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COMMUNICATION
PROFESSIONNELLE
FORMATEURS
TOTAL HEURES : 30 H
SEMESTRE 2 30 H
Quatrième Chapitre 1 : LA
partie : LA COMMUNICATION Savoir :
COMMUNICA EXTERNE Rédiger une lettre
TION ECRITE Sem 18 I LA LETTRE 2H commerciale
PROFESSION COMMERCIALE Compléter les
NELLE Sem 19 II LA DEMANDE 2H documents
D’INFORMATION ET commerciaux
REPONSE
Sem 20 EVALUATION N°2 2H
Sem 21 III L’APPEL D’OFFRES ET 2H
LE DEVIS
Sem 22 IV LA COMMANDE 2H
Sem 23 V L’ENVOI DE LA 2H
MARCHANDISE
Sem 24 VI LA FACTURE 2H
Sem 25 EVALUATION N°3 2H
Chapitre 2 : LA
COMMUNICATION
INTERNE
Sem 26 I LES LETTRES 2H Savoir :
ADMINISTRATIVES Rédiger les écrits
Sem 27 II LES NOTES 2H internes
Sem 28 EVALUATION N°4 2H
Sem 29 III LE COMPTE RENDU 2H
Sem 30 IV LE RAPPORT 2H
D’ANALYSE
Sem 31 EVALUATION N°5 2H
Sem 32 RENFORCEMENT 2H
TOTAL HEURES : 30 H
SEMESTRE 1
Première partie : CONCEPTS DE BASE LA COMMUNICATION P 4
Chapitre 1 : LA SITUATION DE COMMUNICATION P4
Chapitre 2 : VARIETES DES SITUATIONS DE COMMUNICATION P 8
Chapitre 3 : LES FORMES DE COMMUNICATION P 16
Chapitre 4 : LES FACTEURS D’ECHEC DE LA COMMUNICATION P 18
Deuxième partie : LA COMMUNICATION ORALE PROFESSIONNELLE P 21
Chapitre 1 : LES TECHNIQUES DE BASE DE LA COMMUNICATION ORALE P 21
Chapitre 2 : LES PRINCIPALES SITUATIONS DE LA COMMUNICATION ORALE P 26
Troisième partie : LA RECHERCHE DE STAGE P 45
Chapitre 1 : LES ETAPES ET PISTES POUR LA RECHERCHE DE STAGE P 45
Chapitre 2 : LE CURRICULUM VITAE P 47
Chapitre 3 : LA DEMANDE DE STAGE P 50
Chapitre 4 : LE RAPPORT DE STAGE P 53
Chapitre 5 : LA SOUTENANCE P 61
SEMESTRE 2
Quatrième partie : LA COMMUNICATION ECRITE PROFESSIONNELLE P 63
Chapitre 1 : LA COMMUNICATION EXTERNE P 63
Chapitre 2 : LA COMMUNICATION INTERNE P 89
Objectifs spécifiques
I-1 L’émetteur : Il est source du message. C’est lui qui parle, écrit ou envoie le message.
On l’appelle aussi destinateur ou locuteur (pour une communication orale). C’est lui qui
en s’appuyant sur sa personnalité, son savoir, son désir, encode le message. L’émetteur
peut être un individu, un groupe ou une machine. Pour identifier l’émetteur l’on pourra
se poser la question (qui ? Qui est-ce-qui dit ça ?)
I-2 Le récepteur : On l’appelle aussi destinataire. Il est celui à qui est destiné le message.
Il décode le message qu’il reçoit. Le récepteur n’a pas une position figée : il peut à son
tour devenir émetteur quand il répond au message. Le récepteur peut également être un
individu, un groupe, une machine.
NB : Celui qui reçoit le message n’est pas nécessairement de destinataire. Par exemple
quand vous recevez un SMS que quelqu’un vous envoie par erreur. Dans ce cas vous êtes
récepteur et non pas destinataire.
I-4 Le référent
Le référent est l’ensemble des êtres et des choses effectivement présents pendant l’acte
de communication. On parle alors de référent situationnel. Le référent peut également renvoyer
aux êtres et aux choses (absents pendant l’acte de communication) dont il est question dans le
message.
NB
Le feed-back : Le récepteur a la possibilité de réagir en répondant à l’émetteur. Dire,
autrement, le récepteur est actif puisqu’il peut devenir à son tour émetteur. On appelle
le feed-back aussi rétroaction.
REFERENT
Emetteur Récepteur
MESSAGE
CANAL/MEDIA CODE
Feed-back
(rétroaction)
Dans une situation de communication, il faut prendre en compte certains facteurs liés à
la personnalité, à la position sociale des acteurs participant à cette communication. Il s’agit donc
des composantes relationnelles qui vont nécessairement influencer la communication. Ce sont :
l’âge
l’éducation
l’histoire personnelle
le métier
la situation familiale, etc.
