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GUIDE COMPLET SUR LA REDACTION WEB

PLAN
MODULE 1 / LES BASES REDACTIONNELLES
MODULE 2 / LE PROCESSUS DE LA REDACTION
MODULE 3 / COMMENT ETRE A SON MEILLEUR NIVEAU ?
MODULE 4 / AMELIORER SON STYLE DE REDACTION
MODULE 5 / COMMENT MIEUX REDIGER SES TEXTES ?
MODULE 6 / QUELQUES CONNECTEURS LOGIQUES
MODULE 7 / CONSEILS D’UN REDACTEUR CHEVRONNE

Ce guide contient les indispensables que doit connaitre un bon rédacteur web. Si vous venez de
débutez et que vous n’arrivez pas à sortir votre épingle du jeu, voici l’e-book qui vous sauvera. Il résume
les fondamentaux de la rédaction web et vous aidera à franchir un palier.

Bonne lecture !

Module 1 : les bases rédactionnelles

 Qu’est-ce que la rédaction web ?


 Comment bien rédiger pour le web ?
 L’importance de l’orthographe
 L’importance d’une bonne maîtrise de la langue française
 La ponctuation et ses contours
 Les différentes balises html

Qu’est-ce que la rédaction web ?


La rédaction web consiste à rédiger du texte tout en tenant compte de plusieurs paramètres. Ces
dernières sont tout aussi variés : le comportement de l’internaute, les attentes de l’internaute,
quelques contraintes techniques etc. Il s’agit tout simplement de créer, de concevoir et de trouver la
manière de présenter l’information en atteignant les objectifs de communications visés.

Dans un français facile et plus accessible, la rédaction web consiste à écrire un texte, le publier sur
internet, tout en répondant aux préoccupations et en satisfaisant la curiosité de l’internaute.
Toutefois, elle peut paraître complexe lorsqu’il s’agit de la rédaction SEO (référencement naturel).
Aujourd’hui, c’est ce qui est recherché par les propriétaires de site internet.

Comment bien rédiger pour le web ?


Rédiger un article demande en effet, une bonne maîtrise de la langue française, une compétence en
culture générale et une curiosité prononcée. Ne vous inquiétez surtout pas s’il vous manque l’une de
ses qualités. Les exercices d'applications vous aideront et vous seront bénéfiques. Alors, pour bien
rédiger pour le web, il faudra tenir compte de 4 principales règles :

La présentation

Elle est la première chose qui différencie l’article d’un rédacteur, de l’article d’un bon rédacteur. En
effet, la présentation d’un article détermine sa qualité. Elle est divisée en deux étapes : la forme et le
fond de l’article.

La forme : Elle se fait généralement comme presqu’une dissertation et présente une introduction, un
développement et une conclusion.

L’introduction d’une rédaction web n’est pas très différente de celle qu’on fait en dissertation
française. Il faut parler du général, poser la problématique et annoncer le plan. Il faudra cependant
mettre un peu d’esthétique dans votre rédaction et surtout la simplifier.

L’introduction représente également l’endroit où l’internaute sait si cet article contient les
informations qu’il recherche. Un exemple simple : Mettez-vous à la place d’un internaute recherchant
un sujet sur internet. Il met : « qu’est-ce que la CEDEAO ? » dans la barre de recherche. Les sites
apparaissent et il clique sur l’un d’eux. Il est écrit : « Créé pour permettre aux états membres de
bénéficier d’un… » Je vous garantis qu’il quittera rapidement ce site et cliquera sur un autre.

Le second met : « la CEDEAO est la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest. Il
passera plus de temps sur cette page et appréciera le contenu parce qu’il a eu ce qu’il voulait. En effet,
l’internaute n’a pas le temps de fouiller toutes les informations qui sont sur les moteurs de recherches.
Il faudra donc veiller à ce que votre chapeau soit attrayant. Après l’introduction, vous attaquez le
développement de votre article.

Dans le développement, vous aurez à développer les sous-titres.

Enfin dans la conclusion, vous devez faire un bilan, répondre à la question posée et peut-être lancer
un nouveau débat si le sujet de l’article le permet bien-sûr.

Le fond : C’est ce qui est rédigé. C’est le contenu de l’information. Dans le fond, nous avons la lisibilité
qui repose généralement sur la longueur des phrases et des mots. En effet, la lisibilité est la capacité
d’un texte à être lu rapidement, a bien compris et bien mémorisé.
La structure

Pour qu'une information soit rapidement perçue et décryptée, on utilisera au maximum les niveaux de
structuration du texte. En effet, un article bien structuré est composé d’un chapeau, d’un titre, de
sous-titres et d’une conclusion. L’ordre des choses ne doit en aucun cas être inversé. Ainsi perçu, un
article peut être structuré :

Titre

Méta-description

Introduction (chapeau)

Sous-titre 1

Paragraphe 1

Sous-titre 2

Paragraphe 2

Conclusion.

NB : Cette structuration ne change pas sauf demande explicite du client.

Un article bien structuré donne l’envie au lecteur de poursuivre la lecture. Pour cela, une phrase ne
doit pas dépasser 20 mots et un paragraphe ne doit pas faire plus de 6 lignes. Le mot-clé doit être placé
dans le texte avec un style plaisant.

