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OPEU
1- Devenir étudiant
J’ai pu grâce à cette séance identifier l’émotion que je ressentais, par exemple ,
la peur de ne pas réussir aux examens et le fait de réguler mes émotions m’a
permise de me motiver d’une part , et d’une autre de me rassurer.
Mais réguler ses émotions , c’est aussi ré-évaluer la situation et la reformuler de
manière positive. Tout ce qu’on fait, on choisit de le faire, ce n’est pas une
obligation. Concernant les examens, mes phrases étaient beaucoup tourner vers
l’obligation comme « je dois réussir» et qui se sont alors transformées en « je
choisis de réussir». Quand les examens arrivaient, j’ai a très rapidement eu le
réflexe de me dire « que j’ai beaucoup trop de chose à faire» alors je me suis
mise à penser de manière positive en commençant par utiliser la technique des
petits pas en me disant « je commence par ça, j’ai déjà fait ça , il faut que je
termine ça». Et cela m’a pas mal aidé.
3- Gérer son temps
Les éléments importants de cette séance sont de savoir s’organiser c’est à dire ,
voir les différentes tâches qu’on a à accomplir , les planifier donc estimer la
durée de ce que l’on fait , les analyser : vérifier l’efficacité du travail que l’on
fournit puis utiliser la «TO DO LIST» qui permet de voir le travail qu’il reste à
faire et enfin de se motiver par différents facteurs: internes et externes.
J’ai surtout commencer à planifier les choses que j’allais faire en estimant la
durée de chaque activités , car quand je ne mettais pas de limite dans ce que je
faisais , cela me prenait beaucoup de temps, parfois je ne terminais même pas
ce que je commençais donc la journée se terminait sans que je n’ai pu accomplir
toutes les choses que je devais faire. Tout cela faisait que je devais très souvent
décaler mon planning et abandonner l’idée de sortir le week-end avec mes
amies.
J’ai allié la durée des tâches avec la to do list , que je faisais rarement, mais
arrivée en études supérieures, je me suis rendue compte que je ne pouvais pas
tout stocker dans ma tête , donc la to do list est une bonne alternative et elle me
permettait de rester organiser tout au long de la semaine. Chaque fin de semaine
j’écris sur un post-it toutes les choses à faire pour la semaine suivante en
essayant à chaque fois d’estimer la durée de la chose sur le coté. Et je coche au
fur et à mesure que cela a été fait. En plus d’estimer la durée des tâches, il faut
aussi estimer les priorités , je sais que un devoir à rendre dans 2 jours va être
plus important que faire une fiche ce week-end. Je hiérarchise alors les tâches,
de la plus importante à la moins importante.
Garder ses objectifs en tête tout au long de l’année est une source de motivation
qui va nous permettre parfois de se mettre au travail , pour réussir, et d’autres,
de persévérer et maintenir ses efforts, toujours pour réussir , malgré les
obstacles que l’on peut rencontrer, tels que des difficultés dans une matière ou
encore la fatigue dû au trajet par exemple.
4- Etre efficace dans son apprentissage
Lors de cette séance, j’ai pu apprendre plusieurs notion importantes , tout d’abord ,
les différentes mémoire de récupération qui existe , comme la mémoire sensorielle
(celle qui perçoit les infos), mémoire de travail ( à court terme) et la mémoire à long
terme qui engendre un automatisme lors de la réponse.
Le mode actif (traite l’info) et passif (reçoit l’info) est tout de même un élément clef
de la séance, après 2 semaines 10 % de personnes se rappellent de ce qu’elles ont lu
et 70 % de personnes de ce qu’elles ont dit et écrit. On voit alors clairement dans les
pourcentages que le mode actif est mieux pour l’apprentissage, par exemple , lorsque
l’on fait des fiches , on assimile mieux son cours car on le réécrit , or si on lit
seulement notre cours , il y a de forte chance qu’on ne se rappelle plus de rien deux
semaines plus tard. Rester concentrer en cours c’est la cléf de la réussite car rien que
le fait d’écouter comme on peut le voir dans le schéma , 50 % des personnes se
rappellent de ce qu’elles entendent et la moitié du travail est fait. Afin de
décompresser il faut savoir alterner entre révision et plaisir personnel/sorties… pour
ne pas surchargé notre cerveau.
