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DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE
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DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE
Principales références légales, réglementaires et administratives citées :
- Code du travail de la république gabonaise : loi n° 3/94 du 21 novembre 1994,
modifiée par la loi n° 12/2000 du 12 octobre 2000.
- Code de sécurité sociale : loi n° 6/75 du 25 novembre 1975.
- Code de garantie sociale : loi n° 10/82 du 24 janvier 1983.
- Loi n° 4/96 du 11 mars 1996 fixant le régime général des pensions de l'État.
- Décret n° 806/PR/MFEBP du 17 mai 1996 fixant les modalités d'application
de la loi n° 4/96 du 11 mars 1996.
- Circulaire n° 40/MFEBP/CABME/SG/DGB du 8 janvier 2007 relative à la ges-
tion des crédits de la main-d'œuvre de l'État (cf. ci-après document I).
- Arrêté n° 4240/PM/MFEBP du 5 décembre 1995 modifiant le taux de l'indemnité
de responsabilité des billeteurs (cf. ci-après document II).
- Décret n° 855/PR/MTE du 9 novembre 2006, fixant le salaire minimum inter-
professionnel garanti en République gabonaise (cf. ci-après document III).
- Décret n° 173/PR/MTE du 16 février 1982, portant revalorisation de la prime
de transport (cf. ci-après document IV).
- Arrêté n° 31/MTE/DGTMOE/DTR du 21 novembre 1980 fixant la durée du
congé pour ancienneté (cf. ci-après document V).
- Décret n° 529/PR/MINECOFIN du 13 mai 1981, instituant la prise en char-
ge par le budget de l’État des personnels domestiques des membres du gouver-
nement(cf. ci-après document VI).
- Décret n° 1203/PR/MTSS du 29 décembre 1979, portant attribution d'une indem-
nité de sujétion nationale (cf. ci-après document VII - 1).
- Décret n° 1037/PR/MTE du 19 juin 1985, portant modification du plafond
de l'indemnité de sujétion nationale ( cf. ci-après document VII - 2).
- Circulaire n° 525/MTSS du 9 décembre 1978 relative aux modalités d'appli-
cation des articles 125 à 128 du nouveau code du travail (loi n° 5/78 abrogée).
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Document I
Circulaire n° 40/MFEBP/CABME/SG/DGB du 8 janvier 2007 relative à la ges-
tion des crédits de la main-d’œuvre de l'État
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se possible mais n'oblige pas à cette dépense. Celle-ci est accomplie dans l'intérêt exclu-
sif que le service public retire de l'emploi des agents de la main-d’œuvre et non dans le
seul fait que ces agents soient recrutés : la main-d’œuvre est un moyen et non une fin.
En conséquence, seront contrôlées en permanence sur le terrain, non seulement la pré-
sence physique des agents dans leur service employeur, mais aussi la réalité des tâches
accomplies ou à accomplir. Les emplois dont la création ou le maintien est manifeste-
ment superflu ou de pure complaisance verront les crédits afférents supprimés.
2 - Rythme d'engagement des crédits
Les administrateurs ont à respecter le volume global de leur dotation par ligne et en outre
à ne pas dépasser la limite mensuelle d'engagement du douzième de cette dotation.
Dans le respect du principe de l'annualité budgétaire, ils veilleront à la prise systéma-
tique et complète des congés annuels. La nature des emplois de la main-d’œuvre ne sau-
rait justifier les reports de congés : les rappels sur congés sont donc interdits.
3 - Nature des emplois de la main-d’œuvre
Le mode d'emploi normal dans la fonction publique est l'emploi fonctionnaire ou contrac-
tuel. L'emploi dans la main-d’œuvre n'est créé que par défaut, lorsque la nature de l'em-
ploi auquel il est souhaité de pourvoir est par trop éloignée de celle que prévoient les
statuts des agents publics.
Il ne sera plus donc admis sur les crédits de main-d’œuvre de recrutement d'agents dont
les fonctions courantes relèvent d'un emploi de la fonction publique. L'emploi de la main-
d’œuvre ne saurait en effet concurrencer l'emploi normal, ce qui reviendrait à permettre
aux administrations de s'affranchir des règles sur la nécessaire obtention d'un poste bud-
gétaire.
Aussi, seuls les emplois dont la liaison avec l'exécution du service public est peu affir-
mée sont-ils autorisés sur les crédits de main-d’œuvre. Il en est ainsi pour les emplois à
dominante manuelle. Les emplois à caractère intellectuel sont au contraire réservés exclu-
sivement à un recrutement fonctionnaire ou contractuel.