Le plan

Sachez qu’il n‘existe pas de plan parfait en rédaction. Vous devez simplement élaborer un plan capable
de capter l’attention du lecteur et de le motiver à continuer la lecture. Un élément essentiel à retenir
dans le plan : c’est la clarté de l’information.

Difficile à évaluer, la clarté, selon plusieurs experts en rédaction, serait « l’effet attendu » d’un
processus d’écriture.
Par ailleurs, la clarté d’un texte se mesure par la matérialisation d’une action que le texte veut susciter.
Elle relève de l’efficacité plutôt que d’un effet de style. Mises à part les aptitudes intellectuelles du
lecteur, les spécialistes se sont penchés sur les conditions d’émergence d’une bonne clarté :

La lisibilité (matérielle et intellectuelle)

La cohésion (logique, l’ordre des mots, règles d’accord)

La pertinence et cohérence (compréhension de l’environnement

De plus, il est important de construire son plan en « pyramide inversée ». Bien connue des journalistes
qui rédigent des dépêches, la « pyramide inversée » consiste à rédiger un article en commençant par
donner les informations les plus intéressantes au début, avant de rentrer progressivement dans les
détails.

Cette construction prend tout son sens sur Internet où les internautes veulent savoir tout de suite s’ils
ont atterri sur la bonne page Web. Ce qui implique de placer tout en haut de votre texte les éléments
principaux pour les inciter ensuite à scroller plus bas.

Pour se concentrer sur l’essentiel, et bien réaliser sa pyramide, on peut appliquer la fameuse règle
journalistique des « 5W » qui consiste à répondre aux questions suivantes :

- What (quoi) ?

- Who (qui) ?

- When (quand) ?

- Where (où) ?

- Why (pourquoi) ?

Le style

Avoir un style élégant permet d’attirer l’attention sur le travail que vous effectuez. Pour cela, il faudra
soigner son style de rédaction.

D’abord, écrire en bon français :

Cela paraît évident, mais cela va mieux en le disant… Pas de fautes de frappe, d’orthographe, de
grammaire ou de code typographique ! Ecrivez avec un dictionnaire, une grammaire, et un lexique des
règles typographiques à portée de main. Relisez-vous après votre rédaction.
Ensuite, vous devez apprendre à écrire simplement. Plus vous écrirez simplement, plus vous écrirez
vite et plus vous aurez de chances d’être compris et lu jusqu’au bout. Certes, ce type d’écriture «
automatique » n’est ni personnelle, ni littéraire, mais elle a l’avantage d’être efficace.

Voici les 10 lois du rédacteur professionnel :

1. Des phrases courtes et des paragraphes courts vous rédigerez

2. A sujet + verbe + complément les phrases seront limitées

3. Une idée par phrase et une phrase par idée vous construirez

4. Le vocabulaire vous simplifierez

5. Le jargon technique ou les mots étrangers vous traduirez

6. Les négations vous éviterez

7. Le passif vous éviterez

8. Les adjectifs et les adverbes vous fuirez

9. Les temps complexes (subjonctif, passé simple, etc.) vous oublierez

10. A voix haute, vous vous relirez.

Enfin, il est important d’écrire pour sa grand-mère

Dans la rédaction, on apprend à « écrire pour sa grand-mère », c’est-à-dire à rédiger un article en se


mettant toujours à la portée du grand public, sans prendre pour autant ses lecteurs pour des débiles
ou des incultes. Concrètement, cela signifie de toujours préciser :

- le contexte, les causes, les enjeux, la nature des acteurs ;

- la signification des sigles, des acronymes et des abréviations à leur première occurrence dans la page
Web (page par page) ;

- la traduction des termes étrangers ou techniques (halte au franglais !) ;

- le prénom, le nom, la fonction et l’organisme des personnes

En outre, vous devez écrire pour être lu. Pour attirer et retenir les internautes, il faut :

- construire son article en hiérarchisant les informations ;

- rédiger de façon simple, directe et concrète ;

- faciliter la lecture à l’écran ;

- veiller à la qualité technique du contenu.


L’importance de l’orthographe
L’orthographe est capitale car elle est ce qui fait notre image et détermine notre crédibilité devant le
client. Elle témoigne de la qualité des textes et donne confiance au client. Une orthographe défaillante
peut constituer un obstacle dans le processus d’obtention de clients, car elle révèle l’incompétence.

L’importance d’une bonne maîtrise de la langue française

Une bonne maîtrise de la langue permettra de simplifier les phrases afin de permettre au lecteur de
mieux nous comprendre. Maîtriser la langue, c’est avoir 40% de chances de réussir en rédaction.

La ponctuation
Elle est beaucoup plus visible dans la partie structuration de texte et rend plus facile la lecture de votre
article.

Les différentes balises html


De l’anglais (HyperText Markup Language), une balise HTML est un langage descriptif utilisé pour
structurer son contenu. Un document HTML est donc un fichier texte qui contient des balises. Ces
balises doivent être utilisées d'une certaine façon pour décrire correctement la structure du document.

Les balises indiquent au navigateur comment afficher le document, certaines balises permettent
d'intégrer différents médias comme des images, des vidéos ou des musiques parmi le texte de la page.
Le navigateur n'affiche pas les balises telles quelles.

