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SiO2 : Silice
Al2O3 : Alumine
V1 : Vérin pneumatique 1
V : Vérin pneumatique 2
PV : Petite Vitesse
GV : Grande Vitesse
PC : Partie commande
PO : Partie Opérative
PN : Profinet
DP : Périphérique Décentralisée
CP : Coupleur
IM : Interface Module
LOG : Logigramme
OB : Bloc Organisation
FB : Bloc Programme
FC : Bloc Fonctionnel
SB : Bloc de Séquence
DB : Bloc Donnée
Introduction générale
Le concept de l’industrie 4.0 (quatrième révolution industrielle) est devenu fondamentale dans
toutes les entreprises et ce, pour faire face aux enjeux de l’industrie du future qui, comme par
le passé, est centrés sur l’efficacité de l’outil industriel et la qualité des produits fabriqués, tout
en maximisant l’agilité au sein de son écosystème.
Sur ce, avoir des usines intelligente, performante est l’objectif principal des cimenteries afin
d’assurer une production du ciment sure, régulière et à moindre cout grâce a un processus de
fabrication automatise et un contrôle qualité autonome.
Le ciment est un matériau de base qui trouve de nombreuses applications dans le génie civil.
Son utilisation est généralisée dans le monde entier. Face a une population mondiale et a un
développement croissant, les besoins en produits cimentiers pour la construction des bâtiments
et des infrastructures de communication sont considérables.
Le présent rapport résume le fruit de mon travail, dont il comporte trois chapitres :
Le premier chapitre (Présentation générale) comporte deux parties : la première est consacrée
à la présentation de la société d’accueil et quelques chaines de production et la deuxième pour
l’énoncé de la problématique du projet et le cahier de charges.
Le deuxième chapitre (étude du système existant) comporte deux parties : l’une est dédiée à
l’analyse fonctionnelle et l’autre pour l’analyse structurelle et technologique.
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Introduction générale
-2-
Chapitre 1 : Présentation générale
Chapitre 1 :
Présentation générale
Chapitre 1 : Présentation générale
I. Introduction
La cimenterie de Jbel ouest est classée le deuxième fabricant de ciment en Tunisie. Depuis 2012,
ils font partie de la société internationale Votorantim Cimentos. Sa date de création est le 22
Septembre 1978, signature du contrat est le 11 novembre 1981.
Elle possède une usine située dans la localité de BIR M’CHERGA à 40 km environ au sud de
TUNIS dans le Gouvernorat de ZAGHOUAN.
Son activité est la fabrication et la commercialisation des liants hydrauliques. La société possède
une gestion autonome par rapport au groupe et dirigée par un Administrateur Directeur Général
sous l’égide de la loi Tunisienne.
- 34 Cadres Supérieurs
- 17 Cadres moyens
- 88 Techniciens Qualifiés
- 21 Agents de maîtrise
- 27 Agents d’exécution
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Chapitre 1 : Présentation générale
Les produits finis sont fabriqués conformément aux normes Tunisiennes en vigueur NT 47 – 01
(2005) et NT 47.26 pour les ciments et NT 47- 02 (1983) pour la chaux avec la marque enregistrée
NESRINE.
Le ciment I 42,5 HRS 1 (G) est fabriqué conformément à la norme ISO 10426-1 : industries du
pétrole et du gaz naturel – Ciments et matériaux pour la cimentation des puits.
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Chapitre 1 : Présentation générale
II.2. Historique
II.3. Organigramme
Les rôles, responsabilités, autorités et obligations de rendre compte sont définis dans des fiches
de fonction ou manuel d’organisation. Les procédures, instructions de travail et modes
opératoires nous renseignent sommairement sur les tâches et qui fait quoi.
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Chapitre 1 : Présentation générale
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Chapitre 1 : Présentation générale
Le ciment est une poudre minérale fine obtenue au terme d’un processus de fabrication très
précis. Mélangée à de l’eau, cette poudre forme une pâte qui se fige et durcit.
‘
Figure 4. : Calcaire Figure 5. : Marne
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Chapitre 1 : Présentation générale
Pour atteindre la granulométrie rechercher pour la farine crue, la matière première passe
par une série de procédure qui se termine finalement par le stockage de la farine cru dans
les silos de stockage.
