Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
☰
Menu
auroreflets
Inde, Poésie, Savitri, Spiritualité, Sri Aurobindo
17 mai 201829 mai
2018 27 Minutes
Mais les heures crient vers elle, elle poursuit son chemin,
Qui poussaient pour se vêtir d’une forme et se gagner une place. 120
Elle était l’enfant abandonnée en résidence chez elles et qu’elles avaient adoptée.
Seulement un cœur enfantin fruste criait pour des jouets de félicité, 170
Cette force aux yeux bandés ne pouvait poser aucun pas réfléchi;
Des plaisirs des sens et des douleurs des sens vite ressentis, vite perdus, 195
Ceci aussi était nécessaire afin que le souffle et la vie puissent exister.
Alors lentement elle assemble une masse, lève les yeux vers la Lumière.
Aux yeux bandés, une recherche, une lutte et une étreinte tâtonnante
Entendit les rythmes à peine audibles d’une grande Muse jamais enfantée.
Alors vint un souffle plus ardent d’une Vie qui s’éveille. 350
La vie n’avait pour eux d’autre but que la joie de la Nature, 400
Ils travaillaient pour les besoins du corps, ils n’en désiraient pas plus.
Poussé par des impulsions de vie, contraint par les besoins communs,
Elle tâtonnait en cherchant la vérité avec des mains qui fouillent, 495
Diriger son regard en haut vers Dieu et autour vers l’univers, 500
Mais pour des visées restreintes dans un rayon étroit, 605
Marqué:
Français,
Savitri,
Sri Aurobindo,
Traduction
Un site WordPress.com.