Lorsqu'un utilisateur visite une page web, son navigateur analyse le document et l'interprète afin
d'afficher la page web correctement. Par exemple, si le document contient une balise <img>, le
navigateur chargera l'image associée et affichera l'image à la place de la balise HTML.

HTML contient environ 140 balises qui fournissent au navigateur des indications sur le sens d'un
élément, son interprétation ou son affichage. Entre autres choses, les balises permettent de fournir
des métadonnées pour le document HTML, de mettre en avant certaines phrases, d'ajouter des fichiers
multimédias ou de gérer des formulaires en ligne.

Voici quelques-unes des balises que vous utiliserez fréquemment dans l’écriture de textes :

<h1>, <h2>, <h3>, <h4>, <h5>, <h6>

Ces balises permettent de définir des titres de différents niveaux : h1 pour les grands titres et h6 pour
les titres des sections très spécifiques.

Exemple très simple

On vous demande de rédiger un article sur : quels sont les endroits à visiter en Espagne ?

Le titre représente déjà le h1. Mais il est toutefois possible de le reformuler si le client le demande.

Le h1 pourrait être reformulé ainsi : Les incontournables lors de votre séjour en Espagne

Le h2 représente maintenant les sous-titres

Pour ce h1, je pourrai mettre comme premier h2 : la cathédrale Notre-Dame de la Basilic


Sachez que, pour un bon article, il faut faire au moins deux h2.

La balise utilisée pour créer des paragraphes (<p>). Ces paragraphes sont généralement
(automatiquement) séparés par des sauts de ligne.

Ici, chaque balise h doit être décrit en au moins un paragraphe. Sauf l’introduction qui doit
généralement se faire en un seul et unique paragraphe.

La structure d’un document HTML :

Un document HTML est structuré ainsi :

H1

Intro: <p>

H2:

Au moins deux balises <p>

H2 :

Au moins deux balises <p>

NB : Cette méthode s’applique presque tout le temps. Cependant, il pourrait y avoir des
changements quand le client le demande. C’est le client qui décide et c’est lui qui donne les
consignes. Vous n’avez qu’à faire ce qu’il vous demande

Module 2 : Le processus de la rédaction

 Comment analyser le brief d’un client ?


 Comment faire des recherches sur internet ? (Recherches de sources fiables)
 L’analyse des mots clés
 Méta-title et méta-description
 La rédaction du contenu
 Que faire avant de livrer un article ?
Comment analyser le brief d’un client ?

D’abord, un brief c’est la clé de la réussite d’un projet. Il est là pour comprendre le ou les besoins, les
objectifs, la stratégie et les valeurs du client. C’est le départ d’une collaboration accomplie entre le
client et le rédacteur.

Comprenez que le client est le donneur d’ordre et peut être une entreprise, un annonceur ou un chef
de service. Le rédacteur, il s’agit de vous. Votre rôle est nécessaire à la réalisation du projet du client,
alors, il est important que vous suiviez les règles bien établies.

Pourquoi faire un brief ?

Le verbe « to brief » signifie : « donner ou fournir des instructions »

Il formalise une demande précise pour un meilleur rendu. Cela nécessite que le client ait bien réfléchi
au sujet.

Il donne une orientation claire et précise

Il livre tous ses objectifs et informations par écrit, la compréhension s’en trouve simplifié

Ainsi, avant de recevoir une demande de la part d’un client, nous devons lui demander de décrire
exactement ce qu’il veut.

Rédiger un bon brief, c’est suivre des étapes

Le brief est le début de la création, il est le passage de relais entre le client et le rédacteur.

Il permet de répondre aux questions telles que :

« Comment bien communiquer pour que l’autre agisse précisément en fonction de ma demande ? »
Côté donneur d’ordre. (Client)

« Ai-je reçu la bonne information qui va me permettre d’agir et mener à bien ma mission ? » Côté́
rédacteur.

Quelle est la structure d’un bon brief

Il se traduit par un texte plus ou moins long qui expose, et décris en plus des objectifs et de la stratégie
à atteindre, les contraintes. Ce qui permet de figer la demande pour éviter de mauvaises surprises pour
les deux parties. Il évite les oublis et les mauvaises interprétations de la part du rédacteur.

Il doit situer le projet dans le contexte et dans le temps :

Le présent : poser l’environnement de l’entreprise. Sommes-nous leader ou challenger sur un marché́


? Amenons-nous de l’innovation ou une nouveauté́ sur un segment ?

Le passé : revenir sur sa situation, ce qui a été fait précédemment et pourquoi.

Le futur : quelle est la problématique actuelle à laquelle ce projet doit répondre. Ce sont les objectifs.

Qui sont nos cibles ? Qui sont nos concurrents ? Combien ? Où ? Quand ? Qui ?

Les contraintes et les délais attendus.


Contenu : En complément du texte explicatif, de nombreux éléments peuvent être ajoutés afin d’être
encore plus précis sur ce qui est souhaité

Des images ou des visuels peuvent présenter une ambiance ou des couleurs

Une liste de choses qui plaisent ou déplaisent

Des sites Web inspirants

Une campagne précédente

De quoi disposons-nous réellement (fichiers, charte graphique, visuels, rédaction…)

Une analyse rapide de la concurrence.

L’expertise du client, et sa réflexion autour de son projet, doivent apparaître. Plus nombreuses sont
les informations communiquées au départ, mieux le projet sera compris par le rédacteur et mieux nous
rédigerons.