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Chapitre 1 : Présentation générale
Extraction Extraction
Broyage cru
Homogénéisation crue
Cuisson
Refroidissement
Conditionnement
Expédition
Stockage
Broyage clinker
Stockage ciment
Conditionnement Expédition
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Chapitre 1 : Présentation générale
II.4.2.1. Carrière
Les carrières destinées à la production de la matière première du ciment fournissent deux
éléments essentiels : le calcaire qui est très riche en carbonate de calcium (CaCO3), et le
schiste qui contient des teneurs importantes de silice (SiO2), d’alumine (Al2O3) et d’oxyde
du fer (Fe2O3). Ces matières premières sont extraites de la carrière par abattage.
II.4.2.2. Concassage
Les matières premières et les matières d’ajout sont concassées (Figure 11) afin de réduire
la dimension des blocs en fragments de faibles dimensions en vue d’optimiser et de faciliter
leur stockage et leur manutention.
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Chapitre 1 : Présentation générale
L’extraction de la matière se fait par un Soc Mayer. La matière est stockée sous forme de
tas au-dessus d’un Soc Mayer à quatre bras et qui transporte la matière vers une bande
transporteuse vers les doseurs.
II.4.2.6. Dosage
Le présage et le dosage précis des matériaux introduit dans le broyeur sont importants car
ils déterminent le constituant de la composition chimique du cru, et pour l’obtention d'un
ciment de bien qualité. Le cru est constitué des proportions approximatives suivantes :
- 65 - 70 % de calcaire
- 25 - 30 % Marne
- 4 - 5 % de sable
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Chapitre 1 : Présentation générale
Le broyage de cru se fait par un broyeur à boulet monochambre d’une capacité de 295 t/h
avec une finesse de 5 % et de refus de 200 microns.
La chambre est chargée par 300 tonnes de corps broyant en acier avec des diamètres
différents allant de 90 mm jusqu’à 30 mm.
II.4.2.9. Cuisson
La ligne de cuisson comporte trois équipements essentiels :
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Chapitre 1 : Présentation générale
Elle permet d’effectuer un échange calorifique à contre-courant entre les gaz chauds
(850°C) sortant du four et la farine froide (50 à 60°C). Les gaz parcourent l’édifice de bas
en haut alors que la matière le parcourt en sens inverse.
Ainsi au fur et à mesure de l’avancement de la matière dans le four, elle passe par plusieurs
stades de transformation :
Elle termine la décarbonatation totale vers 900 à 1100°C dans les premiers mètres du four
puis elle passe vers 1450°C à la clinkérisation.
La matière sortant du four est le clinker, elle se présente sous forme de grains gris foncé,
arrondis, à surface irrégulière.
II.4.2.9.3 Refroidisseur
A la sortie du four, la matière appelée clinker (A une Température = 1450°C) passe dans
un refroidisseur. Pour cela, on pulse de l'air tiré de l'atmosphère à travers la grille du
refroidisseur, sur laquelle passe le clinker. Le clinker quitte, à quelque 100°C le
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Chapitre 1 : Présentation générale
Le corps broyant est constitué de boulets d’acier qui, par choc, écrasent les grains de clinker
et les ramènent progressivement à l’état de farine, ne comportant que très peu de grains
supérieurs à 40 microns.
- Silo 1 : II_ AL _32,5 de capacité 5000m3 où le chargement se fait dans des sacs
- Silo 2 : II_ AL _32,5 de capacité 5000m3 où le chargement se fait dans des sacs
- Silo 3 : II_ AL _32,5 de capacité 5000m3 où le chargement se fait dans des sacs ou
dans un Vraquier
- Silo 4 : I_42,5 de capacité 5000m3 où le chargement se fait dans des sacs ou dans
un Vraquier
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Chapitre 1 : Présentation générale
- Silo 5 : I_42,5 de capacité 5000m3 où le chargement se fait dans des sacs ou dans
un Vraquier
- Silo 7 : HRS de capacité 2500m3 où le chargement se fait dans des sacs ou dans un
Vraquier
Après le remplissage, les sacs passent par un piège sacs qui les contrôle. S’il y a un sac
déchiré il tombe dans un déchiqueteur qui sépare le ciment du papier. Ensuite, les sacs
passent vers des bandes transporteuses qui peuvent alimenter 2 palettiseurs, 1 chargeur
automatique, 5 en camionneuses manuelles ou 2 en wagonneuses manuelles.
Il existe aussi trois ensacheuses fixe d’une capacité de 60 t/h qui alimente trois en
camionneuses en manuel. Pour le ciment en vrac, on dispose de quatre manches de
chargement qui assurent le chargement des camions vraquiers.
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Chapitre 1 : Présentation générale
Afin d’avoir une meilleure qualité du ciment, la farine passe par trois types
d’échantillonneurs. Le premier après le broyage cru, le deuxième après la cuisson et le
dernier après le préhomogénéisation.
