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Université Abdelmalek Essaâdi

Ecole Nationale des Sciences Appliquées d’Al Hoceima


Département : Génie Civil, Energétique & Environnement

TD - Transfert thermique par conduction


Série n° 3

Exercice 1 :

Le profil de température à travers un mur de 1 m d’épaisseur à un certain temps t est donné par :
𝑇(𝑥) = 𝑎 + 𝑏 𝑥 + 𝑐 𝑥 +
où T est donnée en degré Celsius, x en mètre, a = 900 °C, b = -300 °C m-1 et c = -50 C m2.
Une source de chaleur uniforme q = 1000 W m-3 se trouve à l’intérieur du mur de surface 10 m2
dont les propriétés sont 𝜌 = 1600 kg m34 , 𝜆 = 40 W m39 K 39 , 𝐶< = 4 kJ kg K
1. Le flux de chaleur entrant dans le mur (𝑥 = 0) ou d’après la loi de Fourier :
𝜕𝑇
𝜑?@ = 𝜑A (0) = −𝜆𝑆 E = −𝜆𝑆(𝑏 + 2𝑐𝑥)AFG
𝜕𝑥 AFG
𝜑?@ = −𝑏𝜆𝑆 = 120 kW

De même le flux de chaleur sortant du mur est :

𝜕𝑇
𝜑IJK = 𝜑A (𝐿) = −𝜆𝑆 E = −𝜆𝑆(𝑏 + 2𝑐𝑥)AFM
𝜕𝑥 AFM
𝜑IJK = 160 kW

2. Le taux d’échange de l’énergie stockée dans le mur.


Considérant un volume de contrôle de mur et appliquant le bilan énergétique sur ce volume :
𝜑?@ + 𝜑N = 𝜑IJK + 𝜑OK ⇒ 𝜑OK = 𝜑?@ + 𝜑N − 𝜑IJK
Or : 𝜑N = 𝑞 𝑆 𝐿 ⇒ 𝜑?@ + 𝑞 𝑆 𝐿 − 𝜑IJK
Donc : 𝜑OK = −30 kW
3. Le taux de changement temporel de la température en tout point du mur peut être obtenu en
utilisant l’équation de la chaleur :
𝜕𝑇 𝜆 𝜕+𝑇 𝑞
= + ++
𝜕𝑡 𝜌𝐶< 𝜕𝑥 𝜌𝐶<
𝜕+𝑇 𝜕 𝜕𝑇 𝜕
Or: + = W E= (𝑏 + 2𝑐𝑥 ) = −100 ℃/m+
𝜕𝑥 𝜕𝑥 𝜕𝑥 𝜕𝑥
𝜕𝑇
= −4,69 103[ ℃/𝑠
𝜕𝑡

Pr. B. Samoudi GEER1 A.U 2019-2020 1


Exercice 2:

ℎ 𝐿n
Calculons d’abord le nombre de Biot : 𝐵? =
𝜆
𝑉 𝜋 𝑟G+ 𝐿
La longueur caracteréstique du corps est : 𝐿n = =
𝑆 2𝜋𝑟G 𝐿 + 2𝜋 𝑟G+
8 ∗ 0,0689
𝐿n = 0,0689 ⇒ 𝐵? = = 0,89 < 1
0,617

Par conséquent l’analyse de capacité thermique peut être utilisé pour obtenir une estimation
approximative du moment du décés, donc :

𝑇(𝑡) − 𝑇z ℎ𝑆
= 𝑒 3}K 𝑜ù: 𝑏 = = 2,79 ∗ 103€ s 39
𝑇(𝑖 ) − 𝑇z 𝜌𝐶< 𝑉

25 − 20 „…
= 𝑒 3+,‚ƒ∗9G K ⇒ t = 43 860 s = 12,2 h
37 − 20

Exercice 3:

