Sam Gerrans' Coran-This Reading Vis - À - Vis Traditionalist Islam (FR)

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Cette lecture visàvis de l'islam traditionaliste
Le lecteur sera aidé par les comparaisons cidessous qui résument les points de divergence entre cette
lecture et ce que le traditionaliste revendique pour sa religion.
Lectures traditionalistes
Bien que tous les traditionalistes ne partagent pas tous les points de vue cidessous exactement de
la manière décrite, la description est juste par rapport à la généralité de ceux qui s'identifieraient
comme musulmans.9046
L'islam est une religion avec un ensemble de principes que l'on choisit ou embrasse et que l'on
commence ensuite à pratiquer.
Dieu a décrit en détail ce qu'un croyant doit faire. Ces directives forment ensemble une religion. Les
particularités de cette religion sont si exigeantes et compliquées que seuls les érudits avancés peuvent les
comprendre.
Ibrā hım était musulman, la religion qu'il pratiquait ressemblait matériellement à ce que pratiquent
les musulmans traditionalistes.
Cette lecture
Les points trouvés cidessous résument les positions tenues implicitement et explicitement à travers la
traduction et qui sont, le cas échéant, soutenues dans les Notes et développées dans l'Annexe.
Islam signifie soumission; c'est un état résultant d'une décision de se soumettre à Dieu.
Alors que ceux qui se disent musulmans peuvent avoir cet état, ce n'est pas l'apanage de ceux qui se disent
musulmans ou en aucune façon corrélé avec la religion qui leur est communément associée.
Dieu n'est pas un microgestionnaire. Il a donné à ceux qui choisissent de lui obéir des principes et des
limites. Ce qu'un homme choisit de faire au sein de ceuxci est son affaire. C'est Dieu qui guide, pas une
religion ou des érudits avancés ou qui que ce soit d'autre.
Pour illustrer pourquoi je rejette cela, je demanderais simplement quel genre de musulman Ibrā hım
était : sunnite ou chiite – et à quel madhab9047 étaitil abonné ?
Audelà du taqwā (crainte prudente de Dieu) où il existe parmi les musulmans, il y a peu de choses que
l'Ibrāhım du Coran reconnaîtrait dans le culte aujourd'hui appelé Islam.
L'exemple d'Ibrā hım était qu'il s'était retiré de la fausse religion et avait refusé d'en faire partie.
Nous sommes appelés à suivre l'exemple d'Ibrā hım .
Nous sommes appelés à suivre l'exemple d'Ibrā hım .
9046. Les points sur lesquels le chiisme et le sunnisme diffèrent sont dus à leurs ensembles respectifs de traditions plutôt
que les questions de théologie primaire trouvées dans le Coran.
9047.arabe : madhab – école de pensée au sein de la religion de l'islam. De toute évidence, aucune de ces écoles de
pensée existait à l'époque
d'Ibrāhım , et selon les propres critères du traditionaliste, s'en tenir au fait qu'Ibrāhım ne tenait pas à
ces écoles qui l'ont rendu audelà de l'islam s'il était vivant
aujourd'hui. 2295
Le Coran est le livre saint des musulmans.
L'appartenance à la religion de l'Islam offre une protection contre le jugement de Dieu.
Le Coran est une prédication à tous les hommes. Il ne s'adresse nulle part aux "musulmans" par leur
nom. Dans tous les cas, le mot muslīm tel qu'il est utilisé par le Coran signifie quelque chose de
distinct de ce que l'on entend par le terme aujourd'hui.
Il n'y a pas de protection contre le jugement de Dieu audelà de la foi et des bonnes œuvres.
L'appartenance à une secte, qu'elle soit religieuse ou laïque, est une question d'indifférence en soi.
Si une personne croit en Dieu et au Jour Dernier et fait de bonnes œuvres, elle a sa récompense.
Si l'on commet des crimes au nom de la religion, ils restent des crimes – peutêtre plus que s'ils étaient
commis sans le manteau de la religion.
Nous sommes jugés sur notre foi et nos actes. Notre religion ne nous sauvera pas ; en fait, cela nous
damne si nous savons mais n'agissons pas.
