TP4 SAÉ 3.

2 Florian
Bailleul
TP4 Léo Grimm

Réseaux et
gestion des
eaux
SAÉ 3.2

BUT GCCD S3 SAÉ 3.2 : Réseaux et gestion

des eaux
Compétence 2 : Solutions techniques en TP

BAILLEUL FLORIAN
GRIMM LÉO

TTP S3
M. Gendron

Mr Gendron 1
TP4 SAÉ 3.2 Florian
Bailleul
Léo Grimm

Table des matières

................................................................................................................................................................ 1
1. Analyse CCTP, rapport géotechnique ............................................................................................. 3
1.1 Introduction du sujet ............................................................................................................ 3
1.2 Analyse des documents ............................................................................................................. 3
a. Cahier des clauses technique particulières ........................................................................... 3
b. Rapport géotechnique .......................................................................................................... 6
2. Présentation du Projet ................................................................................................................... 8
3. Justifications de la note de calcul ................................................................................................... 9
3.1 Bassin SAUL ........................................................................................................................... 9
a. Dimensionnement des tuyaux .............................................................................................. 9
b. Calcul du bassin SAUL ......................................................................................................... 11
3.2 Noues d’infiltration ................................................................................................................. 15
4. Chiffrage ....................................................................................................................................... 19
5. Conclusion .................................................................................................................................... 20
6. Annexe.......................................................................................................................................... 21

Mr Gendron 2
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1. Analyse CCTP, rapport géotechnique

1.1 Introduction du sujet

L’objectif de cette SAE 3.2 était de réaliser une mission d’ingénierie du type étude
d’assainissement des eaux pluviales pour la création du lotissement “Le clos des verger ”dans la
commune de Bourgneuf en Charente-Maritime. Dans ce projet, nous devions donc trouver des
solutions de stockage et d’infiltration des eaux pluviales à l’aide de différentes variantes. Nous allons
donc vous présenter notre études complète des gestions des eaux pluviales.

1.2 Analyse des documents

a. Cahier des clauses technique particulières

Bordures et caniveaux

Bordures Type T1 y compris abaissement

Bordures Type CC1

Bordure Type CR1

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Déblai

Décapage TV sur 30cm

Tranchées communes

Une couche de sable 0/5 sera mise en place pour enrober les câbles et les conduites jusqu'à 0,20 m
au-dessus de la génératrice supérieure extérieure des réseaux, y compris compactage. Une
fourniture de grillages conventionnels sera ajoutée.
Le matériaux 0/30 calcaire ou dioritique sera apporter pour l'exécution du remblaiement des
tranchées, y compris pour le compactage par couches de 0,30 m d'épaisseur, à 95 % de l'Optimum
Proctor modifié.
Lorsque la couverture du réseau entre sa génératrice supérieure et le niveau fini de la chaussée sera
inférieure à 70cm, alors il y aura l’ajout d’une protection mécanique par enrobage de béton autour
du fourreau ou par confection d'une dalle de protection en béton maigre de 20cm d'épaisseur.

Les tranchées seront réalisées pour 3 à 4 réseaux avec de les dimension : largeur 1,20 m pour
profondeur 1,20 m (prix au ml)

Assainissement eaux pluviales

Tranchée / collecteur

Les tranchées seront ouvertes à une largeur égale au diamètre extérieur de la canalisation plus 0,60
m en fond avec un fruit mini de 10 % sur les parois verticales.

Les tuyaux seront posés sur fond de fouille et sur un lit de graviers d’au moins 10 cm parfaitement
compacté.

Le lit de pose s'élèvera de chaque côté du tuyau d'une hauteur égale à la moitié de son diamètre. La
protection supérieure du tuyau sera exécutée par un enrobage en matériaux dioritiques 10/14
jusqu'à 0,20 m au-dessus de la génératrice supérieure extérieure de la conduite et compacté.

