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Functional multilateralism : 

Joachim Krause : “Multilateralism can be defined as international cooperation among more


than two states, designed to solve international problems and to deal with conflicts resulting
from perceived or actual anarchy in international relations. Multilateralism has been a reality
of international relations for 6 decides and has served many purposes. In most cases, it has
been functionally oriented and either global or regional in scope.”
(Krause, J. (2004) : “Multilateralism: Behind European Vews”. The Washington Quarterly
27(2):44.

IL définit 3 types de mutilatéralisme :

- Open functional multilateralism : « deals mainly with the UN ubmbrealla with military and
non-secrity-related aspects of international life. The agenda is, in principle, open endend and
almost inexhaustible and, sometimes, unavoidably overlaps with collective security an
multilateral trad institutions”.
- Closed functional multilateralism : “developed as INSTRUMENTS to seek opportunities for
international co-operation when open multilateralism has failed to yield results.”
- Epistemic multilateralism : “This type of multilateralism is the quasi-permament co-operation
that exists among like-minded states in a broad range of fields, such as the EU and, to a
lesser degree, the NATO”.

Mias du coup epistemic multilateralism ce n’et pas vrament un outil c’est un ongoing process ?
Regarder cet autuer vient de quelle traditione t se renseigner sur la tradition foncitonnelle + sur
depuis quand en RI les Etats ne sont plus les seuls acteurs internatinaux.

Selon que l'on envisage le multilatéralisme dans une perspective positive ou normative, des
divergences profondes surgiront dans l'interprétation de ce phénomène.
Dans le premier cas, le multilatéralisme sera simplement considéré comme une technique
institutionnelle visant à instaurer une régulation dans les relations entre États. Cette approche se
base sur les postulats réalistes : dans un système international anarchique, c'est-à-dire dépourvu
d'autorité supérieure aux États, ceux-ci ne sont pas forcés de coopérer. Ils le feront néanmoins
lorsqu'un calcul rationnel montrera que c'est leur intérêt. Des représentants gouvernementaux ont
ainsi évoqué le concept de « multilatéralisme effectif »5. Cette expression évoque la notion
d'efficacité mais signifie implicitement que le multilatéralisme ne sera employé que s'il est
compatible avec l'intérêt national (américain en l'espèce).
Il est possible, dans une perspective plus normative, de voir le multilatéralisme comme un projet
politique visant à encourager la coopération et à accroître l'interdépendance entre les États. Le
multilatéralisme a été investi de vertus positives et est présenté aujourd’hui comme une méthode
privilégiée pour la conduite des affaires internationales 6.
Une approche pragmatique du multilatéralisme, liant les perspectives normative et positive, paraît
la plus pertinente: certes, les intérêts nationaux gouvernent la politique étrangère des États, mais
ceux-ci mènent cette politique suivant certaines valeurs (comme s'est attaché à le
montrer Raymond Aron dans Paix et Guerre entre les nations). Le multilatéralisme est donc, à
l'intersection de la coopération et de l'anarchie internationale, un mécanisme imparfait de
régulation des relations interétatiques.

Article de Sciences Po : Multilatéralisme, 2019 : Le multilatéaralisme est une fome d’action collective
internationali qui a pour finalité de produre « des normes et des règels visant à établir un ordre
international coopratif régissant les interdépendances internationales (Frak Petiteville).

Souvent pensée comme une dynamique itner-étatique, la coération mutilaéral est, dès ses débuts, le
fruit d’acteurs diversifiée.

Frank Petiteville : professeur de SciencesP Grenoble. Dmaines de recherche : multilatéralisme,


organisations internationale, relations internationales. Responsable du master Politiques et pratiques
des rganisations internationales à ScPo Grenobe

Vincent Pouliot grande contribution : L’ordre hiérarchique international , vision schématique du


écanisme de production de la hiérarchisation des Etats à l’échelle internationale.

Regarder ce que disait raymon aron. Et regadrer des critiques de pouliot (chercher en anglais si plus
simple)

Regarder des exemples pour illustrer mes propos (en écrivent le

Multilatéralisme ascendant ou descendant : eux voies dans la quête d’une gruvernance globale,
2005.

Andrew Knight : 2 multilatéralisme :


- Du haut vers le bas(descendant), très axé sur l’Eat
- Du bas vers le haut (ascendant), importance croissante uajorud’hui.

Pourquoi les théories classiques des RI n peuvent expliquer ce qu’est le multilératélisme.

Tant l’institutionalisme libral que el réalisme traitent surtout des activits multilatérale entre Etats.

Réalistes : mutilatéralisme comme ensemble d’entendtes plus ou mois provisoires entre Etats
souverains ayant temporairement les mêmes intérêts. Raison d’êtr des normes : aider un groupe
d’Etats à réaliser leurs buts communs. DONC, institutions multilatérales ne sont aps indépendnte, car
c’est les Etats qui leur nont donné naissance.

Des paradigmes de l’institutionalisme libéral renvoie à de sinstitutions multilatérales qui


transformeraient l’ordre mondial en amenant progressivement le systèm étatique sous une forme
qelconque de règleemntation autritaire( Robert Cox, 1992).

Néo-fonctionaliste considère que les Etats ne sont pas les seuls acteurs improtants du
multilatéralisme puisque qu’il faut tenir compte d’éléments de la société civile (grouês d’intérêt,
syndicats, associations industrielles, partis politiques). MAIS, passe quand même sous silence la
dimension ascendante du multilatéralisme car elles sont ahistoriques et axées sur l’Etats.

Pous lui, le multilatéralisme par le bas est pr exemple le modèle à autorité partagée : fédértion
internationale, cmposée d’indivisu porveant de différents Etats et on en une seul eunion de seules
autorités souveraines.

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