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• Les membres admis:
Leurs admissions résultent d’une procédure plus ou moins complexe et rigoureuse.
Peut se voir être de la majorité.
• Retrait:
Le retrait d’un État à l’Organisation est toujours possible, même si cela n’est pas mentionner
dans l’Acte Constitutif.
Elle est rare.
Il est possible qu’il soit utilisé pour éviter une exclusion.
• Retrait partiel:
Il consiste à se retirer seulement de certains organes d’une organisation internationale, tout en
restant membre et en participant aux autres organes.
• L’exclusion:
Il est normalement prévue par l’acte constitutif.
L’exclusion est très rare, les menaces suffisent souvent pour l’appliquer.
L’acte constitutif de l’organisation international prévoit normalement une procédure d’exclusion
qui permet l’exclusion d’un État membre.
Il est très rare qu’un texte envisage l’exclusion automatique des membres, néanmoins cela
existe dans une organisation au moins.
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4 - La suspension:
• Caractère temporaire :
La suspension est, par nature, temporaire. Sans cesser d’être membre de l’organisation, un état
décide de ne plus participer temporairement aux travaux de celui-ci.
• Motifs:
La suspension est souvent envisagée par les textes comme sanctions du non respect des
organisations financières de l’état.
Un autre motif de suspension est la violation grave des obligations résultant de la qualité de
membre.
• Procédure:
Il existe des systèmes de suspensions automatiques: c’est le cas parfois de la suspension pour
des motifs financiers. Il suffit de constater que l’état n’a pas respecté ses obligations et d’en tirer
les conséquences.
Généralement, il faut une décision explicite pour prononcer la suspension.
• Étendue de la suspension :
Il existe 2 possibilités de suspensions:
Suspension Totale,
Suspension Partielle.
Dans la suspension partielle, l’état concerné perd son droit de vote à l’Assemblée Général mais
non au Conseil de Sécurité, il siège encore même à l’Assemblée Général. Il perd seulement son
droit de représentation au Comité des ministres et à l’Assemblée Parlementaire, mais pas ses
autres droits.
b - Observateur:
Elle permet aussi une participation de non membre aux travaux d’une organisation.
c - Autres solutions:
1’ - La représentation des États:
a - Représentation gouvernementale:
Ici, il s’agit de délégations diplomatiques.
Le ministre des Affaires étrangères ou le Chef de l’état peut intervenir directement au nom de
son pays.
L’état peut ne pas être membre de l’Organisation.
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2’ - La participation de structure non étatique:
1 - Participation de sujet de droit internationale non étatique:
a - Participation comme membre:
Nous pouvons parler ici d’institutions non étatiques, reconnues comme personne juridique de
Droit International. Ils peuvent être membres d’une Organisation Internationale.
Pour exemple, le Saint Siège, qui est membre de l’Organisation pour la Sécurité en Europe.
Une Organisation Internationale peut faire partie d’une autre Organisation Internationale.
B - Personnalité interne:
Une Organisation Internationale ne possède aucun territoire ni population propre à lui.
Dans l’exercice de ses activités, il doit donc agir dans un territoire donné d’un état (création
d’immeuble, contraction avec les fournisseurs, etc.)
Une Organisation Internationale doit posséder la personnalité interne dans les états qui la
composent.
Un état peut reconnaître la personnalité interne d’une Organisation Internationale dont il n’est
pas membre.
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Section II: Typologie des organisations internationales:
Ici, il y a plusieurs distinctions :
selon leurs compositions,
leurs finalités,
la nature de leurs pouvoirs,
Et l’étendu de leurs domaines de compétences.
a - Organisation de coopération:
Dans ce type d’organisation, les décisions sont prises avec le consentement des états membres.
Les Organisations Internationales Financières font partie de cette catégorie.
Il est un lien de rencontre entre les états qui sont sur une position commune.
b - Organisation d’intégration:
Elles sont caractérisées par le dynamisme et la tendance supranationale.