Analyser le brief d’un client, c’est simplement se mettre à sa place et se poser les questions comme
: Qu'est-ce que je veux ? Quelle information je désire partager ?

En outre, lire et relire la description afin de comprendre ce que désire exactement le client est la
meilleure façon de bien faire une analyse du brief.

Comment faire des recherches sur internet ? (Recherches de sources fiables)

Faire une recherche documentaire sur Internet c’est :

Savoir chercher l’information.

Valider la crédibilité de l’information trouvée.

Avoir une attitude responsable lors de l’exploitation de ces données.

Chercher l’information

Moteur de recherche le plus connu et le plus utilisé au monde : Google. Il y en a plein d’autres (Yahoo
Search, See, Bing), mais prenons celui-ci !
Contrairement à ce que certaines personnes pensent, il ne suffit pas de taper la question, le mot ou
l’idée qu’on vous demande de chercher. Si on vous demande, par exemple, « quelles sont les idées
pour devenir riche ? », vous tapez quoi ?

Si vous tapez « devenir riche », vous aurez 654 000 résultats ! Google, dans ce cas, cherche toutes les
pages, images, vidéos… contenant ces mots, individuellement, « devenir », « riche », mais aussi
ensemble « devenir riche ».

Vous allez devoir regarder toutes ces pages ? Comment affiner les réponses ? Les questions que vous
allez vous poser sans doute.

Faites simplement un remue-méninge sur la question posée.

Posez-vous les 5w
Cela vous permettra de trouver de nouveaux mots-clés.

Pour réduire le nombre de résultats, il faut :

Sélectionner les mots-clés.

Rédiger la formule de recherche possible que vous taperiez sur Google.

« Aucune réponse ne correspond à vos critères » et vous voulez plus de résultats ? Il faudra alors
supprimer des mots, des opérateurs ou trouver des synonymes !

Puis, validez l’information

Grâce à Internet, tout le monde peut chercher mais aussi mettre en ligne des informations sur
la Toile. À vous donc de savoir reconnaître une information donnée par un particulier, un
professionnel, ou par un organisme officiel, et de juger de la crédibilité des données.

En résumé, on peut valider la source en vérifiant l’un des quatre points suivants :

Qui est l’auteur ? Un particulier ? Un professionnel ? Un organisme ?

Quel est l’objectif du site ? Vendre ? Informer ?

Quel est le type du site ? Personnel ? Blog ?

Comment est présenté le contenu ? Comment est l’architecture du site ? Le contenu est-il mis à
jour ? Quel est le registre de langue (formel, familier, etc.) ? Y a-t-il des fautes d’orthographe ?
Retenez que la recherche sur internet détermine la qualité de votre article. Car , plus les sources
sont bonnes, plus vos articles sont de qualités.

L’analyse des mots clés

Pour un site bien référencé, l’analyse des mots-clés et le choix des plus pertinents est une étape
cruciale : elle vous permet de vous positionner au mieux dans les résultats des moteurs de recherche.

Heureusement, des outils efficaces existent pour vous assister dans cette démarche. Couplés à une
méthodologie adaptée, ils vous aideront à dénicher les expressions stratégiques pour rendre votre site
Internet plus visible. Nous allons voir ensemble la marche à suivre, étape par étape.

En résumé, un mot-clé désigne le mot le plus recherché ou le plus prisé par les moteurs de recherches
et qui doivent forcément être dans votre article. Certains clients peuvent vous envoyer des mots
clés. A vous de les insérer soigneusement dans l’article et à ne rien omettre.

Retenez également que la présence d'un mot clé dans un contenu dépend du nombre de mots du
texte. Si vous rédigez un article de 1000 mots, le mots clé doit apparaître 10 fois dans l'article.

Méta-title et méta-description

Les balises title et méta descriptions sont les premiers éléments que les utilisateurs découvrent dans
les SERPs (Page de résultats des moteurs de recherche) après avoir effectué leur recherche. Je vous
donne l’importance de ces données dans le classement de nos pages.

En effet, la balise title et méta description font partie des principaux critères retenus par le célèbre
algorithme Google pour positionner nos pages.
Alors quelles sont les règles à suivre pour optimiser parfaitement ces balises ? Quelles sont les erreurs
à éviter ? Comment réussir à séduire à la fois les robots Google et les visiteurs ?

Balise title : Quelles sont les règles en matière d’optimisation ?

Il est important de noter que la balise title possède un double enjeu pour le référencement des pages.
En effet, celle-ci doit répondre aux impératifs fixés par les règles Google et répondre par la même
occasion aux attentes des internautes sur la requête tapée.

Pertinence Google

Voici les principales règles de Google en matière d’optimisation pour les balises title. Celles-ci
permettent aux robots de Google de mieux comprendre les pages et donc la requête sur laquelle
nous nous positionnons !

Insérer le mot clé travaillé dans la balise title du texte.

Placer de préférence l’expression clé au début du titre.

Travailler le champ lexical du sujet traité dans la page.

Ne pas répéter la requête plusieurs fois (risque de suroptimisation)

Ne pas utiliser un titre similaire à une autre page du site.

Privilégier une bonne syntaxe plutôt qu’une liste de mot clés.

Un exemple simple pour faciliter la compréhension :

Le client vous demande de rédiger un article ayant pour titre : Qu'est-ce que plume sur page ?

