance.
c) Révolutions de 1848 : ou "Printemps des Peuples", C’était une vague de revendications
démocratiques et sociales en faveur des classes populaires, lesquelles ont un rôle
protagoniste). Elle a commencé en France avec le refus de L. Felipe de Orléans d'accorder
le suffrage universel. Le peuple parisien se révolte et le roi s'enfuit, proclamant la II
République et le suffrage universel masculin. En Piémont et en Prusse, la bourgeoisie
révolutionnaire s'empara du pouvoir et força leurs rois respectifs Carlos Alberto de Savoy
en Piémont et Frédéric-Guillaume IV en Prusse, à jurer leurs constitutions.
L'unification de l'Italie (1859-1871) : a) En 1859, l'Italie est divisée en 7 états et 2 autres territoires détenus par
l'Autriche (Vénétie et Lombardie). Seul le royaume du Piémont est une monarchie constitutionnelle. Après l'invasion
napoléonienne, le nationalisme italien (Risorgimento), basé sur la langue toscane, le passé romain, l'art de la Renaissance et
l'opéra (Verdi), se répandit parmi les bourgeoisies de toute la péninsule. Dans le Piémont, le roi Victor Emmanuel II, son
ministre Cavour et le révolutionnaire Garibaldi conçoivent un plan pour unifier l'Italie dès l'annexion au Piémont.
b) Cavour signe une alliance avec Napoléon III de France (empereur depuis 1852 après un coup d'État) et provoque
l'Autriche à lui déclarer la guerre (Traité de Turin, 1858), battant la France à l'Autriche dans les batailles de Magenta et
Solférino, (Guerre d'Italie de l'Indépendance, 1859-1860). Battue, l'Autriche cède la Lombardie au Piémont (et en échange de
son aide le Piémont ou cède Nice et la Savoie à la France).
c) La bourgeoisie de Parme, Modène et Toscane profita de la défaite de l'Autriche (qui protégeait les ducs de ces territoires)
pour se rebeller contre leurs souverains et décréter leur union avec le Piémont (1860).
d) En complicité avec le Piémont, Garibaldi débarqua en Sicile avec une armée de volontaires (Chemises rouges) et battit les
troupes de Francisco II de Borbón à la bataille de Voltumo. Le royaume de Naples est annexé au Piémont et Victor
Emmanuel II est couronné roi d'Italie à Turin (1860).
e) L'Italie a profité de la Guerre austro-prussienne (1866-1867), pour s'allier à la Prusse, étant les troupes autrichiennes
défaites par les Prussiens à Sadowa (1871). En récompense, l'Italie reçoit la Vénétie.
f) Pendant la Guerre franco-prussienne (1870-1871), l'Italie profita de la défaite de la France pour annexer les États
pontificaux (Pie IX) et Rome jusque-là protégés par Napoléon III.
L'unification de l'Allemagne (1863-1871) : a) Depuis l'invasion
napoléonienne, un nationalisme unificateur (pangermanisme) s'est répandu en l'Allemagne,
divisée en 39 États, tous absolutistes sauf la Prusse. Afin d'augmenter le commerce dans la
région, en 1834, la Prusse et les États allemands ont formé une union douanière
("Zolverein") qui a favorisé les échanges humains, culturels et économiques, par conséquent
cette idéologie nationaliste s'est répandue encore plus parmi la bourgeoisie.
En 1862, Guillaume Ier de Prusse (un fervent nationaliste, prêt à unifier l'Allemagne de la
Prusse) nomme Bismark chancelier, qui soutient son projet. Cependant, la France
(Napoléon III) et l'Autriche (Franz Josef I) s'opposent au risque que cela fasse de la
Prusse un pays beaucoup plus fort.
b) Les duchés de Holstein et de Schllewig, peuplés d'Allemands, mais sous domination
danoise, se sont rebellés contre Frédéric VII de Danemark, après avoir aboli leur
autonomie pour freiner leurs tendances sécessionnistes. La Prusse et l'Autriche s'unissent
pour leur venir en aide, déclenchant la « Guerre des duchés" (1863-1864), au cours de
laquelle le Danemark est vaincu. Les deux divisent les duchés : Hosltein pour l'Autriche et
Schelewig pour la Prusse.
c) Mais Bismarck encourage le nationalisme sécessionniste au Holstein, ce qui provoque
des révoltes contre l'Autriche, qui déclenchent finalement une guerre entre les deux (Guerre
austro-prussienne, 1866-1867). L'Autriche et ses alliés (États du nord de l'Allemagne) sont
vaincus par la Prusse (alliée au Piémont) à la bataille de Sadowa (1867), ce qui permet à la
Prusse d'annexer les États du nord de l'Allemagne.
d) En 1870, Bismark proposa un prince allemand comme roi d'Espagne, mais Napoléon III
refusa. Ce conflit aboutit à la Guerre franco-prussienne (1870-1871), la France étant
vaincue à la bataille de Sedan (1871). Napoléon III est capturé et la Troisième République
est proclamée en France. Avant cela, Guillermo Ier profite de sa victoire pour annexer les
États du sud de l'Allemagne et se proclamer empereur d'Allemagne à Versailles (II Reich,
1871). Enfin, la France cède l'Alsace et la Lorraine à l'Allemagne.
Práctica I). Commentez cette Image.
2) Consolidación del Estado liberal en España (1833-1874).
