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Introduction :
I – Relation International aux 20ème siècles :
1 – 1914 – 1945 : Le déclin des Puissances Européennes :
a – Les revendications Nationalistes
b – Le déclin de l’Europe
2 – Un monde multipolaire :
a – Multiplicité des acteurs
c – Kenneth Waltz
d – Robert Gilbin
2 – Les libéraux :
a – Contexte et influence
e – Amorce de solution
2 – L’acquisition de la nationalité
II – Les démarches :
A – Le territoire terrestre :
a – Consistance du territoire
B – Territoire maritime :
a – Règles juridiques et revendications des Etats
e – Le plateau continental
f – La Haute Mer
C – L’espace aérien :
2 – Etat fragile
b – Reconnaissance collective
b – La reconnaissance pasite
2 – Les aménagements
a – Obligation Elgar Ombles
2 – La reconnaissance de benigeront
a – Caractère général
3ème section :
I – Le Saint Siège :
1 – Qu’est-ce que le Saint Siège ?
La guerre de 1914 oppose les empires centraux (Allemagne, Autriche-Hongrie, Turquie) aux
Britanniques, Français, et Russie.
On y constate l’entrée des Etats-Unis et le retrait de la Russie Soviétique en 1917.
Les revendications sont :
France -> l’Alsace-Lorraine.
Italie -> Tyrol, Trieste.
On y trouve les 14 points des buts de la guerre par le Président Wilson exacerber par les
revendications. (Recherches)
b – Le déclin de l’Europe :
On y trouve la conférence de Versailles de 1919 pour une négociation de paix, ils y expriment
leurs prétentions.
Le but est d’affaiblir l’Allemagne et détruire l’Autriche-Hongrie.
Y a rétablissement de la Pologne et la création de 2 Etats multinationaux, la «
Tchécoslovaquie » et la « Yougoslavie ».
La Russie se trouve à faire face à une guerre civile dont les Bolcheviques le remportent
définitivement en 1961.
L’Europe est ruiné au lendemain de la guerre.
C’est un drame démographique, économique, et sociale.
L’équilibre de l’Europe est détruit en 1919, c’est la disparition de la puissance continentale.
Ce sont les Etats qui ont choisi la position médiane vis-à-vis des 2 Superpuissances.
Les non-alignés forment un groupe d’Etat nommé : « Le groupe des 77 ».
Charles de Gaule adopte une position non loin des non-alignés en quittant l’OTAN en 1966.
2 – Un monde multipolaire :
III – Quelques théories sur les relations internationales depuis la 1ère Guerre Mondiale :
Création de la première « Chaire ».
Création des départements de « Relation Internationale » dans les établissements
universitaires.
1 – Les réalistes :
a – Traits Généraux :
Leurs pensées se reposent sur des idées communes, les relations internationales sont pour
eux dans un état d’anarchie.
Les acteurs principaux des relations internationales sont les sources des groupes de conflits
aux détriments des petits pays.
La politique extérieur d’un Etat vise à satisfaire l’intérêt national.
Le recours à la guerre est un moyen légitime si l’intérêt national ne peut être atteint.
L’équilibre des puissances est la seule stabilité internationale possible, cependant, elle ne
signifie pas forcément la paix.
c – Kenneth Waltz :
Il est né en 1924.
Pour lui, l’état de guerre est non à la nature humaine mais dû à la structure anarchique du
système international.
« La guerre existe parce que rien ne l’en empêche. »
d – Robert Gilbin :
2 – Les libéraux :
a – Contexte et influence :
Elles apparaissent après la 1ère Guerre Mondiale, et prennent une grande réelle influence.
Elles sont indissociables des 14 points du président Wilson.
On y retrouve Alfred Zimmerm, auteur de « The league of Nations and the rule of law. »,
1936.
Son approche est totalement pacifiste.
Il défend l’idée de « Rule of Law » (Etat de Droit).
Les doctrines libérales se retrouve à être difficilement défendable après l’échec de la SDN et
de la 2nd Guerre Mondiale.
Morgenthau est contre ces doctrines libérales.
Ils pensent que les guerres ne sont pas dans la nature de l’Homme.
La coopération entre les Etats est nécessaire, car ils ont des intérêts et valeurs communs.
L’anarchie dans la société est leurs principaux buts a éradiqués.
Les transnationaux sont des réalistes qui ne concernent pas seulement les Etats mais aussi
des particuliers.
Le développement des réseaux de communications renforce l’idée.
