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Faculté de Technologie
Spécialité : Géotechnique
Présenté par :
Mazari kaouther
Oumammar el aldja
اقرأ بسم ربك الذي خلق خلق اإلنسان من علق اقرأ و ربك األكرمالذي علم بالق لم
علم اإلنسان ما لم يعلم كال إن اإلنسان ال يطغى أن رءاه استغنى
MESSAD ALI et BOUKENNA ZAKARIA , pour leur disponibilité ,qu ‟il nous a
Pour finir, nous remercions nos très chers amis qui sont devenus des
,
Du fond du cœur, je trouve l’énorme plaisir de dédier le fruit de mes années d’études en Génie Civil
Spécialement à mes parents à qui je dois énormément, qui ont cru en moi et qui m’ont donné les
A ma famille qui n’a cessé de me soutenir pendant tout mon parcours. Je leur exprime toute ma
gratitude pour leur soutien financier et moral, ce qui m’a permis d’être à ce niveau.
Et notamment à mes frères MADJID YOUCEF YOUNES ET ISHAK et ma sœur HADIL, et toute la
famille MAZARI
MERCI.
Mazari kaouther
Merci à Dieu " ALLAH " qui m’a donné la force la patience, le courage, la volonté et de
Merci à Dieu "ALLAH" aussi qui m'a donné des bons PARENTS et ma sœur FELLA et mon
Mari RAHIM, qui m’ont toujours poussé et motivé dans mes études, ce projet fin d'étude
Eleldja oumammar
RESUME
La recherche des solutions de fondations adaptées aux différents projets constitue la
Considérations techniques liées aux caractéristiques des sols supports, le choix de ces
Solutions est souvent affecté par la limitation des budgets imposés par les clients. De
Même, la dimension temporelle représentée par le délai d’exécution des solutions constitue
Meilleure solution.
ABSTRACT
The search for the solutions of foundations adapted to the various projects establishes
the major concern of the geotechnical engineers. In the practice and besides the technical
Solution is often affected by the limitation of the budgets imposed by the customers. Also,
In this context, our memory suggests calculation and sizing of the lower part of the bridge and
Modeling of piles, to know, the bridge and piles of project « RN18 OUED ELMALEH SIDI
NAAMANE-MEDEA »
The correct adaptation of the calculation results of this project allowed us to identify the best
solution.
Chapitre
ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE :
PARTIE 1 : les ponts
1. Introduction…………………………………………………………………………………………………………….
2. Les composantes d’un pont………………………………………………………...............................
2.1. Les fondations……………………………………………………….......................................
2.2. Le tablier………………………………………………………………………………………………………
2.3. Les appuis…………………………………………………………………………………………………….
a. Les pille………………………………………………………………………………………………….
b. Les culées…………………………………………………………………………………………………
c. Les appareille d’appuis…………………………………………………………………………..
3. Classification d’un pont……………………………………………………………………………………………
3.1. Classification selon la voie portée………………………………………………………………..
3.2. Classification selon la structure………………………………………………………………………
a. Ponts voutés………………………………………………………….................................
b. Ponts à poutres……………………………………………………………………………………
c. Ponts à poutres en béton précontraint……………………………………………
d. Ponts à poutres mixtes acier/béton………………………………………………….
e. Ponts à poutres en bois………………………………………………………………………
f. Ponts à haubanées……………………………………………………………………………..
Chapitre
Présentation …………………………………………………………
Chapitre
Etude et conception
1. Introduction……………………………………………………………
2. Critères de choix du type d’ouvrage ………………………………….
3. Les paramètres intervenant dans le choix du type d’ouvrage………….
4. Conception de tablier…………………………………………………..
4.5. Conclusion……………………………………………………………………
chapitre : calculs
1. Introduction………………………………………………………………..
1.1 Présentation générale de l’ouvrage…………………………………………..
1.2 Coupe longitudinale…………………………………………………………
1.3 Coupe sur culée……………………………………………………………
1.4 Présentation de calcul………………………………………………………
1.5 Charges appliquées sur les culées………………………………………
2. Paramètres de calcul et matériaux de construction………………………
4. Données de calcul……………………………………………………………….
l’ELU…………………………………………………………………….
l’ELA…………………………………………………………………….
l’ELS…………………………………………………………………….
Fig.II.5:pieux foncé.
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Qu’on a (définitions d’un pont et ces composantes) définition des principaux types des pieux
, leur mode d’exécution et leurs principes de fonctionnement.
Le deuxième chapitre retrace la présentation du projet (l’histoire de l’ancien pont et les
Causes de son effondrement).
Le troisième chapitre est consacré au conception du projet (les avantages et inconvénients de
Chaque variante et en conclusion on choisi la variante la plus favorable pour la réalisation.
Le quatrième chapitre concerne les calculs adoptés au cours de travail (les charges et
surcharges, La capacité portante de chaque pieu, calcul de ferraillage des pieux).
Dernièrement, la conclusion.
