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Fiche
Siège social SCHAFFHAUSEN (SUISSE)
signalétique :
Effectif 78.000
Domaine d’activité :
L’automobile :
Permettent toutes les fonctions électroniques dans la voiture, des systèmes d'énergie alternative, aux
technologies d'info- divertissement et de capteurs.
Transport industriel et commercial :
Offrez un, dur portefeuille complet pour le camion et autobus, la construction et l'agriculture, les
loisirs et marine, et deux marchés de rouleur.
Solutions de détection :
TE Connectivity est l'une des plus grandes sociétés de capteurs dans le monde, avec l'acquisition
récente de la mesure des spécialités. Nos technologies de capteurs servent un certain nombre
d'industries et permettent des capacités de mesure telle que la pression, la température, les vibrations et
la propriété fluide, pour ne citer que quelques-uns.
Application Outillage :
Fournir des produits à partir d'outils à main à l'équipement automatisé de production et de machines,
ainsi que le service de terrain expérimenté et l'expertise technique.
TE connectivity TANGER :
Définition :
Organigramme de l’entreprise :
Organigramme de travail :
Département des ressources humaines :
Disposer à temps des effectifs suffisants et en permanence, assurer une gestion performante
individuelle et collective du personnel par la formation. Il joue aussi le rôle de facilitateur et
accompagnateur, en social afin d’atteindre des objectifs escomptes par le groupe en matière de
ressources humaines.
Département finance :
Assurer les fonctions financières et comptables de l’entreprise, développer et implanter les pratiques,
les procédures financières et le contrôle de gestion qui affectent la santé financière de la compagnie
tout veillant à la préservation du patrimoine financier de l’entreprise.
Département logistique :
Son rôle est d’optimiser la mise en place et le lancement des programmes de fabrication tout en
assurant une gestion optimale du stock et une expédition à temps aux clients.
Département qualité :
C’est le garant de la politique et du système qualité de l’entreprise à travers l’implantation d’un
système qualité fiable qui répond aux exigences des clients afin d’atteindre le niveau de qualité
escompté sur le plan du processus et des produits.
Département production :
Il a pour principale mission la réalisation des programmes de production tout en assurant une bonne
qualité du produit en respectant les délais fixés au préalable et en optimisant les performances.
Département ingénierie :
Il a pour mission d’adapter des procédés de fabrication conformément aux règles définies par les
directions engineering et qualité (plan de surveillance, contrôle plan, ...) du groupe.
Département maintenance :
La mission première de la maintenance industrielle est de garantir le bon fonctionnement du parc de
machines de l’entreprise. En intervenant sur les pannes bien sûr, mais également en connaissant
finement les différents composants de chaque machine. Cela permet de connaître les récurrences des
pannes usuelles et de les prévenir de différentes manières.
De nos jours la maintenance industrielle fait également partie du cercle vertueux de la qualité. La
qualité de la production dépend en partie des matières premières, des employés qui la travaillent, mais
également des outils de production. Ceux-ci ont leurs réglages qui peuvent grandement participer aux
améliorations de la qualité. La précision et la fiabilité d’un usinage peuvent être remises en question
ou alors grandement améliorées par une maintenance réfléchie.
La maintenance s’appuie également sur des logiciels, la GMAO (Gestion de la Maintenance Assistée
par Ordinateur). Ces logiciels peuvent être plus ou moins développés selon l’intérêt stratégique qui
leur a été portés. Le premier niveau définit un plan de maintenance à suivre, avec l’enregistrement des
interventions préventives et curatives effectuées. Mais ces logiciels peuvent également être une base
de données permettant d’analyser les comportements des machines-outils similaires et d’en améliorer
les fonctionnements. Ou encore contenir les schémas et documentations des machines pour permettre
des interventions plus aisées.
Les métiers autour de cette maintenance se sont complexifiés à la hauteur des tâches demandés. A la
base de simples outils mécaniques, il a été mêlé de l’hydraulique, du pneumatique, de l’électronique et
désormais de l’informatique. La programmation et l’automatisation font partie intégrante des usines
nouvelles et cette tendance lourde continue son cheminement. La 5 G amènera des outils de
production automatisés et désormais connectés au réseau avec son lot de nouveautés dans les
possibilités offertes. Qu’il faudra bien entendu entretenir, comme tout système de production.