En conséquence :
a) - Les emplois de main-d’œuvre actuellement occupés et qui, par nature, relèvent de
la fonction publique sont mis en voie d'extinction. La disparition, quel qu'en soit le motif,
d'un agent occupant un de ces emplois supprime cet emploi. Les crédits disponibles au
départ de l'agent et afférents à son emploi sont annulés pour l'année considérée. Ces cré-
dits ne seront pas reconduits l'année suivante.
b) - Tout recrutement nouveau d'un agent sur un emploi qui par nature relève de la fonc-
tion publique est interdit.
La liste des catégories d'emplois actuellement existants figure ci-après.
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Désormais, seuls les emplois figurant dans la colonne de gauche sont susceptibles d'en-
gendrer de nouveaux recrutements.
4 - Recrutement d'un agent
a) condition au recrutement.
Les remplacements numériques ne sont autorisés qu'à la suite d'une démission, d'un aban-
don de poste, d'un licenciement, d'un départ à la retraite ou d'un décès, dans la limite
des crédits disponibles et le respect des emplois réservés à la main-d’œuvre.
b) acte de recrutement. Les agents sont recrutés en respectant un minimum de formes
dans l'intérêt du service.
Deux modèles d'actes-types de recrutement (décision d'engagement et lettre d'engage-
ment) sont proposés ci-après en annexes 1 et 2, au choix de l'administrateur. Aucune
prise en charge ne sera acceptée si elle n'est accompagnée d'un de ces actes complète-
ment renseigné et justifié.
L'acte d'engagement précisera la durée du travail en cas de recrutement à temps partiel.
c) accord financier préalable. En aucun cas la prise de service effective n'est antérieure
à l'accord financier sur le recrutement donné par les services compétents du ministère
chargé des finances (direction générale du budget pour Libreville ; hors Libreville,
postes comptables du Trésor). Il n'y a donc pas rappel de salaire après recrutement.
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d) immatriculation à la CNSS. Tout agent recruté est immédiatement immatriculé à
la CNSS par l'administrateur de crédits.
5 - Règles relatives aux salaires
a) Salaires lors du recrutement.
Si un recrutement nouveau est permis par une disponibilité de crédits, il convient de
veiller, en tout état de cause, au respect des dispositions en vigueur sur le salaire mini-
mum pour tout travail à plein temps.
En outre, pour éviter des distorsions de salaires entre services, la grille ci-après fixe les
minima de rémunération lors du recrutement, par catégorie d'emplois autorisés :
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7 - Départ d'un agent
a) formalités internes. La mention du départ d'un agent est portée par l'administrateur
sur l'état préparatoire de paye du mois suivant ce départ. Motivation écrite en est don-
née par ailleurs, et en même temps.
L'administrateur joint à ces informations un décompte des sommes éventuellement dues
à cette occasion qui seront imputées sur la dotation du service.
Aucun remplacement numérique ou nouvel engagement n'est autorisé sans ces forma-
lités. Un ordre de recette sera émis à l'encontre de l'administrateur de crédits pour tout
salaire décaissé à tort après le départ d'un agent.
b) - certificat de travail. Le code du travail exige que soit délivré à tout agent, lors de
son départ, un certificat de travail. Ce certificat sera rempli même si l'agent accède à un
emploi dans la fonction publique. Il servira dans ce dernier cas à justifier la durée des
services à valider pour la pension.
Un modèle-type de certificat de travail est proposé ci-après :
Certificat de travail
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c) - mise à la retraite. Tout agent atteignant la limite d'âge de cinquante-cinq ans doit
être mis à la retraite.
d) - cabinets techniques. Pour ce qui concerne les «cabinets techniques», les mouvements
des administrateurs desdits cabinets ne sauraient avoir de répercussions sur les effectifs
connus de la main-d’œuvre.
Ainsi, lorsque le successeur d'un administrateur de "cabinet technique" sera amené à pro-
céder à des recrutements de nouveaux agents, il sera tenu d'observer rigoureusement les
principes relatifs aux recrutements nouveaux et aux remplacements numériques conte-
nus dans la présente lettre circulaire.