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ETUDES BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre 01
ChapPartieI
itre 01
Généralité sur les ponts
Chapitre01 : études bibliographique
1-Introduction :
epuis long temps, l’homme a toujours cherché à traverser des obstacles naturel s
D .pour y a arriver ,il a dû, par exemple ,avoir recours au ponts ;Les ponts sont
apparus pour la premier fois dans l’aire romaine .au fil des années la construction
des ponts a évalué, le choix des matériaux aussi au jour d’hui encore, des innovation sont
observables .on voit une infinité de ponts , de forme ,ou construit avec défirent
matériaux ;alors comme une définition général on dit que un pont est un ouvrage permettant
à une voie de circulation de franchir un obstacle naturel ou une autre voie de circulation
.selon sa fonction on distingue :pont route ,pont rail et pont canal .
Cette définition est peu précise dans la mesure où elle ne se référé à aucune notion de
dimension, de forme ou de nature d’ouvrage .pour les petits ponts hydrostatiques, on parle
couramment de ponceaux ou de dalots. A l’inverse, on emploie de préférence le terme de
viaduc lorsqu’il s’agit d’un ouvrage de grande longueur possédant de nombreuses travées et
généralement situé en sites terrestres.
1. Les composantes d’un pont :
Un pont se compose de trois parties qui sont :
les fondations.
les appuis.
le tablier.
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Chapitre01 : études bibliographique
Les efforts de toute nature agissant sur l'ouvrage se trouvent reportés sur les poutres qui les
transmettent aux appuis constitués par les piles et les culées, dont qu’à leur tour ont pour
mission de les reporter au sol par l'intermédiaire des fondations. On distingue généralement
trois types de fondations classés en fonction du rapport de la longueur d'encastrement D par
rapport à la largeur ou le diamètre B de la fondation
Des fondations superficielles (semelles et radiers) lorsque D /B
Des fondations semi-profondes (puits) lorsque 4≤ D/B
Des fondations profondes (pieux) lorsque D/B ≥ 1O.
2.2. Les appuis :
Il existe deux types d'appuis: les appuis de rive ou culées et les appuis intermédiaires ou piles
(piles constituées de colonnes ou piles constituées de voiles)
a. Les piles :
Les piles sont des appuis intermédiaires qui transmettent les efforts dus au tablier jusqu’au sol
de fondation. Les piles peuvent jouer un rôle plus au moins important dans le fonctionnement
mécanique du tablier à savoir si ce dernier est simplement appuyé, ou partiellement ou
totalement encastré. Elles sont caractérisées par le fait qu’elles soient à l'air libre sur la grande
partie de leur hauteur. On peut classer en deux familles:
Les piles constituées des éléments larges (voiles).
Les piles constituées des éléments minces (poteaux ou colonnes).
Les culées :
Les culées sont particulièrement sensibles à une mauvaise conception ; en cas de
comportement défectueux, les remèdes sont rares et coûteux, c’est pourquoi on s’oriente
toujours vers un dimensionnement raisonnable sur abondant et des formes aussi simples que
possible. Une culée bien conçue doit satisfaire à toutes les exigences de la fonction culée ;
une fonction mécanique et une fonction technique, Les caractéristiques de la fonction
mécanique sont :
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Chapitre01 : études bibliographique
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Chapitre01 : études bibliographique
a. Dalle :
La dalle ou hourdis sert d'élément de couverture; c'est elle qui reçoit la couche de roulement
de la chaussée et les surcharges des véhicules. Outre celui de couverture, le rôle de la dalle
est de reporter les charges permanentes et les surcharges sur les poutres, les longerons et les
entretoises.
b. Entretoise :
Les entretoises sont perpendiculaires aux poutres qu'elles relient entre elles. Elles ont un
double rôle: celui de contreventement transversal s'opposant au déversement des poutres et
celui de solidarisation, en répartissant les surcharges et le poids propre sur les poutres. Les
entretoises doivent être aussi raides que possible et assez nombreuses pour assurer la
solidarité effective des poutres; il faut que leur nombre ne soit pas exagéré et leur poids aussi
réduit que possible. II y a donc deux impératifs contradictoires qu'il faut concilier.
c. Longerons :
Les longerons, essentiellement utilisés dans les ponts métalliques, sont disposés parallèlement
à l'axe longitudinal de l'ouvrage et relient entre elles les différentes entretoises.
d. Poutres principales :
Les efforts dus au poids propre (de la dalle et des entretoises) et aux surcharges sont transmis
aux poutres qui les reportent sur les appuis constitués par les culées. On distingue les poutres
latérales et les poutres sous chaussée.