Mon projet se concentre sur l’échantillonneur du broyeur cru (Figure 19). Il est considéré
comme première station de détection de défaut. La sortie du broyeur cru est reliée par une
aéroglissière qui assure le passage de la farine crue vers les silos d’une part et vers
l’échantillonneur d’autre part qui est contrôlé par un temps d’échantillonnage précis.
III.3. Problématique
L’automate réservé pour l’échantillonneur est désadapté et obsolète. Cet automate est de
type Eberle Plc 511 (Figure 20) installé depuis 1985. La société ne dispose d’aucune
information concernant la programmation et la réservation des bits.
L’automate actuel présente plusieurs défauts notamment quelques entrées et sorties sont
défaillants de plus l’étape d’échantillonnage n’est pas reliée avec le programme de
supervision de l’usine donc elle ne possède pas une supervision ainsi pas de suivi du
système.
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Chapitre 1 : Présentation générale
III.4. Solution
L’automate central est de type S7 416-3 PN/DP est caractérisé par la facilité de
maintenance, la disponibilité de rechange et sa performance.
✓ Installation et câblage.
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Chapitre 1 : Présentation générale
IV. Conclusion
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Chapitre 2 :
I. Introduction
Dans le monde industriel, les exigences attendues de l’automatisation ont bien évolué. Avec la
progression continuelle de la technologie, les critères demandés ne s’arrêtent pas uniquement a
niveau de l’augmentation de la productivité, l’amélioration de la qualité du produit ou la
diminution des coûts de production, mais concernent aussi l’amélioration des conditions de
travail et la suppression des tâches pénibles et répétitives.
Une Aero glissière, c’est un moyen de transport bien adapté aux matériaux en poudre. Elle
assure le transport de la farine cru. Deux vérins pneumatiques double effet V1 et V2 sont
initialement avancés, chacun d’eux est piloté par un distributeur.
Le cycle commence par l’excitation de (Figures 21) l’électrovanne 1 contrôlé par un détendeur
de pression pendant 4 secondes pour nettoyer la partie haute de toute matière restante par la
suite elle se désexcite, recule de la tige de vérin V1 pour laisser passer la matière pendant 3
secondes puis il retourne à sa position initiale.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
Par la suite deux cycles vont commencer simultanément, le premier est nommé cycle de
nettoyage dans lequel le moteur de vis de compactage (vis de retour) s’enclenche pendant 10
minutes. Cette opération est conçue pour faire retourner la matière non utilisée vers l’élévateur
qui est relié par la sortie du broyeur.
Le deuxième est le cycle d’échantillonnage (Figures 22) qui démarre par l’enclenchement du
moteur du mélangeur à petite vitesse pendant 5 secondes pour mélanger toutes les prélèvements
prises dans la marmite, l’ouverture du vérin de vidange ce qui engendre la fermeture de la vanne
papillon. Ensuite recule du vérin d’échappement pendant 2 secondes et l’enclenchement du
moteur mélangeur à grande vitesse (GV) pendant 4 secondes avec vibration pour faire la
vidange de la marmite.
Puis recule du vérin du clapet avec vibration pendant 3 secondes pour laisser passer la matière
vers la cartouche.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
Un cycle de transfert de la cartouche vers le laboratoire (Figures 23) débute par la montée de
sureté et l’avance du vérin orientation cartouche vers vérin de bouchage. Après l’avance du
vérin de bouchage, un capteur détecte que la cartouche est bien bouchée puis le vérin mâchoire
recule (desserrage du bouchon) et la cartouche se désserre par le recule du vérin blocage
cartouche. Par la suite l’enclenchement du moteur surpresseur vers le labo pendant 60 secondes.
Le surpresseur lance la cartouche vers sa loge, dès son arrivée un électrofrein s’excite pour
maintenir la cartouche. Si la cartouche n’est pas arrivée, une alarme de défaut s’enclenche.
On trouve dans le labo un schéma synoptique de l’échantillonneur broyeur cru (Figures 24) qui
contient huit voyants de signalisation. Chaque voyant indique l’état de la machine.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
III. L’Automatisation
▪ Augmenter la sécurité.
▪ Maintenir la qualité.
L’homme surveille le système et peut dialoguer avec lui par l’intermédiaire d’un pupitre.
Un système automatisé se compose d’une partie commande (PC), et d’une partie opérative
(PO). Pour faire fonctionner un système, l’opérateur donne des consignes à la partie commande,
celle-ci va traduire ces consignes en ordres qui vont être exécuté par la partie opérative.
