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Manuel général de l'instruction

primaire : journal hebdomadaire


des instituteurs

Éducation familiale ou éducation publique


E. M. Bouché

Citer ce document / Cite this document :

Bouché E. M. Éducation familiale ou éducation publique. In: Manuel général de l'instruction primaire : journal hebdomadaire
des instituteurs. 77e année, tome 46, 1909. pp. 433-435;

https://www.persee.fr/doc/magen_1257-5593_1909_num_77_46_48307

Fichier pdf généré le 17/02/2021


77' Année - 8» Série. -Tome XL VI . N» 37 28 Mai 1910.

MANUEL GÉNÉRAL

&
libraires-éditeurs
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Les
OPINIONS
Communications
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On
département
ENSEIGNEMENT
demandes
LÉGISLATION
. DE
ÉDUCATION
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Revue
Chronique
L’idéal
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INSTITUTEURS
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Hachette
JOURNAL
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Maternelles
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éducation
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o 00 o o SAINT-GILLES.
o o o 0 0 HENRI NUSS.
o 00 000 L. CHANTE.
6 00 o o F.-G. LAFFONT

Voir dans ce Numéro le Concours général ouvert entre les meilleurs élèves
des écoles primaires de France.

ÉDUCATION ET ENSEIGNEMENT

Éducation familiale ou Éducation


publique.
flexions
sible
cord
auteur
qui
conviction,
faire
ligieuse
directe
intéresse
?deEnfin,
sur fortement
de
etplusieurs
parler
l’éducation
lamême
quelques
volonté
ils
précisément
éducation
y àconvaincu
feront
dediscussions,
—et
réserves
ses
de
efficacité
etconnaissance
affirmations
lamorale
par
d’être
de
que
la ce
car
du
toujours
chaleur
l’on
—qu’il
fouet,
est-il
éducation
(base
avec
aurait
dit
de
d’ac¬
pos¬
etc.)
re¬
un
sa
età
À propos
par de
M. « Paul
la Vraie
Gaultier*.
éducation »

c’est
l’instruction
L’idée
que générale
l’on et,
a tort
endu
de
particulier,
livre de l’éducation
négliger M.l’éducation
P. Gaultier,
pour
de
la sensibilité : « Quelle faculté existe plus im¬
portante
autres,
la volonté
le?-Elle
principe
n’existeraient
estdeà toute
lapasracine
yie.
sansL'intelligence
elle...
de toutes
Tréfonds
les
ni

pression
.efforts,
de l’individu
des rayons
centre
de que
son
endetempérament
ceréfraction
le monde
qu’il a lui
deenetenvoie
plus
produit
quelque
intime,
et qu’elle
desorte
ex¬
ses
férences
départementales
un
Education.
les
ment.
maternelles
n’en
plus:
dès
impossible
passe
théorique
sur
mais
modernes,
les
rents
Ils
En
Qu’il'
M.nouveau
ypremières
l’abord.
gens
chacun
P.
trouveront
même
former
difficile
celle
en
ou
àest
Gaultier,
qui
revue
maîtres,
destinées
celle
;jL’impression
difficile
[Son
d’en
de
il
d’eux,
temps
livre
qu’elle
qu’une,
s’intéressent
pages
d’en
en
tous
tous
qu’ont
élever
livre
d’écoles
aussi
l’auteur
de
fait
yque
d’ële.verun
non
àélever
de
trouveront
les
se
pédagogie
préparer
assez
le
est.
les
ce
30,
une
laissée
confond
problèmes
seulement
qu’on
pédagogues
maternelles,
tour
livre
de
donc
si
.80,
plusieurs
àample
peu
intéressantes
ces
laet
90
éprouve
enfant
ressemble
intitulé
les
des
Vraie
plaisir
très
il
avec
encourageante
questions,
à matière
de
son
la
nous
inspectrices
conférences
!Complet
anciens
Lpédagogie
Education,
paraissait
fois
elle
Combien
et
en
opinion,
lafournit
profit.
!lisant
Vraie
telle¬
con¬
pour
à pa¬
ré-
et
,

vrai,
retourne,
gaire
Trèsest
l’originalité
bien!
l’homme
la Ët
sensibilité
vous
de
incapable
concluez
chacun...
est cede
: qui
cultivons
» L’hommç
sentir.
constitue,
donc
vul¬
au
la

