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-Ambivalence dutravail:
a-Travail associé au bonheur,à la quiétude et au plaisir
-«Iy a plaisir à planter Bacchus sur l'lsmare et à vêtir d'oliviers le grand Taburne ». P75 chap. I
-« Alors donc les habitants du pays... enfouissent les semences avec ongles mêmes, et
leurs
gravissent les montagnes en traînant, le cou tendu, de gémissants chariots. » p140 chap. IlI
main à dur labeur »151 chap. IV
-«Celui qui prend à coeur de tels soins; que lui-même use sa ce
-« Cependant, charmant par ses chansons l'ennui d'un long labeur, sa compagne fait courir un
peigne crissant sur les toiles » p.56 Chap.
-« Mais voici que, fumant sous la dure charrue, le taureau s'affaisse et vomit à plein gosier un
sang mêlé d'écume. Le laboureur s'en va, tout triste, dételer l'autre boeuf » p139 110 chap. I
Le berger Aristée..après avoir, dit-on, perdu ses abeilles par la maladie et par la faim, tout triste
s'arrêta à la source sacrée où prend naissance le fleuve » p163 chap. V
-«
L'hiver, le cultivateur se repose. Pendant les froids, les laboureurs
fruit de leurs travaux, en donnant tour à tour de jouissent d'ordinaire du
gais festins entre eux ».56 Chap.I
v.Dimension spirituelle du travail
a-Le travail comme bénédiction
-« Le Père des dieux lui-même
voulu rendre la culture des champs
a
diffticile, et c'est lui qui le
premier a fait
de remuer la terre, en
un art
aiguisant par les soucis les coeurs des mortels et en
ne souffrant pas que son
empire s'engourdit dans une triste indolence »p. 45
Chap. I
-«Son but était, en exerçant le besoin, de créer
peu à peu les diftrents arts,
dans les sillons 'herbe du blé et
jaillir du sein du caillou le feu qu'il recèle »
de faire chercher
p.45 Chap. 1
Jamais la relgion n'a défendu de détourner le cours des ruisseaux, de border la moisson
d'une haie, de tendre des pièges aux oiseaux, d'incendier les broussailles» p..54 CnaP.I
tout, honore les dieux, et offre à la grande Cérès un sacrifice annuel en accomplissant
Avant
les rites sur de gras herbages »p 58 Chap.
-K Va donc, en suppliant, leur porter des offrandes, leur demandant la paix, et vénère les Napées
indulgentes». Conseils donnés par Cyrène à son fils Aristée 175 chap. IV
-«Le silence se fait pour toute la nuit, et un sommeil bien gagné s'empare des membres las des
abeilles ». p156 chap. IV
3
-« Quand le triste hiver fendait encore les
pierres de gel, et enchaînait de sa glace les cours
d'eaux, lui(le vieillard de la Tarente) commençait déjà à tondre la chevelure de la souple
hyacinthe, raillant l'été trop lent et les zéphyrs en retard » p chap IV
-« Cest que tous les arbres
exigent une dépense de soins, que tous demandent à être dressees
en pépinière et domptés à grands frais ». 76 chap.
I
b-Passion du travail
-« Mais un doux amour m'entraîne le long des pentes désertes du Parnasse ; il me plaît d'aller
par ces cimes, où nulle roue avant moi n'a jamais laissé de traces ». 127 110 chap. III
-«Souvent aussi, elles vont jusqu'à rendre l'âme sous leur fardeau tant elles aiment les
fleurs et
sont glorieuses de produire leur miel ».155 chap. IV
-Esprit d'initiative
-« lt me plaît d'aller par ces cimes, où nulle roue avant moi n'a jamais laissé de traces ». 127
chap. I Il
-« C'est moi qui, le premier, ferai descendre les Muses du sommet Aonien
pour les conduire
avec moi dans ma patrie » p 110 chap. II
-Les unes veillent à la subsistance...d'autres font sortir les adultes, espoir de la natio
d'autres épaississent le miel le plus pur. ll en est à qui le sort a dévolu de monter la garde »p 154
-« Avant de fendre avec le fer une campagne inconnue, qu'on ait soin d'étudier au préalable les
vents, la nature variable du climat, les traditions de culture et les caractères des lieux ».p 41
Chap.
- «Seulement n'aie point honte de saturer d'un gras fumier le sol aride. C'est ainsi qu'en
changeant de productions les guérets se reposent, et que la terre qui n'est point labourée ne
laisse pas d'être généreuse ». p43 Chap.I
.«Pour lui (le cultivateur), point de relâche, qu'il n'ait vu l'année regorger de fruits, u accroître
son bétail» p 103 chap. Il
-« Toutes se reposent de leurs travaux en même temps, toutes reprennent leurtravail en nême
temps. Le matin, elles se ruent hors des portes; aucune ne reste en arrière » p156 chap. IV