Il comprend les paramètres tels que l’âge, la catégorie sociale, etc. Le groupe
d’appartenance détermine :
OBJECTIFS SPECIFIQUES
Caractériser les différents types de communication
Identifier les formes de la communication
Identifier les facteurs d’échec de la communication
I LA STRUCTURE DE L’ENTREPRISE
L’organisation d’une entreprise est une représentation de tâches entre les différents
services, le niveau hiérarchique de chacun et les relations entre les membres de l’équipe.
Ces relations seront soit hiérarchiques ou fonctionnelles.
Cette organisation est très ancienne et très répandue. Inspirée par Fayol, la structure
hiérarchique repose sur le principe de commandement. Dire autrement, un salarié ne reçoit
d’ordre que d’un seul responsable. Chaque responsable est chargé de diriger uniquement les
salariés qui lui sont subordonnés et ceux-ci sont tenus de rendre uniquement compte au
supérieur hiérarchique. La responsabilité et l’autorité d’un chef ne sont limitées qu’aux
collaborateurs du même service. (cf. l’organisation dans l’armée).
Certes, dans une organisation à structure hiérarchique, l’autorité et les responsabilités
sont clairement définies, la coordination des activités est facilitée par le respect de l’unité de
commandement. Cependant, cette structure pêche par des difficultés de communication, dans
la remontée des informations. En outre, son extrême centralisation peut provoquer un manque
II L’ORGANISATION DE LA COMMUNICATION
Managers
Collaborateur Collaborateur
Communication latérale
I LA COMMUNICATION VERBALE
La communication verbale est constituée de signes linguistiques. Elle est innée. C’est la
forme par laquelle l’être humain commence à communiquer (pleurs, cris, rires, etc.) et qu’il va
par la suite modifier et parfaire grâce à son expérience et son éducation. La communication
verbale s’appuie sur des signes verbaux, c’est-à-dire des mots et des syntaxes utilisés par
l’émetteur de sorte à faciliter la compréhension de son message. La communication verbale est
donc structurée et codifiée.
Lors d’une communication verbale, le locuteur peut être amené à choisir un mode
d’expression, un niveau de langue adapté à la situation d’énonciation : c’est le registre de langue
ou niveau de langue.
Le registre de langue est tributaire de certains facteurs tels que le statut, la culture etc.de
celui qui parle ; du degré d’intimité, du rapport hiérarchique etc. de celui à qui l’on s’adresse.
Ceci va donc déterminer le locuteur à choisir entre trois registres de langue :
Le registre familier
C’est un niveau de langue qui n’est pas totalement correct qui peut être toléré sous
certaines conditions. Dans le cadre professionnel, le registre familier s’utilise dans une
communication informelle, entre employés de même niveau.
Ici le niveau de langue est correct aussi bien du point de vue du lexique (vocabulaire) que
de la syntaxe (l’ordre des mots). Les principales règles sont respectées. Il s’utilise dans les
échanges de type professionnel, dans la communication formelle pour des réunions, des
rapports, etc.
Le registre soutenu
Avec ce registre, la langue est soignée. Il est très approprié pour la langue écrite. Il est
utilisé par excellence dans la communication écrite.
La communication non verbale s’appuie sur la compréhension de signes non exprimés par
un langage. Elle est constituée de gestes, de mimiques, d’attitudes, de symboles, d’expressions
faciales, de mouvements corporels etc. La communication non verbale peut soutenir le langage
verbal ou au contraire lui être opposée.
La communication peut être quelque fois difficile, voire impossible du fait de certains
facteurs. Ceux-ci peuvent altérer ou empêcher la communication. Ces facteurs constituent des
barrières, cause d’échec de la communication. On en distingue deux sortes : les barrières
individuelles et les barrières collectives.
Elles sont relatives à la connaissance, la façon dont on perçoit les mots. Ce sont des
obstacles sémantiques (sens, signification) qui font référence à des difficultés dans la
transmission et la réception de la signification du message. Ces barrières interviennent quand il
y a par exemple de la part de l’émetteur utilisation de mots trop compliqués ou non adaptés au
récepteur, ou quand le message est peu clair. C’est le cas de l’utilisation d’un code langage trop
spécialisé. Il en est aussi des messages peu clairs, d’explications confuses, etc.
Les barrières sémantiques dépendent aussi des spécificités personnelles des
interlocuteurs (expériences vécues, croyances, centre d’intérêt, etc.), de leur différence de
niveau de connaissance.
L’on peut constater que dans une situation de communication, l’émetteur et le récepteur
ne communiquent pas vraiment ou communiquent mal. Ceci peut être dû à des barrières d’ordre
affectif ou psychologique. Ces barrières peuvent se manifester sous la forme d’attitudes
subjectives, de préjugés. Dans ce cas par exemple, c’est un refus du dialogue car il y a une
aversion instinctive et inexplicable pour l’interlocuteur. Cette barrière va s’extérioriser par des
jugements ou le mépris de l’autre, la peur de l’autre (peur du supérieur hiérarchique ou mépris
pour un subalterne) : on garde alors le silence pour éviter de révéler des aspects de sa
En dehors des barrières individuelles qui sont des facteurs personnels, d’autres obstacles
peuvent nuire à la communication : ce sont les barrières collectives. Elles sont d’ordre technique
ou environnemental et économique.