Une balise title optimisée sera : Plume sur page : ce qu'il faut connaître

Il est important de ne pas dépasser 60 caractères pour la balise title au risque d’être coupé par trois
points de suspension et de perdre en pertinence aux yeux de Google.

Comment optimiser sa méta description ?


Contrairement à la balise title, la méta description a pour simple et unique but de séduire les
utilisateurs car cela ne fait plus partie des critères de positionnement par Google. On parle donc d’un
effet indirect de classement du fait que si vous offrez une belle expérience utilisateur aux visiteurs,
alors Google prendra ce facteur pour mieux positionner la page du client.

La méta description est généralement plus longue que la balise title. Un exemple de méta pour l’article
: quels sont les endroits à visiter en Espagne ?

Méta description : Souhaiteriez-vous visiter les nombreux sites touristiques de l’Espagne ? Cet article
se propose de vous les présenter.

Il est important de savoir que la méta description ne doit pas dépasser 150 caractères.

La rédaction du contenu

Êtes-vous prêts à rédiger vos premiers articles ? Attention : la rédaction de contenu pour le web répond
à des règles précises, adaptées à la spécificité du support. Voici les fondamentaux de la rédaction web
à connaître pour écrire des contenus 100 % web.
1. La rédaction de contenu répond à des objectifs précis

Un journaliste écrit pour diffuser une information. Un rédacteur web, lui, a également pour but
d’informer ; mais il doit en outre savoir convaincre son lectorat (pour vendre un produit/service, pour
démontrer son savoir-faire ou celui de son client, pour inciter le lecteur à rester sur le site, etc.) et
structurer son texte en fonction des règles de référencement naturel.

La rédaction de contenu exige la maîtrise de multiples compétences, ainsi que la capacité à répondre
à des objectifs précis, qui diffèrent en fonction du domaine d’activité et du profil des internautes à
cibler. Rédiger n’est donc pas qu’un simple luxe.

2. Mettre les informations principales en avant

Attirer l’attention : voilà le secret de la rédaction de contenu pour le web. Il ne faut pas se concentrer
uniquement sur celle des lecteurs, auxquels il faut donner envie de lire en s’appuyant sur les titres et
l’introduction. Mais aussi, écrire pour avoir l’attention des robots des moteurs de recherche, en
proposant des titres qui leur permettent d’indexer aisément la page du client.

Une bonne structuration de ses contenus vise ainsi à mettre les informations principales (comprendre
: les mots-clés) en avant dans :

Les titres Hn (H1 pour le titre principal, H2 pour les titres de parties, H3 pour les sous-titres…) ;

Les balises (title, meta description),

Le chapô (une cinquantaine de mots en moyenne).

Attention : le titre principal et la meta apparaissent dans la page de résultats de Google. Il est donc
essentiel de bien les travailler !

3. Optimiser le référencement de ses contenus

La rédaction de contenu vise à informer, convaincre… et bien référencer ses pages ! Le référencement
naturel est une méthode indispensable pour positionner ses pages dans les premiers résultats des
moteurs de recherche. Sans ce levier, les contenus ne seront pas visibles pour les internautes et le site
des clients n’engrangera pas de trafic.

Le référencement d’une page passe par :

L’optimisation des balises

Le choix des mots-clés (populaires mais pas trop concurrentiels ; en adéquation avec les attentes des
lecteurs cibles) ;

Le placement des mots-clés dans le contenu (il faut atteindre une densité moyenne de 1 à 2 % pour le
mot-clé principal) ;

L’optimisation de l’URL (contenant le mot-clé principal, et pas trop long).

Il est également important de travailler le champ sémantique autour du mot-clé. Si notre contenu
porte sur le Salon de l’Auto, par exemple, les termes que nous devons utiliser sont : « voiture », «
automobile », « véhicule », « mécanique », « quatre roues », des noms de marques, etc.

4. Adapter la longueur des textes aux sujets


C’est une interrogation qui revient souvent à propos de la rédaction de contenu : faut-il écrire des
textes courts ou longs ? Doit-on privilégier des contenus de 300 à 400 mots, rapides à lire, ou proposer
des articles experts qui prennent le temps nécessaire pour bien expliquer les choses, quitte à tutoyer
les 2 000 mots ?

On pense communément que les internautes ne lisent pas, ou peu, les contenus web. Or, selon une
étude Backlinko, les articles situés en première place dans les résultats de Google sont composés d’une
moyenne de 1 890 mots ! Et puisque Google ne fait rien au hasard, c’est que ses utilisateurs doivent
apprécier ces longs contenus !

En réalité, tout dépend du sujet traité… et de l’objectif de la page. Parfois, 400 mots suffisent pour
faire le tour d’une question (s’il s’agit d’une page dédiée à l’optimisation). D’autres fois, proposer des
contenus de 1 500 ou 2 000 mots contribue à démontrer son expertise sur une thématique donnée.

Toutefois, lorsque vous rédigez pour un client il faut tenir compte du nombre de mots qu’il demande.

Module 3 : Comment être à son meilleur niveau ?

Se fixer un niveau de qualité


Perfectionniste ? Exigeant !

# Donner le meilleur de soi...

Écrire plus vite


# Réduire les distractions
 Éteindre le téléphone ? Se déconnecter d’internet tout au moins.
 Travailler dans un espace réservé à cet effet.