Les internationalistes insistent sur le caractère réducteur de l’approche exclusivement
statocentrer.
On y trouve plusieurs auteurs, telles que : Léonard Woolf, James Rosenau (son travail est
considéré comme un « modèle de la turbulence »), etc.
De nos jours, un individu peut être susceptible de s’engager directement sur la scène
internationale.
Cela cause l’apparition d’une nouvelle forme d’autorité.
Les individus sont de plus en plus caractériser par la multi-appartenance.
Ils s’identifient de moins en moins aux politiques menés par leurs gouvernements
aux profits de leurs intérêts personnels et de la solidarité extraterritoriale.
L’Etat n’est plus le seul acteur international.
Cela est dû à l’affirmation de l’Occident de son universalité face aux autres civilisations, cela
créa les conflits.
Il y a résurgence de conflit susceptible de dégénérer dans les zones frontalières du fait du
soutien des Etats Unis. (le cas des musulmans et non-musulmans).
L’intérêts des Etats dominants est d’agir, non pour accentuer la violence, mais pour tenter
d’arrêter les guerres.
e – Amorce de solution :
Samuel amorce une solution, c’est de faire comprendre aux Occidentaux que leurs
civilisations ne sont pas universels.
Il n’aspire pas à la guerre, il tente de l’éviter et pense que cela est bel et bien possible on
maintenant l’équilibre entre les équilibres multipolaires et bipolaires.
L’Etat :
La population est une communauté humaine qui est lié aux territoires de l’Etat, et qui est
soumis aux Droits de cette Etat et à son autorité.
Sa composition se détermine en fonction de 2 critères :
Le domicile,
Et sa nationalité.
Ces 2 critères se complètent et se conjuguent.
Les habitants du territoire font tous parties de la population de l’Etat, car il y est domicilié.
Cela comporte des droits et obligations.
« La nationalité est un lien juridique ayant à sa base un fait social de rattachement, une
solidarité effective d’existence, d’intérêts, de sentiment, joigne à une réciprocité de droit et
de devoir. Elle est, on peut dire, l’expression juridique du fait que l’individu auquel elle est
conférée, soit directement par la loi, soit par un acte d’autorité, et, en fait, plus étroitement
rattacher à la population de l’Etat qui la lui confie qu’à celle de toute autre Etat. » (Arrêt
Nottaebohm, 1955, Cour Internationale de Justice).
I – Les nationaux :
1 – La nationalité : Une institution du Droit Interne :
L’Etat dispose d’une compétence discrétionnaire et exclusive pour fixer la législation relative.
C’est un domaine réservé à l’Etat, c’est lui qui fixe les conditions d’acquisition de se
nationalité.
2 – L’acquisition de la nationalité :
II – Les démarches :
L’Etat est libre de fixer lui-même les règles à l’accueil et aux séjours des étrangers dans son
territoire, il fixe aussi le statut des étrangers.
Cela est évidemment fait dans le cadre de son ordre juridique, qui prévoit généralement une
contrainte de taille qui s’impose aux pouvoirs publiques.
Les étrangers peuvent jouir de certains droits dont les pays dans ils sont étrangers,
cependant, cela varie d’un Etat à un autre.
Cependant, ces droits ne sont accordés qu’aux étrangers avec une situation régulière
sur le territoire.
Pour qu’il y ait un Etat, il faut une population vivante. Un Etat nomade ne peut exister.
Le lien entre les 2 existent lorsqu’on se place du point de vue de l’individu, il est un élément
d’attribution de la nationalité (Jus Solis).
Un Etat reste un Etat même s’il subit des fluctuations géographiques importantes et même si
la population est déplacée.
Il faut un pouvoir stable pour qu’il y ait un Etat, un pouvoir qui exerce une autorité sur un
territoire donné.
La maîtrise du territoire est nécessaire pour qu’un gouvernement puisse exercer un
pouvoir souverain.
Il faut qu’il est la possession du territoire, où il peut exercer une autorité effective.
A – Le territoire terrestre :
a – Consistance du territoire :
Le territoire est délimité par des frontières, ce sont des lignes de séparation présentant un
principe un caractère stable.
Elles sont tracées en suivant des limites naturelles (ex : fleuves, etc.) ou artificiels (ex :
barrage, etc.).
Elles résultent d’un principe d’accord conclue entre les Etats concernées.
Le tracé par traité présente un caractère de stabilité car il n’est pas provisoire et demeure
logiquement même si le traité n’est plus de rigueur.