La réponse précédente s'applique.
Le Coran n'indique pas une religion au sens où le traditionaliste l'entend. Il contient des principes
fondamentaux qui peuvent être mis en œuvre de différentes manières.
Mu ammad ne peut pas être démontré comme étant venu de Makkah.
La Mecque n'existait pas à l'époque de Mu ammad et il n'y a aucune preuve historique objective qu'elle
existait.
Mu ammad non seulement n'est jamais allé à La Mecque, mais il n'en a probablement jamais entendu parler.
Ces 'piliers' proviennent de la littérature adīth et n'ont aucune base coranique.
Quelle que soit la signification de musulman dans le Coran, cela ne dépend pas des affirmations des
traditionalistes à son sujet.
Les cultes chrétiens, juifs ou autres sont en quelque sorte inférieurs au culte islamique.
La religion de l'islam est fondée sur le Coran et
9048
littérature hadith , Wiqh; etc...
Mu ammad est venu de La Mecque.
Pour être un « musulman », il faut se conformer (généralement) aux « piliers » de Kive.
9048. Arabe : Wiqh – compréhension (c'estàdire la compréhension des érudits du passé et du présent).
2296
Vous devez toujours vous conformer aux piliers de Kive.
La position des 'piliers' visàvis du Coran est la suivante :
• shahāda9049 une déclaration qui ne se trouve nulle part dans le Coran et qui si elle était inventée
aujourd'hui serait à juste titre rejetée par les traditionalistes comme une expression du shirk
• jeûner pendant le rama ān – quel mois signifie rama ān est incertain.9050 Le Coran ne dit pas de

jeûner pendant le rama ān ; il dit de jeûner dans un mois dont vous êtes témoin (c'estàdire dans lequel
vous êtes en vie), et aucun nombre de jours n'est donné
• effectuer la alāt – par alāt le traditionaliste comprend une prière rituelle établie parce que c'est ce que

sa littérature adīth lui dit que cela signifie. Il n'y a aucune base coranique pour penser que alāt désigne
exclusivement une prière de quelque nature que ce soit. Le Coran traite alāt comme un nom abstrait
• donner la zakāt – par laquelle le traditionaliste comprend l'obligation de payer une taxe annuelle fixe.
Nulle part il n'y a de déclaration coranique explicite selon laquelle la zakāt est une taxe de quelque nature que
ce soit. Le sens dérivé de toutes les instances de āta al zakāt dans le texte est de donner (ce qui est
propice à) ou de payer (le prix de) la pureté (sexuelle) (c'estàdire d'abjurer toute activité sociale de tout
type avec une connotation sexuelle implicite). en dehors du lien du mariage); cette valeur est basée sur
l'analyse pantextuelle des contextes et des usages.
Que nous devons donner (de tout ce que Dieu nous donne) en recherchant son visage et afin de nous
purifier est une exigence normative des croyants ; le traditionaliste a importé sa valeur pour la zakāt d'ailleurs
et l'a associée à l'exigence coranique explicite de donner afin de créer un impôt sur la richesse • effectuer le
ajj c'était une directive pour une communauté qui se réunissait chaque année
pour commercer et enterrer morts et d'invoquer Dieu. Une visite sur le site d'origine à cette fin est maintenant
impossible depuis que les Arabes euxmêmes ont détruit Petra et plus tard
créé un centre de culte à La Mecque. Le Coran luimême interdit de nouvelles visites à al masjid al
arām (9:28)
9049. La shahāda (témoin) est la formule prise pour désigner l'entrée dans la religion de l'islam (à
savoir : j'atteste qu'il n'y a de dieu que Dieu et j'atteste que Mu ammad est le messager de
Dieu). Cette déclaration même contrevient à deux principes coraniques fondamentaux : ne pas
attribuer de partenaires à Dieu et ne pas faire de différence entre les messagers de Dieu.
