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Séance V

Salomon de brosse palais de Luxembourg paris 1615

Construit pour Marie de Médicis, commande royale, le projet termine la Renaissance (toiture à la
française, simplicité des façades)

Palais à l’extérieur de la ville, la cours est isolé de la rue

Navigue entre les milieu protestant et catholique

Toutes les expériences du XVI sont arrivé a maturité l’objectif est de les rationaliser et de les
rendre plus « pratique », Moins dans le paraitre plus dans l’e cacité

Importance des pavillon latéraux

Régularité de la toiture

Façade qui se déploie en longueur

Début du XIXè façade doublé bâtiment plus dans son été d’origine, à l’origine partie centrale
étroite

À l’origine palais construit avec un plan en H peu de pièce de réception

Pièce d’habitation dans les pavillon, les espaces habitables sont modestes et peu grand en
comparaison à la super cie totale

Bossage peu saillant, continue sur les trois niveaux (=continuité de la façade), peu d’élément
décoratif, avec des fenêtres en arc cintré au RDC et sans fronton à l'étage supérieur = équilibré

Façade sur seine de la Cour carré du Louvre Louis le vau

Le Louvre est toujours pas nit, chantier permanent

Reprend le vocabulaire incité un siècle plus tôt

Simpli e les formes avec un volume plus développé

Essaye de s’accorder avec l’existant mais peu convainquant donc façade détruite 20ans plus tard
pavillon en partie supprimé

Les pavillons sont supprimés lors du remodelage du 18ème siècle

Claude Perrault Louis le vau remodelage la même façade du Louvre 1670

Louis XIV organise un concours pour ce projet

Guerre entre l’in uence Italie et le style Français sur le point de vue de l’architecture

Projet in uence italienne, premier projet avec une façade très mouvementée, deuxième
proposition plus simple mais avec un dôme et une double ordre colossal

Pierre de Cortone, projet pour l’achèvement du Louvre



Consultation pour la construction du Louvre, qui permet de mettre en concurrence intéressante

les architectes français et italiens



Pas d’adaptation au milieu français

Ordre colossale à l’italienne

Pavillon latéraux qui répondent au contexte passé

Second projet pour le Louvre : ordre de colonne plus sobre, dôme aplatit avec des formes
extravagantes

Carlo Rainaldi, projet pour l’achèvement du Louvre


Colonne et pilastre engagé colossale

Dôme aplatit, ressemblant à une couronne

Le Bernin, projet pour l’achèvement du Louvre



Conciliation entre les in uence française (=socle monumental, reprise de la sobriété des façade),

et italienne

Colonne incurvée qui signi e le mouvement

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Couloir/arcade de circulation extérieur (=ignorance du climat français)

Dynamisme spatiale qui séduit le pouvoir de l’époque

Finalement Le Bernin propose un deuxième projet qui ne reprend pas les arcanes/couloir de
circulation extérieur

Façade quasiment exclusivement droite, à part deux retraits qui dynamise le tout

RDC en bossage de pierre (=contraste entre pierre brut au RDC et pierre travaillée aux étages
supérieures)

François Mansart, projet I pour l’achèvement du Louvre



Système du dessin à retombe, deux dessins alternatifs de la composition des façades

Dôme sur plan carré, avec des façade beaucoup plus sobre (entre pilastre encagé, et colonne
engagé)

Entrée triomphale

Dôme à l’italienne

Toiture basse, l’héritage de l’aile I du Louvre

Jacques Lemercier, projet pour l’achèvement du Louvre

Projet qui continue des formules déjà existantes



Fenêtres reprise, avec une simpli cation au niveau du bossage

Toiture simpli é et pyramidale



Totalement démodé

Jean Marot, projet de l’achèvement du Louvre

Reprise des formules (ailes entre les pavillons)



Simplicité des frontons, de la façade

Axe central majestueux par le dôme

Claude Perrault, Louis Le Vau, François d’Orbay, Charles Le Brun, Le Louvre) partir de
1670

A rme la simplicité à la française (=abandon du bossage au RDC)

Pilastre

Colonne dégagée

Jacque corbineau chateau de brissac

Montre la volonté de reconstruire le château suivant la mode de l’époque

Di culté de l’architecture en France à cette période



Mélange entre deux règnes : dôme carré, peu de bossage, ...

Incomplet parce que problème économique



Di culté à réaliser des projets ambitieux

Francois mansart reconstruction du château de Blois

Partiellement réalisé

Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois
ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent
du château du Moyen Âge.

L’aile François I à la Renaissance



Collage d’un nouveau château à l’ancien

Simplicité des in uences de la Renaissance

Mise en évidence de l’entrée par les colonnades

Proportion

Fronton avec le blason du propriétaire

Escalier «hors d’œuvre» (en saillie sur la façade) fait la célébrité du château, Amateur d’escalier
cage d’escalier ouverte valorise le travaille sur la pierre avec les balustrade

Joue avec une nesse des forme utilise les colonnes engagées du rdc et les colonne du fronton
centrale

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Architecture de forme simple mais mise en oeuvre exigence

Attache la lumière et dynamise une façade

Transformation de l’espace et dynamisation des formes

Coupole dans la partie ouverte du premier étage

Jeu colonne avance et silhouette pyramidale

Francois Mansart château de maison (maison la tte)

Château de petite taille

Elimine l’escalier dans l’axe pour jouer avec l’e et de surprise spatial

Coté ecclésiastique joue de forme baroque avec des alcôves creuser dans le volume de la façade

Petit pavillon sur la façade d’entrée

Fronton latéral entre les deux cheminée

Cuisine du château dans les caves les douves sèche permet un jour et une ventilation naturelle
mais ce niveau est caché

la symétrie et l’équilibre des formes en font un modèle de ra nement

il est composé d’un corps de logis central et de deux grands pavillons, précédés, côté cour, de
deux pavillons bas en terrasse, et côté jardin de deux minces portiques.