Une fois les ordres accomplis, la PO va le signaler à la PC (compte -rendu) qui va à son tour le
signaler à l’opérateur, ce dernier pourra donc dire que le travail a bien été réalisé.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
• Partie opérative
La Partie Opérative est formée de l'ensemble des divers organes physiques qui interagissent sur
le produit pour lui conférer une valeur ajoutée : les pré-actionneurs, les actionneurs et les
capteurs.
Les pré-actionneurs servent de relais de puissance entre la commande et les actionneurs qui
agisse et transforment le produit.
Les capteurs recueillent les informations : état ou position du produit, alarmes, etc. traduisant
un changement d'état du procédé. Ces changements induisent le calcul de la commande du
procédé de production par son Système de Contrôle/Commande ou Partie Commande.
• Partie commande
La Partie Commande (P.C.) ou Système de Contrôle/Commande (S.C.C.) est l'ensemble des
moyens logiciels et d'informations concernant le pilotage et la conduite du procédé. Notons
qu'elle comporte aussi une partie purement matérielle (câblage), imposée par les normes de
sécurité.
• La Partie Relation
C’est la partie qui comporte le pupitre de dialogue homme machine ´équipe des organes de
commande permettant la mise en/hors ´énergie de l’installation, la sélection des modes de
marche, la commande manuelle des actionneurs, la mise en référence, le départ des cycles,
l’arrêt d’urgence ainsi que des signalisations diverses telles que voyants lumineux, afficheurs…
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Chapitre 2 : Etude du système existant
Dans notre système il y a plusieurs, chaque contacteur permet l’alimentation du moteur suite à
un ordre reçu par la partie commande.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
Dans notre cas l’échantillonneur est équipé de 8 vérins pneumatiques double effet et trois vérins
pneumatiques simple effet, deux réservés pour V1 et V2 et le dernier est réservé pour le vibreur.
Figure 30. : Vérin de chappe Figure 29. : Vérin orientation Figure 28. : Vérin clapet
support
Le deuxième est réservé pour la vis de compactage, sa plaque signalétique décrit qu’il
fonctionne sous tension de 380V, une intensité de 2.15A, une puissance de 1.75 kW et sa vitesse
est de 1420 tour/min et qui donne à travers le réducteur 65 tour/min.
Un dernier moteur est gardé pour le surpresseur de type DIETZ qui fonctionne à deux sens, sa
plaque signalétique montre qu’il fonctionne à 220/380V, sa puissance vaut 3 kW et sa vitesse
vaut 2880 tour/min.
Voir les annexes I et II , chaque annexe présente la plaque signalétique d’un moteur.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
objet métallique pénètre dans le champ il va diminuer l’amplitude des oscillations et par la suite
la détection est effective lorsque la réduction d’amplitude de l’oscillation est suffisante pour
provoquer un changement du signal du sortie.
Cette lame vibrante (Figure 32) est utilisée pour détecter le niveau haut dans la marmite
Le GRAFCET est une représentation graphique qui décrit le comportement attendu de la partie
commande d’un système automatisé. Cette représentation graphique concise et facile à lire est
aisément compréhensible par toute personne en relation avec le système automatisé, du
concepteur à l’utilisateur. De plus, à chaque stade de son élaboration, le diagramme fonctionnel
peut être affiné, corrigé ou modifie sans nécessiter la remise en cause des parties déjà étudiées.
Le GRAFCET utilise une succession alternée d’étapes, auxquelles sont associées des actions,
des transitions avec leurs réceptivités et des liaisons orientées.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
- Etape : Une étape correspond à une situation dans laquelle le comportement de la partie
commande est invariant vis-à-vis de ses sorties. Une étape est soit active, soit inactive.
L’activité d’une étape est matérialisée par un jeton. Par convention, on associe à chaque étape
une variable binaire Xi, l’indice i indique le numéro de l’étape.
- Transition : Une transition correspond à une condition de passage d’une étape à une autre. A
chaque transition est associée une condition logique appelée réceptivité, qui est une fonction
booléenne écrite, de façon symbolique ou littérale, à droite du symbole de la transition.
- Liaison orientée : Une liaison est un arc orienté reliant les étapes aux transitions et les
transitions aux étapes.