9050. On peut se demander si un mois appelé rama ān existait avant la révélation coranique. Plus tard,
les musulmans ont choisi un mois et ont décidé de l'appeler rama ān à Kit in avec un dogme
convenu. Le Coran ne dit pas qu'il faut jeûner le mois de rama ān. Il est dit que le Coran a été
envoyé pendant la lune (ou le mois) de rama ān et que ceux qui sont témoins de la lune (ou
du mois) doivent y jeûner. Le mot clé est lune et non
rama ān. 2297
La lapidation ou le meurtre pour inconduite sexuelle est requis par Dieu.
Les 'ulémas' (ou érudits) savent le mieux comment obéir à Dieu.
La ka aba est la structure en pierre trouvée à La Mecque.
Il faut s'incliner devant la 'ka aba'.
Lapider et tuer dans de telles circonstances sont des crimes capitaux qui doivent euxmêmes être
punis. Il n'y a aucune justification pour de telles actions dans le Coran.
Dans la mesure où ils puisent dans des sources extérieures au Coran pour fonder ce qu'ils appellent la
religion, ils peuvent – et doivent – être ignorés.9051
L'idée que ka aba signifie une structure semblable à une boîte provient de sources non coraniques.
Le mot ka aba est un nom arabe simple qui signifie articulation (comme dans jambearticulation) et
dans un cas dans le Coran, le traditionaliste luimême rend le mot ainsi. La position ici est que les
significations explicites et claires des mots ne peuvent pas être remplacées par des affirmations
externes fausses et non fondées.
Même si ka aba signifiait la structure en forme de boîte devant laquelle le traditionaliste s'incline à La
Mecque, s'incliner devant quoi que ce soit est de l'idolâtrie et contrevient aux principes coraniques
fondamentaux.
S'incliner devant la soidisant ka aba est assumée par le traditionaliste. Il n'est mentionné nulle
part dans le Coran.
S'incliner devant quoi que ce soit n'est pas mentionné dans le Coran.
Le Coran appelle les auditeurs à tourner leur visage (c'estàdire leur moi, leur attention) vers une qibla. Le
mot qibla se trouve dans le Coran dans un contexte où il peut
signifient seulement focalisation ou direction ou cours général. Encore une fois, la position ici est qu'une
valeur explicite ne peut pas être supplantée par une valeur d'origine douteuse.
L'histoire objective ne le confirme pas.
Makkah ne se trouve nulle part sur aucune carte jusqu'à environ 900 CE.
La structure en forme de boîte à Makkah a été fondée par
Awdamandagain par Ibrāhım , et Makkah était un centre majeur à l'époque de Mu ammad.
9051. J'admets la possibilité qu'il y ait des gens bons et justes parmi eux, mais je ne suis pas très
intéressé à écouter ce qu'ils ont à dire puisque si peu de choses se rapportent directement au Coran.
2298
Le messager était de La Mecque.
Makkah contrecarre toute tentative sérieuse de la lier à la ville du messager sur la base du Coran ou
de l'histoire réelle.
Le lieu d' al masjid al arām tel que décrit dans les Kits du Coran à tous égards l'endroit connu aujourd'hui
sous le nom de Petra en Jordanie.
Mu ammad était peutêtre de Petra ou d'un autre endroit. Des théories existent qui désignent à la fois la
région Asır ejā z et la région Arabia Felix (Yémen). Plus de travail est nécessaire pour établir les
faits.
Le concept de loi de la charia ne se trouve nulle part dans le Coran. C'est un ism créé par l'homme,
un mélange de bien et de mal.
Le but de la ummah (communauté) est de suivre l'exemple du messager : vivre selon ce qui est dans le
Coran et avertir les communautés voisines par le Coran de se tourner vers le Dieu Unique, et après
l'avoir fait de partir Que Dieu les juge9052. S'ils sont attaqués, ils doivent se défendre.
Le Coran fournit un petit nombre de principes juridiques fondamentaux auxquels les fidèles sont appelés
à adhérer et à respecter.
Tous les processus juridiques et activités humaines qui ne sont pas contraires à ce petit nombre de
principes juridiques sont valables par défaut et peuvent changer avec le temps.