Volumétrie assez simple

Escalier moins monumental



Simplicité des volumes

Le vestibules a des volumes modestes qui guide le regarde vers l’escalier

Château de balleroy Francois mansart

Bâtiment d’un volume conséquent mais avec un petit budget

Haute toiture latéral à la française

Petit pavillon aussi a la française

Sibel pyramidale de loin

Cours enclave pour créer des perspectives supplémentaires

Pavilon centrale

Aile latérale petite pièce en rectangle silhouette qui peut s’inscrire dans un losange

Côté pyramidale

Pyramide de tous les points de vues

Volume secondaire en saillit sur les extrémités de la construction

Pierre bard église st Étienne du mont

Se déroule en plusieurs étapes : L'abside et le clocher sont ébauchés en 1494 ; les deux
premières cloches sont fondues en 1500. Le chœur, d'époque gothique amboyant, est achevé
en 1537 ; l'année suivante, c'est au tour de la charpente d'être posée. En 1541 la paroisse passe
des marchés pour les vitraux et les statues auprès d'artisans parisiens. La nef, d'époque
Renaissance, n'est pas voûtée avant 1584. La première pierre de la façade est posée en 1610

Superposition des volumes à la gothique avec des gestes à la Renaissance (=démodé)

Salomon de brosse église saint Gervais

Collage sur un bâtiment déjà existant

Collage sur plusieurs époques : La chapelle de la Vierge est achevée en 1517, le chœur en 1540
et le transept en 1578. Après une longue période d'interruption, probablement causée par les
guerres de religion, la nef est réalisée entre 1600 et 1620, juste avant la façade ouest.

L'église fut restaurée une première fois entre 1827 et 1844, puis une nouvelle fois entre 1863 et
1869, avec des chapelles (décor) et des vitraux.

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Francois mansart visitation saint marie

Dôme inspiré de l’Italie

Emboîtement de deux dôme dôme couvert en ardoise et un petit dôme carré qui couvre le petit
porche

Jacques Lemercier chapelle de la Sorbonne

Superposition des ordres

Façade à l’italienne dame à l’italienne (au centre du projet)

Dôme en charpente à la française

Arche latérale sous la IIIème République

Il s'organise en e et autour d'une nef de type basilical, mais intègre des éléments de plan centré :
le transept n'est pas déporté vers le chœur comme dans le plan classique en croix latine, mais le
coupe en son milieu. Les volumes se répartissent ainsi de façon symétrique

Pilastre à la française

Plan compacte, porche des solution du jésus a Rome grand dôme centrale et nef

Porche en avance et fronton à la romaine solution dynamique

Toiture mansardée

Francois Mansart Jaques Lemercier Pierre Le Muet église val de grâce

Construit pour Célébrer la naissance de louis XIV

Manssart est viré car il change tout le temps de projet

Façade cache le dôme

Pierre bardeaux chapelle des ardillier saumure

Choix à la française qui reprend des modèles parisien

Sobriété de pilastre

Mais in uence italienne : dôme, dôme à la Mansard

Essai de trouver une adaptation a des modèles franco italien

Couple intérieur, deux comme superposer

Disproportion, le RDC est écrasé par le dôme

Place des vosges

Relation entre la Place et la Bastille, proximité entre les deux



Les voies parisiennes sont assez lâches, l’unité n’est pas encore présente

Ensemble monumental avec des façades unitaires (réalisés d’un seul coup)

Mélange de brique et de pierre



Galerie en RDC à l’italienne

Libéral Bruand Hôpital de la Salpêtrière

Au centre la chapelle, les ailes sont construites petit à petit

Aile symétrique

Toit à la mansarde

Unité de la façade, la chapelle se fond dans l’ensemble

Simplicité de la façade, à l’époque la fonction hospitalière n’est pas assez noble pour avoir un
énorme budget

Pierre de taille (=commande royale quand même)

Pas d’élément décoratif dans la chapelle



Le dôme est en charpente, avec une simplicité

Très grand bat mais le moins cher possible donc bâtiment sobre

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Hospice des invalides Libéral bruand

Plan montre l’emplacement centrale de la chapelle

Façade vers la seine simplicité des formes

Réservé au soldat, à usage militaire



Grande cour, chapelle et deuxième chapelle rajoutée par la suite -> Unité de la façade, simplicité
des formes

Le pignon cintré donne de la dignité

Toit à la française

Arcade à l’italienne, avec une simplicité des arches

Chapelle un peu moins sobre que la Salpêtrière

Jean Androuet du Cerceau, Hôtel de Sully, Paris



Cour en U, aile latérale, avec au fond l’aile principale d’habitation (=typique du site français)
Forme Renaisse : jeu des frontons, haute toiture, cour assez étroite, beaucoup d’éléments
sculptés et maniériste

Répétition des formes

Hotel de guenegaud

Simplicité des façades

Qualité des fenêtres très lumineuses rend habitable l’édi ce

Cours en U

Escalier reporté sur le coté

Cours ouverte avec les chevaux

Pièce traversante

Jackie Lemercier château de richelieu

Gigantesque jardin considerable

Dôme carré

Pavillon des jardins

Plan grille parfaitement régulier

Annonce l’ampleur de Versailles



Grand pavillon qui reprend des formes à l’ancienne

Monumentalité jamais faite jusqu’ici

Jean gaillard chaque de beaumesnil

Continuation de forme à l’ancienne

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