Canalisations d’eaux pluviales

Les tuyaux auront les types et caractéristiques définis ci-après :

- Tuyaux PVC de diamètre 125mm à 400mm de classe CR8 à CR16 ou alvéolé CR8 à CR16 en
éléments de 3ml.
- Tuyaux en PP de diamètre 125mm à 400mm de classe SN 10 ou SN 12 en éléments de 3ml.
- Tuyaux en fonte ductile en éléments de 6ml.
- Tuyaux en béton armé centrifugé ou vibré, à joint caoutchouc. Ce type de tuyau sera utilisé
pour les diamètres supérieurs à 400 mm
- Canalisation ø 250 PVC CR X

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Grilles avaloirs, caniveaux à grilles et tampons hydraulique sur réseaux d’eaux pluviales

La confection d’un regard préfabriqué à fût circulaire en polypropylène ou carré, en béton de

gravillons dosé à 300 kg de ciment coulé en place, épaisseur des parois et du fond 15cm, coffrage
ordinaire façon avaloir. Ce regard devra comprendre une décantation de 40L équipé ou non d’un
siphon, le raccordement sur la canalisation en attente, la couverture par grille en fonte avec cadre
du type PONT A MOUSSON ou similaire à sceller dans la maçonnerie et à mettre à niveau lors de la
phase définitive des travaux.

La classe de résistance des grilles doit être de C 250 ou C400 Grille avaloir 40x40 mm

Structure alvéolaire ultra légère

Le bassin sera composé d’une structure ultra légère (SAUL), inspectable et hydrocurable de type
WAVIN Q-Bic ou équivalent, le bassin comprendra aussi la pose d’un limiteur de débit, des puits
d'inspection de diamètre 600mm et des puits de ventilation.

Le bassin sera constitué de modules en polypropylène (PP) avec indice de vide 95% de dimensions
1.20 x 0.60 x 0.60m avec capacité net de 410l

Chaque module intègrera dans la structure 2 canaux parallèles de diamètre 510mm permettant le
passage de matériel

Les canalisations seront raccordées directement à la structure par des connecteurs permettant des
entrées et sorties jusqu'au diamètre 250.

- Terrassement en déblais de la structure

- Feutre géotextile peu perméable en fond de forme, et sur les parois, y compris superposition
des lés sur une largeur minimale de 30cm
- Casier alvéolaire (type Qbic WAVIN, Rausikkobox REHAU, Sogebox SOGEMAP) comprenant
fourniture, pose, puits de ventilation, puits de visite et accessoires
- Fourniture et mise en œuvre d'un lit de pose en sable ou gravillon sur 10cm sous les
modules ainsi que la couche de fermeture sur les modules
- Fourniture et mise en œuvre d’un remblai périphérique en sable ou gravillon autour des
caissons sur une épaisseur minimale de 15 cm

Assainissement EU

Canalisation PP SN12 de diamètre 200mm (prix au ml)

Canalisation PP SN12 de diamètre 160mm (prix au ml)

Réseau AEP

Aucun

Réseau gaz

Aucun

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Réseau télécommunication

Fourreaux PVC : ø 42/45 mm et Tuyaux ø 32 mm – Fibre optique

b. Rapport géotechnique
• Sondage de reconnaissance à la pelle mécanique (gabarit 2 tonnes)
• Essai de perméabilité de type Matsuo

Composition du sol

Profondeur de refus

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Couche 1

• Terre végétale argilo-limoneuse à graviers calcaires

• Remblais argilo-limoneux légèrement sableux à graviers calcaires et
fragments de tuile, morceaux de bois
• Remblais de blocailles et graviers calcaires dans une matrice
limoneuse et sablo-argileuse

Couche 2 :

• Argiles marrons à graviers calcaires

Couche 3 :

• Calcaires fracturés

Eau dans le sol

Aucune arrivée d’eau lors des sondages du sol. Précédentes études de sol réalisés près du projet ont
révélé un niveau d’eau lors des sondages jusqu’à 4 m de profondeur mais une cote d’environ +36 m
NGF.