Les points importants de cette séance ont été de voir l’importance de faire des fiches
à l’approche d’un examen/ d’un contrôle car elles permettent de s’interroger sur les
points importants et de réactiver l’information.
Le deuxième point important c’est d’avoir vu qu’il existait différents types de
connaissances. Celle qui répondent à un «quoi» dites déclaratives, celle qui répondent
à un «comment faire» donc les procédurales ou encore celle répondant à un
«quand/pourquoi» les conditionnelles.
J’ai commencé à utiliser des fiches il y a bien longtemps déjà , donc c’est pour moi
une sorte d’habitude de les faire à l’approche de chaque examens. Comme je l’ai dis
précédemment elle permet de s’interroger sur les points importants et de réactiver
l’information. De plus, elle permet aussi de mémoriser sur le long terme donc ça peut
etre une bonne chose quand on s’y prend à l’avance. Etant une personne qui a une
mémoire visuelle et kinesthétique,je les conçoient à ma manière avec un code couleur
qui m’appartient ce qui me permet de mieux retenir, les fiches me servent alors
beaucoup dans mon apprentissage et permettent d’être alors plus performant. Le fait
juste de récrire les choses me permette d’assimiler une première fois les notions puis
de faire le tri des informations , et garder alors que le plus important.
Sur les fiches je met le plan de chaque chapitre, les connaissances utilisées pour
résoudre les exercices, les formules, des mots clés, et cela varie en fonction de la
matière, c’est à dire , qu’on peut aussi faire des fiches sous forme de tableau , de carte
mentale, de fiche linéaire … le plus important, c’est de se rappeler de la méthode
utilisées.
Personnellement , je fais mes fiches au fur et à mesure du chapitre ou tout à la fin du
chapitre ce qui me permet alors de tout revoir juste avant le contrôle.
6-7: Procrastination
Les éléments importants de cette séance ont été tout d’abord, le terme de
procrastination qui signifie la tendance d’une personne à reporter ou annuler une
tâche alors qu’il est néfaste pour elle d’agir de la sorte et qu’on procrastinait car on ne
veut pas sortir de sa zone de confort.
(Le deuxième point important de la séance est qu’a chaque choix que l’on va faire, il
va y avoir des conséquences parfois immédiate et d’autre fois sur le long terme.)
Troisième point, on a vu comment faire face à la procrastination, il fallait gérer les
obstacles, définir clairement nos objectifs et les tâches/ durée pour y arriver. Le point
le plus important reste le fait de se mettre au travail et de persévérer dans ce que l’on
fait.
J’ai moi même fait face à la procrastination dans le cadre de mon BUT pour les
premiers partiels qui arrivaient à grand pas. Je repoussais toujours le moment de
réviser la fiscalité car c’est une matière dans laquelle j’avais des difficultés et qui ne
m’intéressait pas forcément donc je ne voulais pas lui accorder de temps. J’ai alors
commencer à gérer les obstacles en identifiant les freins, c’est à dire ce qui
m’empêchait de démarrer , en l’occurrence , mon désintérêt envers la matière, ou les
camarades en cours , et ensuite les distracteurs , c’est à dire ce qui détournent de
notre objectif, ici , le téléphone , le bruit ou même les proches en ont été. Je me suis
par la suite donné des objectifs bien précis grace à l’objectif «SMART». Je me disais
que j’accordais 1h pour assimiler une partie du cours , faire 5min de pause, repartir
sur 30min d’exercice. Pour ne pas être brusqué j’ai utilisé la technique des petits pas ,
c’est à dire faire les choses petit à petit, un peu tous les jours. Le point important ça
été de toujours persévérer malgré tout. J’ai alors commencé à m’organiser
correctement, à choisir un bon environnement pour travailler en retirant tous les
éléments distracteurs, me mettre devant en cours et suivre. Mes proches ont été une
source de motivation externe , et le fait d’avoir garder mes objectifs en tête ont été
une motivation interne , je me suis alors félicité d’être arrivé ou j’en étais à chaque
fois ce qui permettait de me revaloriser.