e. Contreventent :
Le contreventement est constitué par une poutre croisée horizontale entre poutres latérales, le
tout destiné à assurer la stabilité du tablier sous les efforts du vent
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Chapitre01 : études bibliographique
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Chapitre01 : études bibliographique
Les ponts voûtés couvrent les portées de 2 à 100 mètres. Pour les très petites portées, les
ponceaux voûtés massifs et en plein cintre, essentiellement employés comme ouvrages de
décharge hydraulique, sont des ouvrages plutôt rustiques, mais ils constituent une solution
simple et robuste. Des ouvrages en voûte mince, constitués d'éléments préfabriqués en béton
ou métalliques, sont souvent employés pour des ouvrages courants jusqu'à 9 m d'ouverture à
condition que la hauteur de couverture du remblai reste inférieure à 7 m et que le rapport de
leur hauteur à leur ouverture soit compris entre 0,6 et 1. Au-delà des ouvrages utilisés
actuellement dans le domaine des ponts en arc sont en béton armé
Plusieurs critères peuvent différencier les ponts voûtés : la forme de la voute, le type
d’appareillage de la voûte, le type d’avant-bec ou d’arrière-bec. Ainsi la voûte peut être en
plein cintre (demi-cercle parfait), en arc de cercle (segment d’arc), en ogive, en anse de panier
ou en ellipse. Le bandeau de la voute peut être extradossé à pierres rayonnantes, à double
rouleau, bloqué, à double rouleau non extradossé, en tas de charge, avec platebande en tas de
charge. Les becs peuvent être triangulaires, en amande, rectangulaires, ou circulaires
b. ponts à poutres :
Les ponts à poutres désignent tous les ponts dont l’organe porteur est une ou plusieurs poutres
droites. Ils n’exercent qu’une réaction verticale sur leurs appuis intermédiaires ou
d’extrémités et les efforts engendrés dans la structure sont principalement des efforts de
flexion. Deux critères permettent de différencier les poutres : la forme ou le matériau, le
croisement des deux permettant de déterminer un grand nombre de poutres. Il existe quatre
formes de poutres : les poutres à âmes pleines, les poutres caissons, les poutres treillis et les
poutres bow-strings, ces dernières sont néanmoins classées parmi les ponts en arc car l'organe
porteur principal reste l'arc. Le matériau de constitution de la ou des poutres peut être le
métal, le béton armé, le béton précontraint, le bois ou, plus récemment, des matériaux
composites tels que la fibre de carbone.
Ponts à poutres en béton armé Les poutres en béton armé sont parallèles sous la chaussée,
presque toujours à âme pleine, solidarisées transversalement par des voiles en béton armé
formant entretoise. La couverture (le hourdis) est une dalle en béton armé qui joue le rôle de
membrure supérieure de liaison des poutres. Selon les dimensions respectives et modes de
liaison de ces deux éléments, on distingue trois types de tabliers de ponts en béton armé : les
tablier à hourdis nervuré, les tabliers tubulaires (il existe un hourdis inférieur en plus du
hourdis supérieur, on peut aussi parler de caisson) et les tabliers en dalle pleine (il n’y a pas de
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Chapitre01 : études bibliographique
poutre). Ces ponts sont coulés en place. Beaucoup de ponts à portée modérée franchissant
routent et autoroutes sont de ce type.
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Chapitre01 : études bibliographique
Les poutres bow-strings ne doivent pas être confondues avec les poutres en treillis de
hauteur variable. Extérieurement elles y ressemblent, mais il s’agit bien d’arc dont la
poutre inférieure de liaison sert de tirant
e. Pontes à poutres en bois :
Les poutres en bois sont disponibles en deux grandes catégories : le bois massif et le lamellé-
collé, les assemblages sont réalisés soit traditionnellement par l'intermédiaire
de tenons et mortaises, soit par clouage ou boulonnage. On distingue également les
différentes essences utilisées parmi lesquelles nous citerons le pin, le sapin, l'épicéa, le chêne,
le châtaignier, le douglas, certaines sont plus adaptées à certaines expositions, il sera
préférable par exemple d'utiliser le pin pour un climat maritime. Un des éléments primordiaux
pour assurer la durabilité du bois est de le conserver sec
Ponts suspendus
Les ponts suspendus se présentent sous la forme d'une structure comportant un tablier en acier
ou en béton, assurant la continuité de la voie portée et la répartition des charges, et des
organes porteurs : les suspentes, les câbles et les pylônes. Les suspentes supportent le tablier
et transmettent les charges aux câbles porteurs. Ces derniers, d'allure parabolique,
transmettent une réaction verticale sur les pylônes et des efforts de traction dans des câbles de
retenue amarrés sur des massifs d'ancrages, excepté pour les ouvrages dits « auto-ancrés » où
les câbles sont amarrés sur le tablier
Dans le cas des ouvrages à travées multiples, les efforts de traction induits par les charges
roulantes sont transmis jusqu'aux câbles de retenue par des câbles accrochés sur des selles ou
des chariots mobiles en tête des pylônes et appelés « câbles de tête ». Dans le cas général, les
câbles de retenue, situés entre les ancrages et les pylônes, ne supportent pas de charge. Les
suspentes verticales peuvent être complétées par des haubans inclinés afin de réduire les
déformations du tablier. La classification est la suivante.
f. Pontes à haubanés:
Les ponts à haubans se présentent sous la forme d'une structure comportant un tablier en acier
ou en béton et des organes porteurs : pylônes, en acier ou en béton, travaillant en
compression, et câbles inclinés, appelés haubans, travaillant à la traction.