Il existe cinq règles d’évolution dans le grafcet et ils sont comme suit
o Règle 1 : l’étape initiale est représentée par un carré double, l’initialisation précise les
étapes actives au début de fonctionnement. Elles sont activées inconditionnellement.
o Règle 2 : une transition est soit validée soit non validée. Elle est validée lorsque toutes
les étapes immédiatement précédentes sont activées. Elle ne peut être franchie que
lorsqu’elle est validée et que la réceptivité associée à la transition est vraie. Une
transition validée est obligatoirement franchie.
o Règle 5 : Si au cours du fonctionnement, une même étape doit être désactivée et activée
simultanément, elle reste activée. L’activation doit être prioritaire sur la désactivation
au niveau d’une même étape [4].
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Chapitre 2 : Etude du système existant
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Chapitre 2 : Etude du système existant
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Chapitre 2 : Etude du système existant
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Chapitre 2 : Etude du système existant
VI.1. Définition
L’acronyme GEMMA signifie : Guide d'Etude des Modes de Marche et d'Arrêt. Comme son
nom l'indique, c'est un guide d'étude. Cette étude facilite le fonctionnement d’un système
automatisé sous forme de bloc graphique donc il facilite le dialogue entre tous les techniciens
qui auront à intervenir sur le système.
Le GEMMA propose des modes de fonctionnement types. Selon les besoins du système
automatisé à étudier on choisit d'utiliser certains modes de fonctionnement.
Il est divisé en "rectangle d'état". Chaque rectangle d'état a une position précise sur le guide
graphique. Chaque rectangle d'état est relié à un ou plusieurs autres rectangles d'états par des
flèches orientées.
➢ Concept 1 : Le premier concept du « GEMMA » (Figure 34), c’est que les procédures
des marches et arrêts ainsi que les procédures en défaillances sont vues par une partie
commande en ordre de marche même si la partie opérative est hors état d’énergie ou en
défaut ou à l’arrêt.
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Chapitre 2 : Etude du système existant
➢ Concept 3 : On peut classer en 3 grandes familles les modes de marche et d’arrêt d’un
système automatisé (Figure 36). Ces 3 familles correspondent à chacune des zones du
GEMMA.
- La famille A : On classera dans cette famille tous les modes conduisant à (ou traduisant)
un état d’arrêt du système pour des raisons extérieures. Ils sont regroupés dans une zone
A, « procédures d’arrêt » du GEMMA.
- La famille B : Ce sont tous les états sans lesquels on ne peut pas techniquement ou
fonctionnellement obtenir la valeur ajoutée pour laquelle la machine est prévue. Ces
modes sont regroupés dans une zone F, « procédures de fonctionnement » du GEMMA.
- La famille C : On classera dans cette famille tous les modes conduisant à (ou traduisant)
un état d’arrêt du système pour des raisons intérieures au système ; c’est à dire à cause
de défaillances de la PO. Ils sont regroupés dans une zone D, « procédures en
Défaillance » du GEMMA [6].
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Chapitre 2 : Etude du système existant
En pratique, pour une machine donnée, on ne choisira parmi les états proposés par le guide que
ceux qui sont nécessaires. On précisera le nom de chacun des états retenus à l’intérieur du
rectangle état correspondant.
✓ ETAT DE MARCHE « D » :
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Chapitre 2 : Etude du système existant
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Chapitre 2 : Etude du système existant
VII. Conclusion
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Chapitre 3 :
I. Introduction
II.1. Définition
Un automate programmable industriel (API) est une machine électronique spécialisée dans la
conduite et la surveillance en temps réel de processus industriels. Il exécute une suite
d'instructions introduites dans ses mémoires sous forme de programmes, et s'apparente par
conséquent aux machines de traitement de l'information [1].
Trois caractéristiques fondamentales le distinguent des outils informatiques tels que les
ordinateurs utilisés dans les entreprises :
• Il est conçu pour fonctionner dans des ambiances industrielles sévères (Température,
vibrations, microcoupures de la tension d'alimentation, parasites, etc…).
Un API se compose donc de trois grandes parties tel que le processeur, la mémoire et les
interfaces Entrées/sorties.
L’API est en fonctionnement, c’est-à-dire, lorsqu’il exécute son programme de contrôle sur le
système extérieur, une série d’opérations effectuées de façon séquentielles et répétitives.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
traitement des instructions et l’évaluation des grandeurs de sortie. Une fois ces valeurs
sont calculées, elles sont stockées en mémoire image des sorties.
Après avoir identifié les pré actionneurs, les actionneurs et les capteurs de l’échantillonneur
dans le chapitre précédent, comme étape suivante on a préparé la liste des entrées et des sorties
API avec leur type TOR (tout ou rien).
Cette liste permet de déterminer les modules nécessaires à ajouter et facilite le câblage.