La réduction des coûts de production
Il a été démontré l’impact positif de la maintenance industrielle sur la réduction des coûts de
production. Une panne coûte de l’argent, en premier lieu pour la réparer avec des pièces et du temps
d’hommes consommés. Mais les coûts d’une panne sont multiples et remontent très loin dans vos
processus. Le temps d’immobilisation de la production consomme aussi du temps homme inutilisé
mais payé, génère également du retard, une variation des stocks dans les deux sens, ce qui peut
entraîner des défauts de livraison, donc des pénalités de retard ou de l’insatisfaction client. Cela peut
être aussi une production entière qui doit passer à la benne pour défaut lors du contrôle qualité.
La fiabilisation du parc machine à travers la maintenance industrielle permet d’engager une démarche
volontaire de réduction des coûts de production.
Les différents types de maintenance industrielle préventive et curative
La maintenance industrielle préventive systématique
Ce type de maintenance est le plus courant. Pour prendre l’exemple simple d’une voiture, vous devez
faire la vidange, tous les ans ou tous les 40 000 kilomètres. Les spécifications du constructeur des
équipements industriels donnent ces conditions de maintenance dès l’acquisition. Suivant les
modifications apportées, le type d’utilisation que vous en faites, mais aussi l’expérience de votre
organisation ces préconisations doivent être ajustées.
La maintenance préventive conditionnelle
Ce type de maintenance repose sur une condition qui peut être mesurée. Cette condition est en lien
avec un taux d’usure d’une partie de la machine. Cette mesure est effectuée par un technicien lors de
ses passages de contrôle auprès du parc de machines, ou bien par des capteurs mis à demeure. Il
mesure et analyse plusieurs indicateurs définis au préalable comme pertinents pour anticiper les
pannes et défauts. Pour reprendre l’exemple de la voiture, quand vous la passez au contrôle technique,
il mesure la variation de direction sur un kilomètre. Si elle sort de l’écart défini (+ ou – 8 mètres / km),
cela démontre un défaut dans les organes de direction qu’il faut alors investiguer pour réparation.
La maintenance préventive prévisionnelle
Ce type de maintenance est surtout utilisé pour des interventions lourdes avec des machines mises à
l’arrêt pour maintenance. Lors de l’arrêt programmé, les techniciens mesurent et analysent comme
précédemment, mais extrapolent cette mesure qui ne révèle pas encore un défaut imminent.
Mais cette extrapolation les amène à penser que d’ici le prochain arrêt programmé, il faudra intervenir
sur la machine. Dans le cas de notre voiture, en mesurant la profondeur des rainures de vos
pneumatiques, il ne reste que 6 millimètres. Au vu de vos nombres de kilomètres mensuels, il vous
faudra les changer dans 3 mois, en plein dans votre road trip européen. Cela vous rajoute des
contraintes en plein voyage, aussi vous profitez de l’immobilisation de votre voiture ce jour pour
changer ces pneus.
La maintenance curative et corrective
Cette partie de la maintenance intervient lorsque qu’une panne ou un défaut sur la production est
constatée. Le technicien doit alors intervenir rapidement auprès de la machine concernée. Il utilise ses
compétences, l’historique des pannes sur ce type de machine et la documentation technique pour
établir un diagnostic. Si l’organisation est bien préparée, la remise en service de la production est
rapide.
Le séchage :
Le séchage est un procédé qui sépare un liquide d'un solide, d'un semi-solide, voire d'un liquide par
évaporation. Cette opération est endothermique et nécessite donc l'apport d'énergie.
I. Matière plastique : polymères hygroscopiques et non hygroscopiques
Les polymères peuvent être divisés en deux groupes par leur performance d'absorption d'humidité, y
compris les polymères hygroscopiques et les polymères non hygroscopiques.