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salaires versés au titre de la main-d’œuvre sur la période considérée.
c) validation des services faits pour la constitution des droits à pension :
Il est enfin rappelé que le service administrateur délivre à tout agent de main-d’œuvre
lors de son départ, un certificat de travail mentionnant les périodes de service salarié. Si
l'agent est recruté par la fonction publique, l'ancienneté acquise au titre de la main-d’œuvre
sera à valider pour la constitution de ses droits à une pension publique.
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Annexe 1 - Modèle type de décision d'engagement
Décide
Article 1er .- M. (Mme, Mlle.).....................( nom complet, prénoms ; pour les femmes mariées
ajouter le nom du mari) ;
- jour, mois, année de naissance, lieu de naissance ;
- n° matricule CNSS éventuel ;
- situation familiale ;
- nombre d'enfants à charge ;
- pièce d'identité (nature, numéro, date),
est recruté(e) au Gabon, en qualité de (profession) pour servir à (service : intitulé et
localisation) à compter du (date) et sous réserve des dispositions de l'article 9 ci-après.
Article 2 .- M... (nom, prénom) occupe un emploi à temps complet (partiel) (nbre d'h/semaine)
Article 3 .- M... ( nom, prénom) est soumis à une période d'essai fixée à... mois.
Article 4 .- Le salaire mensuel (journalier) brut est de... Fcfa.
Article 5 .- Au salaire s'ajoute(nt) : - une indemnité de transport de... Fcfa mensuelle ;
Article 6 .- Les congés sont pris annuellement.
Article 7 .- Le présent engagement est soumis aux dispositions du code du travail pour toute situa-
tion non prévue dans cette décision.
Article 8 .- L'âge de la retraite est fixé à 55 ans.
Article 9 .- La présente décision prend effet pour compter de la date de prise de service de l'in-
téressé.
Toutefois, cette dernière ne peut être antérieure à la date de signature de la décision
ni à l'accord financier sur le recrutement donné par les services compétents du minis-
tère chargé des finances.
Fait à Libreville, le .................... Le ministre
(signature)
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Annexe 2 - Lettre type d'engagement
Lettre d'engagement
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Document II
Le Premier Ministre,
Visa S.G.G. Chef du Gouvernement
- Vu la Constitution ;
- Vu les décrets n° 1043 et 1116/PR des 12 et 30 octobre 1994 fixant la com-
position du gouvernement, ensemble les textes modificatifs ;
- Vu l'arrêté n° 1911 du 8 septembre 1944 fixant le taux des indemnités de
responsabilité alloué aux agents spéciaux et aux gérants des caisses de menues
dépenses ;
- Vu l'arrêté n° 1814 du 26 juin 1948 portant modification de l'indemnité
de responsabilité fixée par l'arrêté n° 1911 du 8 septembre 1944,
ARRÊTE :
Article premier .- Le tableau annexé à l'article 1 de l'arrêté n° 1814 du 26 juin 1948 est ain-
si modifié :
Billeteurs (dans tous les cas) : taux 1/00
maximum annuel : 360 000 fancs.
Le reste sans changement.
Article 2 .- Le présent arrêté qui prend effet pour compter du 1er janvier 1995 et qui abroge l'ar-
rêté n° 441/PR/MFB/DFB du 11 avril 1969 modifiant le taux de responsabilité des bille-
teurs sera enregistré, publié et communiqué partout où besoin sera.
Fait à Libreville, le 05 décembre 1995
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Observations sur l'indemnité de responsabilité
des billeteurs
Les services employeurs de main-d'œuvre ne sont pas seuls à recourir aux billeteurs mais
ils font appel à ceux-ci systématiquement puisque le système de paiement actuel ne per-
met pas encore les virements directs à chaque agent de la main-d’œuvre.
Les billeteurs reçoivent une indemnité de responsabilité dont les textes d'origine sont
anciens mais mis à jour :
a ) arrêté n° 3380 du 27 octobre 1937 fixant le taux de diverses indemnités allouées au
personnel colonial et au personnel local européen et ses modificatifs notamment l'arrê-
té n° 1911 du 8 septembre 1944 ;
b) arrêté n° 1814 du 26 juin 1948 portant modification de l'indemnité de responsabi-
lité fixée par l'arrêté n° 1911 du 8 septembre 1944 ;
c) arrêté n° 4240/PM/MFEBP du 5 décembre 1995 modifiant le taux de l'indemnité de
responsabilité des billeteurs (cf. ci-avant).