Les ponts à haubans sont principalement différenciés selon leur nombre de pylônes. On
distingue ainsi les ponts symétriques à trois travées, les ponts à pylônes uniques et les ponts à
travées haubanées multiples. La première famille est la plus nombreuse. Dans de tels ponts les
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Chapitre01 : études bibliographique
haubans les plus proches des culées sont appelés haubans de retenue. Ils donnent à l’ouvrage
l’essentiel de sa rigidité. Dans le cas des ouvrages à pylônes uniques, celui-ci peut être
central, encadré par deux travées d’égale longueur, ou bien en position décalée. L’ouvrage
peut être entouré ou non de viaducs d’accès. Les structures haubanées à travées multiples
permettent de limiter, par rapport à une solution plus classique, le nombre des fondations qui
sont en général onéreuses
a. Ponts fixes
Les ponts fixes comprennent tous les ouvrages dont l'élément porteur, et en particulier le
tablier, est fixe
b. Ponts mobiles
Un pont mobile est un pont dont le tablier est mobile en partie ou en totalité. Lorsque la
hauteur du gabarit de navigation est importante (zones portuaires, canaux à grand gabarit), la
solution de son franchissement par un ouvrage fixe entraîne la construction d'ouvrages d'accès
importants et parfois irréalisables par manque de place. Sous réserve que la largeur du gabarit
ne soit que de quelques dizaines de mètres et que le trafic routier ou ferroviaire porté par le
tablier soit peu contraignant, il est plus économique d'envisager le franchissement par un pont
mobile capable de s'effacer en cas de besoin devant le trafic de la navigation qui est
prioritaire. On peut distingue :
Un pont levant est un pont dont le tablier peut se relever par translation verticale, et libère
le passage d'un bateau par exemple.
Un pont tournant est un pont dont le tablier peut tourner, et libère ainsi le passage d'un
bateau.
Un pont transbordeur est une structure métallique qui permet de faire passer les véhicules
et les personnes d'une rive à l'autre dans une nacelle par translation horizontale.
un pont-levis est un pont mobile qu'on abaisse et relève, pour ouvrir ou fermer le passage
au-dessus d'un fossé encerclant un ouvrage fortifié.
un pont flottant ou pont de bateaux
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Chapitre01 : études bibliographique
c. Ponts provisoires
Un pont provisoire permet d'apporter une solution temporaire de franchissement d'un cours
d'eau ou à la dénivellation d'un carrefour.
Ce type de pont est relativement utilisé dans le domaine du génie militaire : les ponts
Bailey (ou Calendre Hamilton) ou certains « toboggans » en sont des exemples.
D'autres types de ponts provisoires sont les ponts flottants et les ponts de glace, créés dans
certaines contrées l'hiver
d. Ponts habités
Un pont habité permettait au Moyen Âge à certains usagers de se loger, il assure plus
généralement certaines fonctions liées à la ville
3.5. Classification selon la taille :
Les grands ouvrages routiers sont différenciés des petits par la dénomination d’ouvrages non
courants, par opposition aux ouvrages courants.
A. Ponts non courants
En France, et dans le domaine routier, la première définition en a été donnée dans la circulaire
du 2 janvier 1986, puis dans celle du 27 octobre 1987, puis cette définition a été reprise dans
différentes autres circulaires dont celle du 5 mai 1994
Sont considérés comme ouvrages non courants, d´une part, les ouvrages répondant aux
caractéristiques suivantes :
les ponts possédant au moins une travée de plus de 40 mètres de portée ;
les ponts dont la surface totale de l´un des tabliers dépasse 1 200 mètres carrés
les tranchées couvertes ou semi-ouvertes de plus de 300 mètres de longueur ;
les ponts mobiles et les ponts canaux
Sont également considérés non courants tous les ouvrages ne dépassant pas les seuils
précédents, mais dont la conception présente des difficultés particulières, par exemple :
celles provenant du terrain (fondations difficiles, remblais ou tranchées de grande hauteur,
risques de glissement...) ;
celles sortant des conditions d´emploi classiques (grandes buses métalliques d´ouverture
supérieure à 8 mètres, voûtes en béton d´ouverture intérieure supérieure à 9 mètres ou
dont la couverture de remblai est inférieure à 1/8 de l´ouverture intérieure, utilisation d´un
dispositif ayant pour but de limiter la charge sur l´ouvrage)
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Chapitre01 : études bibliographique
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Chapitre01 : études bibliographique
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Chapitre01 : études bibliographique
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Chapitre01 : études bibliographique
4.4. CORNICHES :
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Chapitre01 : études bibliographique
Les corniches sont des éléments qui équipent les bords latéraux d'un pont et dont le rôle
principal est d'améliorer l'esthétique de l'ouvrage :
en jouant sur des effets de forme, de proportion, de couleur ;
en éloignant l'eau des parements verticaux ;
et en rattrapant les irrégularités de la structure.
