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VISITE CLIENTS

Prise en charge client sur le parking du restaurant avec ou sans voiturette.


Toujours se présenter à l’accueil pour la prise en charge (don des clefs de voiture des clients,
s’annoncer, dire que nous sommes bien là et les clients aussi => surtout pour nom de résa)
Monter au jardin et pendant le trajet si possible, prise de contact, discussion aléatoire :
<<comment allez-vous ?>> ; <<Est-ce que c’est votre première fois au Mirazur ?>> ; <<D’où
venez-vous ?>> ; etc,…
Parler aussi du fait que vous visitez 1 des 5 jardins que nous avons = parler un peu de la
spécificité de chacun : Mirazur = aromatiques et Citron IGP + ornement (vue de la salle sur
le jardin) ; Karim = jardin du directeur de l’huilerie ST Michel qui nous fait l’huile pour le
Mirazur où on y trouve justement ses agrumes qu’il utilise pour cette même fabrication,
culture de légume principalement ; le jardin de la Mairie : culture de nos agrumes ;
Castillon : autre climat, montagnard = possibilité de faire + de légumes et notamment de vrais
légumes d’hiver (comme nous n’avons pas un hiver hivernal…)
Arrivée devant le jardin de Rosmarino/du chef : le voir dans sa globalité.
Pourquoi il s’appelle Rosmarino ? = parler de la ruine (tout le jardin est construit dessus)
Ruine de la villa Rosmarino qui est l’ancien château du roi Albert 1er, Roi des Belges
Pourquoi il s’appelle aussi le jardin du chef ? = montrer la maison de Mauro (ça fait toujours
de l’effet, c’est vraiment SON jardin)
===== LARGEUR DU JARDIN

ET pour la longueur, on s’arrête juste avant la maison rouge que l’on voit en haut du jardin.

Dans ce jardin nous avons une chance inouïe (et les voisins seront surement d’accord avec
ça), Napoléon a fait construire un canal entre la maison rouge et les limites du jardin qui nous
amène de l’eau de source des montagnes italienne. Une fois par semaine nous n’avons qu’à
ouvrir une petite trappe pour remplir notre cuve et par conséquent tout le jardin est arrosé
avec de l’eau de source, naturelle, minérale et non de l’eau de ville traitée pour être potable =
vrai +++

ENTREE DANS LE JARDIN = PREMIERE ZONE = ZONE TROPICALE = PARLER DU


MICROCLIMAT DE MENTON
Nous sommes entre terre et mer = évaporation de l’eau la journée et redistribution de la
chaleur et de l’humidité la nuit ce pourquoi ICI nous arrivons à produire des fruits tropicaux :
banane (planteur), fruits de la passion, tamarillo,…)
Peut aussi faire gouter les fleurs de bégonias (si il y en a) : fleur acidulée, acide, emplacement
qu’aime la plante justement parce qu’il y a un pin dans cette zone = choix de plantation =
embrayement sur la permaculture, la biodynamie et le calendrier lunaire tout en marchant vers
la serre = > faire goûter les shiso, expliquer la plante…
TOUJOURS FAIRE LIEN ENTRE LE JARDIN, CE QU’ON FAIT, ET LE RESTAURANT,
CE QU’IL FAIT.
Devant la serre, en parler, c’est notre serre, qui est certes mal placée mais qui desserve quand
même tous nos jardins, plants issus de notre propre production de graines, ou de fermes
paysanne ou des nombreux voyages de Mauro (AUCUNE GRAINE F1 = ASSURE LA
BIODIVERSITE)
Cette serre nous l’utilisons principalement en hiver, mais en été tendance à utiliser les
agrumes comme serre extérieure et naturelle.
Parler des agrumes et différentes plantes qui sont dans cette zone et se retrouver devant la
fontaine des capucines que nous pouvons faire gouter = gout wasabi ; parler aussi des ruines
Monter petit à petit et présenter la tagette agrume, la menthe aquatique, les fleurs comestibles
et passer à côté de la maison de Mauro pour monter encore et encore, faire les différentes
terrasses tout en présentant les lieux, les techniques, des herbes ou fleurs à goûter, etc…
Parler aussi des différents traitements, pas de chimie mais des purins… le temps au moins de
se retrouver au sanctuaire.

Présenter le sanctuaire = banque de semence, pas idéale mais nous améliorons nos pratiques
(ne pas hésiter à dire que nous ne sommes parfaits !). Lieu où l’on fait sécher nos plantes pour
récupérer les graines, faire goûter les graines de nigelle par exemple.
Dire aussi qu’au-dessus nous avons une ruche avec la volonté d’en avoir encore d’autre pour
la biodiversité, la pollinisation et bien sûr le miel…
Parler des composte de Luciana, composte biodynamique qui sont une nouveauté pour le
jardin qui sont formés en lasagne avec différentes couches : paille, légume, fumier, etc…
Continuer la marche en discutant jusqu’au poulailler.
Arrivée jusqu’au poulailler parler des poules, 40 poules pour un coq, 10 espèces différentes=
3 sortes d’œufs différents : marrons, blancs, bleus,… parler de leur nourriture : suivent le
calendrier lunaire, mange menu Mirazur, mix céréales, anciennes farines de la boulangerie au
bon baiser de Mitron, herbes fraîche,…
Pour les soigner : n’ont jamais vu de vétérinaire (n’ont aucun vaccin), vinaigre de Kombucha
dans leur eau chaque matin (nettoie estomac et intestin) et 1 fois par mois sur 3 jours : détox
de décoction d’ail (nettoie en profondeur l’intest). Aussi terre de diatomée pour repousser les
parasites qu’elles pourraient avoir dans leur plumage.
NE PAS HESITER A MONTRER LES ŒUFS (dedans aucune différence de goût comme elle
mange la même chose.) PS : poule haraoukanas et émeraude qui font les œufs bleus.
Redescendre tranquillement et ramener les clients sur le parking du restaurant, prévenir
l’accueil, et la visite est terminée.

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