Le concept d'une société microgérée ne se trouve nulle part dans le Coran.
Le but de la oummah (communauté) est de former un État, d'imposer la charia et de s'étendre vers
l'extérieur ; la loi de la charia telle que la comprend le musulman traditionaliste est la loi de Dieu pour
tous et régit tous les aspects de la vie.
9052. La subversion de la révélation est un fil conducteur de l'histoire humaine et en aucun cas l'apanage de la
civilisation islamique. Les Juifs ont été choisis pour apporter la crainte du Dieu Vivant à toute l'humanité.
Au lieu de cela, ils ont créé une croyance insulaire et raciale. Les chrétiens ont été appelés à porter l'évangile dans
le monde entier. Beaucoup ont obéi, mais ils ont pris le mauvais évangile, prêchant les inventions de Paul. Les
musulmans, de même, étaient appelés à être des témoins de Dieu ; mais ils ont créé un empire et une religion qui ont
finalement empêché la pensée authentique et ont été conquis culturellement, économiquement et militairement en
conséquence. Les musulmans ont échoué à tous égards comme leurs prédécesseurs sauf qu'ils ont réussi à
maintenir une révélation textuellement fiable.
2299
Le Coran est un livre sacré, le traditionaliste sait ce qu'il signifie et il (le Coran) est le fondement
de sa religion.
L'affirmation selon laquelle la religion des traditionalistes n'est pas attachée au Coran de manière
significative peut être vérifiée facilement en essayant dans n'importe quelle mosquée d'engager
ceux à l'intérieur dans une conversation sur le Coran seul.
Le traditionaliste ne se tourne généralement jamais vers le Coran pour se guider, et lorsqu'il le fait,
sa compréhension est façonnée par ses interpolations non coraniques. Il chante de petites portions du
Coran à Dieu puisque son culte extraCoranique l'exige de lui. Il cherche rarement à comprendre
ce qu'il lit ou en voit le besoin.
La majorité a toujours tort. Le Coran ne dit nulle part que la majorité des "musulmans" ne se
tromperont jamais.
Nous devons tester le Coran.
S'il y avait une meilleure révélation que le Coran, nous devrions la suivre.
Le Coran est une prédication et un enseignement dont la seule valeur est dans la considération et
l'application de son contenu.
Le Coran est un manuel fournissant des conseils sur la manière d'affronter et de renverser la tyrannie,
sur la manière d'atteindre l'éternité dans les meilleures conditions possibles et sur la manière
de maintenir la décence au sein d'une communauté de croyants.
Seul Dieu rend le Coran accessible au cœur de l'homme et le guide.
La majorité des musulmans ne se tromperont jamais.
Le Coran ne doit pas être testé ni sa suprématie remise en question.
Le Coran en tant que livre physique a des propriétés spirituelles.
Le Coran est un livre de religion.
Lorsque nous ferons ce que dit le traditionaliste, nous serons correctement guidés.
2300
Le Coran tombe en deux sections : la révélation à Makkah et la révélation à Yathrib et la signification
de ces deux sections et où chacune a été révélée est connue.
Le Coran est un livre. Les divisions assumées par le traditionaliste sont basées sur des sources non
coraniques et sont rejetées pour cette raison.
Diviser le Coran est une position antiCoranique.
Certes, les chapitres coraniques tendent à se concentrer sur deux étapes : celle de vivre et d'avertir
sous l'égide d'une communauté rejetante et celle de vivre et d'avertir sous l'égide d'une communauté
croyante. Les deux scénarios ont leurs défis, mais ce n'est pas une base pour diviser la révélation de
Dieu.
La vie de toute personne ou groupe de personnes s'engageant sérieusement à suivre les injonctions
coraniques se divisera en deux étapes :
• Avertissement à la maison suivi – selon toute vraisemblance – de rejet •
La création d'une communauté indépendante
Le but de la création d'une communauté indépendante, craignant Dieu, est de former une base à partir
de laquelle continuer à alerter, et non de créer un État « islamique ».