Depuis quelques années, le rôle de la corniche s'est orienté très nettement vers l'élément de
décoration de l'ouvrage pendant que toutes les autres fonctions (larmiers, fixations du garde-
corps...) étaient assurées par d'autres dispositions constructives.
En site urbain ou protégé, on recourt de plus en plus fréquemment aux corniches-caniveaux
qui assurent, à la fois une fonction esthétique, et une fonction d'évacuation longitudinale des
eaux de pluie.
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Chapitre01 : études bibliographique
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PartieII
Un pieu est une fondation élancée qui reporte les charges de la structure sur des
couches de terrain de caractéristiques mécaniques suffisantes pour éviter la rupture du sol et
limiter les déplacements à des valeurs très faibles. Les trois parties principales d’un pieu sont
la tête, la pointe,
et le fût compris entre la tête et la pointe. La longueur d’ancrage h est la longueur de
pénétration du pieu dans les couches de terrains résistantes.
Figure II.1: Schéma explicatif d’un pieu (Les trois parties principales)
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Chapitre01 : études bibliographique
Les documents réglementaires classent les pieux selon les catégories ci-dessous :
• battu moulé.
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Chapitre01 : études bibliographique
• foré simple.
• foré tubé.
• foré boue.
• tarière creuse (type 1 à type 3 selon la technologie utilisée).
• vissé moulé.
• injecté haute pression.
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Chapitre01 : études bibliographique
• béton foncé.
• métal foncé.
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Chapitre01 : études bibliographique
Les deux principales méthodes qui permettent de calculer la capacité portante d’un
pieu font appel à des essais in-situ :
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Chapitre01 : études bibliographique
1- Essai préssiométrique qui consiste à dilater une sonde cylindrique dans le sol par injection
d’eau sous pression et mesurer la pression limite Pl qui correspond à la rupture du sol et d’en
déduire le module préssiométrique E.
2- Essai au pénétromètre qui consiste à enfoncer dans le sol une pointe conique portée par un
train de tiges et mesurer la résistance de pointe Qp et le frottement latéral Qs, ce qui permet de
calculer la force portante d’un pieu [5].
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Chapitre 02
Présentation de projet
Chapitre02 : présentation de projet
Le pont droit à une longueur de 30Ml ; Il est constitué de 02 travées isostatiques en béton
armé de 15m de portée chacune ; Les culées de type remblayées et la piles centrale est un
voile en béton armé. Le tablier comporte 03 poutres sous chaussée sur lesquelles repose la
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Chapitre02 : présentation de projet
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Chapitre02 : présentation de projet
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Chapitre 03
Etude et conception
Chapitre03 : étude et conception
1-Introduction :
La conception d'un pont résulte, le plus souvent, d'une démarche itérative dont
3. Conception de tablier:
Pour la conception du tablier Nous avons proposé les trois variantes suivantes :
Pont mixte à poutres métalliques.
Pont à poutres en béton précontraint à travées indépendantes.
Les ponts mixtes alliant l’acier et le béton sont constitués d’une ossature métallique
Porteuse et d’une dalle en béton armé de telle sorte que l’ensemble se comporte comme un
ouvrage monolithe.
En effet les poutres métalliques ne peuvent pas assurer toutes seules la résistance de
L’ouvrage à la flexion générale, et comme le béton présente une bonne résistance à la
Compression, il est nécessaire de l’associe à la table de compression des poutres.
Les portées économiques de ce mode de construction se situent entre 30 à 110m.
Pour cette variante, nous avons choisi deux travées de même longueur de : L = 04 m.
Culée PK
C1 83+500
C2 83+540
Tableau 3-1: Implantation des appuis
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Chapitre03 : étude et conception
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Chapitre03 : étude et conception
Culée PK
C1 83+500
C2 83+533
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Chapitre03 : étude et conception
Hh
ec
e1
e3
Hb0
e3
et
Comme inconvénients:
La nécessité de fabriquer du béton plus résistant principalement avant 28 jours.
La nécessité de qualification de la main d’ouvre pour l’exécution de la précontrainte (pré
tension et post tension) au même temps la vérification de la pose des gaines et câbles et
pour la mise en tension des câbles.
L’obligation d’attendre que la mise en tension soit faite pour pouvoir ou décoffrer.
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Chapitre03 : étude et conception
L2=20 m.
Pile/Culée PK
C1 115+634.973
C2 700.973
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Chapitre03 : étude et conception
4-4-Tableau de comparaison:
4-5-Conclusion:
Après la comparaison des trois variantes nous prenons la variante 2 « pont à poutres en béton
précontraint », il est plus adaptée que les deux autres sur le site vu les avantages cités
précédemment.
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Chapitre 04
Calcul
Chapitre 04 : calcul
1. Introduction :
La présente note de calcul se veut un justificatif de la partie infrastructure de l'ouvrage OA
sur RN18 SIDI NAAMENE OUED EL MALEH.
1.1. Présentation générale de l'ouvrage :
L’ouvrage OA sur RN18 SIDI NAAMEN OUED EL MALEH, composé d'une travée de
40m, suivant un dévers de 2.5%.