Elles sont dotées de pouvoir, et qui subsistent dans l’exercice de certaines compétences.
Cela conduit à l’agissement direct dans les situations individuelles, mais aussi à avoir un lien
immédiat avec un sujet interne de l’état.
On parle ici d’organisation de subordination, en soulignant qu’elle relève du processus
fédéraliste.
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III - Classification selon la nature des pouvoirs de l’organisation:
a - Principe juridictionnel ou arbitrale:
C’est une organisation établit par un traité uniquement afin d’exercer tel ou telle compétence.
Il ne faut pas confondre cette situation à la juridiction internationale crée au sein de
l’Organisation Internationale Interne à celui-ci.
c - Pouvoir d’exécution:
Les organisations sont généralement établient en vue de mettre en œuvre les dispositions d'un
traité, et généralement, elles lui sont attribués un pouvoir de décision technique.
L'un des aspects de ce pouvoir d’exécution est la compétence de contrôle de l'application de
l'acte constitutif ou de convention sur les offices de l'organisation.
En général, tout est mise en œuvre pour qu’il soit le plus efficace possible.
d - Assistance technique:
Elles ont pour missions l’assistance technique aux états, surtout ceux en qui sont le moins
avancés sur le point de vue technologique.
L’assistance peut être aussi de nature financières.
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Chapitre II: Structures et compétences des Organisations Internationales:
Section I: Structures Institutionnelles:
I - Les organes de l’Organisation Internationale:
Logiquement, les organes de l’Organisation Internationale sont propres à eux-mêmes.
Cependant, il arrive que plusieurs organisations se partagent des organes.
Il peut arriver que des Organisations formellement différentes, appartenant à des Organisations
différentes, soit composé de la même façon.
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• Les organes administratifs:
Elles ont pour rôle de préparer et d'exécuter les décisions des organes politiques.
Ils agissent sous leurs autorités et n'ont pas en principe l'initiation en dehors d'un mandat précis.
Les secrétariats d'organisation entre dans cette catégorie.
• Le consensus:
Consiste à discuter sur le fait concerné jusqu'à ce que, soit élaboré une formule de compromis
sur laquelle plus personne n'a d’objection à faire.
Il appairait également comme modalité de prise de décision dont de nombreuses organisations
dont le texte ne le prévoit pas explicitement.
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b - Définition de fonctionnaire international:
Selon une définition classique : « Est fonctionnaire international tout individu chargé par les
représentants de plusieurs ou par un organisme agissant à leurs noms à la suite d'un accord
interétatique et sois le contrôle de l'un ou de l’autre, d’exercer en étant soumis les règles
juridique spéciales, d’une façon continue et exclusive des fonctions dans l'intérêt de l'ensemble
des États en question. » Suzanne.
Par cette définition, fait apparaître les principaux critères des fonctionnaires international:
Il est employé par une Organisation Internationale,
Il est employé de façon continue et permanente,
Il agit sous le contrôle de celle-ci -il agit dans l'intérêt de l'organisation et des États
membres,
Il est soumis à un régime juridique international.
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b - Un régime particulier des règlements de litiges :
Les fonctionnaires internationaux ne peuvent pas être saisis par les tribunaux de question
relative à l'application de leur statut (ils sont soumis à un régime international).
Quand il s’agit de litige impliquant l’organisation et ses agents, elles sont tranché selon des
procédures spécifiques souvent au sein de l’Organisation elle-même.
Il existe en général, un recours hiérarchique devant les supérieurs administratifs, il est
souvent complété par un recours juridictionnel ouvert aux fonctionnaires internationales.
B - Extension de compétence:
a - Interprétation extensive de l'acte constitutif :
L’interprétation extensive de celle-ci crée des nouveaux organes dans l’exercice de compétence
ne se voit pas être attribué explicitement par l’Acte Constitutif. Le domaine n’étant pas aussi
dans les attributions de compétence de l’Organisation Internationale.