Celles-ci sont inhérentes au canal par lequel transite le message. Quand ce canal n’est pas
approprié, la communication a du mal à passer à cause par exemple du bruitage, de la limite de
la fréquence, des interférences de communication, des fritures sur les lignes téléphoniques ou
même de panne d’appareil.
I L’ECOUTE ACTIVE
La qualité d’une communication tient compte non seulement de l’émetteur mais aussi
du récepteur. Pour que cette communication soit efficace, il faut écouter son interlocuteur.
Mais une question fondamentale se pose : savons-nous bien écouter ? Une communication
orale, pour qu’elle soit efficace, nous commande d’observer une écoute active.
Ecouter n’est pas une activité passive. Au contraire, écouter à la différence d’entendre,
demande des efforts, de la concentration. Une bonne écoute nous impose de ne pas prendre
parti, d’oublier notre avis sur tel ou tel sujet afin de repérer les préoccupations de
l’interlocuteur.
Une écoute active donc, est un ensemble de stratégies, une technique qui permet
d’améliorer la qualité d’écoute. Elle permet de s’assurer que l’on a compris le message de son
interlocuteur et de le lui prouver. L’écoute active consiste à écouter attentivement son
interlocuteur et à lui retourner ses pensées et ses sentiments sans qu’il ait le sentiment d’être
jugé. Cependant, plus qu’une simple répétition de propos, l’écoute active est le reflet des
pensées et sentiments de son interlocuteur sans jugement de valeur. Il faut donc se mettre «
I-1 Le questionnement
Dans une communication interpersonnelle, pour clarifier des propos que nous pensons
ne pas avoir bien saisis, il ne faut pas hésiter à poser des questions à son interlocuteur. Le
questionnement peut se décliner sous plusieurs formes.
Les questions ouvertes invitent à formuler une réponse plus élaborée et à donner
la possibilité à l’interlocuteur de s’exprimer plus librement.
Ex :
« Peur ? »
I-2-LA REFORMULATION
La reformulation sert à montrer que l’on a bien écouté son inter locuteur, que l’on
s’intéresse à son message et à s’assurer que l’on a bien compris le sens de ses propos et à en
clarifier si besoin, le sens. L’on distingue plusieurs types de reformulations :
Il s’agit de faire une synthèse de ce qui a été dit par son interlocuteur.
Amorces types :
En résumé, tu me dis que…, Si je me résume…, En deux mots…, Au fond… etc.
Elle permet aussi de recentrer le débat, la conversation autour de d’un ou deux points
que vous jugez les plus importants.
Cela peut amener l’interlocuteur à préciser sa pensée s’il n’est pas d’accord avec la
synthèse.
I-2-4 La reformulation clarification
Tu veux dire que tu ne peux pas continuer à le laisser envoyer des messages
intempestifs à son client ?
La clarification permet d’aller plus loin que ce qui a été dit, en utilisant ce que qu’on a
compris entre les lignes ou déduit.
Amorces types :
Autrement dit…, Cela revient à dire…, Tu penses donc que…, etc.
I L’EXPOSE ORAL
I-1 Définition
L’exposé est une communication orale qui permet d’aborder un sujet sous toutes
ses facettes, dans un temps déterminé. Il permet de présenter le résultat d’un travail de
recherche sur un sujet donné. Au cours de cette intervention orale, celui qui expose,
s’adresse dans un discours structuré, ordonné, à un auditoire. L’exposé donne lieu à la fin, à
un débat.
I-2 le sujet de l’expose
Dans le cadre scolaire, le sujet de l’exposé est imposé par l’enseignant ou le
formateur. Le sujet doit permettre à l’élève ou l’étudiant d’enrichir ses connaissances et
d’approfondir le travail effectué pendant le cours.
Dans le cadre professionnel, il en est autrement car l’on peut choisir soi-même le
sujet. Celui-ci doit être motivant pour celui qui le prépare et intéressant pour l’auditoire qui
souhaiterait en apprendre davantage.
I-3 la préparation
I-3-1 La recherche de la documentation
Selon la nature de l’exposé, plusieurs sources devront être consultées. La
documentation peut être réunie à partir d’articles de journaux, de livres, d’encyclopédies,
de magazines, dans les CDI ou bibliothèques. Il en est de même des sites internet traitant du
sujet de l’exposé. La diversité des sources de documentation concourra à la richesse, à la
qualité de l’exposé. C’est pourquoi, il ne faut pas se limiter à une seule source.
COMMUNICATION PROFESSIONNELLE 1ères ANNEES DUT/BTS 26
Pendant cette phase, il ne s’agit que de collecter la documentation en rapport avec
l’exposé.
Le plan : Problème-Causes-Solutions
Le plan P-C-S se présente ainsi :
I PROBLEME : chiffres, faits précis.
II CAUSES : explication du phénomène ou de la notion à étudier.
III SOLUTIONS : proposition de remèdes.