Características del periodo: Entre 1833-1874, España pasa de ser una monarquía absoluta a un
estado liberal. El proceso fue traumático (15 golpes de Estado, 4 guerras civiles, múltiples atentados y
rebeliones populares), lento y discontinuo, lo que limitó los logros del liberalismo con respecto al resto de
Europa. Esto fue se debió a la debilidad de la burguesía, el atraso económico y social (analfabetismo 80%)
y a la gran influencia que junto al ejército (mayoritariamente liberal y progresista), siguieron teniendo la
nobleza (que se funde con alta burguesía) y el clero, poco afines al liberalismo. Hubieron dos periodos:
a) El reinado de Isabel II (1833-1868): Se caracteriza por la feroz oposición al liberalismo de los
absolutistas (extrema derecha, clero rural, campesinos del norte), que dará lugar dos guerras civiles
(guerras carlistas), así como por el enfrentamiento entre las dos partidos liberales como eran Moderados
(derecha, alta burguesía, alto clero, nobleza terrateniente) y Progresistas (centro izquierda, baja y media
burguesía obreros urbanos, etc) que dará lugar a una gran inestabilidad, agravada por la incompetencia de
la reina, quien fue juguete de los diferentes militares, monjas y curas que pasaron por la corte. A través del
caciquismo, la corrupción y un sufragio censitario, los moderados retuvieron el poder durante casi todo
reinado siendo el partido dominante del período, hasta su expulsión del poder tras la Revolución de 1868.
b) El Sexenio Democrático (1868-1874): Constituye la primera experiencia democrática de la historia de
España (sufragio universal masculino) y se caracteriza por la enorme inestabilidad (oposición de carlistas y
moderados-alfonsinos) y la aparición del movimiento obrero (anarquismo). Durante el mismo, España pasó
de ser una Monarquía democrática con Amadeo I de Saboya como Rey (1870-1871) a una República
(1873-1874), a la que se pone fin mediante un golpe de Estado que restaura a los borbones en el poder.
El Reinado de Isabel II (I), el periodo de regencias
(1833-1843): Durante la minoría de Edad de la Reina, el trono será
ocupado nominalmente por dos regentes:
a) Primeramente la regencia será asumida por la reina madre María
Cristina de Borbón (1833-1840). Destacó el estallido de una guerra
civil (I Guerra Carlista, 1833-1840) cuando los absolutistas o carlistas,
(clero rural, nobleza rural y campesinos vascos, catalanes y
aragoneses) se levantaron en armas contra Isabel II, apoyando así los
derechos de su tío Carlos Mª Isidro de Borbón (de tendencias ultra-
bsolutistas), de ahí que María Cristina no tenga más remedio que
apoyar a su gobierno en los liberales, divididos en Moderados (alta
nobleza, alta aristocracia y alta burguesía, alto clero, partidarios de un
liberalismo de mínimos) y Progresistas (soldados, profesiones liberales
y burguesía media, partidarios de un avance progresivo de las reformas
liberales). Ante ello, sin más remedio, Mª Cristina, se ve obligada a
jurar la Constitución centrista de 1837 (pactada con Moderados y
Progresistas) y a plantear reformas liberales como la desamortización
de Mendizábal (1836, pretendía expropiar a la iglesia de parte de sus
tierras y subastarlas entre los campesinos para crear una clase media de
propietarios, pero fracasó porque al final dichas tierras fueron
compradas por la alta burguesía, incluso aquellas que eran utilizadas
por los campesinos para caza, leña o pastos). La corrupción de la reina
y su favoritismo hacia los moderados, provoca un pronunciamiento
progresista que la manda al exilio.
b) El nuevo regente será el progresista general Espartero (1840-1843),
que en 1839 había derrotado a los carlistas. Éste asumirá una política
de libre comercio que arruina al industrial catalana, lo que provoca una
enorme revuelta de Barcelona brutalmente sofocada y que le restó
popularidad entre su propio partido, lo cual ​es aprovechado por el
general moderado Narváez, para dar un golpe de estado (1843) que
expulsa a Espartero y proclama adulta a Isabel II con 13 años.
El reinado de Isabel II (II): El reinado efectivo (1843-
1868): Dividimos la mayoría de Isabel II en cuatro etapas.
a) Durante la Década moderada (1843-1854), el general Narváez y
los moderados formarán un gobierno muy conservador (Constitución
de 1845 con sufragio ultra limitado y estado católico). Los
progresistas quedan marginados del gobierno y además estalla la II
Guerra Carlista (1846-1849) por el rechazo de Narváez de casar a la
reina con el pretendiente carlista. En 1849 Se produce una escisión a
la izquierda del P. Progresista de la que nace el Partido Demócrata
(aspiran al sufragio universal y se dividen en republicanos y
monárquicos) (apoyado por la baja burguesía y los trabajadores).
b) El Bienio Progresista (1854-18556) comienza con el golpe del
general O’donell (Vicalvarada, 1854) que expulsa a los moderados
del poder. Se promulga la Constitución centrista de 1837 y otras
leyes progresistas (ley de ferrocarriles, ley de educación Moyano,
1855). Los conflictos entre los dos principales generales progresistas
(O'Donnell y Espartero) lleva a O'Donnell a formar su propio partido
("Unión Liberal“, centro-derecha) ganando las elecciones de 1856.
c) Durante el gobierno de Unión Liberal (1856-1863), este partido se
centra en la política exterior aunque siempre bajo tutela de Francia e
Inglaterra (Guerra de África 1859-1860, Re-anexión de Santo
Domingo 1861-1865, etc). Sin embargo desde 1861 la crisis
económica y los conflictos entre derecha (Cánovas) e izquierda
(Prim) dentro de la Unión Liberal, provocan la ruptura del partido.
d) Durante el regreso de los Moderados al poder (1863-1868
Narváez, gobernó de forma despótica, corrupta y represiva. Además,
el prestigio de Isabel II se hunde por su vida disoluta, su apoyo
incondicional a los moderados y la gran influencia que sobre ella
ejercen curas y militares. Esto, más la crisis económica de 1861-1873
(hambre, revueltas campesinas etc), lleva a un pacto de progresistas y
demócratas (Pacto de Ostende, 1866) para organizar un nuevo golpe
de Estado que expulse a los moderados, pero también a la reina.