1. Le bilan énergétique autour du corps est :


𝜑?@ + 𝜑N = 𝜑IJK + 𝜑OK ⇒ (𝜑?@ − 𝜑IJK ) + 𝜑N = 𝜑OK
𝜕𝑇 𝑑𝑇 ℎ 𝑆
⇒ −ℎ 𝑆(𝑇 − 𝑇z ) + 𝑞𝑉 = 𝜌𝐶< 𝑉 ⇒ =− 𝑑𝑡
𝜕𝑥 𝑞𝑉 𝜌𝐶< 𝑉
(𝑇 − 𝑇z ) −
ℎ 𝑆
Condition initiale :
À 𝑡 = 0 𝑇(0) = 30 ℃
𝑇z = 𝑇1 = 5 ℃ et 𝑇(0) = 𝑇? = 30 ℃
‰Š ‰Š
Posant 𝜃 = (𝑇 − 𝑇z ) − ‹ Œ ⇒ 𝜃(0) = (𝑇? − 𝑇z ) − ‹ Œ
ℎ𝑆
𝑑𝜃 ℎ 𝑆 −
𝜌𝐶𝑝𝑉
𝑡
Donc: =− 𝑑𝑡 ⇒ 𝜃(𝑡) = 𝜃(0)𝑒
𝜃 𝜌𝐶< 𝑉
Il en résulte l’équation différentielle décrivant l’évolution temporelle de la température :
‹Œ
𝑇(𝑡) − 𝑇z 𝑞𝑉 3
‘’“ Š
K 𝑞𝑉
= •1 − •𝑒 +
𝑇𝑖 − 𝑇z (𝑇𝑖 − 𝑇z )ℎ 𝑆 (𝑇𝑖 − 𝑇z )ℎ 𝑆

2. Le temps au bout duquel la température du cylindre atteint 15 °C est :


15 − 5 0,437 „• 0,437
= •1 − • 𝑒 3ƒ,€‚ .9G K +
30 − 5 (30 − 5 ) (30 − 5)
De là, on obtient : 𝑡 = 1000 𝑠 = 16,9 𝑚𝑛

Exercice 4:

1. La distribution de la température dans le sol est donné par la solution analytique (voir cours) :

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œ
𝑇(𝑥, 𝑡) − 𝑇? 𝑥 ‹A ‹ •K
W › E 𝑥 ℎ√𝑎𝑡
= 𝑒𝑟𝑓𝑐 W E − 𝑒 š šœ . 𝑒𝑟𝑓 • + •
𝑇z − 𝑇? 2√𝑎𝑡 2√𝑎𝑡 𝜆

+
ℎ√𝑎𝑡 ℎ+ 𝑎𝑡 ℎ√𝑎𝑡
Où : = 33,73 et. + = • • = 33,73+ = 1138
𝜆 𝜆 𝜆
Nous concluons que le dernier terme de la relation de distribution de température ci-dessus doit
être mul quelque soit x, malgré que le terme exponentiel tend vers l’infini.
𝑒𝑟𝑓𝑐 (𝑥 ) ⟶ 0 pour x > 4 (voir la table de la fonction 𝑒𝑟𝑓𝑐)
Alors la forme :

‹A ‹ œ•K 𝑥 ℎ√𝑎𝑡 ‹A 𝑥
W › œ E
𝑒 š š . 𝑒𝑟𝑓 • + • = 𝑒 £ š ›994¤¥ . 𝑒𝑟𝑓 W + 33,73E ≪ 1
2√𝑎𝑡 𝜆 2√𝑎𝑡
Donc la relation de distribution de température se simplifie à :
ction erreur 𝑇(𝑥, 𝑡) − 𝑇? 𝑥
= 𝑒𝑟𝑓𝑐 W E
tion 𝑇z − 𝑇? 2√𝑎𝑡
Parpar
ur erf(x) est dÈÖnit conséquent :
1. Elle correspond ‡ la surface entre 0 et x de la fonction intÈgrÈe dans
rÈe par la Ögure 1.
0
𝑥 = 0: 𝑇(0; 10 ℎ
1) =La ( 𝑇 − 𝑇? ) 𝑒𝑟𝑓𝑐
𝑇? +fonction W
erreur E = −8 ℃
Zx 2 √ 𝑎 𝑡
2 " #
erf(x) = p (0,1 ;
𝑥 = 0,1𝑚: 𝑇 1 La
1.110 ℎ
exp "t 2
)dtfonction erreur
= 15 − 23 𝑒𝑟𝑓𝑐
DÈÖnition (0,066) = −6,3 ℃
(1)
"
0
𝑥 = 0,2 𝑚: 𝑇(0,2 ;
1.1 10 ℎ ) =erreur
−4,6 ℃
DÈÖnition
La fonction erf(x) est dÈÖnit par 1. Elle correspond ‡ la surface entre 0 et x de la fonction
1, elle est illustrÈe erf(x)
par la Ögure 1.
𝑥 = 0,5 𝑚: 𝑇
1.2
(0,5 ;
La
10 ℎ) =erreur
fonction
−0,2 ℃ est dÈÖnit par 1. Elle correspond ‡ la surface entre 0 et x de la fonction
1, elle est illustrÈe par la Ögure 1.
1.0
Rappel : Zx
2 Zx " #
La fonction erreur erf(x) est définit par 1. Elle
0.8 erf(x) = p2 exp ""t22 # dt
erf(x) = p" exp "t dt
" 0
correspond à la surface
0.6
entre 0 et x de la 0