# Rédigez un plan même dans les grandes lignes


Cela permet de gagner du temps, de produire un texte cohérent, et d’éviter de nombreuses
répétitions. Le plan permet de cerner et d’aborder le sujet plus facilement.

Lorsque vous rédigez votre plan :

 Vous pouvez repérer des défauts évidents ou des problèmes.


 Et puis surtout, l’ensemble de votre projet a l’air beaucoup plus facile à gérer. Vous l’avez
décomposé en petites étapes.
# Imposez-vous un rythme
Écrire 25 minutes, puis prendre une pause 5 minutes, par exemple, permet d’écrire plus en
moins de temps : on est beaucoup plus concentré.

Expérimentez ce système, ou un autre. Bousculez votre façon de faire pour l’améliorer.

# Commencez où vous voulez


Pas besoin de commencer par écrire l’introduction ou le premier chapitre.

Inversement, si vous voulez commencer par le commencement et travailler jusqu’à la fin, c’est
très bien aussi. Il n’y a pas de «bonne» façon de faire.

Ce qui importe : ne pas perdre de temps.

# Ne vous censurez pas


N’exigez pas la perfection instantanée. Quand vous estimerez avoir fini d’écrire ce que vous
vouliez alors vous pourrez commencer à critiquer. L’important c’est de faire avancer les choses
chaque fois.

Conseils en vrac
#Lire, quelle importance ?
Pour travailler votre style, prenez le temps de lire.

Vous devez lire ce qui correspond aux sujets que vous abordez afin de connaître et manier le
jargon avec aisance. Si vous écrivez sur la mode ou sur l’économie, trouvez de bons textes qui
abordent ces thèmes afin de vous en inspirer.

#Copier
De temps en temps, copiez des expressions qui vous plaisent, essayez de vous les approprier.
Vous allez comprendre les choix des rédacteurs de haut niveau.

Les articles qui portent sur les articles de luxe sur internet par exemple sont rédigés par des
auteurs qui ont des styles très épurés. Ils font usage de mot et d’expression de grande qualité.
Copiez leur style en vous exerçant par exemple à reformuler des articles une ou deux fois.
#Enrichir son vocabulaire
Tout comme pour l’orthographe et la grammaire, ne vous appuyez pas sur vos acquisen ce qui
concerne le vocabulaire.Choisissez les mots que vous ne connaissez pas ou que vous utilisez
peu, ceux qui vous plaisent.

#Faire la chasse aux répétitions


Lorsque vous écrivez ou lorsque vous corrigez votre texte,traquez les répétitions. Selon vos
exigences, elles peuvent être évitées dans une dizaine de lignes ou dans la page entière.
Remplacez-les par des périphrases ou des synonymes

#Écouter ce qu'on écrit


Relisez-vous à haute voix. Si vous n’aimez pas ce que vous avez écrit, il y a peu de chances
que les lecteurs l’aiment.

#Varier la longueur des phrases


Les phrases trop longues sont à éviter, car il est facile d’y faire des erreurs et de faire perdre le
fil de l’idée au lecteur. Toutefois, écrivez avec un mélange de courtes, moyennes et longues
phrases. Créez un son qui sonne à l’oreille du lecteur.

Module 4 : Améliorer son style de rédaction

Expressions et mots choisis

Les trois niveaux de langue :


 Le niveau familier (utilisé à l’oral)
 Le niveau courant (utilisé lors des relations sociales, à l’oral et à l’écrit)
 Le niveau soutenu (principalement réservé à l’écrit).
Choisir ses mots !
Certains mots ont plus de poids que d’autres.

Le choix des adjectifs :


« Magnifique merveilleux, superbe, joli, charmant », au lieu de « très beau »

« Mince, maigre, chétif », au lieu de « petit »

« Minuscule, microscopique, infime »au lieu de « très petit »

Etc.

Le choix des *(bas de page) connecteurs logiques :

« Bien que » et non « malgré que » jugé maladroit.


« étant donné que » et non « vu que », également maladroit.

Évitez de commencer une phrase par une conjonction de


coordination. Préférez un adverbe.

Remplacez par exemple :

« Mais » par « pourtant », « cependant, », « d'un autre côté »


« Et donc » par « Par conséquent »
« Or » par « Cependant », « Toutefois »
« Car » par « En effet », « La cause en est »
« Par contre » par « En revanche »
« Au niveau de » par « Sur le plan de »

Évitez les verbes avoir, être (sauf aux temps composés) dire,
faire et l'expression «il y a»…
Remplacez par exemple :

« Avoir » par « posséder », « révéler »


« Être » par « paraître », « rester », « demeurer », « sembler »
« Dire » par « écrire », « affirmer », « ajouter »
« Il y a » par « on remarque », « on note ».

Exemple :

C’est une bonne solution.

Remplacé par :

Cette solution se révèle excellente.

#Privilégier la simplicité

Voici quelques exemples :

Leur connaissance remonte au jour où ils ont passé ensemble le conseil de révision pour
être incorporés dans l’armée.

Remplacé par :

Ils se sont connus en passant le conseil de révision pour effectuer leur service militaire.

