Vous êtes sur la page 1sur 3

LACHER PRISE L’ACCEPTATION

Parce que nous avons peur, en étant vrais, de ne pas être aimés.

Mon expérience................

Le Mental, ce sont les êtres humain, la société qui le forge, nos parents et grands parent
avant on était, éduqué dans une société, a une période et leur expériences ont renforcé leurs
Mental, tous comme ils contribuent au notre. Mon chemin de vie dans la spiritualité vient de
mon parcours personnel. Je ne raconterais pas ma vie, mais j'ai toujours appréciée les
moments de bonheur et cru que c'était suffisant, mais les autres moments les moments ou tu
doute ou tu n'as pas confiance en toi ou tu t’interroge sur ce que vont pensés les autres de
toi, ais- je bien fais? Pourquoi j'ai dis ça ? Pourquoi je suis en colère à ce moment précis?
Qu’est ce qui à fait que je me mette en colère, suite a un événement ! quand tu n'accepte
pas ton corps (carapace) corps que tu te construit au fil du temps en accumulant des
couches pour cacher ce que tu ne veux pas montré aux autres, cacher tes blessures , alors
oui ce n'est pas ça bien vivre avec soi.
Je m'isole dans mon monde intérieur, par des méditations conscientes je passe l’intérieur de
mon corps, mon "essence", mon "être", mon "âme" je suis présente dans ce corps; ce corps
qui finalement ne me ressemble pas, alors je cherche à savoir, à comprendre ! Pourquoi ?
Pourquoi ce corps, cette société qui ne me correspond pas, je suis bien obligé de faire avec
si je veux avancer avec les autres et c'est la le déclic pourquoi avancé avec les autres, je
suis une personne, je ne suis pas les autres !!!!!
À partir de ce moment la je décide de faire un travail sur moi, je ne sais pas que c'est
spirituel ! Je le découvrirais plus tard.
A ce stade les choses ne sont pas encore très claire pour moi, il y a plusieurs années que j'ai
des messages, mais je ne sais pas les interprété, je tâtonne, je me découvre cette faculté à
lire le mal êtres chez les gens, ça me fait peur, j'enfuis tous ça mais ça me rattrape, je suis
obligé de faire avec ! Donc je fais et plus je fais plus j'ai des facultés, alors je continu, je
prends conscience que je me nourris mal ! Au sens littérale mais aussi au sens spirituel,
quand j'ai quelqu'un en face de moi qui me confie ses douleurs, ses peine, ses difficultés ça
me parle et ma parole se libère, je ne sais pas d'ou ça me viens, peut être ma petite voie
intérieure !!!
Alors je creuse au plus profond de moi et je me rends compte que ce que je dis dans c'est
moment la je ne me l'applique pas à moi! Petit à petit je commence à changer ma visions
des choses, de la vie en général, mais de ma vie plus "précieusement" car je ne peu pas
changer les autres c'est moi qui dois changer c'est moi qui dois accepter qui je suis.
Je m’inscris à une formation, et les gens que j'y rencontre ne me conviennent pas cette
façon de faire ne me conviens pas je décide de faire mon chemin seule.
Je continu à me nourrir correctement, le corps et l'esprit.
C'est à cette période la que je commence la méditation, l'auto hypnose et que j'essaye pleins
de thérapie parallèle, j'ai des petits bouts de réussite mais ça ne me conviens pas ce n'es
pas ce que je cherche !
Si je m'applique les conseils qui me viennent quand je distribue aux autres pourquoi je ne
pourrais pas me l'appliqué à moi.
Je ne suis pas encore suffisamment dans l'ouverture et la confiance pour demander de
l'aide.
Mon ami me dis lâche prise quand tu auras lâché prise tu verras tu seras bien.
Je prends un cahier et note tous se que je dois laisser tombé et surtout tous mes besoins
personnel pour avancé mes envies, comment je veux orienter ma vie, chaque fois que le
mental reprend le dessus je me répète inlassablement « je suis une belle âme, ». Ou encore
« l'univers m'aime de façon inconditionnelle et dans cet amour je me reconnais pour qui je
suis. « Le mental lâche et je passe à autre chose.
Maintenant je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas et je m'y tiens je ne me laisse
plus influencé par les idées des autres je ne me m'occupe plus de la vie des autres (l'avis).
Je suis devenu égoïste pour certain, mais non ce n'est pas ça je m'aime je suis moi je vie
pour moi et pour ceux que j'aime.
Petit à petit la transformation s’opère, chaque fois que j'ai un coup de mou je médite, je
m'isole souvent je deviens asociale, pour les autres mais je me rends compte que je n'ais
pas besoins des autres. C'est moi la femme de ma vie
J’arrive à reconnaître qui sont les bonnes personnes pour moi. Mon troisième œil c'est
ouvert, la spiritualité ma ouvert l'esprit à d'autres valeurs.
Je me ressource dans la nature je marche de longues heures seule ou accompagné.
Pour moi maintenant ce qui doit être sera, que je passe par un chemin ou un autre.
Je reçois des messages j'y porte attention. Je fais en sorte de ne pas blesser les autres tout
en disant ma vérité.

J’accepte et je vie le moment présent : c’est se laisser aller dans les hauts et dans les bas.
Car ça passe. Tout passe, et ce n’est jamais dramatique.
Un arbre, une fleur, une plante poussent sans se poser la question du pourquoi il pousse.
C’est cela, agir. Nous, nous perdons un temps considérable à nous demander : « Si je fais
ceci, qu’est-ce qui va se passer ? », ou « Que va-t-on penser de moi ? ». Cela nous arrache
au présent et à l’action, pour n’être plus que dans la réaction. Au fond, nous jouons un rôle,
et c’est cela qui donne le sentiment de ne pas être acteur de notre vie : nous nous oublions
en même temps que nous idéalisons le regard de l’autre. Pour prendre sa vie en main, il faut
commencer par être vrai. Non pas être méprisant et égoïste, mais s’efforcer de ne pas jouer
de rôle.
Porter l’attention sur le présent. Cela demande un effort constant; je suis souvent tenté de
regarder le passé,. Alors, pour revenir au présent, j’essaie de parler d’« aujourd’hui » :
aujourd’hui, je vais voir tel ami, aujourd’hui, je passe l’après-midi avec mes enfants… Et
j’essaie de bannir les conditionnels, les « j’aurais dû ». Quand je sens cette pensée monter
en moi, je la laisse passer en revenant au présent. Car plus nous regrettons, moins nous
pouvons être actifs. Nous avons tous, en nous, cette capacité à vivre le présent, il suffit de
regarder un enfant pour nous en convaincre : il est « là ». Le problème, c’est que nous avons
perdu cette aptitude. La méditation m’aide à la retrouver.

Le bonheur, l’action, c’est maintenant, aujourd’hui, à chaque instant, par chaque acte que je
choisis de poser.
C’est le choix d’avancer, de progresser dans ce que je suis. Il est normal d’avoir peur du
changement. Mais quand on tourne une page, on ne peut pas attendre que la page qui arrive
soit identique. C’est toujours un saut dans le vide…

Vous aimerez peut-être aussi