Le tablier est constitué de 2 poutres en PRS, ces poutres c'est sont de 1.7m de hauteur et
entre espacées de 5.50m.
Les efforts provenant du tablier sont transmises aux culées via les appareils d’appuis en
élastomère fretté.
Les Culées sont remblayées avec un mur frontal, elles sont fondées sur les pieux de 1.2m de
diamètre et de longueur le 12 m.
1.2. Coupe longitudinale :
La coupe longitudinale du pont est représentée sur le plan.
1.3. Coupe sur culée :
La coupe sur pile et culée est représentée sur le plan.
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Chapitre 04 : calcul
Les normes et règles de calcul sont contractuelles, les principales utilisées sont :
Fascicules 61 titre 1 pour béton armé ;
RPOA 2008 pour le calcul sismique ;
RCPC 2008 et fascicules 61 titre 2 pour le calcul des surcharges routières ;
Fascicules 61 titre 4 pour le calcul des fondations.
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Chapitre 04 : calcul
Les pieux sont soumis à des efforts normaux et à des moments fléchissant, ils
travaillent en flexion composée.
Les pieux résistent par pointe et par frottement latéral, etleurs capacités
portantes sont fonction des caractéristiques mécaniques du sol de fondation.
Avec :
𝑛2 ∗𝑑 2 +𝑛2 (−𝑑2 )²
W1= ;
𝑑2
𝑛2 ∗𝑑 2 +𝑛2 (−𝑑2 )²
W2= ;
𝑑2
n : nombre de pieux ;
Un pieu est considéré comme étant un élément flexible, son comportement est
caractérisé par l’équation différentielle suivante :
𝑑4𝑦
EL𝑑𝑥 4 +𝐶𝑈 𝑏𝑦 =0 ;
Avec :
B : diamètre du pieux ;
CU : module de réaction de sol ;
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Chapitre 04 : calcul
Les efforts internes pour un pieu sont donnés par les formules suivantes :
𝑀 𝑃
𝐸𝐿𝜃0=∁𝜃𝑀 𝐼 +𝐼² ∁𝜃p;
𝑃
M (z) =∁𝜃𝑀 + 𝐼 ∁𝜃p.
Avec :
𝜆:Coefficient d’amortissement ;
𝓍𝜃𝑀, 𝓍𝜃𝑃 Sont données par les abaques de WARNER en fonction de L𝜆.
L’ELU
Mcorres -1147.98
Mcorres -1047.92
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Chapitre 04 : calcul
L’ELS
M -850.36
M -776.24
N 1552.75
L’ELA
1 MCORRES
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Chapitre 04 : calcul
2
MCORRES
3
NCORRES
4. Donnée de calcul :
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Chapitre 04 : calcul
Au=9.51cm²
Fig 4.1:coupe transversale sur le mur
𝑓𝑡𝑗
ACNF=0.23×b0×d× 𝑓
𝑒
=3.02cm²
Section minimal:
A=0.35%S
Avec:
S=4000cm²
A=10.50cm²/ml
A=max (Asr , Acnf, A)
A=10.60cm²
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Chapitre 04 : calcul
Principales T 16 15
Remblai
De réparation T 14 15
Principales T 14 15
Ouvrage
De reparation T 14 15
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Chapitre 04 : calcul
ROBOT :
ftj
ACNF=0.23×b0 ×d × f =2.42cm²
e
A=15.38cm²
Armatures de repartition:
A A
< Ar <
4 2
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Chapitre 04 : calcul
Principales T20 15
T16 15
Principales
Nappe supérieure T14 15
De
répartition
Le mur frontal et les murs en retour sont soumis aux efforts suivants:
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Chapitre 04 : calcul
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Chapitre 04 : calcul
Donnée de calcul:
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Chapitre 04 : calcul
Hypothèses :
Fissuration préjudiciable
Pas de prise en compte des dispositions sismiques
Calcul en poteau
Calcul suivant BAEL 91
Section :
b= 100.0 cm
h= 120.0cm
d1=5.0cm
d2=5.0cm
Efforts appliqués:
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Chapitre 04 : calcul
1 ELU 101.65 -
152.45
2 ELS 75.48 -
113.50
3 ELA 64.75 -
149.46
Résultats:
Section d’acier :
Théorique 𝜌 = 0.58%
Contrainte de l’acier :
Tendue : 𝛿2 = 434.8MPA
comprimée :𝛿1 =275.4MPA
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Chapitre 04 : calcul
M=-113.50(T.M)
Contrainte de l’acier :
Comprimée : 𝛿 1=83.1MPA
Contrainte de l’acier
Hypothèses :
Section :
Page 51
Chapitre 04 : calcul