Pour ce plan, une situation est décrite, on en analyse ses causes et l’on propose des
solutions.
Le plan : Causes-Faits-Conséquences
C’est une variante du plan précédent. Le plan C-F-C se présente ainsi :
I POURQUOI ? Causes
II QUOI ? COMMENT ? Manifestations
III CONSEQUENCES ? Répercussions
NB Ce plan est plus approprié pour analyser une notion circonscrite dans le temps et
l’espace.
I Thèse : Oui/Pour
II Antithèse : Non/Contre
III Synthèse : Dépassement/Résolution/Peut-être
Exemple : Pensez-vous que l’argent fait le bonheur ?
NB : Certains sujets peuvent être à cheval entre plusieurs types de plans ; il faut donc
choisir celui qui nous convient le mieux.
C’est maintenant le moment de rédiger son exposé. Il faut avoir à l’esprit qu’il doit
obligatoirement comprendre une introduction, un développement et une conclusion.
L’introduction
Elle s’articule en trois ou quatre phases :
Le développement
C’est l’essentiel de l’exposé par rapport au volume. Il doit être plus le détaillé
possible et comprendre deux ou trois grandes parties (au moins trois mais pas plus). Ces
grandes parties doivent avoir relativement la même longueur car un grand déséquilibre peut
être le signe que le plan n’est pas pertinent. Chaque partie commence par une idée
directrice et finit par une phrase conclusive et de transition pour la partie suivante.
Chacune des grandes parties est subdivisée en sous parties.
La conclusion
Exemple : si vous le permettez, nous allons maintenant vous laisser la parole pour
répondre…/ Nous attendons maintenant vos questions…
Recommandations
Retenons que l’exposé doit être entièrement rédigé et adapté au niveau (intellectuel
et culturel) de l’auditoire.
L’on attend de celui qui expose un effort de reformulation, d’expression personnelle,
en évitant la paraphrase. Il est surtout absolument interdit le « copié-collé ».
Il faut :
Utiliser des phrases courtes.
Soigner les transitions entre les différentes parties.
Surveiller la qualité de l’expression par le respect des règles orthographiques,
grammaticales et syntaxiques.
Opter pour un niveau de langue au moins courant, voire soutenu.
Prendre le soin de définir les termes techniques.
Avant l’exposé, il faut s’entraîner à le répéter. L’on peut s’entraîner seul ou avec les
membres de son groupe dans le cadre d’un travail collectif. Dans ce cas alors, tous les
membres du groupe doivent être impliqués dans la présentation de l’exposé et les rôles
seront équitablement répartis entre les coéquipiers. Il faudra s’exercer à arriver à une
NB Un des membres du groupe sera chargé de présenter le groupe. C’est lui qui va
également introduire et conclure l’exposé.
Préparation de ses notes
Le principe pendant la présentation d’un exposé, est d’éviter la tentation de lire ses
notes. C’est pourquoi, il faut prendre le soin pendant les répétitions, de ne noter seulement
que le plan et les grandes idées. Le reste du contenu doit être mémorisé et rendu oralement
(90% de l’exposé dans la tête et 10% sur le plan).
Il faut écrire en gros caractères et varier les couleurs éventuellement, de sorte à se
repérer facilement. L’on peut le faire sur des fiches Bristol qui seront numérotées. Il est
préférable de n’écrire qu’au recto.
NB : Seules l’introduction et la conclusion devraient être entièrement rédigées.
La prise de parole devant un public n’est pas chose aisée. Aussi est-il normal que l’on
puisse être affecté de glossophobie, c’est-à-dire la peur de s’exprimer devant un public. Cet
état n’est pas dramatique et est compréhensible. C’est l’envie de bien faire, de ne pas
échouer qui peut provoquer et expliquer cette peur. Mais il faut arriver rapidement à
dominer cette angoisse, à gérer son stress.
Quelques techniques ou astuces peuvent aider surmonter son malaise et à
« affronter » sereinement son auditoire :
II-1 Définition/Objectif
Une des situations de communication orale, dans le cadre professionnel, qui permet
d’apprécier les qualités d’un orateur, demeure la réunion. En effet, très souvent, l’on pourra
être sollicité pour transmettre des informations à sa hiérarchie, donner des instructions pour
la bonne marche de son entreprise, rendre compte oralement à des collègues d’une séance
de travail, d’un séminaire auquel on a participé, etc.
La réunion va nécessairement donner lieu à la prise de parole devant plusieurs
personnes qu’il faut réussir afin que le message que l’on veut délivrer soit efficace. Certes le
moment le plus délicat dans la réunion est celui où l’on doit prendre la parole et s’exprimer,
en tant qu’animateur (de même en tant que participant), mais avant, il faut se déterminer
une conduite de réunion, c’est-à-dire un ensemble d’actions à entreprendre afin de bien
organiser et mener une réunion.
Il consiste à regrouper en quelques points, les sujets qui seront abordés au cours de
la réunion. Ceux-ci seront débattus pendant un temps précis, défini avant la réunion. C’est
donc un découpage horaire en tranches consacrées à chaque point. Il est généralement
admis d’avoir trois points à l’ordre du jour.