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Document III
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Article 4 .- Les dispositions de l’article 2 du décret n° 87/PR/MTSS du 5 février 1974 susvisé
restent en vigueur.
Article 5 .- Les employeurs qui auront versé des salaires inférieurs au minimum fixé à l’article 2
ci-dessus seront passibles des peines prévues à l’article 195 du code du travail.
Article 6 .- Le présent décret, qui abroge toutes dispositions antérieures contraires, notamment celles
du décret n° 1036/PR/MTE du 19 juin 1985 susvisé et qui prend effet pour compter du 1er
octobre 2006, sera enregistré, publié selon la procédure d’urgence et communiqué partout où besoin
sera.
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Document IV
Décret n° 173/PR/MTE du 16 février 1982, portant revalorisation de la pri-
me de transport
(in Hebdo informations n° 171 – mars 1982 - pp. 24 et 25)
- Vu la Constitution ;
- Vu les décrets n° 278/PR et 280/PR du 27 février 1980, fixant la composi-
tion du gouvernement ;
- Vu la loi n° 5/78 du 1er juin 1978 instituant un nouveau code du travail de
la République gabonaise, notamment son article 126, troisième alinéa ;
Arrête :
Article 1 .- La durée du congé annuel définie à l’article 125 du code du travail est augmentée
er
Le ministre d’État,
ministre de la fonction publique,
du travail et de l’emploi
Jules Bourdès Ogouliguende
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Document VI
Décret n° 529/PR/MINECOFIN du 13 mai 1981, instituant la prise en charge
par le budget de l’État des personnels domestiques des membres du gouvernement
- Vu la Constitution ;
- Vu les décrets n° 278 et 280/PR du 27 février 1980 fixant la composition
du gouvernement, ensemble les textes modificatifs subséquents ;
- La Chambre administrative de la Cour suprême consultée ;
- Le conseil des ministres entendu,
Décrète :
Article 1er .- Les membres du gouvernement à l’exception du premier ministre et des deux vice-pre-
miers ministres bénéficient d’une prise en charge par le budget de l’État de trois personnes employées
à leur service en qualité de personnel de maison.
Article 2 .- Le montant total des sommes affectées au règlement des salaires correspondants qui
sera imputé sur les crédits délégués aux membres du gouvernement ne devra pas excéder men-
suellement quatre fois le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG), augmenté de l’in-
demnité de sujétion nationale s’il y a lieu.
Article 3 .- Le ministre de l’économie et des finances est chargé de l’exécution du présent décret qui
sera enregistré, publié selon la procédure d’urgence et communiqué partout où besoin sera.
Le premier ministre
Léon Mébiame
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Document VII - 1
Décret n° 1203/PR/MTSS du 29 décembre 1979, portant attribution d’une
indemnité de sujétion nationale
(in J.O. de la république gabonaise du 1er au 15 janvier 1980 p. 44)
Le premier ministre,
Léon Mébiame Le ministre d’État,
ministre de l'économie et des finances,
Le ministre du travail Jérôme Okinda
et de la sécurité sociale,
E. Guy Mouvagha-Tchioba
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Document VII - 2
Décret n° 1037/PR/MTE du 19 juin 1985, portant modification du plafond de
l’indemnité de sujétion nationale
(in Hebdo informations n° 91 - 22 juin 1985 - p. 127)
Article 1er .- Le plafond du salaire mensuel ouvrant droit à l’indemnité de sujétion nationale est
porté de 60.000 à 64.000 francs.
Les conditions de paiement de cette indemnité sont celles déterminées par le décret n° 1203/PR/MTSS
du 29 décembre 1979 précité et par la circulaire n° 44/MTE-DGT-DTR du 29 janvier 1980
déterminant les modalités d’application dudit décret.
Article 2 .- Le présent décret qui abroge le décret n° 448/PR/MTE du 24 mars 1984 prend effet
pour compter du 15 avril 1985.
Article 3 .- Le ministre de l’économie, des finances et des participations et le ministre du travail
et de l’emploi sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret qui sera
enregistré, publié selon la procédure d’urgence et communiqué partout où besoin sera.
Fait à Libreville, le 19 juin 1985
El Hadj Omar Bongo
Par le président de la République, chef de l'État,
Le premier ministre, chef du gouvernement,
Léon Mébiame
Le ministre du travail et de l’emploi,
Alexandre Sambat
Le ministre de l'économie,
des finances et des participations,
Jean-Pierre Lemboumba Lepandou
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