Polymères hygroscopiques :
Ces types de matières plastiques absorbent l'humidité à l'intérieur de l'air, les polymères eux-mêmes
ont une forte sensibilité à l'eau et les performances d'absorption des différentes matières plastiques
sont différentes, si la teneur en humidité est plus élevée, l'influence sur la propriété est également plus
élevée (pour le taux d'absorption de divers matériaux plastiques, veuillez prendre les références du
matériau plastique : Absorption d'humidité), nous pouvons donc dire que les polymères
hygroscopiques doivent être pré-séchés avant la production, ou l'humidité peut provoquer une défaite
d'injection ci-dessous à l'article en plastique :
1. Ligne de soudure (ligne de joint)
2. La résistance aux chocs/à la traction du produit fini peut être affaiblie
3. Ligne argentée, bulle d'air, manque de brillance
4. Taille instable de l'article moulé
5. Craquer ou casser
Certaines résines hygroscopiques dont :
ABS、PA、PBT、PC、PC/ABS、PC/PBT、PEI、PET、PETG、PMMA、PPE、SA, etc.
Voici quelques conseils pour le séchage des matières plastiques :
1. Si le temps est chaud et sec, il nécessite moins de séchage.
2. Une fois les sacs ou récipients en matière plastique ouverts, il est nécessaire de les refermer
rapidement après utilisation et de les stocker dans un endroit chaud et sec pour éviter l'absorption
d'humidité.
3. Le matériau non ouvert (même s'il est dans un sac scellé) fourni par le fournisseur doit être
considéré comme un matériau humide, le séchage est donc nécessaire.
4. Le temps et la température de séchage peuvent être déterminés par l'expérience, ou utiliser le
paramètre de séchage suggéré par le fournisseur de matériau, ou vous pouvez prendre les références de
cet article : Matière plastique : Température de séchage et temps de traitement
Polymères non hygroscopiques :
Les polymères eux-mêmes n'absorbent pas l'humidité, ils ne sont pas sensibles à l'eau, mais il peut y
avoir de l'humidité adhérente à la surface de la matière plastique, qui nécessite moins de séchage ou
n'a pas besoin de sécher avant la production si les matériaux sont stockés de manière appropriée.
Certaines résines non hygroscopiques dont : PE、PP、PS、PVC、PPS, etc.
Voici quelque types de matière utilise par TE connectivity :
PBT :
Le PBT, parfois francisé de manière impropre en « poly butylène téréphtalate », est un polymère
thermoplastique faisant partie de la famille des polyesters. Ce polymère semi-cristallin couramment
transformé par injection est obtenu par polycondensation de l'acide téréphtalique et du butane-1,4-diol.
Point de fusion : 223 °C
Formule : (C12H12O4) n
Nom IUPAC : Poly (oxy-1,4-butanediyloxycarbonyl-1,4-phenylenecarbonyl)
PE :
Le polyéthylène, ou polyéthène, désigne les polymères d'éthylène. Simples et peu chers à fabriquer, les
PE constituent la matière plastique la plus commune, représentant avec 100 millions de tonnes,
environ un tiers de l'ensemble des plastiques produits en 2018 et la moitié des emballages.
T° fusion : 85 à 140 °C
Formule : (C₂H₄) ₙ
Nom UICPA : poly (méthylène)
PP :
Le polypropylène isostatique, de sigle PP et de formule chimique ₙ, est un polymère thermoplastique
semi-cristallin de grande consommation. Sa résistance exceptionnelle à la fatigue en fait un matériau
de choix pour les pièces qui doivent être déformées.
Formule : (C3H6) n
Point de fusion : 160 °C
T° fusion : 145 à 175 °C
PC :
Le polycarbonate est une matière plastique disposant d'excellentes propriétés mécaniques et d'une
résistance thermique permettant une utilisation entre −100 °C et 120 °C3. Ce polymère est issu de la
polycondensation du bisphénol A (BPA) et d'un carbonate ou du phosgène, ou par transestérification.
