Chap 2 Engrenages

UGB/IPSL Cours éléments de machines M.
NDIAYE
ING2 CHAP 2 : ENGRENAGES 11/03/2023
Introduction
Un engrenage est un système mécanique composé de deux roues dentées servant :
• soit à la transmission du mouvement de rotation entre elles
• soit à la propulsion d'un fluide (on parle alors de pompe à engrenages).
Par définition, un engrenage se compose de 2 roues dentées. La plus petite est appelée pignon, la plus
grande roue. Dans le cas de la transmission de mouvement, les deux roues dentées sont en contact l’une avec
l’autre et se transmettent de la puissance par obstacle.
Les avantages et les inconvénients des transmissions par engrenages sont :

Avantages Inconvénients
● Transmission à rapport rigoureusement constant. ● Nécessité d'un entraxe précis et constant.
● Possibilités de transmissions entre plusieurs arbres. ● Niveau sonore variable suivant type d'engrenage.
● Bon rendement général, suivant classe de qualité. ● Transmission des à-coups et vibrations.
● Durée de vie importante, bonne fiabilité ● Nécessité d'une lubrification, souvent par fluide.
1. Classification des engrenages

Les engrenages sont classés en différentes catégories caractérisées par : la position relative des axes
des arbres d'entrée et de sortie, la forme extérieure des roues dentées ou le type de denture.
1.1. Types de denture
Les roues dentées ont des formes extérieures et des types de denture montrés ci-dessous.
Denture droite Denture hélicoïdale Denture spirale
1.2. Position relative des axes
Axes perpendiculaires
Axes parallèles Axes perpendiculaires
et non concourants
et concourants
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2. Géométrie générale d’un engrenage cylindrique

2.1. Profil de la denture
Afin d’assurer un roulement sans glissement des roues, le profil des dents doit être en développante de
cercle. C’est un profil normalisé par un organisme de standardisation. La développante de cercle est identique
pour toutes les dents. Cette courbe est obtenue, en développant un cercle appelé cercle de base. Seule une
faible partie de la courbe est utilisée pour la denture.
2.2. Principe de l’engrènement

Si deux cercles de base munis de courbes en développante de cercle sont espacés d’un entraxe (a), on
constate que pendant l’engrènement, les deux développantes restent en contact suivant une droite appelée
ligne d’action inclinée d’un angle α par rapport à la tangente commune à deux cercles appelés cercles
primitifs. Cet angle α est appelé angle de pression et vaut dans le cas général 20°.
Angle de pression () : il définit l’inclinaison de la droite T1T2 appelée la ligne de pression (ou la ligne
d’engrènement) : α = 20° est la valeur la plus utilisée (α = 25° est un standard aux USA).
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3. Les différents types d'engrenages

3.1. Engrenages cylindriques à denture droite
De tous les engrenages, ce sont les plus simples et les plus économiques, ils sont utilisés pour
transmettre le mouvement et la puissance entre deux arbres parallèles.
Les dents des deux roues de l'engrenage sont parallèles à l'axe de rotation des arbres. Ces engrenages
sont bruyants et génèrent des vibrations. On distingue les 3 familles ci-dessous :
3.1.1. Sens des mouvements
La crémaillère fait une Les roues dentées tournent en sens

Les roues dentées tournent
translation inverse.
dans le même en sens
3.1.2. Caractéristiques géométriques de la roue dentée

Le module (m)
Le module permet de définir la taille des dents. Deux roues dentées de même module peuvent
engrainer parfaitement quel que soit leur nombre de dent. Le module est notée « m », il est exprimé en mm,
ses valeurs sont normalisées : la hauteur d’un dent notée h =2.25 m
3
La Figure présente les différents paramètres géométriques des dents d’un engrenage droit à
denture droite. Le Tableau donne les formules nécessaires pour calculer les différents paramètres
géométriques des dents d’un engrenage droit à denture droite.
Le périmètre du cercle primitif est égal à π.d ou 𝑝 𝑍, d’ouu:

𝑝 𝑍
𝑑=
𝜋
Par définition, on appelle module de l'engrenage, noté m la relation :
𝒑
𝒎=
𝝅
Ainsi :
𝒅= 𝒎𝒁
Le module m es déterminé par un calcul de résistance des matériaux :
T T : effort tangentiel sur la dent
m  2.34
k * Rpe k : coefficient de largeur de denture
Rpe : résistance pratique à l’extension du matériau
Pour que deux roues dentées engrènent correctement, il faut qu’elles possèdent le même module. Plus
m est grand, plus les dents sont grosses. Les valeur des modules ont été normalisés.
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3.2. Engrenages cylindriques à denture hélicoïdale

La génératrice de forme des dents est une ligne hélicoïdale de même axe que l'axe de rotation.
L’engrènement entre deux roues n’est possible que si les deux roues ont le même angle d’inclinaison de
l’hélice. Les sens d’hélices sont inversés.
Ce type de denture présente l'avantage d'être plus silencieux que la denture droite. En contrepartie, il
engendre un effort axial dont l'intensité dépend de la valeur de l'angle d'inclinaison de l’hélice (β) ce qui
nécessite l’utilisation de palier de butée pouvant encaisser ce type d’efforts.
3.2.1. Dimensions caractéristiques

Les dimensions d’une roue à denture hélicoïdale sont déterminées à partir :
- du module normalisé, appelé ici module normal (ou réel) mn
- du nombre de dents Z.
- de l’angle d’inclinaison de l’hélice β
La relation entre le pas normal Pn et le pas apparent Pt permet de définir un module apparent mt. On
constate que les diamètres, primitif de tête et de pied, varient avec l’angle d’hélice β.
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3.3. Engrenages coniques

Les engrenages coniques sont utilisés pour transmettre le mouvement entre deux arbres non parallèles
dont les axes sont concourants ; les axes à 90° sont les plus courants. Deux roues coniques n’engrènent
correctement que si les modules sont égaux et si les cônes primitifs ont à la fois une génératrice commune et
leurs sommets confondus.
3.4. Engrenages à roue et vis sans fin

La transmission est réalisée à l’aide d’une vis à un ou plusieurs filets et une roue à denture hélicoïdale.
C’est un cas particulier des engrenages gauches hélicoïdaux. Pour engrener ensemble, la roue et la vis doivent
avoir leurs hélices de même sens.
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Irréversibilité du système roue et vis sans fin

Si la vis peut toujours entraîner la roue, par contre l'inverse n'est pas toujours possible. Lorsque l'angle
d'inclinaison de l'hélice βR est suffisamment petit (moins de 6 à 10°) le système devient irréversible et la roue
ne peut pas entraîner la vis, il y a alors, blocage du système.
b) Matériaux
La vis sera choisie dans le matériau le plus dur (aciers), son prix de revient étant plus élevé, son usure
devra être réduite au minimum. La roue sera choisie dans un matériau plus tendre (alliage cuivreux) afin de
supporter la majeure partie de l’usure. En général elle est en bronze.
c) Avantages et inconvénients
– Ce mécanisme permet d’obtenir un grand rapport de réduction avec seulement deux roues dentées (1/200)
– Les systèmes roue-vis sans fin sont presque toujours irréversibles d’où une sécurité d’utilisation
– L’engrènement se fait avec beaucoup de glissement entre les dentures, donc rendement faible (60%)
– La vis supporte un effort axial important
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3.5. Représentation schématique des engrenages
Engrenages cylindriques Engrenages cylindriques

à denture droite denture hélicoïdale
Pignon-crémaillère
Engrenages coniques
Roue et vis sans fin
Engrenages cylindriques
à contact intérieur
Dessin d’ensemble
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4. Transmission par trains d’engrenages simples