El Sexenio democrático (I), La Revolución
Gloriosa y el gobierno provisional (1868-1871): El 18-
IX-1868, en un clima de crisis económica, de autoritarismo,
corrupción y represión por parte del Partido Moderado y
máximo descrédito de Isabel II por su vida personal y su apoyo
descarado a los moderados; la armada se subleva en Cádiz al
mando del almirante Topete (progresista), uniéndose también el
general Prim (progresista) y el general Serrano (unionista).
Por su parte los políticos demócratas como Castelar llamaron a
sus partidarios a crear “juntas Revolucionarias” en las
principales ciudades (ocupación de los ayuntamientos) a través
de un manifiesto que terminaba con el grito de “Viva España
con honra” y en el que se acusaba de todos los males de la
nación a los Moderados y a Isabel II. La Reina, sorprendida
mientras veraneaba en San Sebastián intentó buscar apoyo entre
sus generales, pero desde la muerte de Narváez y O’Donell
(1868) sus principales aliados dentro del ejército habían
desaparecido y progresivamente todas guarniciones de la costa
mediterránea se fueron sublevando también. Solo el general
Pavía reunió precariamente un ejército leal a Isabel que sería
derrotado por Serrano en la batalla de Alcolea, tras la cual
Madrid se sublevó también. Ante la falta de apoyos y el riesgo
que corría su vida, Isabel II cruza apresuradamente la frontera
francesa camino del exilio. Los partidos del Pacto de Ostende,
formarán un Gobierno Provisional (1868-1870) en el que se
organizaron elecciones limpias, venciendo una coalición
Unionista-Progresista, que redacta la Constitución de 1869 y
establece una Monarquía Democrática (1870-1872) en la que
tras muchas discusiones y candidatos (Fernando de Sajonia,
Leopoldo de Hohenzolern, etc) se escoge a Amadeo I de
Saboya (hijo del Rey de Italia) como Rey.
El Sexenio democrático (II), La Monarquía Democrática
de Amadeo I de Saboya (1871-1873): El periodo se caracterizó
por la gran inestabilidad, a causa de:
a) La fragmentación de la coalición Unionista-Progregista, tras
el asesinato de Prim (en misteriosas circunstancias), auténtico
“alma mater” de la Revolución y de la candidatura de Amadeo,
tras la cual comienza a desintegrarse la coalición progresista-
unionista-monárquico demócrata que sustentaba el gobierno.
b) La oposición política que organizaron tanto los republicanos
(conspiraciones y atentados contra el Rey y su esposa), como los
carlistas (que en 1872 comienzan la III Guerra Carlista) y los
alfonsinos (conspiran para entronizar a Alfonso XII de Borbón
desde la abdicación en 1870 de Isabel II).
c) El rechazo social que el origen italiano y las ideas liberales
del monarca suscitaron entre las masas populares, (“Macarronini
I”), animadas por por la iglesia, debido a que Ámadeo, era el
hijo del Rey Victor Manuel II de Italia, (es decir del hombre que
había puesto fin a los Estados Pontificios tras la unificación de
su país y que estaba por tanto excomulgado por Roma).
Tampoco la alta burguesía ni aristocracia (partidaria de los
borbones) quería al monarca, así como las clases medias, que
eran mayoritariamente republicanas.
d) La sangría de hombres y fondos que supusieron los estallidos
de la I Guerra de Cuba (1868-1878) y el de la III Guerra Carlista
(1872-1876), cuyos ejércitos para combatirlas era reclutados por
el injusto sistema de quintas (que dio lugar a fuertes protestas)
En esta delicada situación, Amadeo I, hombre joven y culto que
había aceptado la corona con el firme proyecto y la ilusión de
modernizar y democratizar España, se encuentra totalmente
aislado y despreciado por todos en un país cuyo caos le supera,
llegando a sufrir además varios atentados de los republicanos. A
comienzos de 873, voluntariamente, presenta su dimisión.
Sexenio
monárquicos
Democrático
(1873-1874): Tras
está
(III),
la renuncia
desmoralizados,
La I República
de situación
Amadeo Ique
loses
aprovechada
parlamento y por los
proclamarrepublicanos
la para
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el hecho
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dictador:de demás
2 añosmodelos
hubieronde Estado
hasta
I) Estanislao Figueras (II-VI, 1873), federalista. Decretó la
jornada
(impuestos de 9indirectos,
horas, la quesupresión de losa “Consumos”
asfixiaban los más humildes) y
el sistema
evitarlo).
complica Ade
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consecuencia
reclutamiento por
lapara quintas
hacienda
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se arruina
guerras cubana podían
y sey carlista.
Desbordado,
II)
una Pi y Margall
ConstituciónFigueras huye
(VI-VII,
Federal del
1873),
que país sin
líder siquiera
federalista.
divide España en dimitir.
redacta
18 estados.