b=100.00cm
h=120.00cm
d1=5.0cm
d2=5.0cm
Armatures:
Section théorique As1= 44.0cm² section théorique A s2=34.6cm²
Théorique𝜌 = 0.65%
Minimum𝜌min=0.20%
Maximum𝜌max=5.00%
Efforts appliqués :
1 75.48 -113.50
Résultats :
Page 52
Chapitre 04 : calcul
As=34.60cm²
Section minimal
A=0.15%S=18.00cm²
As=43.98cm²
Armatures de répartition:
𝐴 𝐴
< 𝐴𝑟 <
4 2
10.99cm² < 𝐴𝑟 <21.99cm²
Page 53
Chapitre 04 : calcul
Donnée de calcul :
- Fc28=27MPA
- B0=1m ;
- H=2.0m
- Fe=500MPA
Page 54
Chapitre 04 : calcul
b =100,0 (cm)
h =50,0 (cm)
d1 =5,0 (cm)
d2 =5,0 (cm)
3. Armatures:
Section théorique As1 =52,5 (cm2) Section
thermique As2 =0,0 (cm2)
Section minimum As min =4,6 (cm2)
Théorique ρ =1,17 (%)
Minimum ρmin =0,10 (%)
4. Moments appliqués :
Etat Limite de Service
Page 55
Chapitre 04 : calcul
Mmax (T*m)
Mmin (T*m)
56,40
0,00
5. Résultats :
Cas ELS Mmax =56,40 (T*m)
Mmin =0,00
Coefficient de sécurité : 1,00
Position dz l’axe neutre : y=19,9 (cm)
Contrainte maxi du béton : σb=14,5 (MPA)
Contrainte limite : 0,6 fcj =16,2 (MPA)
Contrainte de l’acier :
Tendue : σs =207,3 (MPA)
Calcul de Section en Flexion Composée YY
1. Hypothèses :
Béton : fc28 =27,0 (MPA) Acier : fe =500,0 (MPA)
Fissuration préjudiciable
Pas de prise en compte des dispositions sismiques
Calcul en poutre
Calcul suivant BAEL 91
2. Section :
b =100 (cm)
h =50 (cm)
d1 =5 (cm)
d2 =5 (cm)
3. Efforts appliqués :
Cas N° Type N (T) M (T*m)
1. ELU 65,34 30,82
2. ELS 48,40 22,65
3. ELA 38,72 56,24
4. Résultats :
Page 56
Chapitre 04 : calcul
Section d’Acier
Contrainte de l’acier :
Contrainte de l’acier :
Page 57
Chapitre 04 : calcul
Contrainte de l’acier :
1. Hypothèses :
Fissuration préjudiciable
Pas de prise en compte des dispositions sismiques
Calcul en poutre
Calcul suivant BAEL 91
2. Section :
b =100, 0 (cm)
h =50, 0 (cm)
d1 =5, 0 (cm)
d2 =5, 0 (cm)
Page 58
Chapitre 04 : calcul
3. Armatures :
Section théorique As1 =34,4 (cm2) Section théorique As2 =0,0 (cm2)
4. Efforts appliqués :
1. 48,40 22,65
5. Résultats :
Contrainte du béton :
Contrainte de l’acier :
Page 59
Chapitre 04 : calcul
Partie
ELS 48,4 22,65
ƒlj
ACNF =0, 23×bₒ×d× ƒₑ =8, 68 cm²
Section minimal
Calcul de la semelle :
La semelle est étudiée selon la méthode des bielles.
Page 60
Chapitre 04 : calcul
L’effort normal
appliqué à chaque
pieu est donné par
la formule suivante :
N Mx
Ni= ± ;
n wt
Avec :
⟹ n: nombre de pieux ;
A l’ELU:
D’après le tableau 15 on a:
R1=369.27 t; R2=166.695 t
A l’ELS :
D’après le tableau 16 on a:
Page 61
Chapitre 04 : calcul
R1=277.83t ; R2=110.36 t
A l’ELA :
D’après le tableau 17 on a:
R1=370.54 t ; R2=4.89 t
D’où :
M= RMAX.n .l’ /L
Avec :
l’ : longueur de la bielle
L : longueur de la semelle
D’où :
1. Hypothèses:
Page 62
Chapitre 04 : calcul
⟹Fissuration préjudiciable
⟹Prise en compte des armatures comprimées
⟹Pas de prise en compte des dispositions sismiques
⟹Calcul suivant BAEL 91
2. Section:
b = 100, 0 (cm)
h = 150, 0 (cm)
d1 = 5, 0 (cm)
d2 = 5, 0 (cm)
3. Moments appliqués:
Mmax(T*m)Mmin(T*m)
4. Résultats:
Sections d'Acier:
Section théorique As1 = 78,5 (cm2) Section théorique As2= 0,0 (cm2)
Page 63
Chapitre 04 : calcul
Contrainte de l'acier:
Contrainte de l'acier:
Page 64
Chapitre 04 : calcul
Contrainte de l'acier:
Fissuration préjudiciable
Prise en compte des armatures comprimées
Pas de prise en compte des dispositions sismiques
Calcul suivant BAEL 91
2. Section:
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Chapitre 04 : calcul
b = 100, 0 (cm)
h = 150, 0 (cm)
d1 = 5, 0 (cm)
d2 = 5, 0 (cm)
2. Armatures :
3. Moments appliqués:
Mmax(T*m) Mmin(T*m)
Etat Limite de Service 241,01
0,00
4. Résultats:
Contrainte de l'acier:
Page 66
Chapitre 04 : calcul
ƒlj
ACNF =0, 23×b0×d× ƒₑ =14,80cm²
AMIN= 0.15% Ab
AMIN=22,5 cm²
On prend: St=15 cm
La section minimale des aciers est fixée à A/3 (recommandation du service SETRA, piles et
Culées PP73).