fonction intégré dans


0.4
1, elle est illustrée par la 1.2
1.2
erf(x)
figure ci-contre. 0.2
1.0

C’est
-2
une -1fonction0 qui apparait
0.0
1
notamment
2 0.8
0.8
x
lorsque " l’on# résoud des problèmes de 0.6
Figure 1: Courbe 2
p 2
exp "x dont la surface en x dÈÖnit la fonction erreur 0.6
"
conduction en régime transitoire par utilisation 0.4
0.4
erf(x)
de la méthode des transformations de Laplace. erf(x)
0.2
nction qui apparaÓt notamment lorsque líon rÈsoud des problËmes de conduction en rÈgime
0.2
La fonction
utilisation de la mÈthode erreur complémentaire
des transformations erf(x)
de Laplace, voir estcela le cours de thermique 0.0
pour
espondant. La fonction erreur complÈmentaire est dÈÖnit par la relation 2: -2 -1 0
x 1 2
définit par la relation suivante: -2
0.0
" -1 # 0
x 1 2
Figure 1: Courbe p2 exp "x2 dont la surface en x dÈÖnit la fonction erreur
Z1 "
" #
2 " #
erfc (x) = 1 " erf (x) = p exp "t2 Figure
dt 1: Courbe p2" exp "x2 dont (2) la surface en x dÈÖnit la fonction erreur
"
x
Cíest une fonction qui apparaÓt notamment lorsque líon rÈsoud des problËmes de conduct
transitoire par utilisation de la mÈthode des transformations de Laplace, voir pour cela le cours
ÈtÈs de la fonction erreur Cíest unecorrespondant.
au chapitre fonction qui apparaÓt
La fonctionnotamment lorsque líon rÈsoud
erreur complÈmentaire des problËmes
est dÈÖnit de conduct
par la relation 2:
propriÈtÈs sont donnÈes par 3
transitoire par utilisation de la mÈthode des transformations de Laplace, voir pour cela le cours
au chapitre correspondant. La fonction erreur complÈmentaireZ1est dÈÖnit par la relation 2:
2 " #
erfc (x) = 1 " erf (x) = p exp "t2 dt
"
Zx1
Pr. B. erf (0) = 0
Samoudi erf (1)GEER1
=1 (3) 2 " #
erfc A.U 2019-2020
(x) = 1 " erf (x) = p exp "t2 dt 3
1.2 PropriÈtÈs de la fonction erreur
erf ("x) = " erf (x) "
x
erfc ("x) = 2 " erfc (x)
# Quelques propriÈtÈs sont donnÈes par 3
Exercice 5:

Milieu 1 (𝜌9 , 𝜆9 , 𝐶<9 , 𝑎9 )

Surface de contacte, Ts x=0

Milieu 1 (𝜌9 , 𝜆9 , 𝐶<9 , 𝑎9 )