Les accords internationaux peuvent éviter les risques de conflits.
Le tracé des frontières peut prendre appuie sur les limites naturelles mais le choix est
arbitraire et elles sont fixés de manières intangibles par la nature.
Cela est due aux raisons historiques, stratégiques, politiques.
Les frontières évoluent régulièrement, la modification des tracés peut se faire régulièrement.
Il n’y a pas de taille minimal pour qu’un Etat puisse exister.
B – Territoire maritime :
Il fait partie du territoire de l’Etat, il est comme un accessoire qui accompagne le territoire
terrestre.
Il est attribué à l’Etat lorsqu’il possède un rivage maritime.
c – La zone contigüe :
La zone contigüe est la zone intermédiaire entre les zones territoriales et la Haute Mer, sur
lequel plus aucune souveraineté étatique ne s’exerce.
Son existence a été consacré par la Conférence des Nations de 1930.
Il existe pour :
Lutter contre la contrebande d’alcool,
Etablir des contrôles douaniers pour éviter les contrefaçons.
L’article 33, 1er paragraphe de la convention de Montegobay stipule que l’Etat à la
compétence pour procéder aux contrôles nécessaires en vue de : « a – Prévenir les
infractions à ses douanes et règlements douaniers, fiscaux, sanitaire, ou d’immigration sur
son territoire ; b – Réprimer les infractions à ces mêmes lois et règlements commises sur
son territoire ou dans sa mer territoriale. »
C’est une zone de 200 Miles à partir de la zone de base, et sur laquelle, l’Etat, sans exercer au
sens stricte des prérogatives souveraines, que revendiquaient l’exploitation des ressources
sous-marines.
Il s’agit surtout de zone de pêche.
Tous les Etats ont la liberté de navigation, de survol, et la liberté de poser des câbles et des
pipelines sous-marins dans cette zone.
e – Le plateau continental :
f – La Haute Mer :
C – L’espace aérien :
On y désigne l’espace subjacent aux territoires sur laquelle l’Etat de celle-ci s’appelle
souveraineté, c’est-à-dire que l’espace terrestre de l’Etat est le baie territoriale).
Il est soumis à la souveraineté absolue de l’Etat.
Le survol de celui-ci fait l’objet d’un contrôle rigoureux des Etats, ils sont libres de briser, de
l’interdire ou de le règlementer (règles conforment aux conventions internationales).
Les espaces aériens qui sont au-delà de la mer territoriale échappe à la souveraineté des
Etats.
Cependant, l’espace extra-atmosphérique n’est pas susceptible d’appropriation. Cela est dit
dans la convention du 19 Décembre 1967.
1 – Le principe :
Le territoire et la population ne doit être soumis à aucune autres autorités politiques que
celle du gouvernement, c’est l’autorité exclusive.
Il ne doit pas exister d’incertitude, ni d’autorité concurrente.
Ce sont des Etats composé d’une autorité qui exerce un pouvoir sur l’ensemble du territoire,
mais aussi de structure interne à celui-ci qui exerce un pouvoir seulement sur une partie du
territoire (sur les Etats fédérés).
Les Etats fédérés n’exercent d’autorité que dans une partie du territoire, ils doivent aussi
respecter les décisions prises au niveau fédéral.
Ils exercent un pouvoir législatif et constitutionnelle.
Ils ont leurs propres ordres juridiques, qui est bien distincte de l’ordre juridique
général, mais soumis à ce dernier.
Ils se créent lorsque les Etats qui ont été souverains, renoncent à celle-ci aux profits
de la collectivité.
Ils ne sont pas reconnus en tant qu’Etat aux regards du Droit International.
Elle est due aux Etats qui ont décider exercer en commun certaine de leurs compétences, en
transférons celle-ci à une autorité supranationale/autorité indépendante de l’Etat.
2 – Etat fragile :
Ce sont les Etats qui ne sont pas capables d’assurer les fonctions de l’Etat au sein de leurs
territoires.
Plusieurs appellations se sont émerger sur le cas :
Robert Jackson -> Quasi état. (Quasi-States), Etat incapable d’assurer les fonctions
rémaliennes (Sécurité Intérieur de Justice) et toroll dans les contrôles des activités
économiques et des ressources.
Berton Batie -> Etat effondrer. (Colabst States), Etat incapable de dépasser la
corruption, le despotisme, etc.
Etat failli pour désigner les Etats qui ne sont plus capables d’assurer la sécurité et
qui n’ont plus aucun contrôle sur leur territoire et frontière.