sensibilité,» Mais
sonnalité. « ce enfacteur
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essentiel
notre de
lecture,
la per¬
le
découragement,
éducation ne peut
noussesaisit
bien car,
faireditqu’eu
Fauteur,
famille.
cette

avions
ducation
Nous déjà
retrouvons
durésçeptie
petit enfant
ici
eu entendant
l’impression
dans les parler
conférences
quedenous
l’é¬
1. Un volume in-16, publié, à la, librairie Hachette et Oie-
Partie générale. É , ' N° 3.
'
:
434 MANUEL GÉNÉRAL DE L’INSTRUCTION PRIMAIRE

aux
au début
inspectrices
: maternelles'que nous signalions ML P. Gaultier le reconnaît lui-même d’ailleurs
— l'idéal, n’est-cé pas « un juste équilibre qui
lentes
Chaque
choses
cpnférencier,
sur les soins
après
à donner
"avoir aux
dit d’excel¬
enfants l’harmonie
n’est certes de
pastoutes
dans' nos
la médiocrité,
puissaiices poussées
mais dansà
de la « maternelle », n’a pas manqué d’ajouter, bout, chacune pour sa part, suivant son exacte
expressément
faudrait faire...ou mais-
implicitement:
comment le « Voilà
demander
ce qu’ii
et que
valeur?»
tout en
Et respectant
il ajoute avecet en
justesse
utilisantjces
: « Il importe
diver¬
l’obtenir dans des écoles, dans des classes, avec partout
des élèves, de nombreux élèves?... S’il est déjà sités, l’éducateur
semblable dans
s’appuie
la nature
sur cehumaine,
qui demeure
pour
presque absurde
primaires ou secondaires,
de demander
de connaître, de diri¬ former des hommes et des femmes dignes de ce
à des maîtres,

àger,
commun
ans
quinze
? d’élever
» Etans,
des
chacun
une
troupes
quequarantaine
disait
dired’enfants
de
ou sous-entendait
l’espoir
d’enfants
de deux
d’élever
deàque,
sept
six
en
nom

qu’on
est
de
caractères
et élevé
mine
diffèrent
la
-un
tact,
:fin
les
n’en
je
art,
du
soumise,
fins
suprême
pas
veux
-puisse

et
mot.
subsidiaires
des
tellement
ne
dire
conditions,

tracer
l’oublions
comme
dedes
est
l’éducation,
personnes
avec
les
—ettelle,
identique
voies.
dont
pas
elle
lesà! n’en
les
—la
au
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Si
celle
variété
l’éducation
moyens
ime
sens
pour
comporte
qui
affaire
plein
tous
des
do¬
ne
seule, etune
tâche que,vraie
à défaut
famille
de lapouvait
famille,remplir
et pourcette
s’en

groupe
rapprocher
maternelle
L’éducation
d’enfants.
ne
le plus
dans
devrait
possible,
la avoir
famille
chaque
qu’un
est-elle
très
maîtresse
seule
petit
pas moins des règles fondamentales et des con¬
bonne ? l’école (primaire ou maternelle) n’est- pires
et la science
seils
une
enfreindre
société.
généraux
dommages
oude» la
négliger
—qui
pratique
lapuissent
pédagogie
qu’en
? —atteindre
qu’on
s’èxposant
n’est-elle
nel’hommf
saurai!
aus
pas
elle qu’un
comme on dit
pis-aller,
souvent un
? « mal nécessaire »
Laissons toutes les autres questions que sou¬
lève le' livre de M. Gaultier pour examiner un Le but est donc le même pour tous et, dam
peu efficacement
primordiale.
cer celle-ci, Sid’autant
l’école
la famille,
nequ’elle
peut comme
songer
est, pour
àl’Etat ni blés,
rempla¬
nous, l’ensemjfie,
A laétant
bonne,
fondés
les heure
moyens
sur! des
Et
sont
lois.
nous
également
voilà rassurés
sembla
D’autant plus qu’en traitant de l’éducation d<
lès communes
treindre
grande famille,
l’effectif
devons-nous
ne
desparaissent
écolès jusqu’à
renoncer
disposés
celui
à l’espoir
àd’une
res¬ la
excellente,
volonté, influence
M.. Gaultier
peutmarque
être, sur
bien
la formatioi
de quelli
du caractère, l’obéissance à là règle commua
faisons-nous