Les affirmations des traditionalistes concernant le moment et les circonstances de la
révélation de parties particulières du Coran ne sont que des ouïdire et une distraction et n'ont
aucune base ou justification coranique.
Le traditionaliste n'a jamais démontré une bonne compréhension de la déKinition coranique du mot
qu'il rend en Widel.
La déKinition coranique du mot qu'il comprend ainsi (al kāWirūn) est très différente de ce qu'il
suppose.
Faire du arām ce que Dieu n'a pas fait du arām est en soi un crime.
L'alcool est certes déconseillé, mais pas plus. Nonsens de la littérature adīth .
Nulle part sont
les chiens trouvés dans le Coran comme étant des animaux sales. Nonsens de la littérature adīth .
2301
Ceux qui refusent de se convertir à la compréhension traditionaliste de l'islam sont des enfants.
L'alcool est arām (interdit).
Les chiens sont sales.
Les hommes ne peuvent pas porter de soie ou d'or.
La littérature adīth constitue une base pour la religion.
Sans la littérature adīth , on ne sait pas prier la prière rituelle connue sous le nom de alāt.
Sans la littérature du Hadith , il n'est pas possible de suivre l'Islam.
Le Coran ne peut être compris sans la littérature des hadiths .
Le Coran exige des détails supplémentaires qui ne se trouvent pas dans le Coran.
Nonsens de la littérature adīth . La littérature hadith est, au mieux, un ouïdire.
Le ouïdire n'est nulle part recevable comme preuve dans le Coran.
Le Coran n'indique nulle part que la alāt soit spécifiquement une prière – rituelle ou autre.
Le traditionaliste suppose qu'il en est un sur la base de ses sources non coraniques et procède ensuite
en insinuant que le Coran est incomplet sur cette base.
Le traditionaliste a raison si par islam il entend une matrice sociale et politique créée par l'homme et
basée sur ce que contiennent ses traditions.
Cependant, puisque ses traditions ne sont pas dans le Coran et constituent (par consentement
universel) des ouïdire, elles ne peuvent avoir aucune incidence sur ce que l'islam peut signifier ou non.
Le Coran luimême prétend être entièrement détaillé.
Le Coran déclare que Dieu aurait pu nous donner inKinitement plus, mais a choisi de ne pas le faire.
La position du traditionaliste implique que Dieu a fait une erreur – une possibilité qui n'est pas acceptée
ici.
La position du traditionaliste reproduit la position du judaïsme rabbinique qui est que Mū sā a reçu
une Torah orale. Les Juifs sont mis au défi par le Coran d'apporter la Torah écrite, jamais d'apporter
les traditions créées par leur classe sacerdotale.
Mu ammad n'avait aucune connaissance particulière. Le caractère de ce nom dans la littérature
adīth qui semble connaître l'avenir est difficile à concilier avec le messager du Coran.
Il n'y a pas de différence entre les prophètes. Mettre un accent particulier sur l'un d'entre eux est du
shirk (l'acte de diluer l'intégralité de Dieu).
Cette accusation est en contradiction directe avec le Coran.
2302
Mu ammad savait toutes sortes de choses qui ne se trouvent pas dans le Coran.
Mu ammad était un prophète spécial et la foi en lui est une caractéristique de ce que c'est que d'être
musulman.
Mu ammad avait onze femmes.
Mu ammad a pris une enfant mariée.9053
L'arabe est une langue spéciale.
Le Coran ne peut être lu qu'en arabe, pas en traduction.
Il s'agit d'une pure calomnie émanant du
littérature hadith . Le Coran est clair : les femmes acceptent ou rejettent les propositions.
Le nom est nisā' (femmes). Une femme est une femme qui a atteint l'âge de la majorité.
L'arabe n'est pas une langue spéciale. Son système racinaire a certaines caractéristiques qui facilitent
la découverte du sens des mots qui ont été corrompus au fil du temps. Cette caractéristique est
particulièrement utile pour effacer les accrétions et les insinuations qui ont été attachées à certains mots
du Coran par les traditionalistes. Cette fonctionnalité rend l'arabe intéressant, mais rien de plus.
