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VINAVER 

: Olivier le propre du chef est de faire évoluer ses hommes

Grangier : ce n’est pas très jolie QF il n’y a plus de boite pour leur donner
le sentiment qu’ils font quelque chose en commun

Olivier : Je n’accepte pas votre démission Grangier vous ets un de nos éléments
les plus valable

Benoit : Bon prenez votre fric mais ne vous éloigner pas trop mon vieux
on se reverra. Argent motivation premiere du travail

Monsieur Onde : On n’emmene pas les gens avec soi qd on est une taupe
creusant ses galeries sans presque jamais faire surface.

Tante Yvonne : Ce qu’il faut faire il faut le faire

Alex : Mère pianiste placer dans bordel.

Benoit ; Un travail tourné vers le passé mene au neant

Dispute : Mme Alvarez/ Achevski : batte avec les mains pour garder leur place .
Monde du travail cruel.
VIRGILE
pp.

« Si d’aventure une pluie froide retient le cultivateur chez lui, il peu faire à loisir
bien des
ouvrages qu’il lui faudrait plus tard hâter par un ciel serein. » p.

« Mais ce cheval même, lorsque, appesanti par la maladie ou déjà ralenti par
les ans, il a
des défaillances, enferme-le au logis et sois indulgent à une vieillesse qui ne le
déshonore
pas. »

« Pour moi, si, bientôt à la fin de mes peines, je ne pliais mes voiles, et n’avais
hâte de
tourner ma proue vers la terre, peut-être chanterais-je l’art d’embellir et
d’orner les
fertiles jardons et les roseraies de Pestum qui fleurissent deux fois l’an. »

« C’est un effervescent travail, et le miel embaumé exhale l’odeur du thym. »

tant elles aiment les fleurs et sont


glorieuses de produire leur miel

SIMONE WEIL

D’abord à travailler : tant qu’on est


incapable de travail suivi, on n’est bon à rien dans aucun domaine. »

« Employez les premiers mots qui vous viendront à l’esprit et dites ce que c’est
pour vous
que votre travail. Dites si le travail vous fait souffrir. [...] Dites aussi si vous
éprouvez
parfois la joie du travail, la fierté de l’effort accompli. S’il vous arrive de vous
intéresser à
votre tâche. Si certains jours vous avez plaisir à sentir que ça va vite, et que par
suite vous
gagner bien. »

« S’il fallait à la fois subir la subordination de l’esclave et courir les dangers de


l’homme
libre, ce serait trop. »

« À mon avis le travail doit tendre, dans toute la mesure des possibilités
matérielles, à
constituer une éducation. »

« Il ne faut pas tendre à réduire indéfiniment la part du travail dans la vie


humaine au profit d’un loisir qui ne satisferait aucune des hautes aspirations de
l’homme (comme le pensent ceux qui ont pour idéal deux heures de travail
abrutissant, et vingt-deux heures vides d’obligations), mais faire du travail un
moyen pour chaque homme de dominer lamatière et de fraterniser avec ses
sur un pied d’égalité. L’organisation du travail doit réaliser la combinaison de
l’ordre et de la liberté. »

« Les sous deviennent une obsession. Jamais, à cause d’eux, on ne peut oublier
la contrainte de l’usine. »

« Joie de vivre, parmi ces machines muettes, au rythme de la vie humaine – le


rythme qui correspond à la respiration, aux battements du cœur, aux
mouvements naturels de l’organisme humain – et non à la cadence imposée
par le chronométreur. » p. 166
« Des souvenirs qui mettront un peu de fierté au cœur, qui laisseront un peu de
chaleur humaine sur tout ce métal. » p. 166
« Or ce mouvement pose de graves problèmes. Le problème central, à mes
yeux, c’est le rapport entre les revendications matérielles et les revendications
morales. »

« Je m’en veux beaucoup de ne pas arriver à me faire pleinement comprendre


de vous,
car c’est certainement de ma faute. »

Dès son origine, la rationalisation a été essentiellement une méthode pour


faire
travailler plus, plutôt qu’une méthode pour travailler mieux. »

« Le patron a non seulement la propriété de l’usine, des machines, le monopole


des
procédés de fabrication et des connaissances financières et commerciales
concernant
son usine, il prétend encore au monopole du travail et des temps de travail.
Que reste-t-il
aux ouvriers ? Il leur reste l’énergie qui permet de faire un mouvement,
l’équivalent de la
force électrique ; et on l’utilise exactement comme on utilise l’électricité. » p.
218

« Rien n’est pire que le mélange de la monotonie et du hasard ; ils s’aggravent


l’un
l’autre, du moins quand le hasard est angoissant. »

« Le spectacle de manœuvres sur machines est presque toujours celui d’une


précipitation misérable d’où toute grâce et toute dignité sont absentes. »

« Rien n’est si puissant chez l’homme que le besoin de s’approprier, non pas
juridiquement, mais par la pensée, les lieux et les objets parmi lesquels il passe
sa vie et
dépense la vie qu’il a en lui. »

« Un des plus puissants [stimulants] dans tout travail est le sentiment qu’il y a
quelque
chose à faire et qu’un effort doit être accompli. »

VINAVER
« Qu’ils cherchent à nous exploiter c’est normal c’est leur rôle qu’est-ce que tu
ferais si
t’avais le pognon » (un participant à la fête, p. 29)
« Notre petite et sympathique réunion que je me permettrai d’appeler une
réunion de
famille tant il est vrai que ceux qui travaillent quarante heures par semaine
ensemble
forment une authentique communauté »

« Quelle ironie lorsque je me retourne en arrière la seule constante c’est ce


sentiment de
cheminement dans le noir avec peut-être une lueur falote intermittente mais
qui ne s’est
jamais laissé entièrement souffler je n’ai jamais douté que tout système
mythologique
signifie quelque chose aide la société qui le pratique à s’accepter à être fière de
son passé
confiante dans son présent et son avenir »

« Je vous dirai que je suis plus heureux maintenant le travail est plus
intéressant »
« On dit que le taux de mortalité des gens à partir du moment où on les met à
la retraite
grimpe de façon vertigineuse »

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