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Section III: Le régionalisme en Afrique:
Elle commence dans les années 90 avec la vague de démocratisation s’emparant du continent.
L'intégration régionale se poursuivit en 2 objectifs:
Le dépassement de la barrière artificielle hérité par les colonialismes entre les peuples
africains.
La fin de la dépendance néo-coloniale des jeunes États Africains. Dans ce sens , la
coopération régionale était engagé plus ou moins théoriquement, a importé la substitution
et le panafricanisme.
Elle permet de bénéficier d’une avantage économique grâce à la création de marché
homogène, mais aussi à la libéralisation commerciale.
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Section VI: Les organes de l’Union Africaine:
Les organes de l’Union Africaine sont les suivantes (elles sont tirées du terme de l’article 5 de
l’Acte Constitutif):
Le Parlement Africain,
La Cour de Justice,
La commission,
Le comité de représentation permanente,
Le comité des institutions spécialisé,
Les institutions financières.
D’autres organes peuvent être crée à «l’initiative de la conférence de l’Union Africaine.»
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Il est responsable devant la conférence et prépare les éléments qui doivent être approuver ou
discuter durant la conférence.
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Le président de la commission est responsable devant le Conseil exécutif, dans l'exercice de ses
fonctions à savoir:
De directeur général,
Représentant légal de l'union,
Trésorier général de l'union.
« Le président de la commission assurera une grande partie de la direction politique
pour la prévention des conflits et la médiation. Le vice-président est responsable
devant l'administration et les finances de la commission et remplace le président si
nécessaire. » (Article 9 et 10)
Conformément à l'article 12 de statut ,les portefeuilles sont les suivants:
La commission de paix et sécurité (prévention, gestion, et règlements des conflits et la
lutte contre les terrorismes),
La commission des affaires politique (droit de l'homme , démocratie, bonne gouvernance,
institution électoral , organisation de la société civile , affaire humanitaire, réfugier
revenant dans leur pays et population déplacée),
La commission d'infrastructures et énergie (énergie, transport, communication,
infrastructures et tourisme),
La commission des affaires sociales (santé, enfance, contrôle des drogues, population,
migration, employé et travail, sports et culturels),
La commission des ressources humaines, science et technologie (éducation,
communication et informatique, jeunesse, ressources humaines, sciences technologie),
La commission du commerce et de l'industrie (commerce ,industrie, douane et affaire de
l'immigration),
La commission économie rurale et agriculture (économie rurale ,agriculture, sécurité
alimentaire, détail ,environnement, eau et ressource naturelle et désertification),
La commission des affaires économiques (intégration économique, affaire monétaire,
développement affaire économique, investissement et obligations des ressources).
Une unité spéciale a été formé au bureau du président, en vue de coordonner toutes les
activités et tous les programmes de commission qui traitent les questions.
La commission est l’organe élu de l'union, elle joue un rôle essentiel, elle contrôle la gestion
quotidienne de l'Union Africaine. La commission est la grande innovation de l'architecture
institutionnelle de l'union. Elle est appelée à fonctionner comme organe collectif, chaque
commissaires ayant ce « portefeuille » à la façon d'un ministre, mais toutes les questions sont
débattues collégialement sous l'autorité du président. Entre autre attribution, la commission
représente l'union et défend ses intérêts tout en assurant le Secrétariat de l'union, avec tout
cela comporte une tâche importante, elle assume une fonction de représentation sur le plan
international. C'est par elle, entre autre que les négociations avec les partenaires extérieurs de
l'Afrique se feront. La commission élabore les projets de position commune de l'union, de plus,
les stratégies et les études à soumettre à l'examen du Conseil exécutif. Elle assure aussi
l'élaboration, la promotion, la coordination, et l'harmonisation des programmes et politique de
l'union. Elle veille à l'intégration des femmes dans tous les programmes et activité de l'union,
insérant la continuité de l'union et en relation constante avec le comité de représentation
permanente, mais elle est aussi en charge du progrès, met en œuvre les décisions de la
conférence et du conseil exécutif de l'union.