en
de lèse-enfance,
faire
continuant
quelque
pas
à déjà
chose
tenir
complices
signalé
des
d’utile
écoles
deet ce
par même
J.-J.
?- grand
Rousseau,
ne crime
nous frotter
et .fixe aux-autres
mération)(cela
; lanenécessité,
seenfants,
trouve pour
queprendre
de dans
un élève,
une
l’habitud
agglo
des

j
Ecartons d’abord comme évident et regret¬
table le cas où trop d’enfants sont réunis sous timents,
groupes
turel
des rapports
de assez
l’émulation
qui entre
nombreux.
ne seégaux
etpeuvent
de ;laenfin
contagion
imaginer
l’exercice
desqu’ei
sen
na

1
un seulentre
classe maître
30 etet considérons
40 enfants. la moyenne : une
Si nous redescendons des hauteurs de la
théorie sur le terrain de la pratique, nous ver¬ raient
tions
personnalité
Il y excellentes
apas
là, dans
ensieffet,
désirable,
la pour
famille,
tout laun
qui
formation
ensemble
ni ne
même
se rencontre
de
-de
dans
condi
cettu

groupe scolaire trop restreint.

laire
l’autorité
ils
tres,
arrivent
individuelles;
s’ils
différentes,
donnant
rons
élèves
s’élèvent.
pourvu
le
d’abord,
seetveulent,
plient
dès
sans
àd’un
excitant
les
qu’ils
aliments
Nous
nous
qu’en
trop
instituteur
sans
traiter
tenir
soient
verrons
les
fait,
d’effort
souffrir
divers
unes,
selon
compte
intelligents
des
etmême
ensuite
aux
que,
calmant
àenfants
leurs
être
connaître
des
unes
qu’ils
somme
que
dispositions
réunis
sensibilités
etles
d’âge
etpeuvent,
dévoués,
les
aux
autres,
toute,
leurs
maî¬
sous
sco¬
au¬ Il
plète,
Rien
sommes
. n’y
Queen
faut
harmonique,
reste-t-il
ce
bien
que
quiplacés
concerne
de
du notre
bon
d’une
pourVouîoii»,
impression
l’école
faire
quarantaine
l’éducation
primaire
du bon
première
d’élèves
sens
: cou
noni

la Mais
de psychologie
connaissance
pour l’école
et des
de maternelle
pédagogie.
« règles fondamentales
?.. . Il en sera

tres, soit soit


nitions, par lepar
moyen
celui des récompenses
belles choses et des pu¬ fâcheuse
(lectures de même habitude
si l’on n’avait
de considérer
pris, en ces
France,
écoli
comme des
personne ne quantités
s’en occupe
négligeables,
sérieusementsi :bien
les mqt
gravures,
leurs
réciproque
qu’est-ce
maîtres.
promenades),
donc
des enfants
que
En ,ycette
pour
soit
réfléchissant
individualité
enfin
leurspar
camarades
l’affection
d’ailleurs,
de l’en¬
et
-

fant
nous dont
arrivions
on nous
surtout
épouvante
à les ?« Est
couler
il vrai
danscfue
le •yavec
nicipalités
primaire
sent
les
elles
faire
diriger
; l’Etat
pas
désinvolture.
tenir
toujours
; les
; ne
admet
beaucoup
les
autorités
veulent
parents
les
qu’on
meilleures
plus
pas
académiques
eux-mêmes
peut
d’enfants
faire
sans
maîtresses
de
inçonvéniei
qu’à
les
ne
frais
traite
choisi
l’éco
pot

formation
même'
cation moule
particulière
de »leur
et que
personnalité
seraient
les conditions
meilleures
1 ? d’une
pour
édu¬
la

k Cette personnalité,
proportion selon laquelle
en somme,
les facultés
n’est-ce
(les mêmes
pas la
fondent
pour tous
leslesunes
enfants)
dans les
se autres?
développent
L’idéal
et —
se nous
tesse,
tout,
leur
aider
En avons
éducation
lés
réalité,
eux-mêmes
de conditions
souplesse
déjà
plus
dites
demande
àles
d’esprit
générales
leur
etenfants
l’éducation
culture
de; moins
restent
sont
soins,
; mais,
jeunes,
en
ils
de
celles
comm!
peuvei
main
délit
piqi
,

