Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
RESERVOIR GISEMENT
DANS LE DOMAINE
PETROLIER
Fayçal Khrouf
INTRODUCTION - GENERALITES
TRAVAUX DE GEOLOGIE
- Etude de la surface du sol (sur carte ou sur terrain)
- Repérage des structures apparentes : plissements, failles, anticlinaux, …
- Etude au Laboratoire des échantillons de terre, de roches, de fossiles
- Reconstitution de la structure du sous-sol où peuvent apparaître clairement
les pièges
PROSPECTION PETROLIERE (suite)
TRAVAUX DE GEOPHYSIQUE
Ils permettent d’ausculter en profondeur l’écorce terrestre aux emplacements
Présumés des gisements.
- Méthode gravimétrique : basée sur l’observation des variations de l’attraction
terrestre
- Méthode magnétique : basée sur la mesure des variations du champ
magnétique terrestre
- Méthode électrique : basée sur la mesure de la résistance opposée par les
roches souterraines au passage d’un courant électrique
- Méthode sismique : consistant à faire exploser des charges pour provoquer
un tremblement de terre miniature ; l’onde de choc se propage à travers des
couches du sous-sol, se réfléchit en partie sur chacune d’elles à la manière
de rayons lumineux sur un miroir, pour être finalement enregistrée à son
retour en surface
Toutes ces méthodes et en particulier la sismique permettent de réaliser une
‘’échographie du sous-sol’’ en calculant les profondeurs approximatives des
Structures souterraines.
SISMIQUE
PROFIL SISMIQUE
FORAGE
COMMENT FORE-T-ON UN PUITS ?
L’ensemble de l’appareillage qui sert au forage (poids supérieur à 100 tonnes)
est suspendu à la charpente de l’appareil de forage ou derrick qui peut
Atteindre 50 m de haut.
Au sommet du derrick sont fixés plusieurs palans et poulies reliés à des treuils
mécaniques qui permettent de manœuvrer des lourdes tiges creuses de 9 m
de long vissées bout à bout. La tige qui se trouve au niveau du sol est carrée.
Elle est animée par la table de rotation. C’est elle qui met en mouvement de
rotation l’outil d’attaque que l’on appelle trépan.
Pour connaître avec précision la nature du terrain traversé par le trépan, on
remplace de temps en temps celui-ci par une couronne qui découpe et
prélève dans le fond du trou un échantillon de terrain de forme cylindrique
appelé carotte.
Le diamètre du forage diminue par palier avec la profondeur.
A la fin de chaque palier, et pour éviter que le puits se comble par un ébou-
lement, on le renforce en mettant en place un ‘’casing’’ constitué par des
tubes d’acier vissés bout à bout. Ce casing est ensuite cimenté (le ciment est
placé entre la paroi du trou et le casing.
FORAGE (suite)
ROLE DE LA BOUE DE FORAGE
On injecte sous pression, à l’intérieur du train de tiges, un courant de
boue
qui remonte à l’extérieur du train de tiges. Cette boue sert à :
- refroidir le terrain au point d’attaque de la roche
- entraîner en surface les débris rocheux
- consolider les parois du trou
- s’opposer par son poids à l’éruption subite du gaz ou de l’huile
3 – L’échantillon est saturé sous pression d’un liquide mouillant de densité ρL.
Il est ensuite pesé dans ce liquide P2
P2 = Po – Vs x ρL
Son volume solide est ainsi déterminé Vs = (P0 – P2) / ρL
Sa densité solide est ds = P0 / Vs
Sa porosité est déterminée Ø = (Vt – Vs) / Vt = (ds – da) / ds
PERMEABILITE
La perméabilité mesure l’aptitude de la roche à laisser circuler les fluides
contenus dans sa porosité.
C’est un coefficient de proportionnalité entre un Débit et un Gradient de
Pression.