Le type de la réunion est tributaire bien entendu de l’objectif qui lui est assigné.
Aussi avons-nous quatre grands types de réunion :
La réunion d’information
La réunion de travail
La réunion-discussion avec prise de décision
La réunion de négociation
II-4 L’auditoire
Introduction
Développement
Conclusion
S’assurer que la salle est propre, que tout est bien disposé. De même, veiller au bon
fonctionnement du matériel de sonorisation, vidéo projecteur, etc. (voir cours sur l’exposé)
II PENDANT LA REUNION
Cette phase de la réunion est très importante pour l’animateur. Elle comprend
plusieurs étapes :
Présentation
Rappel des objectifs de la réunion
Rappel de l’ordre du jour pour adoption et de la durée consacrée aux différents
points à l’ordre du jour.
Proposition d’une méthode de travail
La première image que l’interlocuteur garde de l’entreprise est celle de l’accueil qui
lui est réservé. L’accueil, en effet permet de communiquer tout en donnant une image
positive ou négative de l’entreprise. L’accueillant a pour mission de renseigner, de guider ou
de faire patienter un visiteur qui est étranger à l’entreprise. Aussi faut-il que cet accueil fût-
il physique ou téléphonique soit soigné et que le visiteur soit positivement accueilli.
La personne chargée du rôle d’accueil dans l’entreprise doit avoir une connaissance
du bout des doigts de celle-ci. C’est-à-dire qu’elle doit savoir comment l’entreprise est
structurée (organigramme et fonction des personnes ressources) et quelles sont ses
différentes activités.
Il est primordial aussi que l’accueillant soit informé de l’agenda des différents
responsables et autres salariés. Autrement dit, quelles sont leurs consignes pour la journée ?
Ont-ils des rendez-vous attendus ? Sont-ils disponibles pour tel ou tel visiteur ? Etc.
En entrant dans l’entreprise, le visiteur doit savoir vers où se diriger pour avoir les
informations dont il a besoin. Un panneau fléché ou une signalisation pourra l’y aider de
sorte à repérer aisément le comptoir ou le bureau réservé à l’agent d’accueil.
Ce lieu doit être bien rangé et esthétique car c’est la première vitrine de l’entreprise.
Il doit être doté d’un téléphone qui permettra au besoin de joindre la personne que le
visiteur souhaiterait rencontrer.
Quand l’entreprise dispose d’un local spécialement réservé aux visiteurs pour les
faire patienter, celui-ci doit être convivial et disposer de fauteuils, d’une table basse, d’une
télévision, de revues, etc.
Quant à l’accueillant, il doit avoir évidemment une tenue vestimentaire correcte.
L’identification
Si le visiteur arrive pour la première fois dans l’entreprise et qu’il ne s’est pas
présenté, il ne faut pas hésiter à l’interroger sur son identité ainsi que l’objet de sa visite : « A
qui ai-je l’honneur ? En quoi puis-je vous être utile ? ». A ce stade, pratiquer l’écoute active
pour bien cerner l’objet de la visite.
Dès que l’on est au fait des besoins du visiteur, il faut apporter une solution
rapidement à ses préoccupations. L’accueillant alors selon les situations pourra adapter sa
conduite.
L’un des baromètres qui permet d’évaluer l’image d’une entreprise, c’est la
conversation téléphonique entre un employé et un correspondant extérieur. L’accueil
téléphonique est également à l’image de l’accueil physique, un vecteur de l’image de
l’entreprise. C’est pourquoi l’accueil téléphonique doit être bien mené. Il doit se faire dans
les meilleures conditions, en respectant les codes, pour faire passer efficacement le
message.
Pendant un appel téléphonique, il faut savoir que le client doit être la priorité. Il
s’attend à une réponse rapide et claire. Il est insupportable et inadmissible pour lui
d’attendre trop longtemps ou de ne pas être bien traité par son interlocuteur. Un client
furieux et mécontent pourra être tenté de s’adresser aux concurrents et cela est désastreux
pour l’entreprise.
Vous a téléphoné
Demande que vous le rappeliez
Vous rappellera
Vous a rappelé
Est venu vous voir
Désire un rendez-vous
Message
……………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………….
Par mail
Au service courrier des ressources humaines
COMMUNICATION PROFESSIONNELLE 1ères ANNEES DUT/BTS 45
Relancer l’entreprise
Etablir une fiche de suivi : date d’envoi de la candidature
Par mail
Par appel téléphonique
II-2 Contenu du cv
Stages scolaires.
Jobs étudiants
Cette partie met en relief tout ce que l’on a appris en dehors de l’école, c’est-à-dire,
les compétences périphériques que l’on a acquises (informatique), son engagement dans
les associations, etc.