Il existe que trois méthodes réellement utilisées en pratique pour le séchage des matières
hygroscopiques. Ce sont les suivantes :
1. Chauffage au point d’ébullition de l’eau.
2. Chauffage et création de vide.
3. Séchage par dessiccation.
La société TE travail avec le séchage par dessiccation :
Le séchage par dessiccation :
Par définition, la dessiccation est un procédé ayant pour objectif l’élimination, de manière naturelle
ou artificielle, de l’eau et de l’humidité contenues dans un corps. Ce procédé est utilisé pour
différentes finalités, dans divers secteurs industriels : dans l’agroalimentaire, dans le domaine de la
construction, de l’agriculture etc. Ici, nous nous intéresserons à la dessiccation à destination de
l’industrie plastique : Un granulé plastique doit être impérativement sec avant sa transformation en
produit fini de grande qualité. Le choix du dessiccateur est déterminant.
Comment fonctionne concrètement la dessiccation ?
La dessiccation consiste à déshydrater l’air, le chauffer puis l’envoyer dans la trémie contenant la
matière. Au contact des granulés, l’air va emmener avec lui l’humidité présente.
Le système fonctionnant en boucle fermée, l’air envoyé dans la trémie et récupéré, refroidi puis de
nouveau déshydraté pour retirer l’eau provenant de la matière.
L’humidité accumulée dans le système de séchage de l’air, appelé communément « tamis
moléculaire », doit également être évacuée. Pour cela, de l’air est chauffé à haute température et
envoyé dans ce tamis. Cette action s’appelle la régénération.
Selon le type de matière et son taux d’humidité en entrée, la durée de séchage est variable. La
matière étant consommée en continue, le temps de séchage est permit par la capacité de stockage de
la trémie adaptée au besoin.
L’unité d’injection :
La machine d‘injection ou la presse d’injection il se compose de deux grande partie unité de
plastification et unité de fermeture.
Unité de plastification :
• La trémie :
C'est un entonnoir qui contient les granulés et alimente la vis par gravité.
• La goulotte :
La goulotte est un passage cylindrique qui relie la trémie à l'entrée du cylindre. La goulotte est
refroidie, par une circulation d’eau, afin d'empêcher le ramollissement et l'agglomération des
granulés. En effet, ce ramollissement peut provoquer la formation d'un bouchon qui risque
d’obstruer la goulotte et d'empêcher l'alimentation de la vis.
• Le fourreau :
Ce fourreau comporte un alésage rectifié dans lequel on adapte la vis sans fin. La partie arrière du
cylindre comporte un orifice qui permet l'alimentation de la vis, appelé goulotte. A l'extrémité du
fourreau, on adapte le nez du cylindre sur lequel on visse la buse d'injection.
• La vis :
La vis avale les granulés et les transporte tout au long du cylindre en les malaxant.
• La buse d’injection :
• Le vérin d’injection :
Ce vérin double effet est situé à l'arrière de la vis. Il assure les mouvements de translation de la vis
dans le fourreau. Ce vérin assure les fonctions (injection / remplissage /maintien,
décompression/succion).
Ce moteur est accouplé au piston du vérin d'injection. Il entraîne la vis en rotation lors de la phase
de dosage.
Unité de fermeture :
• Le vérin de fermeture :
• Le système de verrouillage :
Empêche le moule de s'ouvrir pendant l’injection de la matière fondue dans les empreintes.
Le verrouillage est assuré par un blocage mécanique des 2 parties du moule ou un vérin hydraulique
sous pression.
• Un système d’éjection :
• Un bâti :
Elles assurent, pendant les mouvements d’ouverture et de fermeture, le déplacement du plateau mobile
par rapport au plateau fixe ; elles permettent d’assurer le positionnement du plateau mobile par rapport
au plateau fixe en se déformant pendant le verrouillage ;
Certaines presses ne sont pas équipées de colonnes.
• Carters de protection :
Ils protègent le personnel contre les risques d’accidents avec les organes en mouvement (en cycle
automatique et pendant le montage du moule) ; ils sont équipés de contacts électriques pour interdire
les commandes de mouvements, et d’une sécurité hydraulique qui renvoie au réservoir l’huile sous
pression restant dans la chambre du vérin d’injection.
Le cycle de moulage se fait selon la procédure suivante :