1. Les équations de chaleur pour le milieu 1 et le milieu 2 s’écrivent ainsi :

1 𝜕𝑇 𝜕 + 𝑇1 1 𝜕𝑇 𝜕 + 𝑇2
= pour 𝑥 < 0, 𝑡 > 0 = pour 𝑥 > 0, 𝑡 > 0
𝑎9 𝜕𝑡 𝜕𝑥 + 𝑎+ 𝜕𝑡 𝜕𝑥 +
𝑇9 (𝑥, 0) = 𝑇9G pour 𝑥 < 0 𝑇+ (𝑥, 0) = 𝑇+G pour 𝑥 > 0
lim 𝑇9 (𝑥, 𝑡) = 𝑇9G pour 𝑡 ≥ 0 lim 𝑇+ (𝑥, 𝑡) = 𝑇+G pour 𝑡 ≥ 0
A→3z A→›z

• La condition de contact parfait à la surface de contact (𝑥 = 0) s’écrit : 𝑇9 (0, 𝑡) = 𝑇+ (0, 𝑡)


• La conservation du flux thermique au surface de contact :

𝜕𝑇9 𝜕𝑇+
𝜆9 W E = 𝜆+ W E
𝜕𝑥 AFG 𝜕𝑥 AFG
Solutions analytiques :

𝜀+ 𝑥 𝜀9 𝑇9G + 𝜀+ 𝑇+G
𝑇9 (𝑥, 𝑡) = (𝑇9G − 𝑇+G) 𝑒𝑟𝑓 W E+
𝜀9 + 𝜀+ 2√𝑎9 𝑡 𝜀9 + 𝜀+
𝜀9 𝑥 𝜀9 𝑇9G + 𝜀+ 𝑇+G
𝑇+ (𝑥, 𝑡) = (𝑇+G − 𝑇9G) 𝑒𝑟𝑓 W E+
𝜀9 + 𝜀+ 2 √𝑎+ 𝑡 𝜀9 + 𝜀+
Avec : 𝜀9 = « 𝜆9 𝜌9 𝐶<9 et 𝜀+ = « 𝜆+ 𝜌+ 𝐶<+
𝜀9 𝑇9G + 𝜀+ 𝑇+G
IL en résulte la température de contact ∶ 𝑇n = 𝑇O = 𝑇9 (0, 𝑡) = 𝑇+ (0, 𝑡) =
𝜀9 + 𝜀+
A.N : 𝜀9 = « 𝜆9 𝜌9 𝐶<9 = 16797 et 𝜀+ = « 𝜆+ 𝜌+ 𝐶<+ = 1030

𝑇n = 143 ℃
2. Pour un solide semi-infini avec température de surface donnée :

𝑇(𝑥, 𝑡) − 𝑇+? 𝑥 𝜆
= 𝑒𝑟𝑓𝑐 W E avec 𝑎 =
𝑇O − 𝑇+? 2√𝑎𝑡 𝜌𝐶<

A 𝑡 = 15 𝑚𝑖𝑛 et 𝑥 = 25 𝑚𝑚

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TL1 T0 TL1 T f Qv L1S
0 TL1 895.45 C
R1 Rext R2 2
en TL1+L2:
TL1 L2 TL1 TL1 L2 Tf
0 T 281.8 c
𝑇(𝑥, 𝑡) − 30 R 0,025 R L1 L2
= 𝑒𝑟𝑓𝑐 ⎛ 2 ext ⎞ ⟹ 𝑇 0,025; 900 𝑠) = 80℃
(
143 − 30 0,79 ∗ 15 ∗ 60 − 30
°
⎝2 1600 ∗ 840 ⎠

Exercice 6:
Solutions des exercices du Milieu thermiquement mince
Déterminer les relations de la longueur caractéristique, L´ , d'un mur d'épaisseur 2L, un très long
S l dei rayon
n d e re cice III -1 :
cylindre G et une sphère de rayon rG .

