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Mon travail s’est fixé un objectif assez modeste: dévélopper une réflexion, d’après la
qui hantent le roman depuis, au moins, la moitié du XX siècle, à savoir, celle qui met
en question la validité de l’ancienne division des genres puis celle du “je” et, dans
l’aune des travaux de Dominique Viart, Bruno Mercier ou encore otres spécialistes
de son temps et de son héritage, qui, celui-ci me semble se trouver dans certains
particuliaires qui sont à l’origine du récit ainsi que sur les difficultés éprouvées par le
d’apporter le témoin du journaliste qui, auprès de Carrère sur les rangs de la salle
restituer toute l’émotion qu’elle, en booyant avait soulevée parmi le public. On veut
montrer, après, les diverses strategies qu’emploie l’auteur vis-à-vis de cette histoire.
La façon dont il se dérobe, en broyant les pistes, d’emettre une opinion arrêtée, et
ce que cela signifie, ou, encore mieux, comment peut-on l'interpréter. Il s’agira, en fin
dont le chapitre liminaire m´a paru être une assez bonne introduction au sujet de ce
travail. Afin d´étayer mon argumentaire à propos du Nouveau roman j´ai eu aussi
recours à l´édition chez Bordas Le Nouveau Roman aux soins de Françoise Baqué.
Par ailleurs je me suis servi dans le site electronique Openedition books de certains
articles qui m´ont aidé à soutenir mon point de vue, dont Le sens du récit (Pour une