A dp
LOI DE DARCY Q=k
μ dx
Sw
Swi Swc = 1-Sor
SATURATIONS EN FLUIDES
DEFINITION : C’est la quantité de fluide contenue dans les pores.
Elle est exprimée en pour-cent du volume poreux.
Pc = T ( 1 + 1 ) cos θ = 2 T cos θ W R θ O
R1 R2 R
approprié
La réponse de l’outil est fonction de la concentration en poids
des minéraux radioactifs dans la formation. Comme les argiles
constituent les roches radioactives les plus fréquentes, on admet
GR - GRmin
Pourcentage d’argile = Vsh = GRmax - GRmin
que la radioactivité d’une formation traduit son argilosité
- Le Potentiel Spontané : Mesure de la d.d.p. entre la colonne de boue
et la formation (ou la f.e.m. existant à leur
surface de contact
PSP : Zone argileuse
SSP = - K log (Rmf / Rw) Vsh = 1 – PSP / SSP
SSP : Zone propre
SSP et PSP étant mesurés à partir de la ligne de base des argiles
DIAGRAPHIE DU POTENTIEL SPONTANE (PS)
PRINCIPE : Mesure de la différence de potentiel entre la colonne de boue
et la formation (ou la force électromotrice existant à leur surface
de contact
La relation SSP = - K log (Rmf / Rw) n’est valable que pour une solution NaCl.
Si d’autres ions sont présents, on remplace Rmf et Rw par des résistivités
équivalentes Rmfe et Rwe, et on obtient la relation générale :
SSP = - K log (Rmfe / Rwe)
Rwe = Rmfe 10 ^ (- K / SSP)
Rmf est déterminé au Laboratoire
Rmfe, Rwe, Rw et la salinité de l’eau de formation sont déterminées à l’aide
d’abaques.
DIAGRAPHIE ACOUSTIQUE
PRINCIPE : Mesure de la vitesse du son dans la formation. Cette vitesse
dépend des caractéristiques élastiques de la roche, de sa
porosité et de la nature des fluides contenus dans les pores.
Δt = Δtmat (1 – Ø) + Δtf Ø Ø
E
R
AI
Δt - Δtmat
ES
AL
Ø= = A Δt + B
Δtf - Δtmat
R
C
G
47,5 55,5 Δt (μs / ft)
GENERATEUR
Le temps de transit de l’onde acoustique dans la
Formation est rapportée à la distance L et exprimée
en μs / ft
L
Argile 70 – 150 μs / ft Eau 200 - 190 μs / ft
Calcaire 47,5 μs / ft Huile 235 μs / ft
Dolomie 43,5 μs / ft Air 910 μs / ft
RECEPTEUR Grès 55,5 μs / ft
DIAGRAPHIE Gamma-Gamma DE DENSITE
PRINCIPE : Une source émet des rayons Gamma. Les rayons réfléchis
par la formation sont proportionnels à la densité de la formation
photon diffusé
photon
e- électron diffusé par effet Compton
Le phénomène de diffusion Gamma par Effet Compton est relié
à la densité électronique de la formation qui est reliée à la
densité globale de la formation
ρmat (g / cm3)
DETECTEUR
ρe = pb (Z / A) N Argile 2,2 – 2,75
ρ = ρmat (1 – Ø) + ρf Ø Calcaire 2,71
Dolomie 2,876
Grès 2,648
Ø = (ρmat – ρ) / (ρmat – ρf)
SOURCE
avec ρf = 1 pour l’eau
DIAGRAPHIE NEUTRON
PRINCIPE : Une source émet des neutrons de haute énergie( entre 4 et 6
Mev). Ces neutrons sont ralentis par la formation et ce,
proportionnellement aux noyaux d’Hydrogène. La densité
d’atomes d’Hydrogène étant pratiquement la même pour l’eau
et l’huile, la mesure permet ainsi l’estimation de la porosité de
la formation.
1) Le neutron est simplement ralenti. Il perd de son énergie et devient
thermique 0.025 eV.