Los cantonales
federales) aspiran(sector más izuierdista de los republicanos
afederarse
arriba, en la que alasmás,
libremente y buscando
ciudades
crear una
seanlos
luego federación
soberanas
estados parade abajo
que
voluntariamente
Federal. Esto
proclamándose han en
derivó
muchas de lafederarse
Rebelión
ciudades para formar
Cantonal,
estados la República
soberanos
(Cartagena,
se declaran Alcoy,
la guerra Valencia
entre síetc) que acuñan
(Granada a Jaén,moneda
Cartagena y hasta
a
Alicante
EEUU y a AlmeríaAbrumado
(Cartagena). etc…) pidiendo por el incluso
caos Pi unirse
y Margalla
dimite.
III) Nicolás
sofocar Salmerón
la Rebelión (VII-IX,
Cantonal 1873):alUnitario;
y frenar carlismo, intentó
pero de
dimite
muerte
IV) por ir
contra
Emilio contra
los
Castelar sus principios
rebeldes.
(IX-1873 la firma de condenas
unitarios,
un logra
pronunciamiento terminar con losaen
orquestado
I-1874): Líder
cantones,
Madrid pero
por
de los
finalmente
el general
Pavía
V) le arrebata
FranciscolaSerrano el gobierno.
(I-XII, 1874): Tras el golpe desePavía
se suspende
convierte
aMartínez en
los alfonsinos unaConstitución
dictadura
(Cánovas) (de
dirigida
para 1869)
por y la república
Serrano,
reorganizarse. logolpe
El que sirve
de
Alfonso XII. Campos (Sagunto, XII, 1874) proclama rey a
.
Práctica II) “El Sexenio Democrático”: Señala con diferentes signos y colores en
el siguiente mapa los siguientes acontecimientos del Sexenio Democrático: A) Las principales batallas y
sublevaciones que se produjeron con la revolución gloriosa, B) Territorios que se sublevaron durante la
III Guerra Carlista, C) Ciudades que se independizaron durante la Revolución Cantonal. D) Estados en
los que se dividió España durante la I República.
3) Les Révolutions industrielles au XIX siècle.
Origines et importance de l'industrialisation. Les
révolutions industrielles étaient des processus de changements
économiques et sociaux par lesquels les économies européennes
sont passées d'un système économique agricole et artisanal à un
système économique commercial et industriel, qui à son tour a
produit d'autres changements sociologiques importants tels que la
croissance des villes au détriment des la campagne (exode rural),
l'émergence du prolétariat ou l'amélioration des communications.
Au cours de l’histoire, le monde a connu jusqu'à trois révolutions
industrielles :
-a) Le I Industrial Rev. (1769-1840), est né en Angleterre de
l'utilisation de la vapeur et du charbon comme sources d'énergie.
-b) La II Rév. Industrielle (1870-1918), est née en Allemagne et
aux États-Unis à partir de l'utilisation du pétrole et de l'électricité.
-c) Le III Industrial Rev. (1973-présent) a commencé aux États-
Unis et au Japon à partir de la découverte de nouvelles
technologies de l'information et de la communication
(informatique, Internet, etc.).
La I révolution industrielles est l'événement le plus important de
l'histoire de l'humanité depuis la domestication des animaux et
des plantes (révolution néolithique, il y a 12 000 ans). Parmi les
conséquences des révolutions industrielles, nous aurions de
l'augmentation de la population et de l'espérance de vie, le besoin
de nouveaux marchés et sources de matières premières qui a
conduit au colonialisme, ainsi que l'émergence des premières
banques. (pour accumuler le capital qui en résulte) qui était
l'origine du système capitaliste et finalement aussi comme des
guerres mondiales, ou de la détérioration de l'environnement
parmi tant d'autres conséquences..
La I Rév. Industrielle (1769-1840) : a) Au XVIIIe siècle, il y eut une révolution agricole en
Angleterre avec des inventions qui augmentèrent la production alimentaire (Jetro Tull, planteur
mécanique, 1701). b) La principale conséquence a été une augmentation de la population, ce qui a conduit
au fait que comme il n'y avait pas assez de travail dans les champs (manque de terre pour tous), de
nombreux paysans ont commencé à travailler dans de petits ateliers pour la bourgeoisie commerciale
anglaise, c ) déjà très enrichie à l'époque du commerce triangulaire et dont les profits et la mentalité
entrepreneuriale lui ont permis d'investir dans de nouvelles inventions pour réduire, accélérer et augmenter
la production. d) Tout ceci aboutit à partir de 1769 (invention de la machine à vapeur par l'ingénieur
écossais James Watt) à la fabrication mécanique de textile qui fonctionnait à partir de la vapeur, se
généralisa en Angleterre, cette date étant le point de départ de la I Rev Industrial, e) qui eut une nouvelle
impulsion lorsque le charbon fut utilisé comme nouvelle source d'énergie et qui produisit de grandes
avancées dans les transports, (bateau à vapeur, 1820) et la sidérurgie qui conduiront à la découverte du
chemin de fer ( première locomotive en 1815, par l'ingénieur George Stephenson). f) L'utilisation de la
vapeur appliquée aux manufactures de coton (jusqu'alors fabriquées à la main par les femmes dans leurs
foyers) donnant lieu à l'invention des fils mécaniques situés dans de grands bâtiments construits pour
abriter les ouvriers qui opéraient les machines (premières usines), et qui se trouvaient dans les grandes
villes britanniques à proximité des bassins miniers (Liverpool, Manchester, Londres etc.). g) Tous ces
changements ont conduit au fait qu'au début du XIXe siècle le besoin d'une main-d'œuvre abondante a
attiré les familles paysannes de la campagne vers la ville (exode rural), ce qui a fortement augmenté le
pourcentage de la population urbaine. h) Le I Rev. Industrielle, est née en Angleterre et s'étendra de là à la
Belgique, l'Allemagne, les USA, le nord de la France, le nord de l'Italie, la Catalogne et le Pays Basque.