Perméabilité des sols (essai de type MATSUO)

I1 -> k = 963.3 Le sol est extrêmement perméable

I2 -> k = 546.2 Le sol est très perméable

I3 -> k = 127.2 Le sol est perméable

Nous avons ici un sol principalement calcaire qui peut présenter des zones peu perméables
localement mais aussi très perméable latéralement suite à des fissures ou des zones d’altération. Il faudra
donc prioriser la mise en place d’ouvrage d’infiltration d’emprise au sol de type noues, tranchées d’infiltration
et bassin de rétention plutôt que des ouvrages ponctuels de type puits d’infiltration.

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2. Présentation du Projet

Dans ce chantier nous utiliserons deux types de gestion des eaux différents pour les deux bassins
versants existants qui seront les suivants :

Le bassin en bleu sera le bassin versant deux

et celui en vert sera le bassin versant un.

Comme dit précédemment chaque bassin

aura une gestion d’eau pluvial indépendante, le
deux sera géré par deux noues situées dans les
rectangles rouges, l’eau pluviale dans ce bassin
sera acheminée par ruissèlement contre les
bordures et accèdera aux noues à l’aide de fente
dans les bordures aux points bas.

Le bassin un sera géré avec un bassin SAUL

par infiltration, contrairement au bassin deux où
l’eau pluvial sera gérée uniquement par
ruissèlement. Le bassin un sera géré de deux
manières, par ruissèlement et par tuyaux d’EP en
béton de diamètre 300. Le SAUL sera localisé dans
le rectangle en bleu.

Le ruissèlement dans le bassin deux sera géré par des bordures de type CR1, CS1 et CC1 car la route au
bas du bassin est en forme de cunette (d’après points altimétriques). Dans le bassin un on utilisera des
bordures de type CR1, CS1, CC1 en plus du réseau d’EP. Des avaloirs seront employés en plus pour permettre
de récolter l’eau ruisselée vers les points bas, nous utiliserons un avaloir pour bordures T, en plus de trois
avaloirs rectangulaires.

Avaloir pour T Avaloir rectangulaire Bordure CR1 Bordure CS1 Caniveaux CC1

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3. Justifications de la note de calcul
3.1 Bassin SAUL

L’objectif est de déterminer le volume d’eau (volume utile) qui vas nous permettre de déterminer le
nombre de bassin SAUL à mettre en place.

Pour cela il faut commencer par déterminer les diamètres des tuyaux qui vont nous permettre
d’acheminer l’EP vers le SAUL.

a. Dimensionnement des tuyaux

Nous commençons par déterminer le chemin hydraulique le plus long parcouru par l’eau en
surface (0,042 km) que sa pente (0,0088 m/m), pour pouvoir ensuite calculer le temps de
concentration. Le temps de concentration est le temps mis par l’eau pour parcourir la distance entre
le point le plus éloigné de l’exutoire et l’exutoire. Il dépend de la taille du bassin versant, la forme, le
relief, la nature du sol, la teneur en eau du sol... Il existe de nombreuses formules pour l’estimer, les
plus connu sont les formules de Kirpich et de Passini. La formule de Passini étant établie pour des
milieux ruraux et des bassins versant de plus de 4 000 hectares nous utiliserons donc la formule de
Kirpich :

Avec L en (m) ; I en (m/m)

Nous avons donc fait une moyenne pondérée en fonction des différentes surfaces et de leurs
coefficients pour trouver notre F.
Donc :

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Ce temps de concentration, nous a permis de définir nos a et b, qui sont les coefficients de
Montana, fournis par Météo France (les coefficients changent en fonction de la localisation d’un
projet), que l’on choisit en fonction de Tc et de la période de retour. Nous avons pris une période de
retour de 2 ans, information que nous avons trouvé dans le CCTP. Ces coefficients vont nous servir
pour calculer l’intensité de la pluie avec la formule suivante :

𝐼 = 𝑎 × 𝑡 !"

Cette intensité va nous permettre de quantifier le débit de pointe Qp dans notre bassin versant,
avec la méthode rationnelle :

Avec toute ces informations, nous avons enfin pu dimensionner nos canalisations à l’aide de la
formule de Manning-Strickler :

Avec Ks = 80, donnée récupérée dans le CCTP.