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Sa compétence s'installe autour d'un droit aux attributions communautaires et internationale
permettant notamment de développer un contrôle de l'égalité des actes de l'organisation mais
aussi de juger des questions de droit international.
La Cour a compétence sur tout les litiges et requête qui lui sont soumis conformément à
l'acte et au protocole définissant ses statuts compositions et pouvoir. La conférence de chef
d'État et de gouvernement peut élargir les compétences de la Cour.
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qu’«Il coopère et travaille en étroite collaboration avec le conseil de sécurité des Nations
Unis, qui assure la responsabilité principale du maintient de la paix et la sécurité. "
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Elle est avant tout un regroupement économique, donc une institution régionale à
caractère économique dont l'objet est de « créer une zone de libre-échange » entre les États
membres d'ici 2016.
En même titre que les autres blocs-régions, elle s' engagent à tirer vers le haut la productivité
d'économie, très peu complémentaire de ses pays: le pays véritablement "plus avancé" (Afrique
du Sud, l'île Maurice) s'intègre avec les moins avancés.
La SADC souffre de problème structurel fondamental qui réside dans la domination politique et
économique de la nouvelle Afrique du Sud. Si l'ancienne SADCC avait pour vocation de faire
barrage à la déstabilisation africaine, la SADC a besoin d'une plus grande homogénéité
économique pour parler au risque d'une hémogénie Sud-africain.
Paragraphe I: Le sommet:
Composé par le Chef d'État et/ou Chef de gouvernement, le sommet est l’instance supérieur de
la SADC qui définit la politique de l'organisation et responsable de la direction de la politique de
l'organisation et du contrôle de fonctions de la communauté. Normalement, le sommet se réunit
une fois par an dans un des États membres. Lors de cette rencontre, un nouveau président et
son adjoint sont élus.
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Paragraphe VI: Le secrétariat:
C'est l'institution principale exécutive de la SADC, responsable de la planification stratégique, de
la programmation et de la gestion de programme de SADC, et de la mise en œuvre du plan
stratégique régionale, le responsable supérieur est un secrétaire exécutif.
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Section VI: Un bilan politique encore imparfait:
Au-delà de dimension économique, l'autre aspect essentiel de la SADC est la gestion politique
des intérêts de l'État régional (éducation, santé, corne à feu, corruption...).
La SADC a progressivement instauré un ensemble sur les enjeux collectifs spécifiques.
A ce titre, il y a plus que l'intégration, il faudrait plutôt ici parler de simple coordination
politique. Ce mécanisme a allégé de coordination et de coopération limite des facto la portée
réelle du pouvoir de SADC sur certaines questions contemporaines relevant de ses sphères
(M/car, Zimbabwe, Congo, Lesotho...).
• Conclusion:
La SADC n'est animée que par une volonté limitée de maîtriser le passage d'une communauté
basé d'une coopération collective et fonctionnelle à une communauté régionale reposant sur le
commerce, à sa décharge et faut reconnaître qu'elle se réunit encore pour cela que des
conditions économique insuffisante (Faiblesse du volume commercial domination économique de
l'Afrique du Sud).
La réussite d'ici au milieu du XIXème siècles de cette transcription visée s'étant essentiellement
allant dans le champs de l'économie marché, de la réglementation de circulation concernant le
déséquilibres commerciaux entre le Zambie , le Zimbabwe et l'Afrique du Sud. Au plan de
l'organisation, la SADC doit viser plus fortement l'action et se débarrasser du poids des
susceptibilité national, si elle veut que sa transformation en zone de libres échanges soit un
succès.
Les problèmes qui font obstacles à la création de la zone de libre échanges doivent être réglés. Il
faut citer ici les différents aspects de la domination sud Africain (déséquilibres commerciaux,
leadership politique), la juste répartition des coûts et les bénéficiant de l'intégration
commerciales (migration de main d'œuvre, mécanisme compensatoire), ainsi que
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l'harmonisation des lois ,directive et réglementation (transport , régime, frontalière, code
d'investissement).