La II Révolution Industrielle (1870-1918): Est
née en Allemagne et aux États-Unis (et de là arrivera au reste
du monde), à ​partir de nouvelles découvertes et sources
d'énergie telles que l'électricité et le pétrole. La découverte de
la capacité de stocker et de produire mécaniquement de
l'électricité est prise comme date de référence pour ses débuts
(Zénobe Gramme, 1870 dynamo électrique), qui a été suivie
par l'invention du moteur à explosion à partir du pétrole (Karl
Benz, 1886), et la découverte de nouveaux moyens de
communication tels que la radio (Guillermo Marconi, 1897)
ou le téléphone (Graham Bell, 1876). Ces moyens de
communication et de transport favorisent les échanges
internationaux et l'entrée dans un nouvel épisode de
mondialisation qui s'achève en 1918. Ses conséquences sont
vastes et diverses car si, d'une part, les nouvelles innovations
ont enrichi la bourgeoisie européenne et américaine à des
limites jamais Vu, l'amenant à un véritable âge d'or (« Belle
Époque » 1871-1914), d'autre part, l'expansion du système
capitaliste résultant de la IIe Révolution industrielle a
également conduit à une augmentation de la rivalité entre les
pouvoirs à obtenir de nouveaux marchés et de nouvelles
sources de matières premières, ainsi que la concurrence
commerciale, qui a conduit au colonialisme, à l'impérialisme et
tout cela dans l'IGM (1914-1918), laquelle était la dernière
grande impulsion de la II révolution industrielle (aviation,
acier inoxydable, caoutchouc, nouveaux gaz, chimiques, etc.).
Changement social: Au niveau démographique, la population européenne est passée de 190
millions en 1800 à 420 en 1900, les pays industriels étant les plus bénéficiaires (l'Angleterre est passée de
20 à 37 millions, l'Allemagne de 31 à 50 millions). En dehors de l'Europe, est important le cas des États-
Unis (de 5 millions en 1800 à 76 en 1900), où émigraient plus de 50 millions d'Européens (principalement
Italiens, Irlandais et Slaves). Dans l'ensemble, la population mondiale est passée de 900 à 1600 millions,
conséquence de l'augmentation de la production agricole et des améliorations sanitaires (apparition des
premiers vaccins), et surtout la population urbaine, comme Londres (elle passe de 1 à 3 millions
d'habitants) et Paris (de 600 000 à 1 million d'habitants) qui devient les principales villes du continent.
Cette croissance était cependant limitée au monde occidental, par exemple l'Afrique n'est passée que de 90
millions en 1800 à 120 en 1900. Cette augmentation des villes, (causée par l'exode rural), a conduit aux
nouveaux plans de gestion urbaine, démolissant l'ancien murs (qui entravaient la croissance urbaine et
étaient devenus obsolètes dans leur fonction défensive) et la construction des extensions (Plan Hausman à
Paris 1852, Plan Cerdá, Barcelone 1858, etc), avec de grandes avenues qui facilitaient la circulation, Ils
empêchaient la construction de barricades par les masses ouvrières (insatisfaites de leur situation de misère
et d'exploitation) et enfin ils ont offert à la bourgeoisie une vie loin des quartiers populaires qui se
développaient incontrôlables dans les périphéries urbaines, sans eau, égouts ou pavés, étant à leur tour le
lieu où lesdites bourgeoisies ont installé leurs usines. D'une manière générale, on peut dire que l'ancienne
oligarchie noble s'est fusionnée avec la nouvelle élite bourgeoise et qu'une classe moyenne urbaine
grandissante est apparue, ce qui n'a pas empêché la grande majorité de la population de continuer à vivre
dans des conditions très dures (paysans et ouvriers industriels), avec des salaires de misère, l'exploitation
des enfants et des heures de travail illimitées. Au niveau de l'éducation, l'analphabétisme diminue, mais
avec de grandes différences entre les pays développés du Nord (la France et l'Angleterre sont passées de 80
% en 1800 à 10 % en 1900) et les plus arriérés du Sud et de l'Est (l'Espagne est passée de 90 à 60%, Russie
95-80%, etc.). L'ancienne société d’ ordres est ainsi remplacée par la nouvelle société de classes.
Le Mouvement Ouvrier: Désigne tous les mouvements sociaux et partis politiques organisés,
pour améliorer les conditions de la classe ouvrière. Cela va du syndicalisme (ils organisent des grèves, des
fonds de résistance, des fonds de solidarité et des athénées d'alphabétisation) aux partis politiques qui
représenteront les intérêts de la classe ouvrière, c'est-à-dire les partis socialistes d'Allemagne (1875),
d'Espagne (1879) ou de France. (1905), ainsi que les partis communistes, qui sont nés en Europe après le
révérend russe (1917). En 1864 est née à Londres la I Association International des Travailleurs, (AIT) qui
cherche à coordonner à l'échelle mondiale la lutte des travailleurs contre la bourgeoisie, considérée
l'ennemi commun, qui après avoir pris le pouvoir, monopolise l'État libéral et promeut le capitalisme au
profit et au prix de l'exploitation des ouvrières. Il avait deux groups:
a) Marxistes ; (ou socialistes) adeptes de Marx (penseur juif allemand, auteur du "Manifeste communiste »,
1848) et Engels (britannique, a achevé l'œuvre de Marx). Ils cherchent à former des partis politiques et des
syndicats qui défendent les travailleurs et préparent une révolution ouvrière qui expulsera la bourgeoisie du
pouvoir et établira la "dictature du prolétariat" (l'État contrôlée par et au service des travailleurs), en
éliminant la propriété privée, différences de classe et le capitalisme. Ils considèrent que la lutte des classes
(prolétaires contre bourgeois) est le moteur de l'histoire.