Selon la thèse ÉgyptePalestine (voir article XVIII), le discours de certaines personnes dans le Coran
serait nécessairement présenté en traduction dans tous les cas, par exemple Fir awn pour qui l'arabe
n'était pas une langue maternelle ; sous la thèse Arabia Felix (voir même article), ce point est moins
urgent bien qu'il soit peu probable que la langue d'Aw dam et de Nū soit intelligible sans
traduction.
Il faut lire le Coran pour le comprendre et l'appliquer.
Il y a des exigences vestimentaires dans le Coran, mais le foulard n'en fait pas partie.
Historiquement, le port d'un foulard a indiqué l'adhésion à la foi en Dieu,9054 et la signalisation de la foi
par l'habillement aux noncroyants est une directive coranique.
Sur cette base, le port du foulard peut être considéré comme un acte de piété.
Cependant, ce n'est pas la même chose que de dire que le Coran ordonne aux femmes de porter un
foulard, et l'affirmation selon laquelle il fait une telle déclaration est fausse.
Les femmes doivent porter un foulard.
9053.Avec des amis comme ceuxci, on peine à envisager le moindre besoin d'ennemis.
9054.Cependant, sous l'influence des médias modernes, cette association est diluée et polluée
et liés à d'autres, tels que le
soutien au « terrorisme » et – en grande partie à cause des propres échecs du traditionaliste
– avec un retard intellectuel, une agression nue, l'hypocrisie et le manque
d'initiative. 2303
Il faut être un expert, avoir étudié dans une université « islamique » et avoir un doctorat en études
islamiques pour être qualifié pour avoir une opinion sur le Coran.
Les cours d'études islamiques sont basés sur une série de sectes religieuses issues de la littérature
adīth et de l'histoire de la détérioration lamentable des sociétés ainsi affligées. Une telle étude n'a que peu
ou pas de rapport avec l'approche du Coran pour en tirer des connaissances.
Le Coran dit qu'il est facile à comprendre et à retenir.
Le Coran n'admet pas de sacerdoce.
Toutes les religions basées sur une structure descendante y compris ce qu'on appelle l'islam servent
des agendas non déclarés.
Le concept de Mahdi ne se trouve nulle part dans le Coran. C'est une invention ultérieure trouvée dans la
littérature adīth .
La création de mythologies du sauveur est une procédure opératoire standard parmi les dirigeants qui
souhaitent injecter des tendances passives et fatalistes dans la vision du monde de leurs sujets.
Dieu ne change pas l'état d'un peuple jusqu'à ce qu'il change ce qui est en luimême.
La musique n'est pas spécifiquement mentionnée ou mise en garde contre dans le Coran.
Faire du arām ce que Dieu n'a pas fait du arām est spécifiquement mentionné et mis en garde

dans le Coran.
Au fur et à mesure qu'un homme se rapproche de Dieu, ses appétits évolueront et lui répugneront la
vulgarité et l'impudeur sous toutes leurs formes.
Un homme n'a pas besoin d'une police religieuse pour lui dire quoi faire dans l'intimité de sa propre maison.
Selon le Coran, le Jour du Jugement, le messager déplorera que son
les gens (les Arabes) ont abandonné le Coran.
Seul un homme dont Dieu a ouvert le cœur au Coran le comprendra.
2304
Le Mahdi (le Guidé) reviendra pour nous sauver et imposer la religion de l'Islam.
La musique est arām.
Les Arabes ont une compréhension particulière et une relation avec le Coran.
L'ancienne maison est un autre mot pour la boîte à La Mecque que le traditionaliste appelle la ka aba
et s'incline devant.
Nous devons faire le ajj à La Mecque.
L'ancienne maison fait probablement référence au cimetière de l'ancienne ville funéraire de Petra et
n'est qu'une des nombreuses références historiques du Coran. Petra est maintenant disparue et
al masjid al arām fermé (9:28). De telles références dans le Coran n'ont aucune pertinence pour
nous audelà des leçons générales.
La boîte à Makkah est une idole.