2) Le neutron thermique continue à se mouvoir et à entrer en collision avec
les noyaux de la formation. Son énergie moyenne reste constante.
3) Le neutron thermique est finalement capturé par un noyau. Cette
capture s’accompagne par l’émission de rayons Gamma.
= 0,20
Donc Ø = 0,20 = 20 %
Calcul de Rw
Dans la zone à eau, on a Rt = 1 et
GAS
Sw2 = F Rw / Rt = 1
Donc Rw = Rt / F
OIL
= Ø2 Rt
RESERVOIR
= (0,2)2 x 1
Rw = 0,04 Ωm
WATER
Calcul de Sw
Dans la zone à huile, Rt = 10 et
Sw2 = F Rw / Rt
= 1 / (0,2)2 x 0,04 / 10
D’où Sw = 32 % et So = 68 %
EVALUATION DE L’ACCUMULATION
ACCUMULATION AU PUITS
La porosité et la saturation étant calculées au
niveau du puits à partir des diagraphies, on peut
H hi, Øi, Swi ainsi estimer la hauteur réduite d’hydrocarbures
au niveau du puits
Σ Øi hi (1 – Swi)
ACCUMULATION AUX PUITS GENERALISEE A LA STRUCTURE
Les informations disponibles sur les puits
doivent
être extrapolées à l’ensemble de la structure.
Diverses techniques permettent de faire cette
extrapolation. Les plus Performantes sont les
Vi
techniques géostatistiques.
R = Σ Øi Vi (1 – Swi)
CAS OU LES SATURATIONS ET LA POROSITE NE
SONT FONCTION QUE DE LA PROFONDEUR
h4, Ø4, Soi4
h3, Ø3, Soi3
HUILE
h2, Ø2, Soi2
h1, Ø1, Soi1
EAU
S4 S3 S2 S1
Sj + Sj+1
R=Σ( ) hj (Ø Soi)j
j 2
Les réserves ainsi obtenues sont pour des conditions in situ. Pour les
ramener aux conditions standards, on doit les diviser par Bo pour l’huile
ou Bg pour le gaz
RESERVES RECUPERABLES
Chaque fois que les fluides contenus dans le gisement sont soumis à une
pression décroissante, l’effort qu’ils exerçaient sur la roche magasin diminue
et celle-ci se contracte. Il y a réduction de la porosité et le volume de fluide
qui est obligé de quitter le gisement se trouve accru de cette réduction de
volume
DEPLACEMENT PAR UN AUTRE FLUIDE
EXPANSION DU GAS-CAP : Durant l’exploitation, le chapeau de
gaz se détend en poussant l’huile
G vers les puits producteurs.
O La récupération peut atteindre 60 %
de l’huile en place
Notations :
Huile Gaz Eau
Quantité en place (1) N G W
Production cumulée (2) Np Gp Wp
Récupération (2) / (1) np gp --
BILAN MATIERE POUR UN RESERVOIR D’HUILE
SOUS-SATURE
• Si on néglige la compressibilité de la roche et de l’eau interstitielle
(N – Np) Bo = N Boi
Volume huile restante = Volume huile initiale
1 dV
• Si on ne néglige la compressibilité de la roche ( C = - V dP ) et de l’eau
Pour une chute de pression ΔP
Le volume d’Huile Vp So s’accroit de Vp So Co ΔP
Le volume d’eau Vp Swi s’accroit de Vp Swi Cw ΔP
Le volume de pores Vp se contracte de Vp Cf ΔP
et la production d’huile est la somme de ces 3 termes
Np Bo = Vp ΔP (Co So + Cw Swi + Cf)
= Vp So ΔP (Co + Cw Swi / So + Cf / So)
Tout se passe comme si, la roche et l’eau étant incompressibles, l’huile
avait une compressibilité apparente Ce = Co + Cw Swi / So + Cf / So
Np Bo = Vp So Ce ΔP = N Boi Ce ΔP
Boi
Np = N Ce ΔP
Bo
BILAN MATIERE POUR EXPANSION DES GAZ
DISSOUS
• Conditions initiales Pi = Pb (pression de bulle)
• On néglige la compressibilité de la roche et de l’eau
(Volume des hydrocarbures restant = Volume des hydrocarbures initial)
Pression Quantités Volume fond
Pi Huile N N Boi
Gaz dissous N Rsi
P Huile N – Np (N – Np) Bo
Gaz restant dissous
(N – Np) Rs [N Rsi – Gp – (N – Np) Rs] Bg
Gaz libre
N Rsi – Gp – (N – Np) Rs
Les essais de puits sont une importante source d’information sur les gisements
d’huile ou de gaz. Ils fournissent des courbes de chute ou remontée de
pression en fonction du temps qui doivent être interprétées et analysées pour
obtenir les indications souhaitées sur les caractéristiques de la formation
(perméabilité, pression vierge du champ, pression statique au niveau du puits,
limites du réservoir) et les performances du puits (indice de productivité,
endommagement, efficacité d’une stimulation).