b) Anarchistes, adeptes de Prohudon et Bakounine (penseurs français et russes, qui ont écrit « Qu'est-ce
que la propriété ? et « Dieu et l'État »). Ils rejettent toute forme d'État ou d'autorité et optent pour des
pactes volontaires entre travailleurs d'égal à égal pour organiser la société. Ils refusent de former des partis
politiques et justifient les attaques (« propagande de fait ») contre la bourgeoisie, ainsi que la Révolution
comme moyen ultime de renverser l'État bourgeois et de créer une nouvelle société libre et égalitaire.
Tous deux s'opposent au nationalisme et à la religion « La religion et l’opium du peuple »), considérant que
ce sont des idéologies créées pour soumettre et affronter le prolétariat au profit des intérêts bourgeois.
L'Association internationale des travailleurs:
Le mouvement ouvrier s'oppose au nationalisme, qui est
considéré une invention de la bourgeoisie pour mobiliser la
classe ouvrière au profit des intérêts capitalistes et de l'élite
bourgeoise. Au lieu de cela, il propose le concept
d'internationalisme, c'est-à-dire une lutte basée sur la classe
sociale (lutte de classe) dans laquelle les travailleurs du monde
entier doivent s'unir pour lutter contre leurs bourgeoisies
exploiteuses afin de réaliser la révolution ouvrière mondial.
I) À partir de ces principes en 1864, la I Internationale a été
créée à Londres, comme une fédération d'ouvriers et de
syndicats du monde composée par le deux courants
(anarchistes et marxistes). La I Internationale voulait
coordonner les actions de lutte ouvrière à travers le monde,
cependant, les conflits idéologiques entre marxistes (partisans
de la création de partis politiques) et anarchistes (partisans
seulement de l'action syndicale) conduiront à sa dissolution en
1871.
II) En 1889 la II Internationale formée uniquement de
marxistes (appelés socialistes) est créée à Paris, cependant,
deux tendances vont bientôt apparaître parmi les partisans
d’arriver au socialisme par la révolution ou par des réformes au
sein d'une démocratie libérale (social-démocrates). Les
tensions conduiraient à une nouvelle rupture en 1914, lorsque
avec le déclenchement de l'IGM, les sociaux-démocrates
allemands et français ont soutenu les déclarations de guerre, ce
qui a été considéré comme une trahison par les autres.
III) Cette rupture, ainsi que les effets de la Révolution russe
(1917-1923), donneront lieu à la formation à Moscou de la III
Internationale (1919, formée par les communistes), dirigée
depuis Moscou par l'URSS et avec le but exporter le modèle
révolutionnaire russe dans le reste du monde pour libérer le
prolétariat de l'oppression capitaliste.
Práctica III). Comenta esta pintura, “La huelga”, Robert Khoeler, (1886).
 
4) Industrialización y Movimiento Obrero en España.
Problemas socioeconómicos de la España del XIX: La incorporación de España a la
economía de mercado, industrial y capitalista se produjo de manera tardía, lenta y territorialmente desigual.
Mientras que algunos países habían comenzado la I Revolución Industrial muchos antes (Inglaterra desde
1770, Francia, Bélgica desde 1820 etc), en 1840 España sigue siendo un país preindustrial se encuentra con
una situación totalmente adversa y en clara desventaja para competir en el mercado exterior, por lo que no
hubo realmente una auténtica Rev. Industrial, sino más bien un proceso industrializador limitado a algunas
regiones (Cataluña y País vasco). Los principales problemas fueron :
a) Inestabilidad política derivada de los conflictos internos (Guerras Carlistas y pronunciamientos).
b) Atraso de la agricultura, por la concentración latifundista en la mitad sur a manos de una burguesía
terrateniente que no busca modernizar sus explotaciones sino vivir como nobles.
c) Pésimas comunicaciones y abundancia de bandoleros, (lastra el comercio interno). El ferrocarril produce
mejoras, pero insuficientes (5000 km de railes en España, frente a los 25.000 de Inglaterra o 18.000 de
Francia y Alemania): En 1860 Castilla almacena trigo mientras Andalucía pasa hambre.
d) Bajo poder adquisitivo de la sociedad, mayoritariamente campesina y analfabeta que practica una
economía de subsistencia y es incapaz de comprar los productos locales.
e) Lamentable estado de la hacienda, incapaz de invertir lo suficiente en trasportes o educación, con una
balanza comercial deficitaria, que solo desde 1854 comenzó a equilibrarse por el comercio cubano.
f) Baja calidad y costosa extracción del carbón asturiano.
g) Ausencia de espíritu emprendedor (excepto en Cataluña y País Vasco).