Chaque liste d’entrées ou de sorties sera désignée par un nom, une désignation, un type et une
adresse API.
Voir les annexes VII et VIII qui présentent les listes d’entrées et des sorties.
II.4. Caractéristiques
L’automate utilisé dans notre projet appartient à la gamme API Siemens SIMATIC S7_400 qui
font partie de la gamme des Automates programmable Industriel (API) de Siemens. Ils sont
faciles à installer et à configurer grâce à l’utilisation des technologies modernes, les APIs
S7_400 fournissent une plateforme efficace et économique aux applications industrielles.
▪ Unité centrale de traitement (CPU 416-3 PN/DP) (Figure 39), qui est un automate
modulaire pour le traitement des données, il a une possibilité d’extensions jusqu’à 32
modules et il intègre un port MPI pour la communication entre PC et API et un port DP
pour la communication PROFIBUS entre les différents équipements.
Cet automate est réservé principalement pour le broyeur cru et il est situé dans la salle serveur
de l’usine. On va utiliser le même automate pour l’échantillonneur du broyeur cru.
▪ Un module d’alimentation PS 407 10A, c’est un module qui fournit en sortie une tension
pour alimenter la CPU.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
▪ Un coupleur CP 443-1 standard qui sert au raccordement des automates SIMATIC S7-
400 sur le réseau Industriel Ethernet. Outre la communication avec d'autres stations
Ethernet, le CP assure aussi la fonction d'un contrôleur PROFINET IO.
▪ Des modules d’entrées et sorties, le module d'entrée transforme les signaux provenant
des capteurs et des ordres de l'opérateur en signaux compréhensibles par l'automate. Le
processeur stocke ensuite ces informations dans la mémoire de données image des
entrées afin de les mémoriser. Le module de sortie transmet aux pré-actionneurs et aux
dispositifs de dialogue les ordres de commande et de signalisation résultants de
l'exécution du programme. Le processeur vient chercher ses ordres dans la mémoire de
données image des sorties, et les transferts vers le module de sortie. Par la suite ils seront
transformés en signaux électriques.
Dans notre cas et selon la liste des entrées et des sorties on va utiliser 2 modules d'entrées
numérique de 32 entrées de type TOR (tout ou rien) qui fonctionnent sous une tension
d’alimentation de 24V.
On va utiliser aussi 2 modules de 32 sorties de type TOR et qui fonctionne sous une tension de
24V et une intensité de 0,5A.
Les deux annexes XI et XII qui présentent les caractéristiques techniques de ces deux modules.
Ces modules sont installés dans une station de périphérie décentralisée ET 200M/LINK (Figure
38).
C’est une “unité intelligente de prétraitement” (esclave I). Elle permet de décentraliser les
tâches de commande. Une station ET 200M/LINK avec un IM 151 CPU peut par conséquent
commander entièrement, et, si nécessaire, commander seule, une unité fonctionnelle
technologique, et être utilisée comme CPU autonome. En liaison avec le module maître DP, le
module d’interface IM 151 CPU possède aussi la fonctionnalité du maître DP. L’utilisation de
de ce module répond au besoin de découpage en modules et de standardisation des unités
fonctionnelles technologiques, tout en autorisant des concepts machine simples et clairs.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
II.5.1.2. Profibus
Profibus (Process Field Bus) est un bus de terrain inventé par Siemens, il est connu par la
simplicité d'installation et d’exploitation, sa fonction de diagnostic puissantes pour localiser les
défauts et la rapidité de vitesse (1ms à 12Mb/s pour 512 bits à 32 esclaves en 1 seul message).
Il existe plusieurs types de Profibus mais dans notre cas on va utiliser le Profibus-
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
DP (périphérique décentralisée) qui est utilisé généralement pour commander des actionneurs
(exemple un vérin), vérifier l'état des capteurs (exemple une fin de course) et commander un
autre automate programmable.
Les modules peuvent être intégrés dans des réseaux de bus de terrain PROFIBUS existants avec
les avantages connus de la technologie de transmission optique. Un réseau de bus de terrain
PROFIBUS complet peut également être configuré avec des modules de topologie linéaire
(bus), en étoile ou en anneau, ainsi que toute combinaison de ces topologies.
Pour augmenter la fiabilité du réseau de bus de terrain en cas de défaillance, l’anneau redondant
est pris en charge.