Il est fréquent que les moteurs électriques, thermiques etc disponibles dans le commerce, ne
fournissent pas les couples et vitesses nécessaires au bon fonctionnement des récepteurs. On peut, dans ce
cas, adapter la vitesse de rotation et le couple grâce à un réducteur de vitesses utilisant des engrenages. Ce
dernier permet de réduire ou de multiplier une fréquence de rotation.
4.1. Etude cinématique de la transmission par engrenage

• Les roues dentée 1 et 2 de diamètre R1 et R2 sont en liaison pivot par rapport au bâti 0;
• Un roulement sans glissement en I entre les cercles primitifs de1 et 2.
La condition de roulement sans glissement en I s’exprime par la relation : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

𝑉𝐼∈2/1 = ⃗0
La relation précédente se traduit par l’égalité suivante : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

𝑉𝐼∈2/0 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐼∈1/0
d’où l’on déduit que :
2𝜋𝑁
𝜔1 𝑅1 = − 𝜔2 𝑅2 avec 𝜔= Tapez une équation ici.
60
Si l’on considère que l’arbre de la roue1 est lié au moteur et que l’arbre de la roue 2 est lié au récepteur,
le rapport de de vitesses (r) a pour valeur :
𝜔2 − 𝑅1 − 𝑍1
𝑟= = ou 𝑟=
𝜔1 𝑅2 𝑍2
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4.2. Rapport de vitesses des train d’engrenages

On appelle rapport de transmission d’un train d’engrenage (r), le rapport entre la fréquence de
rotation à la sortie (Ns) du train d’engrenage et la fréquence de rotation à l’entrée (Ne)
𝑁𝑠
𝑟=
𝑁𝑒
1 : entrée 4 : sortie
le rapport de transmission est donnée par l’expression :
𝑁𝑠 𝑁4 ω4
𝑟= = =
𝑁𝑒 𝑁1 ω1
• Calculons les rapports intermédiaires
ω4 Z3
r34 = =−
ω3 Z4
ω2 Z1
r21 = =−
ω1 Z2
• Calculons le rapport de transmission global
Z3 Z1
𝑟 = r21 ∗ r34 =
Z2 Z4
Généralisation :
𝑁𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑑𝑒𝑠𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠𝑑𝑒𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠𝑑𝑒𝑠𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠𝑚𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠
𝑟= = (−1)𝑛
𝑁𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑑𝑒𝑠𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠𝑑𝑒𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠𝑑𝑒𝑠𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠𝑚𝑒𝑛é𝑒𝑠
n : nombre de contacts extérieurs
4.3.Aspect énergétique
Dans une chaine cinématique, les trains d’engrenages transmettent la puissance mécanique produite
par le moteur, au récepteur.
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4.4. Relation entre le couple d’entrée et le couple de sortie

A partir de la relation de puissance entrée et sortie, nous obtenons :
Cs ωs = ηg Ce ωe
𝑑′ 𝑜ù
ωe
C𝑠 = ηg C
ωs e
Finalement :
1
Cs = Ce ηg 𝑟
ω
avec 𝑟 = ωs
e
4.5. Relation entre la puissance d’entrée et la puissance de sortie du réducteur

• La puissance fournie par le moteur à l’arbre d’entrée de la chaine cinématique «Pe» est égale à
𝑃𝑒 = C𝑒 ω𝑒 Ce , ωe : couple et fréquence de rotation à l’arbre d’entrée
• La puissance disponible à la sortie de la chaine cinématique « Ps» est donnée par la même relation.
𝑃𝑠 = C𝑠 ω𝑠 Cs , ωs : couple et fréquence de rotation à l’arbre sortie
En admettant qu’il n’y a pas de frottement dans la chaine de transmission, le rendement global de
la chaîne cinématique est considéré égal à 1, alors :
P𝑠 = 𝑃𝑒
Le frottement au contact entre les dents entraîne une perte de puissance. Si on considère que ηg est
le rendement du train d’engrenages, alors :
𝑃𝑠 = η𝑔 P𝑒
Avec P (W) , η𝑔 (sans unité)
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5. Trains d’engrenages épicycloïdaux