Autre exemple :

Une allée qui mène jusqu’à la maison

Une allée qui mène à la maison

#Éviter les répétitions

Sans entrer dans les détails (redondances, pléonasmes, anaphores), il y a différentes sortes de
répétitions, en voici quelques exemples :

Petit nain, très fréquent, sortir dehors, monter en haut, allumer la lumière, jeune chiot,

Ou encore :

Finalement, il a fini par venir vivre chez moi.

Cela ne veut pas dire que les répétitions sont à bannir. Dans certains cas, elles ont leur utilité
pour insister, donner plus d’importance, accuser le trait, renforcer une impression, etc.
#Rechercher la fluidité

C’est une notion importante qui reste pourtant très vague. On ne peut pas définir cette qualité
avec des critères objectifs, elle se perçoit à la lecture. Un texte fluide semble couler comme
une rivière qui ne rencontrerait pas d’obstacles sur son passage. Lisez votre texte à voix haute
pour en vérifier la fluidité. Comment les mots sonnent-ils à votre oreille ? Comment
s’enchaînent-ils ? Si vous rencontrez des difficultés dans la diction, si vous butez sur certains
mots ou groupes de mots, si vous êtes obligé de vous reprendre à plusieurs fois, reformulez-le.

Une bonne façon de gagner en fluidité est d’écrire son texte sans trop s’interrompre. Quand il
est produit en une fois, le fil ne se perd pas, et les idées semblent s’enchaîner naturellement.

#Ne pas abuser des subordonnées

Exemple :

« Il considère qu’il a une mission qu’il doit accomplir avec soin et abnégation. »

Il est préférable d’écrire :

« Il a une mission. Il estime qu’il doit l’accomplir avec soin et abnégation.

Module 5 : Comment mieux rédiger ses articles ?

1- Introduire un texte en accrochant le lecteur.

L’information clé toujours au début


Voilà encore l’une des règles d’or de la rédaction web : on place le contenu important (les mots
clés) au début : dans les titres, au début des articles…

…Cependant, il faut savoir mettre cette information en


valeur.
- Partir du général au particulier. Un « général » en rapport clair avec
l’information principale.
- Mettre en valeur l’information principale (ou le mot clé principal) à venir en
suscitant par exemple la curiosité du lecteur avant de lancer le mot clé principal.
Petit exemple pratique sur la mise en valeur du mot clé principal, et sur une introduction qui
part du général au particulier : Écrire un texte qui vante les bienfaits de la mangue.

Comparez l’introduction 1 à la 2

1: La mangue est un fruit tropical qui est très apprécié. Elle est riche en nutriments et en
vitamines, très sucrée, et savoureuse. Découvrez ici tout sur ce beau fruit.

2 : Certains fruits tropicaux sont connus pour leur goût original, mais la mangue se distingue
particulièrement par sa saveur exceptionnelle. On l’apprécie autant pour sa chair sucrée que
pour sa forte valeur nutritive. Découvrez ici ce fruit tropical aux multiples qualités.

Les informations utilisées sont les mêmes.

2- Une méthode de rédaction en 5 étapes

Objectif et public cible

Identifiez la situation qui vous amène à rédiger ce texte :

 à qui vous adressez-vous ?


 Quel est l’objectif à atteindre ?

Collecte et sélection des informations

 Rassemblez les informations à transmettre à l’aide d’un outil tel que les 7 questions
(Quoi ? Qui ? Quand ? Où ? Pourquoi ? Comment ? Combien ?).
 Sélectionnez ensuite ces informations, en ne gardant que celles utiles pour atteindre
votre objectif.

Structuration du contenu

 Choisissez un plan adapté à votre objectif de


communication (celui-ci peut être : informer, dire de faire,
expliquer, convaincre).
 Structurez les informations sélectionnées selon le plan choisi.

Rédaction

 Regroupez vos idées en paragraphes cohérents et reliez-les par des connecteurs logiques
;
 soyez concis : éliminez tout mot ou information inutiles ;
 choisissez des formulations conviviales, qui attirent l’attention du lecteur et l’incitent à
l’action ;
 adoptez un style simple

(L’internaute lit en diagonale et de l’ordre de 25% moins vite que sur papier. Rédigez donc des articles aérés tout
en hiérarchisant l’information et en mettant en évidence les mots clés.)

Relecture et correction

Relisez-vous, au moins deux fois :

 une première relecture « dans la peau du lecteur « : pour vérifier que vous donnez au
lecteur toutes les informations nécessaires, formulées clairement ;
 Une deuxième relecture « correction « : vérifiez et corrigez toute erreur grammaticale
ou orthographique.

Module 6 : Quelques connecteurs logiques

Addition: Et / De plus / Puis / En outre / Non seulement... mais encore

Alternative : Ou / Soit… soit / Soit… ou / Tantôt… tantôt / Ou… ou /Ou bien / Seulement… mais encore /
L’un… l’autre / D’un côté… de l’autre

But : Afin que / Pour que / De peur que / En vue de / De façon à ce que

Cause :Car / En effet / Effectivement / Comme / Par / Parce que Puisque / Attendu que / Vu que / Etant
donné que / Grâce à / Par suite de / Eu égard à / En raison de / Du fait que / Dans la mesure où / Sous
prétexte que
Comparaison : Comme / De même que / Ainsi que / Autant que / Aussi… que Si… que / De la même façon
que / Semblablement / Pareillement / Plus que / Moins que / Non moins que / Selon que / Suivant que /
Comme si

Concession :Malgré / En dépit de / Quoique / Bien que / Alors que / Quel que soit
/ Même si / Ce n’est pas que / Certes / Bien sûr / Évidemment / Il est vrai que / Toutefois

Conclusion : En conclusion / Pour conclure / En guise de conclusion / En somme / Bref / Ainsi / Donc / En
résumé / En un mot / Par conséquent / Finalement / Enfin / En définitive

Condition, supposition :Si / Au cas où / A condition que / Pourvu que / A moins que / En admettant que /
Pour peu que / A supposer que / En supposant que / Dans l’hypothèse où / Dans le cas où / Probablement
/ Sans doute / Apparemment.

