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sauvages et de la ronce
La ronce commune
La ronce commune, rubus fruticosus, dont on parle ici,
est en vérité un regroupement de nombreuses
d’espèces et de sous-espèces très similaires les unes et
les autres. Pour les distinguer, il faut être botaniste et
passer des heures à observer tous les petits détails afin
de les comparer. Par contre, toutes ses espèces
s’utilisent de la même manière alors on va se contenter
de regarder tout ce qu’elles ont en commun.
Manger la ronce
Au printemps, on peut cueillir les toutes jeunes tiges,
quand elles sont encore vertes et bien tendres, et que
leurs épines sont encore molles. Il suffit de les éplucher
et on peut en manger l’intérieur qui est juteux et fruité.
Une fois épluchées, vous pouvez les couper en morceaux
et mettre dans une salade de fruits, par exemple, ou
alors les manger comme des asperges.
Fleurs comestibles
Les fleurs de la ronce sont comestibles. Même si elles
n’ont pas un goût transcendant, ça vaut la peine d’essayer
en d’en décorer une salade par exemple. Rien que pour
sensibiliser vos invités à la diversité des plantes
comestibles dans la nature…
Les mûres sauvages en cuisine
Et puis, vient le moment de cueillir les fruits ! Alors là c’est
un vrai régal. Les mûres sauvages sont sucrées,
juteuses, fruitées. Elles sont délicieuses. Le seul bémol
sont les petits pépins qui peuvent se coincer entre les
dents. Personnellement, ce n’est pas ça qui va
m’empêcher à renoncer au délice. Mais je connais des
personnes que cela dissuade.
75 g d’huile de coco
250 ml de lait végétal
3 œufs
250 g de farine de riz
100 g de poudre d’amande
100 g de sucre complet
1 pincée de sel
2 pincées de bicarbonate de soude
350 g de mûres
Préparation