L’ambition d’un essai de puits diffère selon le contexte dans lequel il est effectué.
Il existe 4 principaux contextes :
- Essai sur puits d’exploration : Définir les caractéristiques du fluide en place, et
ensuite les caractéristiques de la couche (pression initiale et perméabilité)
- Essai sur puits de confirmation : Confirmer les résultats déjà acquis. Un
échantillon de fuile parfaitement représentatif sera recherché
- Essai sur puits de développement : Déterminer les caractéristiques du réservoir
(pression statique, perméabilité de la couche, endommagement aux abords du
puits) et le potentiel du puits (indice de productivité)
EFFET DE SKIN
Le skin effect ou effet de peau mesure la détérioration (par invasion des
fluides de forage et de complétion) ou l’amélioration (par stimulation) de la
perméabilité aux abords du puits sur une épaisseur infinitésimale autour du
puits
Kd < K Ps Kd > K Ps
Pwf
Pidéal Pidéal
Pwf
Profil de pression près d’un puits Profil de pression près d’un puits
endommagé stimulé
INTERPRETATION DE LA REMONTEE DE PRESSION
P
Pv ΔP Ps
t
Prédébit Build-up Débit Build-up
Tp Δt
Le tracé de la remontée de pression P (Δt) en fonction de log [(Tp + Δt) / Δt] fait
apparaitre une droite de pente m telle que :
k h = 21,5 B Q m
μ
Quand Δt tend vers l’infini, (Tp + Δt) / Δt tend vers 1, et l’extrapolation de la droite à
(Tp + Δt) / Δt = 1 donne une pression p* qui est une estimation de la pression statique
du réservoir au niveau du puits Ps
Q
L’indice de productivité du puits vaut IP = Ps - Pf (Pf : Pression en débit)
Le skin (effet de peau) factor vaut :
P1h – Pf 3,56 10-4 k
S = 1,15 - 0,405 – 1,15 log
m Ø µ Ct rw2
EXEMPLE D’INTERPRETATION D’UN BUILD-UP
Après une ouverture de 100 heures, un puits est fermé subitement, et la
remontée de pression est enregistrée. Calculer la transmissibilité (k h / μ),
la pression statique extrapolée et le skin factor S.