La SADC doit tenir compte, dans ses structures d'organisations, de l'évolution de
l'environnement globale (participation de secteur privé, abondant de l'économie planifié) et des
exigence placé dans les prestasses de la communauté (efficacité des processus de décision,
consolidation de la coordination des secteurs, élargissement du rôle du secrétariat générale).
Une réforme s'avère nécessaire, mais sera telle sans doute, politiquement, plus longue à
imposer qu'il se faudrait le souhaiter.
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Il poursuit les objectifs suivants:
La réalisation d'une croissance et d'un développement durable.
La promotion d'un développement conjoint dans tous les domaines.
La création d'un environnement propre aux investissements (étrangers, transfrontalière,
locaux).
La promotion de la paix, de la sécurité et de la modalité parmi les États membres.
Le renforcement des relations entre le marché commun et le reste du monde.
L’adoption de position commune dans les forums internationaux.
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Paragraphe IV: Le comité du gouverneur de Banque centrale:
Il est établie selon le traité:
Il détermine la dette maximale et les limites de crédits à la Chambre de Compensation du
COMESA.
Le taux d’intérêt quotidien pour le solde en cours de la dette et le règlement du personnel
de la Chambre de Compensation.
Il assure également la survie et la bonne mise en œuvre du code monétaire et financière du
programme de compensation.
D'autres organes et comités ont été créée afin de promouvoir la coopération et développement
régional, c'est la cas de la Banque de Commerce et de Développement (Nairobi, Kenya), mais
aussi de la Chambre de Compensation (Harare, Zimbabwe).
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Chapitre IV: La Commission de l’Océan Indienne:
Section I: Les membres de la COI:
La Commission de l’Océan Indienne est une organisation inter régionale crée en 1982 à Port-
Louis (Maurice) et instituer en 1984 par l'accord de Victoria -Seychelles (Ouest).
Elle réunit 5 pays de la région du sud-est de l'Océan Indienne: Union des Comores, France-
Réunions, M/car, Maurice, Seychelles.
Les pays au sein de la Commission de l’Océan Indienne sont très différents malgré leurs égalités
au sein de la commission:
Le Comores et M/car font parties du PMA (Pays Moins Avancés),
Les Seychelles fait partie du PRI (Pays à Revenues Intermédiaires),
Et l’île Maurice quant à lui fait partie du NPI (Nouveaux Pays Industrialisés).
Les préoccupations en matière de développement ne coïncident pas. Il est mal aisé de faire
surgir une vision et encore moins une ambitions communes, comme en témoigne la difficulté de
fonctionnement percutantes et le manque d'ambition dont souffre la Commission de l’Océan
Indienne.
Les pays de la régions sont confrontés au grand actuel, comme la mondialisation d'échange,
comme la globalisation financière, l'accroissement démographique ou les changements
climatiques, qui peuvent les fragiliser et créer de nouveau un déséquilibre.
Ils s'inquiètent aussi de la signature de l’Accord de Partenariat Économique (APE) avec l'Union
Européenne,qui met au fin aux avantages commerciaux dont ils bénéficient jusqu'ici.
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Section III: Les axes stratégiques de la COI:
Tout en veillant au stricte respect de la mission, que ses donner la Commission de l’Océan
Indienne, « la nouvelle architecture stratégique » vise à:
Adopter son rôle à un conteste régional et international en pleine mutation,
Sa visibilité et sa valeur ajoutée,
Et à mobiliser ses partenariats de manière plus cohérente.
Elle prend en compte les différents stratégies sectorielles déjà approuvé en cours de validation:
Strate d'aide au commerce (2009),
Stratégie de genre(2009),
Stratégie de la pêche et agriculture (2009),
Stratégie de sécurité alimentaire (en préparation, orientation de 2011),
Stratégie de culture (en cours de validation),
Stratégie pour la gestion durable des économies système marin et de ressource marine
(en cours de validation).
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