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Inde, Poésie, Savitri, Spiritualité, Sri Aurobindo
18 mai 201829 mai
2018 31 Minutes
Des elfes souffleurs ratatinés comme des farfadets ou petits comme des fées,
Pendant que cahote sur des chemins tortueux qui ne mènent nulle part
Partout où se trouvent des « mentals » sans âme et des vies sans guide 70
Leur loi est préservée, leur forme de choses fixes est perdue.
Tant qu’ils n’ont pas appris leur secret dans leur source,
Tel est notre sort jusqu’à ce que nos âmes soient libres.
Étaient forgées ou feintes des masses ainsi que des contours visibles; 160
Qui ne sont que des volutes de l’Énergie qui se répètent, 185
Et que le Hasard fut contraint par des lois fixes immuables, 190
Veille et sommeil gisaient allongés, se serrant dans les bras l’un de l’autre;
Une divinité s’éveilla, mais gisait avec des membres plongés dans le rêve;
Elle enferme dans nos cœurs une voix que nous ne pouvons entendre. 325
Elle ne sait pas d’où viennent ces mouvements qui touchent et passent,
Nos actes émergent d’une crypte que notre mental ignore. 375
Comme les racines de notre terre sont enfouies sous notre terre,
Et les cavernes subconscientes d’un brun sombre lui font écho, 395
Qui ne connaissent pas leur propre naissance ni leur but ni leur cause
Une sensation qui fait vibrer les nerfs est le charme de la musique.
Il voudrait aller avec une hâte splendide sur la route lente du Destin,
Une âme qui est une étincelle de Dieu survit 670
Nos parties les plus infimes accueillent les besoins les plus profonds; 675
Notre volonté tend vers elle des mains lentes et qui façonnent.
Nos cœurs sont rendus captifs par des apparences séduisantes, 705
Nos sens eux-mêmes cherchent aveuglément la félicité.
Notre mental, notre vie, nos sens et ils riront dans une lumière
Marqué:
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Savitri,
Sri Aurobindo,
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