L’objectif recherché avec le CV, c’est d’être attractif afin de retenir l’attention du
recruteur au premier coup d’œil. Il faut donc rechercher l’efficacité. C’est pourquoi le CV
doit être bien présenté. L’on doit tenir compte des recommandations suivantes :
I Définition
La demande de stage ou lettre de motivation de candidature spontanée est tout
comme le CV, un outil indispensable à toute candidature. Elle permet de solliciter un stage
auprès d’entreprises bien ciblées. Son but est de répondre clairement aux attentes du
recruteur et provoquer une demande d’entretien en vue de l’obtention du stage. Afin
d’atteindre son objectif, la demande de stage doit être bien rédigée au risque de se voir
rejetée. Des dispositions doivent donc être prises pour plus d’efficacité.
II-1 L’en-tête
II-2 L’accroche
Dans cette partie qui sert aussi de développement, le candidat pourra parler de lui
en mettant en relief ses atouts essentiels qui peuvent intéresser le recruteur : ses
connaissances, ses compétences, ses savoir-faire, ses qualités. Les éléments mis en valeur
doivent donner une idée au recruteur de ce que le candidat peut apporter à l’entreprise. Il
faut donc donner au recruteur l’envie de vous rencontrer et d’envisager les missions qu’il
pourrait avoir pour vous.
II-4 La proposition de rencontre
Proposer une rencontre. Montrer votre disponibilité à toute rencontre pour un
entretien.
II-5 La formule de politesse
Etre simple et direct dans le choix de politesse
Recommandations
Monsieur,
Accroche
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………….
Présentation du candidat
..............................................................................................................................................
..........................................................................................................................................................
...................................................................................................................
Proposition de rencontre
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………….
Formule de politesse
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………
Signature
I Définition / objectif
Le rapport de stage est un dossier qui rend compte de la 1 ère expérience du stagiaire en
entreprise, une institution ou une organisation. Il raconte sa découverte dans le milieu
professionnel. Ce document relate un moment d’immersion de l’étudiant dans le monde du
travail.
Ce rapport qui est une exigence imposée à l’étudiant, a pour objectif de lui donner
l’opportunité de décrire le milieu professionnel qui l’a accueilli, le travail effectué et de rendre
compte de l’expérience professionnelle qu’il y a acquise.
II-4 Le sommaire
Il présente les articulations essentielles du rapport, c’est-à-dire les éléments constituant
l’ossature de l’étude avec renvoi à leur page de référence : introduction, les titres des parties et
des chapitres, la conclusion. C’est une sorte d’abrégé de la table des matières.
Un bon sommaire donne une vision synthétique du rapport et de son plan. Il doit
permettre à tout lecteur de saisir le déroulement du rapport de stage avant même de l’avoir lu.
(Voir illustration en annexe n0 2)
NB : Ne pas confondre le sommaire avec la table des matières. Cette dernière se place à
la fin de travaux plus denses (Master, thèse, etc.).
La mise en situation
C’est l’accroche. L’on pourra par exemple s’appuyer sur un fait marquant d’actualité
ou une citation en rapport avec l’entreprise ou le secteur d’activité. Ensuite présenter le stage en
décrivant le contexte général et économique de l’entreprise, éventuellement préciser pourquoi
le choix de cette entreprise et brièvement ses missions. Cela permet subtilement, en quelques
phrases, d’emmener le thème d’étude.
La position du problème
L’annonce du plan
Ce sont les différents moments de la réflexion qui seront examinés, sans en dévoiler
la réponse. L’annonce du plan fait ressortir les différentes parties du développement.
II-8 Le développement
Il se présente généralement en deux parties ou trois parties.
La première partie :
Elle va présenter, décrire cette entreprise dans son secteur d’activité. Il s’agira de
faire l’historique de l’entreprise, de la situer géographiquement, de présenter son
organigramme. L’on pourra également faire état de la place de l’entreprise sur le marché, c’est-
à-dire la spécificité de l’entreprise par rapport à la concurrence, sa situation financière, les forces
et les faiblesses, etc. Une photo de l’entreprise est aussi nécessaire.
La deuxième partie :
La Première partie
Entreprise
La deuxième partie
Taches effectuées
La troisième partie
Bilan/Suggestions
II-9 La conclusion
La conclusion va consister dans un premier temps à faire le bilan, c’est-à-dire de
récapituler les principales articulations de la réflexion.
La conclusion va permettre de répondre à la problématique posée dans l’introduction.
Elle va aussi permettre au stagiaire de s’interroger : Qu’est-ce que le stage lui a apporté ?
Qu’est-ce qu’il a appris ? A-t-il été conforté ? Perçoit-il toujours le monde de l’entreprise de la
même manière ?
La conclusion se rédige en une page.
Elle est constituée des titres de tous les ouvrages et périodiques, sites internet consultés
pour mener à bien l’étude. Elle permet au lecteur du rapport de stage vérifier ou de pousser la
recherche, s’il le souhaite en consultant les ouvrages concernés.
La bibliographie peut être divisée : une partie pour les ouvrages et articles et une autre
pour les sites internet.
NOM Prénom (auteur ou organisme), Titre de la page d’accueil, Adresse, URL : fournir
l’adresse URL de la ressource (date : jour, mois année, de la consultation par l’usager).