La distance maximale entre deux OLM est de 15 km. La vitesse de transmission est réglable
graduellement de 9,6 Kbits/s à 12 Mbits/s.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
II.5.1.4. Un répéteur
Un répéteur RS 485 (Figure 43) amplifie les signaux de données (amplitude, pente du front et
largeur de signal) sur les lignes de bus et assure le couplage des segments de bus. Il connecte
deux segments de bus PROFIBUS ou MPI et il permet une vitesse de transmission de 9,6 kbit/s
à 12 Mbit/s.
Figure 43. : Un
répéteur
II.5.1. La relation de communication
Profibus DP
OLM
OLM
Fibre optique
Fibre optique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
III. Automatisation
Etant donné que l’automate qu’on doit programmer est de marque Siemens. J’aurais besoin de
la plateforme logicielle TIAPORTAL.
Le TIA apporte une réponse optimale à toutes les exigences et offre un concept ouvert vis-à-vis
des normes internationales.
• Simple à apprendre.
• Simple à utiliser.
• Intelligents.
• Efficace.
Les langages de programmation CONT, LIST et LOG sont une partie intégrante du logiciel.
Dans notre cas, le CPU 416-3 PN/DP, peur être programmée par plusieurs langages de
programmation. En effet et pour garder un programme avec un code source lisible,
compréhensible et surtout facile en mode diagnostic, on a choisi le langage à contact (CONT).
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
Pour permettre une programmation structurée et confortable, il faut prévoir plusieurs types de
blocs : les blocs d’organisation (OB), de programmes (FB), fonctionnels (FC), de séquences
(SB) et de données (DB).
✓ Les blocs d’organisation (OB) : comme leur nom indique, ces blocs sont utilisés
pour l’organisation interne du programme et forment ainsi un moyen puissant et
essentiel pour la programmation structurée. Il est formé de 256 blocs : de OB0
jusqu'à OB255.
✓ Les blocs programmes (FB) : formé de 256 blocs : de FB0 jusqu'à FB255, ils
sont librement paramétrables spécialement conçus pour la standardisation de
fonctions complexes avec multi usage.
✓ Les blocs de séquences (SB) : formé aussi de 256 blocs : de SB0 jusqu’a SB255
sont utilisés spécialement pour effectuer des séquences selon Grafcet.
✓ Les blocs de données (DB) : formé aussi de DB0 jusqu‘à DB255contiennent des
variables, textes, valeurs de temporisations ou de comptages résultats de calculs
etc., et sont accessibles et actualisables à tout moment [7].
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
Remarque : Pour une raison de droit de l’usine on ne présente pas tous les détails des fonctions.
III.2.1. Bloc OB1
Les OB cycliques sont des blocs de code de niveau supérieur dans le programme, dans lesquels
nous pouvons appeler d’autres blocs (Figure 46).
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
IV. Supervision
Lorsque la complexité des processus augmente, et que les machines et les installations doivent
répondre à des critères de fonctionnement toujours plus élevés, l’opérateur a besoin d’un
maximum de transparence, cette transparence est obtenue à l’aide de l’interface homme
machine (IHM) d’un système IHM constitue l’interface entre l’opérateur et l’installation.
Une fois le pupitre mis sous réseau, il permet de visualiser l’état des compresseurs et du sécheur,
ainsi que les différents capteurs : de température, pression, retour de marche, fin de course aussi
d’afficher les alarmes et d’agir sur le système.
L’idée de ce projet est de créer une interface homme-machine à l’aide de SIMATIC WinCC
Runtime Advanced pour l’échantillonneur.
Dans notre cas on va créer l’interface seulement sur l’ordinateur et l’ajouter au système de
supervision de l’usine.
On a choisi le Logiciel Runtime pour visualisation basée sur PC (requiert WinCC Runtime
Advanced) pour la supervision.
Nous avons choisi de diviser l’interface sur des parties pour ne pas encombrer la vue principale.
Tout ce qui est statique est dans le modèle comme les logos de société, le nom du projet, date
et heure. Les vues sont présentées sous la forme des pages. Chaque page comprend des boutons,
des champs d’entrées /sorties, etc. La création des vues dans le pupitre facilite la commande et
la supervision de l’équipement choisi à tester (Figure 59).
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
On trouve plusieurs boutons tel que le bouton de visualisation qui nous permet d’accéder à la
vue qui contient le schéma de notre système ,un bouton diagnostique qui nous permet de
consulter la mise en marche des entrées et des sorties, un bouton d’alarme qui nous permet de
voir les défauts , un bouton de schéma qui nous permet d’accéder au schéma électrique (Figure
60) et finalement le bouton de paramètre qui nous permet faire quelques modifications et pour
des raisons de sécurité on a créé un mot de passe ( Figure 60).