Un train d’engrenages est dit « train épicycloïdal » lorsque, au cours du fonctionnement, une ou
plusieurs roues dentées tournent d’un arbre mobile en rotation par rapport au bâti fixe. Ces roues dentées
possèdent donc un mouvement relatif de rotation autour de leur axe et un mouvement d’entrainement de
rotation autour de l’axe de l’arbre.
Les réducteurs à trains épicycloïdaux permettent d’obtenir des rapports de réduction très importants
sous un encombrement réduit, tout en conservant un rendement convenable (meilleur que celui des
réducteurs à roue et vis sans fin par exemple). Ils sont abondamment utilisés dans les boîtes de vitesses
automatiques.
5.1. Principe de fonctionnement et éléments constitutifs

Un train épicycloïdal simple se compose : d’un planétaire, d’une couronne, d’un ou plusieurs
satellites et d’un porte-satellites.
— Planétaire : les roues dentées qui tournent autour d’un axe fixe par rapport au bâti. Il y a en général 2
planétaires (pignon et/ou couronne).
— Satellite : le pignon tournant autour d’un axe du porte-satellite. Il engrène sur les deux planétaires. Les
satellites ont une trajectoire épicycloïdale. Il peut il y avoir 1, 2, 3 ou 4 satellites sur la périphérie en
fonction de la puissance à transmettre.
— Porte-satellite : Le porte satellite ne comporte pas de dents, il supporte les satellites, Il tourne autour du
même axe que les deux planétaires.
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5.2. Schéma cinématique
5.3. Rapport de transmission d’un train épicycloïdal de type I

Le porte satellite 4 est l’élément de sortie, le planétaire centrale 1 est l’élément d’entrée. Le rapport
(rg) de réduction sera donc donné par :
𝜔𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝜔4/0
𝑟𝑔 = =
𝜔𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒 𝜔1/0
Afin d’obtenir tous les rapports de réduction possible pour un train épicycloïdal donné, on cherche
tout d’abord à écrire la raison basique du train épicycloïdal (rb). Pour cela on utilise une configuration
fictive du train, elle consiste à considérer que le porte satellite est fixe. Dans ce cas, on a :
𝜔3/4 𝜔3/4 𝜔2/4
= .
𝜔1/4 𝜔2/4 𝜔1/4
avec,
𝜔2/4 𝑍1 𝜔3/4 𝑍2
=− 𝑒𝑡 =+
𝜔1/4 𝑍2 𝜔2/4 𝑍3
On peut alors écrire :
𝜔3/4 𝑍1 𝑍2 𝑍1
=− =−
𝜔1/4 𝑍2 𝑍3 𝑍3
En utilisant la relation de composition des vitesses de rotation, on obtient alors :
𝜔3/4 𝜔3/0 − 𝜔4/0 𝑍1
= =−
𝜔1/4 𝜔1/0 − 𝜔4/0 𝑍3
On obtient alors la formule de Willis, que l’on peut généraliser sous la forme suivante :
𝜔3/0 − 𝜔4/0 ∏ 𝑍 𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑛𝑎𝑛𝑡𝑒𝑠
𝑟𝑏 = = −1𝑛
𝜔1/0 − 𝜔4/0 ∏ 𝑍 𝑟𝑜𝑢𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑛é𝑒𝑠
Relation de Ravignaux :
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5.4. Rapports de transmission pour différents cas de montage

Considérons les cas classiques pour lesquels un des planétaires (1) ou (3) ou le porte satellite (4)
est lié au bâti. Il existe alors 6 possibilités de montage. Pour chacune d’elles, on peut déterminer le rapport
de réduction rg en fonction de la raison basique rb.
5.5. Types de train épicycloïdaux plans

Il y’a 4 types trains épicycloïdaux plans dont celui (type I) déjà étudié précédemment.
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5.6. Condition de montage

