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Bilingual and Monolingual Brains Compared: A Functional Magnetic Resonance Imaging Investigation of

Syntactic Processing and a Possible “Neural Signature” of Bilingualism (NATIONAL INSTITUTES OF


HEALTH ,2008)

Le cerveau d'un bilingue traite-t-il le langage différemment de celui d'un monolingue ? Nous avons comparé la
façon dont les bilingues et les monolingues recrutent les zones cérébrales classiques du langage en réponse à
une tâche linguistique et nous avons demandé s'il existe une "signature neuronale" du bilinguisme. Des
adultes bilingues espagnol-anglais et des monolingues anglais hautement compétents et exposés à un âge
précoce ont participé à l'étude. Pendant l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), les
participants ont effectué une "tâche de jugement de phrase" syntaxique [Caplan, D., Alpert, N., & Waters, G.
Effects of syntactic structure and propositional number on patterns of regional cerebral blood flow. Journal of
Cognitive Neuroscience, 10, 541-552, 1998]. Les phrases exploitaient les différences entre les propriétés
linguistiques de l'espagnol et de l'anglais, ce qui nous a permis d'explorer les similitudes et les différences
dans les réponses comportementales et neurales entre les bilingues et les monolingues, et entre les deux
langues d'un bilingue. Si le traitement neuronal des bilingues diffère entre leurs deux langues, alors des
modèles comportementaux et neuronaux différentiels devraient être observés en espagnol et en anglais. Les
résultats montrent que, d'un point de vue comportemental, en anglais, les bilingues et les monolingues
avaient la même vitesse et la même précision, mais que, comme le prévoyaient les différences structurelles
entre l'espagnol et l'anglais, les bilingues avaient un schéma de performance différent en espagnol, cortex
frontal inférieur gauche, LIFC), toute différence neuronale entre les deux langues du bilingue étant fondée sur
des principes et prévisible sur la base des différences morphosyntaxiques entre l'espagnol et l'anglais.
Cependant, une différence importante était que les bilingues avaient une augmentation significativement plus
importante du signal dépendant du niveau d'oxygénation du sang dans le LIFC (BA 45) lors du traitement de
l'anglais que les monolingues anglais. Ces résultats permettent de mieux comprendre la question, vieille de
plusieurs décennies, du degré de séparation de la représentation bilingue des personnes bilingues.
L'activation différentielle entre les bilingues et les monolingues soulève la question de savoir s'il existe une
"signature neuronale" du bilinguisme. L'activation différentielle peut également fournir une fenêtre fascinante
sur le potentiel de traitement du langage non recruté dans les cerveaux monolingues et révéler l'étendue
biologique de l'architecture neuronale qui sous-tend tout le langage humain.

*** Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) ***

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