Le pèlerinage arabe traditionnel deux fois par an à Petra était la plateforme que Dieu a assignée à
Mu
ammad pour délivrer l'avertissement du Coran. À la fin de cette étape, al masjid al arām a été abandonné
(9:28).
S'il est compréhensible qu'après la destruction de Petra, les musulmans aient créé un nouveau centre
pour leur religion, la tentative de rapprocher ce nouveau centre de l'original au moyen d'une
littérature frauduleuse est sans justification.
Les rituels pratiqués à La Mecque sont un mélange syncrétique d'hindouisme, de paganisme
arabe, d'adoration du soleil, d'adoration de la lune et d'adoration de Saturne.
Le jiz' indique les réparations de guerre.
Il n'existe pas de taxe Kixed sur qui que ce soit ou
quoi que ce soit dans le Coran en dehors du butin de guerre.
Le jiz' est une taxe imposée aux nonmusulmans.
2305
Les six collectionneurs de littérature sunnite « fiable » sur les hadiths étaient fiables.
Les six collectionneurs de hadiths sunnites « fiables » étaient persans.
Les Perses avaient été vaincus militairement par les Arabes.
Les Perses étaient déjà alors un peuple ancien, bien avancé dans les arts de ce qu'on appelle
aujourd'hui les psyops et le contreespionnage.
Il faudrait être naïf en effet pour supposer qu'une nation aussi avancée serait restée les bras croisés face
à l'asservissement militaire ; au contraire, la question de savoir comment vaincre les envahisseurs
arabes aurait occupé les meilleurs esprits parmi les élites intellectuelles et militaires perses.
L'élite perse a créé un plan à long terme par lequel vaincre les Arabes idéologiquement en
sapant leur attachement au Coran et en insinuant autre chose entre eux et lui, et les six
collecteurs du soidisant adīth fiable étaient éduqués et formés à cette fin.9055
L'efficacité de leur stratégie peut être mesurée par le fait que la religion aujourd'hui appelée Islam est
presque entièrement construite sur le résultat de cette opération de renseignement.
La littérature du hadith est du ouïdire et donc inadmissible.
C'est Dieu qui guide, pas la littérature du hadith . Le Coran prétend être le meilleur hadith.
Le Coran est la parole de Dieu, complète et non corrompue.
Cela ne s'étend pas aux marques diacritiques, aux numéros de versets, aux noms de chapitres, à
la ponctuation et aux conventions de récitation.
Le Coran doit être lu pour être compris et appliqué.
Il est préférable de le lire individuellement ou en petits groupes, médité et discuté.
Sans la littérature du hadith , on ne peut pas être guidé.
Le Coran est la parole de Dieu, complète et non corrompue.
Le Coran doit être chanté selon des règles particulières.
9055. Mon opinion personnelle est que l'intrigue est encore plus épaisse que celleci, dont les origines motivantes et
principales se trouvent peutêtre à Rome. Cependant, c'est un sujet nécessitant une étude plus approfondie.
2306
Le Coran doit être récité à Dieu dans la prière parce qu'il lui plaît de l'entendre.
Le Coran autorise les hommes à battre leurs femmes.
Dieu nous a donné le Coran à comprendre et à appliquer dans nos vies.
Si vous souhaitez le réciter dans vos prières, c'est votre affaire.
Le Coran énumère les demandes de réparation dans le cas d'un mariage qui tourne mal. Le
dernier recours parmi ces demandes de réparation est que le mari donne une fessée à la femme.
Certains choisissent maintenant de ne pas lire ce passage de cette manière sous les pressions
modernes, mais le contexte et l'arabe sont suffisamment clairs.
Naturellement, certains verraient cela comme un abus barbare des droits de la femme. Et les gens qui
pensent ainsi peuvent être rassurés par le fait que dans un mariage coranique, la femme est toujours
consciente de ses droits : elle connaît la liste des demandes de recours si elle devait traiter son mari
avec mépris et si cette liste devait être initié où se trouve le couple sur cette liste et ce qui vient
ensuite. Aussi, naturellement, elle a le droit d'initier le divorce à tout moment avant que cette dernière
étape ne soit atteinte.