7 bis « s’engager et persévérer»
Les éléments importants de cette séance ont été de savoir quels sont les freins qui
nous empêchent de s’engager et les distracteurs qui nous empêchent de persévérer et
comment s’en débarrasser et faire face à la difficulté.
Lors de cette séance le point important à été de comprendre les attributions causales
d’une performance. Il existe des causes interne et externe et permettent d’avoir des
performances faible ou élevée. C’est important d’identifier ces causes pour changer
ou améliorer ce que l’on fait et pour ne pas reproduire les mêmes erreurs.
Cette séance m’a beaucoup servit dans le sens où j’ai pu voir mes performances et
comprendre la raison pour laquelle je ne réussissais pas forcément un contrôle par
exemple. Les causes internes sont plus facilement modifiable que les causes externes
car on ne peut pas agir dessus. La technique du tableau est une bonne manière de
faire son bilan de performance ( faible et élevé) car tout est classé et à portée de vu.
Par exemple, en fiscalité, les causes internes de la performance faible étaient: la
procrastination , mon désintérêt envers la matière , une mauvaise gestion du temps et
le stress. Ce qui m’a fait avoir une assez mauvaise note, j’ai donc appris de mes
erreurs afin de ne pas les reproduire. En fiscalité nous avions que un seul partiel donc
ma note pour le premier semestre n’est pas rattrapable , mais j’aviserais d’appliquer
les nouvelles méthodes pour les autres matières (la qualité du sommeil joue beaucoup
aussi, avoir réviser à l’avance ce qui va permettre de «juste» relire le cours avant
l’examen.)
Prendre en compte la correction aussi est primordial afin justement de ne pas
reproduire les mêmes erreurs et au passage de voir les éléments sur lesquels on a eu
bon et prendre conscience de nos réussites
9- Le stress
Lors de la séance sur le stress , les points importants ont été de savoir identifier les
émotions , mettre des mots sur ce que l’on ressent. Au niveau du corps( non verbal)
on a certaines expressions émotionnelle comme contact visuel, mimiques, posture,
distance inter corporelle. Au niveau para verbal comme la voix, le ton, le volume,
timbre, débit, articulation.
L’élément important de cette séance à été les techniques de régulation émotionnelle
comme la respiration ventrale, la cohérence cardiaque ou encore le yoga qui sont des
exercices pour réduire son stress.
Cette séance sur le stress à été la plus utile et la plus bénéfique pour moi , elle a été
faites au bon moment juste avant les partiels de fin de semestre.
A l’approche des partiels j’avais souvent des pensées négatives, plusieurs émotions et
sensation se mélangeaient. Je n’arrivais pas forcément à décrire ce que je ressentais,
mais grace à la séance , j’ai pu le faire. J’étais nerveuse, angoissée à l’idée de rater
mes épreuves. J’ai alors pu tester la technique de la cohérence cardiaque qui consiste
à dissuader son cerveau en ce disant « calme toi tout va bien se passer» et d’utiliser la
technique du 365 ( 3 séance par jour, ou l’on doit avoir un rythme cardiaque régulier
6 fois et ça pendant 5 minutes), ce qui m’a plus ou moins calmé durant ma première
épreuve.
En parallèle au épreuves, j’ai ressenti du stress aussi quand je suis passé à l’oral pour
un exposé. Je n’avais malheureusement pas encore fait la séance pour savoir gérer
mon stress car des tics apparaissent. Au niveau para verbal , la voix qui tremble, le
ton de ma voix qui divaguait. Et au niveau non verbal, je jouais avec mes mains , je
ne regardais pas forcément mon public.
La gestion du stress , c’est aussi la gestion du temps mais surtout de soi. On se
connaît le mieux donc on sait plus ou moins quelle technique pourrait marcher sur
nous. Adapter son environnement d’apprentissage est primordial aussi pour la réussite
et la gestion du stress ainsi que l’entourage car ils jouent beaucoup. Ils peuvent nous
calmer , nous aider à gérer notre stress.