On trouve un diamètre de 153mm, ce

qui semble cohérent car notre bassin à une
petite surface avec un chemin hydraulique le
plus long assez court et donc un temps de
concentration faible. Le diamètre minimum
pour des canalisations d’eaux pluviales en temps
normal est de 300 mm, nous passons donc à du
300mm.

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b. Calcul du bassin SAUL

Pour commencer le dimensionnement du bassin en SAUL nous devons commencer par émettre
une hypothèse sur la surface de fond de radier, qui sera l’emprise au sol des blocs. Cette surface en
m2 va nous permettre, une fois multiplié au coefficient de perméabilité K du sol en m/s, d’obtenir le
débit de fuite en m3/s. La surface active nous sera également utile, elle va permettre d’obtenir Qs en
mm/h.

Les SAUL utilisés seront des Module Wavin Q-Bic Plus, leurs dimensions étant de 0,6 x 0,6 x 1,2m.
composé de quatre éléments :

Notre hypothèse a été de mettre en place un fond de radier de 26 blocs soit une surface de 18,72
m2.

D’après l’étude géotechnique nous avons les coefficients K suivants :

Combiné à la surface de fond de radier (surface d’infiltration) nous pouvons maintenant obtenir le Qf
(débit de fuite) :

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Pour obtenir la surface active nous devons déterminer le Cmoy de ce bassin versant égal à 0,77 :

Nous pouvons donc maintenant déterminer le Qs nous permettant de connaitre la hauteur d’eau
évacuée (hfuite).

Avec ces données nous pouvons maintenant déterminer la hauteur d’eau à stocker en mm.

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En traçant un
graphique en fonction de
la durée de pluie et de la
hauteur nous obtenons le
∆h, ce ∆h valant 16,09 mm
il nous permettra de
déterminer le volume
utile, qui nous servira de
déterminer le nombre de
blocs à mettre en place.

La formule du volume utile étant :

Nous pouvons donc connaitre le nombre de blocs.

À noter que le volume d’un bloc de Wavin Q-Bic Plus n’est pas juste 0,6*0,6*1,2 mais cette
formule multipliée par 0,95 ce qui correspond à un indice des vides de 95% pour trouver le volume
utile d’un bloc.

On obtient donc un volume utile de 10,4 m3, un

volume utile d’un bloc de 0,41 m3, donc en divisant
10,4 par 0,41 on obtient un nombre de 26 blocs.

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Nous plaçons donc les 26 unités de 1,2 par 0,6

sur le sol. On remarque sur ce plan les avaloirs
énoncés dans la partie :

2. Présentation du projet

L’avaloir en bas à gauche sera celui

« avaloir pour T », les autres seront des
rectangulaires, en trait bleu sont représenté les
canalisations d’EP. Le trait rouge représente un
caniveau CS1, l’orange une bordure CR1 et celui
en jaune un caniveau CC1.

La coupe de cette solution sera

disponible en annexe 1.

L’arbre sera enlevé pour éviter les

risques de mouvement du SAUL à cause des
racines.

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3.2 Noues d’infiltration

Nous avons donc choisi de gérer les

eaux pluviales avec deux noues
d’infiltration. Nous les avons
dimensionnées de façons à optimiser leurs
hauteurs en fonctions du volume d’eaux
qu’elles vont récolter tout en prenant en
compte la perméabilité de notre sol.

Pour commencer notre étude, nous

avons commencé par mesurer les
différentes surfaces de cette parcelle pour
pouvoir ensuite appliquer les coefficients
de ruissellement.

Nous avons mesuré une surface engazonnée de 131.9

m² et une surface de voirie total en incluant les places
de parking de 337.3 m².

En appliquant un coefficient de ruissèlement de C=0.9

pour la voirie et C=0.15 pour les espaces verts nous
trouvons un coefficient de ruissellement moyen de
0.689.

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Ensuite nous calculons notre durée de pluie en utilisant la formule de Kirpich. Cette formule
est plus adaptée pour l’environnement dans lequel se situe notre chantier, c’est-à-dire
l’environnement urbain. En effet, d’autres formules telles que Passini permettent aussi de calculer le
temps de concentration qui elle est plus adaptée pour l’environnement rural avec des surfaces de
versants supérieures à 4000 hectares.