que,
bonX . quand
c’est Ilà est
pourl'âge
nous
vrai
laoùsensibilité
primaires,
que
nos M-Gaultier
élèves« laJ.question
commence
quittent
accorde
l’école
d’être
reste
queprimaire,
entière.
formée
le collègesi mais
abien
dix
resté
Quand
la meilleure,
on aura réduit
loin d’être
le nombre
un pis-aller.
des enfaij
J
,
PARTIE GÉNÉRALE 435
à une trentaine par maîtresse et qu’on aura
amélioré la situation matérielle de ces maî¬
L tresses, si bien que les mieux douées pourront haut
tirPar
riche,
eux-mêmes,
sition
deintérêt
là,
de
plus
leur
les
ces
étendue,
mais
social.
uns
égoïsme,
habitudes
etaussi
les
à autres
agir
àpour
altruistes
vivre
non
autrui.
apprennent
d’une
seulement
présente
Or,vie
l’acqui¬
à pour
plus
sor¬
un
un
réunion
êtreobstacle
nommées
des àenfants
leur
dansjles
culture,
dans écoles
ces au
écoles
maternelles,
contraire.
ne sera Une
pas
la
preuve en: est dans ce ‘ passage des nouvelles Cette organisation a encore le mérite d’exçi-
r ter une vive émulation, une rivalité qu’on es¬
e instructions
tion,
cole maternelle,
les enfants
qui recommande
uniques
au moins qu’on
pendant
d’admettre
amènera.
la récréa¬
N’est-
à l’é¬
•surer
père féconde
tention
le et
triomphe
d’efforts.
; chaque
de son
enfant,
groupe,
ayantredouble
à cœur d’as-
d’at¬
a
s ce pas reconnaître que la société de camarades de
i* Les paresseux subissent l’influence de l’en¬
e sona une
il
dire âge
de ceux
est bonne
famille
dontquilaaupeut
famille
petits’occuper
enfant,
n’existe
même
depour
luiquand
?ainsi
Que traînement général et se mettent au travail avec
:S
n dire pas ? E. M. Bouché. plus
tribue
ment
autresd’entrain.
individuel
formes
dbnc aussi
deCette
del’émulation
bien,
chaque
émulation
sinon
enfant.
aumieux,
collective
perfectionne¬
quecon¬
les
■e

'
!S
 Elle présente, en outre, cette supériorité qu’au
1’ Pédagogie pratique, lieu de favoriser la vanité, la jalousie, l’envie,
a qui naissent le plus souvent de l’émulation in¬
il l’occasion
dividuelle,deelle
se ne
manifester.
donne même pas à ces vices
L3 ' L’éducation sociale à l’école primaire.
Lf , ■ On peut cependant se demander s’il est bon
Comment pée.l’émulation
— Avantages
collective peut être dévelop¬ 'de tenir ainsi dans l’ombre les efforts person¬
et inconvénients.
nels de chaque élève poup ne mettre en relief
<

ai
& L’école devant être une préparation à la vie, Jque les résultats généraux obtenus par le groupe.
àcertains
établir maîtres
une organisation
pensent qu’il
pédagogique
y aurait avantage
se rap¬ comme
Il sembleunqu’en
rouage agissant
qui n’est
ainsi,
rienon hors
traitedul’enfant
méca¬
is
if prochant
de la vie sociale.
le plus possible des Conditions . , mêmes nisme dont il fait partie. On lui donne l’impres¬
If Il
sion
reçoit
que le
sa blâme
valeur oupersonnelle
l’éloge attribués
ne compteà sâ pas.
sec¬
ai tions,
Or, associations
on vit par groupes
de toute: nature,
familles,et corpora¬
tous ces
Ql tion
en corrélation
sans que blâme avec étsonéloge
propre
soienttravail.
forcémentEn
0 groupements
currence bienfaisante,
soutiennent
car entre
elle contribue,
eux une danscon¬
SI
(il une certaine mesure, au développement de la une somme,
semble
effacement
bonnesa
et méthode
personnalité
ilde est
la personnalité
permis
d’éducation.
estdeabsorbée
douter
de l’enfant
par
que l’en-J
soit
cet J
ia prospérité
!D j-âPour réaliser générale. celte conception, on divise
ei chaque classe en deux groupes de force sensi¬ ; En outre, I’entr’aide entre, membres d’un
même groupe, qui se trouve encouragée par
di
tt cette
la
aux forme
heures
organisation,
la plus
d’études,
heureuse?
se redressement
produira-
Y aura-t-il
t-ellemutuel
seulement,
bien sous
des
re blement
former
pair
tous
exactement
2, Le
3, :
les
6,
travail
1,3,
7,
le
élèves
égale,
premier,
etc.,
5,de
1, 7,
dedans
4,
la
en
etc.,
rang
classe
5,prenant,
tous
le
8,-etc.,
etsecond.
pair
pour
se
les fait
: élèves
par
2,
former
dans
comme
4,exemple,
6,