Données relatives au réservoir et
Temps de fermeture Pression au puits :
Δt (heures) P (psi) Qo Bo = 20 Bbl / day
0,1 371 Ø = 15 %
0,3 975 Ct = 250 10-6 psi-1
0,5 978 rw = 9”7/8
1 981 h = 100 ft
3 985 μ = 1cp
5 987
Les formules données pour k h et
10 990
S sont valables pour Q en m3/j, μ
30 994
en cp, P en bars, rw en m et Ct en
100 997
bar-1
EXEMPLE D’INTERPRETATION D’UN BUILD-UP
(Tp + Δt) / Δt Pression (bar)
Pf = 66 bars
1001 66,95
334 67,22 Qo Bo = 3,18 m3/j
201 67,43 Ø = 15 %
101 67,64 Ct = 3,6 10-3 bar-1
34 67,91 rw = 0,125 m
21 68,05 h = 30,48 m
11 68,26 μo = 1cp
4 68,53 Le plot de Horner donne :
2 68,74 m = 0,67 bar / cycle
Qo Bo μo
kh = 21,5 = 102 md m
m
x x + Δx
x
[
Somme des flux massiques
entrant dans un volume
Accroissement de la masse
= contenue dans le volume ]
ρ δp
Loi de Darcy Qm = k A (x , t)
μ δx
Σ Qm Δt = [ Qm (x + Δx , t) – Qm (x , t) ] Δt
= k A Δt [ ρ δP (x + Δx , t) – ρ δP (x , t) ]
µ δx δx
m = A Δx Ø ρ Ø est supposée constante, seul ρ dépend de la pression
1 ΔV 1 Δρ
C= =
V ΔP V ΔP
Δρ
Δm = A Δx Ø ΔP = A Δx Ø C ρ [ P (x , t + Δt) – P (x , t) ]
ΔP
k Δt [ ρ δP (x + Δx , t) – ρ δP (x , t) ] = C Ø Δx ρ [ P (x , t + Δt) – P (x , t) ]
µ δx δx
On suppose le liquide peu compressible (ρ indépendant de x)
δP k δ2P
- =0 Equation de Diffusion
δt صC δx2
CAS D’UN ECOULEMENT DIPHASIQUE
On suppose qu’on a affaire à un écoulement diphasique, incompressible, monodi-
Mensionnel, sans pression capillaire
krw ρw δPw
Σ Qw Δt = Δmw Qw = k A (x , t)
µw δx
Σ Qo Δt = Δmo Qo = k A kro ρo δPo (x , t)
µo δx
Pc = 0 donc Po (x , t) = Pw (x , t) mw = A Δx Ø Sw ρw
On pose S = Sw = 1 – So mo = A Δx Ø So ρo
Krw δP Krw δP
k A ρw [ (x + Δx , t) - (x , t) ] Δt = A Δx Ø ρw ΔS
µw δx µw δx
k A ρo [ Kro δP (x + Δx , t) - Kro δP (x , t) ] Δt = - A Δx Ø ρ ΔS
µo δx µo δx o
δ kr δP δS
k δx ( µ w δx ) = Ø δt
w
δ kro δP δS
k (
δx µo δx ) = - Ø δt
RESOLUTION DE L’EQUATION DE DIFFUSION
δP k δ2P
- =0
δt صC δx2
δP μ
Conditions aux limites Flux imposé (0 , t) = - Q (t)
δx kA G
Pression imposée P (0 , t) = PG (t)
Etat initial P (x , 0) = P0 (x)
- Séparation multi-étagée
Diminuer la vitesse du gaz, et donc limiter l’entraînement des
gouttelettes d’huile par le gaz
Se rapprocher le plus possible d’une libération différentielle, ce qui
permet de récupérer plus d’hydrocarbures sous forme liquide
- Traitement des émulsions
Injection d’agent désémulsifiant
Utilisation de séparateurs particuliers (‘’heater treater’’), qui assurent
en même temps la séparation et le réchauffement de l’effluent
TRAITEMENT (suite)
TRAITEMENT DES GAZ
- Déshydratation
Adsorption par des liquides tels que le T.E.G.
Eviter le problème de formation des hydrates
Limiter la corrosion dans les conduites (par les gaz acides)
- Dégazolinage
Refroidissement puis séparation
Eviter les problèmes dus aux écoulements diphasiques dans les
conduites
- Adoucissement
Prélèvement des constituants acides non désirables par absorption
(par des liquides tels que les amines)