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DELGADILLO Camila

L’église de la résurrection sur le Golgotha à Jérusalem

Description

Possède un édicule qui contient le tombeau du Christ. Elle est construite sur le mont
Golgotha à Jérusalem. L’église été constituée d’un atrium compact, une nef centrale et
deux latérales, au milieu du bâtiment, une abside circulaire est localisée avec 12 colonnes
comme symbole des 12 apôtres qui soutenaient une coupole. Il s’agissait d’une structure
en plan centré. Le focus de cette composition était localisé où Sainte Hélène a trouvé les
restes de la crucifixion. A l’est de la basilique, on trouve une autre structure, un cube de
pierre de parois de 11 m d’hâteur, où se retrouvaient les restes de l’excavation du monte
Golgotha, lieu de morte de Christ. La structure était une cour type atrium qui finalisé en
forme de semi cercle d’environ 36 m de diamètre. Dans le centre de l’extrémité circulaire
une construction ronde aussi avec 12 colonnes qui soutenaient une coupole. À l’intérieur
de la coupole il y avait une pierre conique qui gardé la tombe. Entre 350 et 380 le
martyrium, sur la tombé fut remplacé pour une autre anastase (résurrection) plus
grande de 16,8 m de diamètre. Tout le complexe de Constantine avait une longueur de
approximativement 135 m.

Pourquoi construire ce bâtiment ? Ce bâtiment a été construite, comme toujours dans


l’art romain pour la propagande pour étaler une idéologie dominante ou une idée
politique. Avec le concile de Nicée de 325 a commencé officiellement l’adoption de la religion chrétienne dans l’empire
romaine et la réunification de l’empire. Ce documente est le concile qui décidait quelle était la doctrine à suivre. Ce
changement a été représenté par la destruction du temple profane d’Aphrodite, et la construction consécutive de l’église le
plus beau et grand possible comme remédiation pour recevoir les grandes masses de fidèles qui fessaient pèlerinage. Le
devoir est pris par Zénobie sur les ordres de l’évêque Macaire. L’œuvre est achevée en 335 est partie d’un ensemble
d’églises faites pour commémorer différents succès de la vie de Christ. (L’église de la Nativité à Bethléem pour la naissance,
de l’Eléona ou Pater sur le mont des Oliviers pour la montée au ciel)

Analyse architecture

Le saint sépulcre avec Constantine, marque le début de l’architecture chrétienne et la construction de bâtiments immenses.
La construction alors suive encore le gout classique. Comme d’habitude sur les constructions romaines d’orient le sepulcre a
été construite en plan centré, à différence des structures d’occident généralement de plan basilical. L’architecture en plan
centré est dérivée de mausolées royaux et des heroa païens qui célébraient des actes de dieux et défunts. Cette typologie a
été adapté pour le martyrium, pour signaler un lieu où un martyr a souffert des tortures ou est morte, dans ce cas le
martyrium de Jésus pendant sa crucifixion et finalement sa résurrection. Le plan centré a été alors utilisé pour signaler les
lieux qui avaient relation avec la morte et vie de Christ.

Matériaux et pour quoi ils ont été choisis ainsi comme les changements technologiques sur les matériaux s’il y en a sur ce
période. À l’extérieur dans la cour ouverte a cote du sépulcre, le bâtiment était couvert de pierre polie et entourée, en face,
vers l’orient, la basilique doc l’intérieur était recouverte de plaques de marbre de plusieurs couleurs et l’extérieur était
couverte de pierres tailles en carrés brillantes. Au sommet, à l’extérieur une couche de plomb gardé l’égard de la pluie, et
l’intérieur du toit est faite sous forme de meubles sculptés. Le toit est soutenu par poutres au long de la basilique. Tout
l’intérieur était couvert d’or qui faisait briller tout le temple pour exalter l’importance du Martyrium de la résurrection qui
était la salvation.

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