Les phrases doivent être courtes et précises. Il faut veiller à la structure de celles-ci. Il faut
bannir les expressions familières. Eviter les fautes d’orthographe et de grammaire. Pour se faire
donc, ne pas hésiter à se faire relire par plusieurs personnes afin de ne pas à avoir à corriger au
stylo les erreurs d’orthographes sur le rapport.
I Objectif/Définition
La soutenance (relativement à une formation) permet au stagiaire valoriser son rapport de
stage ou son mémoire. Il y écartera les détails pour faire montre de son esprit de synthèse, de sa
maîtrise du sujet et de ses compétences professionnelles. En outre, étant donné que la soutenance
est un exercice oral, le stagiaire devra y montrer sa capacité à communiquer, à la prise de parole
en public.
Cette soutenance est sanctionnée par une note pour la validation du diplôme ou de la
formation.
II Contenu de la soutenance
La soutenance est composée de deux phases :
II-1-1 L’introduction
Elle comporte les phases suivantes :
La présentation du candidat (Identité, fonction, service, etc.)
La présentation de l’entreprise où s’est déroulé le stage (nom de
l’entreprise, secteur d’activité, lieu du stage).
Présentation du sujet du rapport ou du mémoire.
Présentation du maître de stage (son métier/fonction, les conditions
de travail). Nb : Ne pas oublier de le remercier pour l’encadrement.
L’annonce de la problématique (celle qui a été dégagée dans
l’introduction) et le plan (qui n’est pas celui du rapport ou du mémoire).
II-1-2 Le développement
Le rappel de sa problématique
Les résultats obtenus
La méthodologie utilisée
I- LA LETTRE COMMERCIALE
- La présentation à la française.
- La présentation à l’américaine
AMOIN Pascaline
Rue 25
44 DALOA 250
COTE D’IVOIRE
Madame,
Nous vous informons que nous ne pourrons pas honorer votre commande citée en référence
dans les délais prévus.
En effet, une grande pluie s’est abattue dans la nuit du samedi 03 janvier 2018 au dimanche 04
janvier 2018. Nos ateliers de fabrication ont été malheureusement inondés.
Nos maintenanciers ont réglé le problème et dans un délai très court, nous vous livrerons votre
commande.
Nous vous remercions de votre compréhension et de votre confiance.
Nous vous prions, de recevoir, Madame, nos salutations distinguées.
Le Directeur commercial
KOUASSI Marcel
(Expéditeur) 1
Suscription
(destinataire) 4
Vos Réf 3
Nos Réf
Objet 5
2 Lieu d’origine
Date
Marge Marge
(Pièces jointes)
C
o Titre de civilité 6
r
p
s
Introduction
d
e
Développement
l
a
l
e
Conclusion
t
Formule de politesse 7
t
r Signature 8
e
L’appellation ou civilité
L’introduction
La conclusion
Elle peut consister à rappeler ce que l’on attend (ce que l’on souhaite obtenir :
livraison, visite d’un représentant, etc.), à présenter des remerciements ou à énoncer une
formule destinée à maintenir les bonnes relations avec l’interlocuteur.
La formule de politesse
La signature
L’objet du courrier
C’est un courrier que le client adresse au fournisseur avant de prendre une décision
d’achat. Elle consiste en une demande de documentation des produits qui l’intéressent sous
la forme d’échantillons, de tarifs, de catalogue, etc. Ces différentes informations doivent
permettre au client de se renseigner sur la nature et les caractéristiques des produits et après
analyse et comparaison, de faire son choix en comparant les différentes offres qui lui sont
faites.
NB Cette demande d’informations ne peut en aucun cas être considérée comme un
engagement d’achat ou une commande ferme.
Plan du courrier
L’objet du courrier
C’est un courrier qui est rédigé suite à une demande d’informations (ou de
documentation). La lettre de réponse doit fournir le plus de détails possibles sur les produits,
la société, les conditions et les prix de vente. La réponse à une demande d’informations peut
déboucher sur une affaire avec le client. Il faut donc vite répondre pour ne pas être devancé
par un concurrent.
NB Au moment où il fait son offre, le vendeur s’engage à respecter les conditions
dans les termes mêmes où elles sont rédigées.
Plan du courrier
L’appel d’offres est une procédure qui permet à un commanditaire, une entreprise
de lancer une consultation auprès d’entreprises (soumissionnaires) les plus aptes à réaliser
une prestation avec le meilleur rapport qualité/prix. Son but est de mettre plusieurs
entreprises en concurrence pour fournir un produit ou un service.
L’entreprise a recours à l’appel d’offre quand elle a besoin d’un produit qu’elle n’a
jamais commandé ou quand le fournisseur habituel du produit ne convient plus.
Le vendeur va procéder à une étude de la demande pour fixer ses conditions
d’exécution qui seront décrites dans un document appelé devis.
Quand l’entreprise reçoit les réponses des fournisseurs, elle étudie chaque
proposition et la décision finale est prise en fonction de la meilleure offre.