Conséquence : Donc / Aussi / Partant / Alors / Ainsi / Par conséquent / si bien que /
D’où / En conséquence / Conséquemment / Par suite /C’est pourquoi / De sorte que / En sorte que /De
façon que
/ De manière que / Si bien que / Tant et

Classification, énumération : D’abord / Tout d’abord / En premier lieu / Premièrement / En deuxième lieu
/ Deuxièmement / Après / Ensuite / De plus / Quant à / En troisième lieu / Puis
/En dernier lieu / Pour conclure / Enfin.

Explication : Savoir / A savoir / C’est-à-dire / Soit .

Illustration :Par exemple / Comme / Ainsi / C’est ainsi que / C’est le cas de / Notamment / Entre autre / En
particulier.

Justification : Car / C’est-à-dire / En effet / Parce que / Puisque /En sorte que
/ Ainsi / C’est ainsi que / Non seulement… mais encore / Du fait de

Liaison : Alors / Ainsi / Aussi / D’ailleurs /En fait /En effet /De surcroît /De même / Également / Puis /
Ensuite.

Opposition : Mais / Cependant /Or / En revanche /Alors que / Pourtant / Par contre / Tandis que /
Néanmoins / Au contraire / Pour sa part / D’un autre côté / En dépit de / Malgré / Au lieu de.

Restriction : Cependant / Toutefois / Néanmoins / Pourtant / Mis à part / Ne… que / En dehors de / Hormis
/ A défaut de / Excepté / Sauf / Uniquement / Simplement.

Temps : Quand /Lorsque / Comme / Avant que / Après que / Alors que / Dès lors que / Tandis que Depuis
que / En même temps que / Pendant que / Au moment où .

Module 7 : Quelques conseils d’un rédacteur web chevronné

1. L'introduction dans un article web prend au maximum 10% du nombre total de mot. Ce qui signifie
que pour un article de 500 mots, l'introduction ne doit pas excéder 50 mots. Surtout oubliez les blablas
et les phrases génériques du genre : nous vous présentons dans cet article… Dans cet article, vous
avez…

Une introduction trop longue pour un petit article ennuie lors de la lecture.

2. Si vous trouvez des sources intéressantes à ajouter à vos articles, veuillez les reformuler au
maximum. Le plagiat n'est pas toléré. Il discrédite la qualité du travail et est aussi banni par Google.

3. Évitez au maximum, les reformulations ou les phrases pas claires. Faites des phrases également
assez courtes, qui faciliteront la lecture et la compréhension de votre article. Lorsque vous rédigez des
articles informatifs, le client doit pouvoir trouver la réponse à ses questions.

Dans un article où le client demande : Pourquoi donner des croquettes à son chien ? Et dans l’un de
vos H2, vous mettez : Qu’est-ce qu’une croquette ? Vous allez HS. Le client sait déjà ce qu’on appelle
croquette. Tout ce que lui, il veut ce sont les avantages qu’il y a de donner ce type de nourriture à son
chien. Vous pouvez par exemple mettre comme h2 : Les croquettes pour développer la musculature
de votre chien.

4. En ce qui concerne la conclusion, elle ne doit pas aussi être longue. Elle fait un bref résumé de
l'article mais aussi crée une ouverture vers un sujet parallèle ou connexe. Autrement dit, lorsque
l'internaute lit l'article, il y trouve la réponse à ses questions. Arrivé au niveau de la conclusion, il voit
de façon suscite le résumé de l'article mais également une autre idée qui peu, peut-être le conduire à
lire autre chose.

5. Il faut que vos articles soient équilibrés. Quand je parle d'équilibrer, c'est par rapport au nombre de
mots.

Si vous avez un article de 500 mots à rédiger sachant qu'il y a une marge de 50 mots, il faut déjà partir
sur la base des différentes parties de votre article.

Si votre article doit comporter 5 parties, cela fait déjà 100 mots par parties et 50 mots pour
l'introduction. Donc vous savez que même si dans chaque partie vous faites 90 mots vous avez la
marge. Ça évite que l'article soit déséquilibré et qu'il y ait des parties plus longues que d'autres. Les h2
doivent avoir à peu près les mêmes tailles en matière de mots.

6. Dans vos articles, développer une seule idée à la fois. Restez dans une même logique. Si vous parlez
des avantages, présentez dans votre article que des avantages.

Si ce sont des inconvénients, répondez clairement.

L'internaute qui cherche par exemple les avantages d'une voiture, il sait déjà ce que c'est qu'une
voiture. Il n'a pas besoin qu'on le lui explique à nouveau. Il veut directement voir les avantages.

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