le 8;
le
rang
premier,
à
second,
oul’ordi¬
pour
plus
im¬
u leçons
erreurs,ouexplications
des devoirs, réciproques
ces derniers
à propos
étant en¬
des
e naire, mais les résultats en sont appréciés au¬ suite accomplis sans secours étranger et d’une
ï« manière absolument personnelle?
tu rite
trement.individuel
Avec la n’a nouvelle
qu’uneorganisation,
importance Jesecon¬ mé¬ consiste
Il est permis
aussi à souffler
d’en douter
la réponse
encore.au L’entr’aide
camarade
es embarrassé, ou à lui transmettre la solution du
:S travaille
daire, On
plan. c’est
mieux
n’iiisiste
.l'effort quecollectif
pas
Paul,surqui
onle passe
recherche
fait que
au premier
Pierre
plutôt problème
favoriser là qu’il
nonchalance
ne parvient des
pas àparèsseux,
résoudre; sans
c’est
,

n si le groupe A fournit un rendement supérieur récompenser l’activité des meilleurs enfants, qui
auL’importance
groupe B ou qu’on inversement.
attache-aux résultats ainsi
J constatés
collectives.estDans encore un soulignée
des groupes, par on
des remarque
sanctions plus qui
risquent
prétend
naissent
Enfin,
D’autre
luttent
seulement
lés
depart,
écarter
parfois
pour
voir
sanctions
deux
les
laleurs
amplifiés,
par
prépondérance
sentiments
enfants,
la
efforts
collectives
rivalité
car
rester
"mais
deilsqu’on
jalousie
dans
collective
deux
n’intéressent
impuissants.
laest
groupes
classe.
qu’on
con¬
re¬
n
oi tive
e suffisance
de lapeutnégligence,
fort
dans bienledetravail;
être
la paresse,
appliquée.
une une
punitioji
Aucertaine
contraire,
collec¬
in¬
;o
si
oi
Le; nition
assez
duit facilement
cacité.
punis,
part,
moins1 àchacun
c’est
sur
commune.
appliquer
Quand
son
comme
avoisin
tous
une
à manquent
se
siles
Quelques-uns
tendance
personne
persuader
la élèves
responsabilité
elles-mêmes
àd’un
ne
qu’ils
rejeter
l’était.
arrivent
groupe
sont
deplus
D’autre
la
d’effi¬
punis
donc
sont
pu¬
ou
ali
ic plus
?ei marades
récompense
lier
l’autre
est
contestables
porative,
grès
sentent
du Cette
II.possible.
plus
leurs
en
avancés
social.'
groupe
organisation
solidaires,
résulte
ce
soutenu,
qui
efforts,
que
collective
avantages.
s’ingéniant
Les
estseune
ceux-ci
laàélèves
montre
les
ils
condition
s’entr’aider
pédagogique
collaboration
ont
lui
résultats
Elle
n’ont
à,d’un
est
un
plus
expliquer
prépare
décernée.
essentielle
intérêt
pas
même
actif;
dans
meilleurs;
bien
présente
fécopde,-les
ààcommun
la
groupe
lale
leurs
compris.
vie
du
mesure
travail
d’in¬
pro¬
cor¬
une
ca¬
seà
iï pour le compte
révolte intérieured’autrui.
qu’il Ilest
peutfâcheux
en résulterde pro¬une
niq»
voquer.
Quant à la récompense attribuée à un groupe,
an èlle paraît peu propre à produire L'excitation
qu’on en attend. Elle est d’ailleurs difficile a

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