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Construit pour Marie de Médicis, commande royale, le projet termine la Renaissance (toiture à la
française, simplicité des façades)
Toutes les expériences du XVI sont arrivé a maturité l’objectif est de les rationaliser et de les
rendre plus « pratique », Moins dans le paraitre plus dans l’e cacité
Régularité de la toiture
Début du XIXè façade doublé bâtiment plus dans son été d’origine, à l’origine partie centrale
étroite
Pièce d’habitation dans les pavillon, les espaces habitables sont modestes et peu grand en
comparaison à la super cie totale
Bossage peu saillant, continue sur les trois niveaux (=continuité de la façade), peu d’élément
décoratif, avec des fenêtres en arc cintré au RDC et sans fronton à l'étage supérieur = équilibré
Essaye de s’accorder avec l’existant mais peu convainquant donc façade détruite 20ans plus tard
pavillon en partie supprimé
Guerre entre l’in uence Italie et le style Français sur le point de vue de l’architecture
Projet in uence italienne, premier projet avec une façade très mouvementée, deuxième
proposition plus simple mais avec un dôme et une double ordre colossal
Second projet pour le Louvre : ordre de colonne plus sobre, dôme aplatit avec des formes
extravagantes
et italienne
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Couloir/arcade de circulation extérieur (=ignorance du climat français)
Finalement Le Bernin propose un deuxième projet qui ne reprend pas les arcanes/couloir de
circulation extérieur
Façade quasiment exclusivement droite, à part deux retraits qui dynamise le tout
RDC en bossage de pierre (=contraste entre pierre brut au RDC et pierre travaillée aux étages
supérieures)
Dôme sur plan carré, avec des façade beaucoup plus sobre (entre pilastre encagé, et colonne
engagé)
Entrée triomphale
Dôme à l’italienne
Toiture basse, l’héritage de l’aile I du Louvre
Claude Perrault, Louis Le Vau, François d’Orbay, Charles Le Brun, Le Louvre) partir de
1670
Pilastre
Colonne dégagée
Partiellement réalisé
Le château de Blois, tel qu'il peut être admiré de nos jours, est principalement constitué de trois
ailes où se mêlent les styles gothique, Renaissance et Classique, même si des traces subsistent
du château du Moyen Âge.
Joue avec une nesse des forme utilise les colonnes engagées du rdc et les colonne du fronton
centrale
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Architecture de forme simple mais mise en oeuvre exigence
Elimine l’escalier dans l’axe pour jouer avec l’e et de surprise spatial
Coté ecclésiastique joue de forme baroque avec des alcôves creuser dans le volume de la façade
Cuisine du château dans les caves les douves sèche permet un jour et une ventilation naturelle
mais ce niveau est caché
il est composé d’un corps de logis central et de deux grands pavillons, précédés, côté cour, de
deux pavillons bas en terrasse, et côté jardin de deux minces portiques.
Pavilon centrale
Aile latérale petite pièce en rectangle silhouette qui peut s’inscrire dans un losange
Côté pyramidale
Se déroule en plusieurs étapes : L'abside et le clocher sont ébauchés en 1494 ; les deux
premières cloches sont fondues en 1500. Le chœur, d'époque gothique amboyant, est achevé
en 1537 ; l'année suivante, c'est au tour de la charpente d'être posée. En 1541 la paroisse passe
des marchés pour les vitraux et les statues auprès d'artisans parisiens. La nef, d'époque
Renaissance, n'est pas voûtée avant 1584. La première pierre de la façade est posée en 1610
Collage sur plusieurs époques : La chapelle de la Vierge est achevée en 1517, le chœur en 1540
et le transept en 1578. Après une longue période d'interruption, probablement causée par les
guerres de religion, la nef est réalisée entre 1600 et 1620, juste avant la façade ouest.
L'église fut restaurée une première fois entre 1827 et 1844, puis une nouvelle fois entre 1863 et
1869, avec des chapelles (décor) et des vitraux.
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Francois mansart visitation saint marie
Emboîtement de deux dôme dôme couvert en ardoise et un petit dôme carré qui couvre le petit
porche
Il s'organise en e et autour d'une nef de type basilical, mais intègre des éléments de plan centré :
le transept n'est pas déporté vers le chœur comme dans le plan classique en croix latine, mais le
coupe en son milieu. Les volumes se répartissent ainsi de façon symétrique
Pilastre à la française
Plan compacte, porche des solution du jésus a Rome grand dôme centrale et nef
Toiture mansardée
Sobriété de pilastre
Ensemble monumental avec des façades unitaires (réalisés d’un seul coup)
Aile symétrique
Toit à la mansarde
Simplicité de la façade, à l’époque la fonction hospitalière n’est pas assez noble pour avoir un
énorme budget
Très grand bat mais le moins cher possible donc bâtiment sobre
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Hospice des invalides Libéral bruand
Hotel de guenegaud
Cours en U
Pièce traversante
Dôme carré
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