Pour ceux qui ne considèrent pas l'exercice par un homme de la maîtrise non diluée sur sa femme
comme un anathème à l'ordre naturel, la femme a le droit si elle souhaite l'exercer de rester dans le
mariage et d'exiger indirectement que son mari en prenne la charge.
C'est dans un contexte juridique plus large où la violence pure et simple contre quelqu'un qui ne vous a
pas fait violence est en soi un crime exigeant une rétribution égale.
2307
Les musulmans devraient s'unir et créer un califat et revivre les années de gloire (en grande partie
imaginaires) pratiquant la religion de l'islam tout en s'opposant à la dépravation morale occidentale.
L'Occident est certainement dépravé.
Ceux qui suivent le Coran devraient raisonner et avertir les nations impies et moralement dépravées et
les appeler au pur monothéisme : l'adoration de Dieu plutôt que de soi et de la possession matérielle,
et de se préparer avec une pieuse circonspection pour le Jour du Jugement.
Lorsqu'ils sont rejetés et persécutés sur cette base, ils ne devraient combattre que ceux qui les
combattent.
En dehors de ce paradigme, l'islam traditionaliste dans ses formes militantes est consciemment ou
non au service d'un programme géopolitique qui lui a été fixé par l'élite plus large du Nouvel
Ordre Mondial et basé sur une dialectique hégélienne selon laquelle le monde est guidé vers un
choc des civilisations.9056
Le contexte dans lequel une telle peine est justifiée est clair : lorsque sous l'autorité de l'armée
attaque. Il n'y a aucune indication coranique d'une telle punition ou justification pour en dehors
de ce scénario.
Le voleur doit avoir la main coupée.
9056. Comme indiqué ailleurs, je soupçonne que la religion connue sous le nom d'islam a été créée par Rome via la Perse.
Cependant, c'est un sujet nécessitant une étude plus approfondie.
2308
Le Coran nous dit de suivre le messager, et cela n'est pas possible sans la littérature du hadith .
La littérature adīth est clairement énoncée par ceux qui la considèrent comme du ouïdire
dans l' isnad (chaîne de transmission)
Le ouïdire n'est pas recevable en preuve.
Le Coran dit qu'il contient luimême le meilleur
Hadith.
Le messager est mort. Le Coran nous interpelle
ne pas se détourner après sa mort.
Dieu et son messager sont traités au singulier dans le Coran.
Nous avons l'exemple du messager dans le Coran : il a témoigné du message.
Ce message était le suivant : repentezvous et revenez à Dieu seul, puis obéissez au messager
(c'estàdire témoignez du message et faites ce qu'il dit).
Le messager luimême suivit un messager : l'Ange Jibrıl .
On dit au messager qu'il n'apporte que le Coran.
Le messager averti par le Coran.
Le messager est averti de ne pas improviser.
Nulle part n'est prévu dans le Coran une littérature ultérieure fournissant des éclaircissements.
La suite des écrits ultérieurs est l'erreur commise par les juifs rabbiniques et les chrétiens
pauliniens.
L'affirmation selon laquelle un messager a apporté une deuxième révélation orale n'est pas nouvelle.
Cette affirmation constitue la base du judaïsme rabbinique une tradition qui, selon le Coran, s'est
égarée.
La littérature adīth a été décrétée et préservée par Dieu pour fournir les détails que les hommes
nécessaires pour suivre la religion voulue par Dieu.
2309
Une guerre sainte devrait être menée contre ceux qui n'acceptent pas la religion de l'Islam.
La religion de l'islam est une construction humaine, et en tant que telle, c'est une idole si elle
est vénérée.
Les gens doivent être avertis et ensuite laissés à Dieu.
Les seules personnes à combattre sont celles qui vous combattent, et seulement aussi longtemps
qu'elles vous combattent et d'une manière proportionnée à la façon dont elles vous combattent.
La guerre est déclarée dans un seul cas où aucune attaque n'est imminente : contre les croyants
qui pratiquent l'usure après avoir ignoré l'avertissement de cesser.
2310

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