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
Le mode test dans l’ordre ou cycle par cycle est donné à la figure 66.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
IV.2. Simulation
Afin de vérifier l’efficacité de notre programme API et HMI, nous avons réalisé une simulation
avec une application de simulation nommée « S7-PLCSIM ». Cet outil de simulation permet de
tester un programme dans un automate programmable virtuel qu’on simule sur notre ordinateur.
La simulation se fait sur 3 étapes :
- Activer la simulation ;
«S7-PLCSIM » dispose d'une interface simple permettant de visualiser et de forcer les différents
paramètres utilisés par le programme (Figure 72).. Tout en exécutant notre programme dans
l'API de simulation, nous devrons créer une table d’animation
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
IV.2.1. X-RELAIS
Donc à l’aide de ce logiciel on va réaliser les différents schémas électriques tel que les parties
de puissance de chaque moteur et le câblage des modules entrées et sorties.
Les parties de commandes des moteurs sont des ordres envoyés de l’automate.
L’annexe XIII présente les schémas des puissances des moteur, l’annexe XIV présente
commande des électrovannes et l’annexe XV le câblage des modules d’entrées sorties.
V. La réalisation pratique
V.1. Le câblage
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
Une carte relais permet de piloter une tension ou un courant élevé, à partir d'une
commande plus faible et assure aussi la sécurité de l’opérateur.
Deux cartes sont utilisées dans les modules de sorties (Figure 75).
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
✓ Pour les modules des entrées on a utilisé les câbles fins et puis on a connecté chaque
adresse du nouvel automate avec la borne ancienne identifiée.
✓ Pour les modules de sorties on a utilisé les deux cartes à relais avec les câbles,
✓ Ouvrir le disjoncteur
✓ Charger le programme
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
Figure 78. : L'armoire de l'échantillonneur avant la réalisation Figure 77. : L'armoire de l'échantillonneur après la
réalisation
Les figures 79 et 80 correspond au nouveau câblage.
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Chapitre 3 : Automatisation, supervision et réalisation pratique
VI. Conclusion
Dans ce chapitre on a cité les étapes suivies pour avoir un projet complet et réussie. On a
commencé par l’automatisation, la supervision, la simulation et enfin la réalisation.
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Conclusion générale
Conclusion générale
Ce projet de fin d’études réalisé au sein de La Société Ciment Jbel Ouest (groupe
Votorantim), a eu pour objectif l’automatisation et supervision d’un échantillonneur du
broyeur cru.
Ce projet s’inscrit dans le cadre du contrôle qualité et rénovation des équipements
obsolètes
Au terme de ce projet, on a pu proposer une nouvelle solution pour remplacer l’automate
obsolète de l’échantillonneur du broyeur cru par une nouvelle automate commercialise
(siemens) et une nouvelle logique de fonctionnement adapte avec le câblage adéquat.
Cet accomplissement est le résultat d’une séquence d’étapes de travail ; commençant
par la présentation générale dont laquelle on a présenté le processus de fabrication du
ciment et la problématique. La deuxième étape met l’accent sur l’identification des
taches principaux (listes entrées/sorties, grafcet…) et validation du choix du matériel
nécessaire. La troisième étape a pour but d’développer l’application de test qui permet
de gérer l’ensemble du matériel installé et assurer l’enregistrement dans la base de
données de toutes les données de test. La dernière étape consiste à l’automatiser,
superviser et réaliser la partie pratique et la tester.
Après la mise en service de l’échantillonneur, un test de capabilité a été fait succès pour
évaluer la performance et fiabilité de l’échantillonneur afin d afin un échantillon
représentatif permettant un meilleur contrôle qualité
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Bibliographie et webographie
Bibliographie
[1] P.Jagot, Langages de Programmation pour API, Norme IEC 1131-3.Techniques de
l’ingénieur S8 030, 206
Webographie
[W1] http://www.votorantim.com/
[W2] https://www.siemens.com/global/en/home.html
[W3] https://www.cache.industry.siemens.com
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Annexes
Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
Grafcet de test
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Annexes
Grafcet de sécurité
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Annexes
GP1 : Grafcet de prélèvement GP2 : Grafcet d’échantillonnage GP3 : Grafcet transport vers labo
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Annexes
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Annexes
Commande vérin de bouchage Commande vérin de vidange Commande de chappe Commande vérin de clapet
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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Annexes
Annexe XIII : Les schémas électriques des parties de puissances du moteur vis de compactage, surpresseur et mélangeur
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Annexes
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Annexes
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Annexes
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