Pour tous les engrenages, deux roues ne peuvent engrener que si elles ont un module identique,
donc, le planétaire central (1), le satellite (2) et la couronne (3) ont le même module : m1 = m2 = m3
L’axe du planétaire doit être confondu avec l’axe de la couronne. La condition géométrique de
montage est que ces deux entraxes soient égaux :
a12 = a32
• Soit a23 l’entraxe de fonctionnement entre la couronne 3 le satellite 2
a32 = 0.5 (d3 - d2) = m/2 (Z3 - Z2)
• Soit a12 l’entraxe de fonctionnement entre la planétaire 1 le satellite 2
a12 = 0.5 (d1 + d2) = m/2 (Z1 + Z2)
D’où la relation entre les nombres de dents :
Z3 = Z1 + 2Z2
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6. Efforts sur les engrenages

6.1.Cas des engrenages à dentures droites
L’effort F normal à la dent étant incliné de α (angle de pression à 20° en
général), on considère les deux projections de F suivant :
- Ft : effort tangentiel, souvent déterminé à partir du couple.
- Fr : effort radial
L’effort Ft est celui utilisé pour le calcul du module m. Pour tous les calculs
sur les engrenages, on prendra toujours l'effort transmis par une seule dent
Types Nature des efforts Efforts Torseur transmissible
6.2. Cas des engrenages à dentures hélicoïdales

L’effort F normal à la dent étant incliné de αn (angle de pression à 20° en
général), on considère les trois projections de F suivant : Ftn (effort tangentiel) , Fr
(effort radial), Fa (effort axial)
Types Nature des efforts Efforts Torseur

transmissible
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6.3. Cas des engrenages conique à denture droite

La forme conique des roues engendre des efforts axiaux FA. Le point d'application F sur la dent est
supposé être situé au milieu de la denture (b/2 de chaque côté) et sur le cône primitif.
Types Nature des efforts Efforts Torseur transmissible
6.4.Cas des du système roue-vis sans fin

Types Nature des efforts Efforts Torseur
transmissible
17
18
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Les avantages et les inconvénients des transmissions par engrenages sont :

1. Classification des engrenages

Denture droite Denture hélicoïdale Denture spirale

1.2. Position relative des axes

2. Géométrie générale d’un engrenage cylindrique

2.2. Principe de l’engrènement

3. Les différents types d'engrenages

3.1.1. Sens des mouvements

La crémaillère fait une Les roues dentées tournent en sens

3.1.2. Caractéristiques géométriques de la roue dentée

Le périmètre du cercle primitif est égal à π.d ou 𝑝 𝑍, d’ouu:

3.2. Engrenages cylindriques à denture hélicoïdale

3.2.1. Dimensions caractéristiques

3.3. Engrenages coniques

3.4. Engrenages à roue et vis sans fin

Irréversibilité du système roue et vis sans fin

3.5. Représentation schématique des engrenages

Engrenages cylindriques Engrenages cylindriques

Roue et vis sans fin

4. Transmission par trains d’engrenages simples

4.1. Etude cinématique de la transmission par engrenage

La condition de roulement sans glissement en I s’exprime par la relation : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

La relation précédente se traduit par l’égalité suivante : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗

4.2. Rapport de vitesses des train d’engrenages

4.4. Relation entre le couple d’entrée et le couple de sortie

4.5. Relation entre la puissance d’entrée et la puissance de sortie du réducteur

5. Trains d’engrenages épicycloïdaux

5.1. Principe de fonctionnement et éléments constitutifs

5.2. Schéma cinématique

5.3. Rapport de transmission d’un train épicycloïdal de type I

5.4. Rapports de transmission pour différents cas de montage

5.5. Types de train épicycloïdaux plans

5.6. Condition de montage

6. Efforts sur les engrenages

6.2. Cas des engrenages à dentures hélicoïdales

Types Nature des efforts Efforts Torseur

6.3. Cas des engrenages conique à denture droite

Types Nature des efforts Efforts Torseur transmissible

6.4.Cas des du système roue-vis sans fin

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