1. Mur d’épaisseur 2L :V 2 L a.b


Lc ,mur
𝑉 plan2 𝐿 (𝑎𝑏) L
L´, µ¶· ¸¹º» = = S 2=a𝐿 .b
𝑆 2(𝑎𝑏)
2
V ro h ro a
L
2. Cylindre de rayon rG :
c , cylindre
S+ 2 ro h 2
𝑉 𝜋𝑟G ℎ rG
L´, ´¼¹½»¾·¿ = = = 3
𝑆 2(𝜋rVG ℎ) 4 r2
o /3 ro
Lc ,sphère 2 b
S 4 ro 3 2L
1. Sphère de rayon rG :
4 4
𝑉 3 𝜋𝑟G rG
L´, À¸Áè·¿
S l i =n 𝑆d =
e e4𝜋𝑟 + = -2 :
ciceIII
G 3
Eau
Hypothèses : 1 Le contenant en verre de forme cylindrique d'un rayon
Exercice 7: 60 C
de r0 = 3 cm. 2 Les propriétés thermiques du lait sont prises comme
C’estceux de l'eau.
le même 3 Lesque
exercice propriétés
l’exercicethermiques
3 du lait sont constantes à la
température ambiante. 4 Le coefficient de transfert de chaleur est Lait
1. Leconstant
bilan énergétique
et uniformeautour du corps
sur toute est : 5 Le nombre de Biot, dans ce
la surface. 3C
cas est importante
𝜑?@ + 𝜑(beaucoup plus grand que 0,1). Toutefois, le système
N = 𝜑IJK + 𝜑OK ⇒ (𝜑?@ − 𝜑IJK ) + 𝜑N = 𝜑OK
global d'analyse est encore applicable𝜕𝑇puisque le lait 𝑑𝑇 est agité en ℎ 𝑆
permanence, de 𝑇sorte
⇒ −ℎ 𝑆 ( − 𝑇que)
z + sa𝑞𝑉
température
= 𝜌𝐶< 𝑉 reste
⇒uniforme
en tout temps.
𝑞𝑉
=− 𝑑𝑡
𝜕𝑥 (𝑇 − 𝑇z ) − 𝜌𝐶< 𝑉
Analyse : La longueur caractéristique et le nombre de Biot du verre ℎ 𝑆 de lait sont :
Condition initialeV: ro L
2
(0.03 m) 2 (0.07 m)
L
À 𝑡 = 0 𝑇(c 0) = 30 ℃
0.01050 m
S 2 ro L 2 ro 2 2 (0.03 m)(0.07 m) + 2 (0.03 m) 2
𝑇z = 𝑇1 = 5 ℃ et 𝑇(0) = 𝑇? =2 30 ℃
hLc
(120 W/m . C)(0.0105 m)
Bi ‰Š 2.076
‰Š > 0.1
Posant 𝜃 = 𝑇 − 𝑇z ) − ‹ Œ (0⇒
( 𝜃(0)
.607 W/m.= (C𝑇)? − 𝑇z ) − ‹ Œ
ℎ𝑆
Pour
𝑑𝜃 les raisons
ℎ 𝑆 citées ci-dessus, nous pouvons − utiliser le système global d'analyse afin de
𝑡
Donc: =− 𝑑𝑡 ⇒ 𝜃(𝑡) = 𝜃(0)𝑒 𝜌𝐶𝑝𝑉
déterminer 𝜃le temps𝜌𝐶nécessaire
<𝑉 pour que le lait se réchauffe de 3°C à 38°C.
Il en résulte l’équation différentielle décrivant l’évolution temporelle de la température :
‹Œ
𝑇(𝑡) − 𝑇z 𝑞𝑉 3 K 𝑞𝑉
= •1 − • 𝑒 ‘’“ Š +
𝑇𝑖 − 𝑇z (𝑇𝑖 − 𝑇z )ℎ 𝑆 (𝑇𝑖 − 𝑇z )ℎ 𝑆
2. Le temps au bout duquel la température du cylindre 36
atteint 15 °C est :

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15 − 5 0,437
W − E
30 − 5 (30 − 5)
à Ä
0,437
15 − 5 0,437 0,437 W1 − ( E
„• 30 − 5)
= •1 − • 𝑒 3ƒ,€‚ .9G K + ⇒ 𝑡 = 𝐿𝑛
30 − 5 (30 − 5) (30 − 5) −9,57 . 103[

De là, on obtient : 𝑡 = 1000 𝑠 = 16,9 𝑚𝑛

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