Evolución económica de España durante el XIX.
a) La Industria: Comenzó a despegar lentamente tras la llegada del ferrocarril (1848, Barcelona-
Mataró), localizándose solo en Cataluña (industrial textil) y País Vasco (siderurgia), regiones
que se beneficiaron de sus buenas conexiones con Europa, así como de la mentalidad
emprendedora de sus burguesías y del éxodo rural que produjeron las desamortización de
Mendizábal (1836) y Madoz (1855), por la que muchos campesinos quedaron privados de las
tierras comunales, viéndose obligados a emigrar a Barcelona y Bilbao como mano de obra
barata para las fábricas. A pesar de todo dicha industria nunca fue competitiva con la del resto
de Europa, siendo objeto de protección por los gobiernos (aranceles) y teniendo como
mercados principales el resto de España y sobre todo la colonia de Cuba (20% de todas las
exportaciones). Se desarrolló también una industria minera en Asturias a partir del carbón, pero
al ser este de mala calidad y difícil extracción su rentabilidad fue escasa, no pudiendo competir
con el carbón inglés, y quedando las minas rentables (mercurio de Almadén, cobre en Río tinto)
en manos extranjeras (ingleses y franceses).
b) Agricultura: Los principales cambios se produjeron a raíz de las desamortizaciones
eclesiástica de Mendizábal (1836) y civil de Madoz (1855), por las que con las tierras
arrebatadas a la iglesia y a los ayuntamientos pasaron a manos de una burguesía terrateniente,
que las cultivaba con jornaleros en jornadas de 12 horas, 6 días a la semana por una cuantía
mínima, quedando privados a su vez de las tierras de uso comunal. En general la producción
agrícola aumento, aunque menos que en el resto de Europa por el atraso de las técnicas de
cultivo y por no cultivar los propietarios toda la superficie de tierras adquiridas.
c) Comercio: España presentó las características económicas de las economías coloniales: Tras
perder el imperio americano, la balanza comercial resultó deficitaria, exportando materias
primas a bajo precio (minerales) e importando productos manufacturados a precio mucho
mayor (maquinaria industrial pesada). Solo en Cuba, se desarrolló una próspera burguesía
comercial basada en el azúcar (trabajado con mano de obra esclava), cada vez más descontenta
por no poder exportar libremente su producción a EEUU.
Cambios sociales en la España del XIX: La transición del A. Régimen al Est. Liberal y los
cambios económicos que la industrialización produjo en algunas regiones, sustituyeron la estática Soc.
Estamental, por una nueva Soc. de clases, en la práctica esta tampoco muy distinta a la anterior.
A) La oligarquía, era algo más amplia que en A Régimen, pero minoritaria (10%) y acaparaba también el
poder político, valiéndose del sufragio censitario o del fraude electoral. La lenta y desigual
Industrialización, posibilita la aparición de una nueva gran burguesía urbana. Algunos de ellos, (nuevos
terratenientes castellanos y andaluces de origen burgués beneficiarios de las desamortizaciones,
industriales vascos del acero, catalanes del textil, etc) harán grandes fortunas por las que logran su sueño de
fusionarse con la nobleza (unos buscan prestigio social, los otros aumentar su riqueza). El clero, sigue
siendo un grupo poderoso que controla la educación, obstaculiza el cambio y apoya el orden establecido
B) La clase media (15%), va aumentando lentamente, ligada a la mejora educativa (Ley Moyano, 1857), al
crecimiento del estado (funcionarios) y del comercio interior (comerciantes), aunque a un ritmo inferior al
del resto de Europa (analfabetismo pasa en Francia del 80 al 10%, pero que en España solo del 90 al 60%).
C) las clases desfavorecidas, eran la gran mayoría (75%), dividiéndose en obreros (25%), ex-campesinos
emigrados a la ciudad huyendo de la miseria agravada tras la desamortización, explotados por los patronos
y por último la inmensa y mísera masa campesina (50%), explotada, menospreciada por todos.
- Demográficamente, el país pasa de los 11 millones en 1800 a los 18 en 1900, un crecimiento lento si se
compara con el resto de Europa y que se vio lastrada por la gran emigración (más de 1 millón de personas
destino a Cuba, Francia o Argelia), las epidemias (más de 500.000 muertos por cólera, gripe, etc), el
hambre o las numerosas guerras (más de1 millón de muertos por causas bélicas durante el XIX), siendo el
80% de la población rural y teniendo las ciudades españolas un tamaño inferior respecto a la media europea
(Madrid y Barcelona pasan de los 150.000 habitantes en 1800 a los 500.000 en 1900). El salto entre el
campo y la ciudad (1880: 42 años de esperanza de vida en el campo, frente a los 62 de la ciudad).
Orígenes del Movimiento Obrero español: Ante
las abusivas condiciones laborales, los tejedores de Barcelona
comienzan a crear las “Sociedades de Ayuda Mutua” (1840),
origen de los primeros sindicatos. Tanto huelgas como
sindicatos fueron prohibidos hasta 1887 (ley de asociaciones).