NB L’appel d’offres (comme la demande de renseignements), ne constitue pas un
engagement ferme auprès du fournisseur.
L’objet du devis
Le devis est un document écrit par lequel un fournisseur s’engage sur les conditions
(tarifs, réductions, conditions de livraison, condition de paiement) pour la vente de bien
et/ou de prestations.
Le devis a une durée de validité limitée, mais suffisante pour laisser le temps au client
de décider s’il accepte ou non les conditions.
Le devis est obligatoire pour tous travaux d’un certain montant et devient un contrat
qui engage les deux parties (le fournisseur et le client) dès lors que client l’a accepté.
Plan du devis
Présentation du devis
Le bon de commande est un imprimé établi et rempli par l’acheteur qui énumère les
articles demandés et précise les conditions de livraison et de paiement. Il est une preuve de
l’existence et l’objet d’une commande effectuée par le client afin d’éviter les cas de
contestations ultérieures. Le contrat de vente existe dès que le vendeur accepte d’exécuter
la commande de l’acheteur. Ce contrat crée donc des obligations pour les deux parties
contractantes à savoir le vendeur et l’acheteur.
L’identité de l’entreprise
L’identité du client
Le numéro de commande et la date d’édition de la commande
La description de la commande passée : identification des produits, quantité,
prix unitaire hors taxe, taux de TVA.
Le montant de la commande : montant hors taxes (HT), montant total HT TTC
de la commande.
Les conditions de livraison (par camion,
Les conditions de règlement (chèque bancaire, au comptant…)
Les conditions générales de vente
N° du bon de commande :
Date :
A:
Nom du client
Adresse
Plan du courrier
Le bulletin de commande est un imprimé qui est établi par le fournisseur ; il fait office
de bon de commande pour le client qui n’a qu’à juste le compléter avec ses informations.
Le bulletin de commande qui accompagne souvent l’envoi de catalogue ou de
documentation, facilite la passation de commande du client et lui évite d’utiliser son propre
imprimé.
Le bulletin présente des similitudes avec le bon de commande. Sauf que comme
l’expéditeur est le fournisseur, il doit être à l’en-tête de celui-ci.
L’objet de la facture
Le corps de la facture
- Désignation des produits ou services vendus : références,
qualités, quantité, quantité, prix unitaire hors taxe.
- Montant unitaire hors taxe de chaque produit.
- Total hors taxe (montant brut des marchandises).
- La remise, le rabais, la ristourne qui sont à déduire de ce
premier total.
(Expéditeur) 1
Suscription
(destinataire) 4
Vos Réf 3
Nos Réf
Objet 5
2 Lieu d’origine
Date
Marge Marge
(Pièces jointes)
C
o Titre de civilité 6
r
p
s
Introduction
d
e
Développement
l
a
l
Conclusion
e
t
Formule de politesse 7
t
r Signature 8
e
Marge
I-2-1 Le préavis
Objet du préavis
Le congé de formation ou congé individuel de formation (C.I.F) est un droit qui est
reconnu à tout salarié, selon le code du travail. Il intervient quand l’on veut faire évoluer ses
connaissances ou quand l’on envisage changer de métier.
Ce congé peut s’accomplir en tout ou partie pendant le temps de travail. Il est
considéré comme une période de travail et de ce fait, ne peut être imputé sur la durée des
congés payés.
Pour demander un congé de formation, le salarié doit remplir quelques
conditions :
• Avoir 24 mois d’ancienneté dans la branche professionnelle dont 12 mois
dans l’entreprise.
• Respecter un délai de franchise entre deux congés individuels de
formation.
Le salarié doit faire sa demande de congé de formation dans les délais
suivants :
• 4 mois avant le stage si celui-ci est à temps plein et est supérieur à une
durée de 6 mois.
• 2 mois avant le stage si celui-ci est inférieur à 6 mois.
Le congé est un droit de tout salarié qui est règlementé par le code du travail. La
demande la plus courante de congé se fait dans le cadre des congés payés. Mais la demande
de congé peut aussi être motivée par d’autres causes diverses : événements familiaux,
convenances personnelles.
Le congé pour convenance personnelle obéit à des règles précises qu’il est possible
de trouver dans la convention collective ou de demander au service du personnel.
Ce congé est sans solde et il peut être accordé à un salarié qui a au moins 36 mois de
présence dans l’entreprise et 6 ans d’activité professionnelle.
EMETTEUR DESTINATAIRE
(service, nom, fonction) (service, nom, fonction)
□ Pour action
□ Pour information
□ Pour archivage
Objet : Date :
NOTE DE SERVICE No
Signature (obligatoire)
Pièces jointes
Objet : Date :
NOTE D’INFORMATION
Signature
Pièces jointes
Divers sujets peuvent faire l’objet d’un compte rendu : une réunion, un événement
quelconque, une mission, etc.
Aussi aurons-nous :
• Le compte rendu de réunion
• Le compte rendu de mission
• Le compte rendu d’activité