At=As/3
At=30.22 cm²
A A
< 𝐴ᵣ <
4 2
Vérification au cisaillement :
Vᵤ Rᵤ
τ = b𝔰×d =b𝔰×d ≤ 0,1 ƒc28
610.68 ×10−2
τ= 6.0×1.45
=0,7 < 2,7 MPa
Page 67
Chapitre 04 : calcul
Vérification à la compression :
Pour la vérification il est nécessaire de respecter les conditions suivantes :σb = P/ (a×
b) .sin ²(Ɵ) ≤ 0,9.ƒc28
= 31.95°
R1=374.14 t; R2=236.54 t
610.68×10−²
σ= 1.4×6 sin ² 31.94= 2,6 Mpa ≤ 0,9× 27= 24,3 MPa
Vérification du poinçonnement
La formule de calcul est donnée dans le BAEL91 -A. 5. 2. 42
Q<0.045 Uchfcj/gb
Uc=D+2.a+ π(D+h)/4
Avec :
D: diamètre des pieux et a représenté la distance entre le côté extérieur des pieuxet la rive de
la semelle voir la figure suivante:
Page 68
Chapitre 04 : calcul
Ncorr=2093,77 t
Hcorr=484,10 t
MLmax=-1618.85 t.m
Nombre de pieux :
N=8 pieux
Caractéristiques du pieu:
⟹Libre en pied
⟹Encastré dans la semelle
⟹Diamètre du pieu Φ =1.20m
𝐇ᵤ
⟹Un effort horizontal Tc = 𝐧
To=60,51 t
⟹Un effort vertical avec : w= 32
Nmax= 415.99 t
Nmin= 278.39 t
⟹Un moment d’encastrement M0max
Avec :
Page 69
Chapitre 04 : calcul
To=60,51t
ⁱ 4.E.l
⟹: Longueur élastique α=√ C.b
I = 0.104 m⁴
b’ = 1.20 m
============>
C1: Coefficient tiré de l'abaque ci jointe en annexe fonction de
𝐌ₒ
𝐓ₒ.𝛂
A𝔰> Amin
M >Mu
Page 70
Chapitre 04 : calcul
Aᵇ =11309,73 cm²
As =122,72 cm²
Numax = 374.14 t
Mumax = 60.51t.m
Pour :
4𝐴.ƒₑ/𝛾𝔰
𝑝 = 𝜋ƒ𝑏𝑐.𝐷² = 0,32
4𝑀𝐺
𝜇𝑔 =𝜋ƒ𝑏𝑐.𝐷³ =0,163
4𝑁
ν= = 0,24
𝜋ƒ𝑏𝑐.𝐷²
D’où
MG = 3.385 MN.m
Numin=236,54 t
Mumin=60,51 t.m
Pour :
Page 71
Chapitre 04 : calcul
4𝐴. ƒₑ/𝛾𝔰
𝑝 = = 0,31
𝜋ƒ𝑏𝑐. 𝐷²
4𝑀𝐺
𝜇𝐺 = = 0,145
𝜋ƒ𝑏𝑐. 𝐷³
4𝑁
𝜈 = = 0,16
{ 𝜋ƒ𝑏𝑐. 𝐷²
On à :
4MG
=0,145
πƒbc.D³
D’où :
M = 3,01 MN.m
Page 72
Chapitre 04 : calcul
B/ armatures transversales :
Les armatures transversales sont composées de cerces répondant aux conditions suivantes :
Page 73
Chapitre 04 : calcul
Avec :
D : diamètre du pieu.
L’espacement maximal nu à nu entre deux cerces est 12x diamètre des barres longitudinales.
α=0,0036 m³
νₐ
D’autre part, α=νᵇ
Va et Vb sont respectivement le volume des cerces et le volume du béton par mètre linéaire.
νₐ
=0,0036 m³
νᵇ
Va=α.Vb
=0,0036.1, 13 m³
Va=0,0041 m³
V1 = 0.005626 >Va
V2 = 0.0045 >Va
α=0,0072 m³
νₐ
D’autre part, α=νᵇ
Va et Vb sont respectivement le volume des cercles et le volume du béton par mètre linéaire.
νₐ
=0,0072 m³
νᵇ
Va=α.Vb
Page 74
Chapitre 04 : calcul
νₐ
=0,0073.1, 13 m³
νᵇ
Va=0,00825 m³
V1 = 0.00884 m³>Va
V2 = 0.00904 m³>Va
Page 75
Chapitre 05
Conclusion
Chapitre 05 : conclusion
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