La Sección española de la AIT se funda en Barcelona en


1870, con mayoría de anarquistas (Cataluña, Andalucía y el
levante) por haber estado allí Fanelli predicando sus ideas
(1868), mientras que el marxismo fue más fuerte en Madrid,
Bilbao y Asturias. Como consecuencia del hambre, la miseria
y los abusos, el auge del Mov. Obrero será imparable.
a) los Socialistas: En 1879, Pablo Iglesias Posse funda el
PSOE (todavía en la clandestinidad), de inspiración marxista
y que aspiraba a la conquista del estado por los obreros, el fin
de la explotación y de las desigualdades de clase. Para esto
acepta tanto la revolución como la vía electoral,
presentándose a las elecciones aunque sin obtener ninguna
representación (por el sufragio censitario y el falseamiento
electoral). En 1888 Pablo Iglesias Posse, funda también la
UGT, como sindicato marxista ligado al PSOE. Ambos
organismos a la II Internacional.
b) Los Anarquistas: Rechazan las elecciones y los partidos
políticos (solo sindicatos),, aspirando a la revolución con
métodos violentos (propaganda por el hecho). Realizan
insurrecciones campesinas en todo el sur, ocupando los
jornaleros las fincas de los terratenientes y realizando
atentados contra la burguesía (bomba del liceo, 1893, 20
muertos) y los políticos del régimen (asesinato de Cánovas,
1897). Se agrupan en la Federación de Trabajadores de la
Región Española (FTRE), difundiendo sus ideas en el diario
“Tierra y libertad”. Fueron la fuerza hegemónica (Andalucía,
Cataluña, Murcia y Valencia).
Práctica IV: Cuestiones.

1) Busca información donde expliques los siguientes hechos o personajes


relacionados con el Movimiento Obrero español:
a) -Mateo Morral.
b) -Giuseppe Fanelli.
c) -La Mano Negra.
d) -Michele Angiolillo.
e) -Fermín Salvoechea
f) -Santiago Salvador Franch.
g) -Pablo Iglesias Posse.
5) Le Romantisme.
Origine et caractéristiques : Le romantisme était un mouvement artistique, littéraire, musical et
intellectuel né en Allemagne, à la suite de l'invasion napoléonienne et de l'expansion des idées
révolutionnaires exportées par la Révolution française. Il se répandant par toute l'Europe entre 1810 et
1860. C'était donc un mouvement étroitement lié aux idées révolutionnaires de la bourgeoisie (nationalisme
et libéralisme), qui sur le plan artistique se caractérisait par une emphase sur les émotions (folie, tragédie,
idéaux, rébellion, terreur, passion, suicide , etc.), l'individualisme (aventure, héroïsme, sacrifice individuel
pour une cause collective de force majeure, etc.), ainsi que la glorification du passé (notamment médiéval,
lequel les romantiques identifient comme une époque mystérieuse, passionnée et légendaires, dans lesquels
apparaissent également les caractéristiques nationales de leurs peuples/nations respectifs) et l'intérêt pour
d'autres cultures (orientalisme). Pour les romantiques, l'imagination est au-dessus de la raison, celle-ci étant
la qualité qui définit l'homme.
La nature est aussi admirée pour son caractère indomptable et incontrôlable, le paysage étant l'un de ses
thèmes de prédilection, bien que toujours sous des prémisses de force incontrôlable (sublimes couchers de
soleil, orages, exubérance sauvage de la forêt, le soleil, la mer, le vent, décrivant la nature non seulement
aussi beau, mais aussi puissant, imprévisible et destructeur...) qui contraste avec l'harmonie bienveillante et
ordonnée du paysage néoclassique. Sur le plan stylistique, le romantisme est un retour aux compositions
baroques (rechargement, abondance de formes courbes, positions corporelles compliquées, compositions
asymétriques, forts contrastes d'ombre et de lumière, couleur abondante et grand réalisme dans les
représentations humaines).
Ouvres et auteurs :
-Architecture : Elle est influencée par le nationalisme, étant un instrument des bourgeoises pour
transmettre cette idéologie au peuple, reflétant son passé glorieux et ses caractéristiques nationales. Ainsi
émergent les « Néos» (néo-gothique, néo-roman, néo-byzantin et néo-mudéjar). La bourgeoisie a utilisé
l'architecture comme un moyen de montrer son pouvoir, les manoirs en forme de château médiéval étant
fréquents. De plus, la consolidation de l'État libéral a nécessité des nouveaux édifices publics: des gares,
des théâtres ou des parlements comme celui de Londres (Palais de Westminster, 1840, Augustus Pugin) ou
celui de Budapest (1884, Imre Steindl). L'église a financé des temples néo-gothiques et néo-romans.
-Sculpture: Divisé en thèmes humains et fantastiques. Dans le premier groupe se distingue le Français
François Rude, ("La marche des volontaires" 1833, à l'Arc de Triomphe, pour commémorer les guerres de
la Révolution). Dans le second groupe, l'Ange déchu (1877), de Ricardo Belver (Madrid) sert d'exemple.
-Peinture: On distingue deux types : la peinture figurative (les scènes humaines prédominent) et la peinture
de paysage (c’est prédominant le rôle de la nature). Le premier type a été mené par l'Espagne et la France,
mettant en évidence Goya considéré comme le premier romantique ("Fusilamientos del tres de Mayo",
1814) Géricault, (Le radeau de la Méduse, 1819) et Delacroix ("La liberté guidant le peuple" 1830, "Mort
de Sardanápalo" 1827), connu pour ses contrastes de couleurs et d'ombres claires, étant influencé par des
peintres baroques comme le Caravage. Dans le deuxième groupe se distinguaient les anglais comme
Turner, ("pluie, vapeur et vitesse", 1844) dont les œuvres se caractérisent par une atmosphère dense qui
provoque l'imagination. A noter également des peintres allemands comme Friedrich (« Vagabond au-
dessus de la mer de nuages ​», 1818), connu pour ses paysages aux figures solitaires, qui contemplent la
nature, au milieu des brumes matinales, des arbres morts ou des ruines gothiques.
Práctica V). “Le Radeau de la Méduse”, Théodore Gericaux (1818).

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