Depuis 2005, dans le cadre de l’OCDE, la notion d’Etat fragile est utilisé pour désigner les
Etats dans lesquels les institutions publiques sont trop faibles pour assurer leurs fonctions de
régulateur sociale.
1 – Un acte unilatéral :
La reconnaissance d’un Etat est un acte unilatéral, cela signifie qu’elle est un acte imputable
à un sujet de Droit International.
L’Etat qui reconnait crée des Droits aux profits de l’Etat reconnu publiquement.
La reconnaissance est une forme d’engagement de l’Etat qui reconnait vis-à-vis de l’Etat
reconnu.
Celui qui reconnait admet la capacité de l’Etat qu’il reconnait à avoir des relations
diplomatiques, à exercer une protection diplomatique sur ces ressortissants, à signer des
traités, à adhérer à une organisation internationale, etc.
b – Reconnaissance collective :
a – La reconnaissance expresse :
Elle a lieu par un acte qui mentionne expressément qui n’as pour objet que la reconnaissance
d’un Etat.
En général, c’est « l’envoie d’une lettre » ou d’une « déclaration gouvernementale. »
b – La reconnaissance pasite :
C’est lorsque la reconnaissance découle indirectement des autres actes dont elle est
présupposer nécessaire.
En général, elle se produit par l’établissement de relation diplomatique.
Cela suppose une reconnaissance mutuelle, donc un acte relatif à l’établissement de
relation diplomatique implique une reconnaissance pasite.
De même pour la signature des Traités de paix ou de Coopération qui implique la
reconnaissance, puisque la conclusion d’un traité ne peut avoir lieu que si les Etats se
reconnaissaient.
3 – Un acte totalement discrétionnaire :
Il n’est absolument nécessaire qu’un Etat soit reconnue pour qu’il puisse participer aux
relations entre Etats.
Cette phase des relations sans reconnaissances débouche parfois sur l’établissement de
relation diplomatique classique.
L’Etat qui reconnait un autre Etat accepte de tirer toutes les conséquences de sa
souveraineté et reconnaitre la nationalité de ces ressortissants.
Il admet la possibilité d’établir des relations diplomatiques et de signer des traités.
Il s’interdit toutes ingérences aux affaires internes de l’Etat qu’il reconnait.
L’admission dans une organisation internationale ne signifie pas la reconnaissance par les
autres Etats membres de l’organisation.
L’admission est une procédure prévue par le traité constitutif de l’organisation.
I – La souveraineté de l’Etat :
1 – Notion de souveraineté :
a – Définition :
La souveraineté est comprise dans les relations internationale comme l’indépendance des
Etats par rapport à toutes autres sujets des relations internationales.
Max Huber : « La souveraineté dans les relations entre états signifie indépendance.
L’indépendance aux regards d’une portion du globe, c’est le droit d’exercer sur cette partie
du globe, à l’exclusion de toute autre état, les fonctions de l’état. Le développement de
l’organisation nationale des états durant les siècles passer, et, encore en l’air, le
développement du droit international, établissent le principe de la compétence exclusive
de l’état sur son propre territoire comme critère. » (Définitions classique).
Les Etats invoquent leurs souverainetés pour refuser toutes ingérences extérieurs.
Elles ne s’immiscent pas dans les affaires étrangères.
I – Le Saint Siège :
C’est le siège où le Pape est l’évêque, à savoir le siège de Rome.
On l’appelle aussi Siège Apostolique.
a – Discussions sur la personnalité internationale du Saint Siège :
La personnalité juridique est reconnue au Saint Siège dans l’ordre juridique.
Le Saint Siège n’est pas un Etat.
Il est un sujet de Droit International.
b – Droit de légation et Jus Contrahaendi :
Il peut exercer tous les prérogatives d’un Etat.
Il a des relations diplomatiques avec presque tous les Etats.
Il peut signer des conventions internationales et adhérer à des organisations internationales.
II – L’Etat de la cité du Vatican :
a – La reconnaissance de l’Etat de la cité du Vatican :
Charles Rousseau refusait de lui reconnaitre la personnalité internationale.
La pratique internationale ne fait pas de doute sur la qualité d’Etat de la cité du Vatican, il a
son propre ordre juridique.
En général, c’est le Saint Siège qui signe les Traités internationales pour le compte de l’Etat de
la cité du Vatican.
Sa seule raison d’être est d’assurer l’indépendance du Saint Siège.