Pour cela, nous devons récupérer différentes données, telles que la longueur la plus grande
de l’écoulement de l’eau pluviale entre son point de chute et son point d’arrivée dans la nous visible
ci-dessus par le chemin en orange, la pente moyenne du chemin d’écoulement de l’eau et le
coefficient correcteur relatif à la surface F.

Une fois les valeurs trouvées et appliquées dans la formule ci-dessus nous trouvons une durée
de pluie de 1.03 min. Cette durée de pluie étant inférieure à 1h qui avons choisi comme coefficient de
Montana a = 3.814 et b = 0.499 pour une période de retour T de 20 ans étant adaptée au
dimensionnement de bassins.

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Nous avons poursuivi notre dimensionnement par le calcul du débit de fuite des noues.

Avec S, la surface participant à l’infiltration, soit les deux surfaces engazonnées où vont
accueillir les nous ; Qf le débit de fuite en m3/s et Qas la capacité d’absorption par unité de surface
infiltrante en m³/s/m².

Ainsi nous trouvons un débit de fuite de 0.00804 m³/s.

Ensuite, nous avons calculé notre

surface active Sa qui nous permettra
ensuite de calculer le temps de remplissage
de la noue.

À l’aide de la surface active, du débit de

fuite et des coefficients de Montana choisis
précédemment, on calcule le temps de
remplissage.

Mr Gendron 17
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Avec i l’intensité de pluie calculée à l’aide des coefficients a et b, et de la formule de Montana.

Nous calculons le volume d’eau pluviale que devra stocker notre noue.

La noue aura un volume de 1.18 m³.

Pour faciliter le remplissage de notre noue, nous avons choisi de la composer en deux noues
de même superficie. Ayant bien analysé les surfaces disponibles, nous avons CHOISI de réaliser les nous
d’une longueur de 10 m avec une largeur d’emprise au sol de 1.5 m. Nos noues seront de forme
trapézoïdale avec des pentes de 3/1.

La forme trapézoïdale étant

impossible en utilisant cette pente-
là. Nous avons opté pour une
section triangulaire.

Nous trouvons finalement une section triangulaire

de 0.3 m de hauteur pour une base de 1.5 m. Soit une section
de 0.225 m². Ayant choisi une longueur de 10 m, nous
obtenons un volume de 2.25 m³.

Nous aurons donc un volume en trop de 3.32 pour la somme

de nos deux bassins.

La coupe de cette solution sera en annexe 2.

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4. Chiffrage

(Voir annexe 3)

Nous avons donc par la suite réalisé un chiffrage de maitre d’œuvre à l’aide du document «
Aménagements extérieurs VRD - Espaces verts Batichiffrage ». Nous avons pris pour calculer un DS
main d’œuvre un DHMO de 30€.

En séparant en deux le chiffrage du bassin 1 et du bassin 2 on obtient pour le bassin 1 (bassin

SAUL) un prix de 15 255,52 € et pour le bassin 2 (noues) un prix de 5 602,07 €.

Nous obtenons donc un prix final de 20 068,77 € pour l’ensemble du projet de réseaux et
gestions d’eaux pluviales de ce lotissement.

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5. Conclusion

Dans cette étude, nous avons dimensionné des bassins afin de gérer les eaux pluviales. Pour
cela, nous avons mis en application les différentes de calcul vu lors de la ressource R3.06 –
Technologie des travaux publics 3.

Pour gérer les eaux pluviales, nous avons dimensionné des noues et un bassin de type SAUL
pour un prix de vente hors taxe totale de 20 068.77 € sans prendre en compte le cout du personnel
sur le chantier et la location des engins.

Le fait d’avoir intégré la gestion des eaux pluviales dans notre projet nous a permis d’éviter le
tout-À-l'égout ou le tout aux tuyaux. L'infiltration directe dans le sol permet donc de rendre le
projet durable. En effet, l'eau infiltrée permettra de réalimenter les nappes phréatiques

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6. Annexe

Annexe 1 : Coupe SAUL

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Annexe 2 : Coupe Noue

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Annexe 3 : chiffrage

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