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Les bâtiments tel le corps humain, sont soumis à un processus permanent de

dégradation physique à cause de leur usage et sous l’action de l’environnement


extérieur, malgré leur aspect vraiment solide, leurs différents composants sont
très sensibles à l’action des facteurs climatiques (du soleil, de la pluie, du
froid ou la chaleur) et de toutes les autres actions naturelles,

Je traiterai dans cette partie divers pathogènes qui peuvent affecter une
construction, et en particulier le phénomène de la dessiccation des sols argileux
et ses conséquences , étant celui que j’ai eu à traiter le plus souvent durant mon
stage.

Phénomène de dessiccation des sols et conséquences :

Le phénomène de retrait – gonflement, dû aux changements de l’état hydrique des


sols, est à l’origine de très nombreux désordres de fondations de bâtiments, de
remblais routiers de barrages, ou d’ouvrages de soutènement..

En France, les dégâts dus aux périodes de sécheresse représentent un des premiers
postes de dépense des compagnies d’assurances, après les inondations.

La nature exceptionnelle du phénomène (même si cela semble devenir assez fréquent)


peut expliquer le fait que ces ouvrages aient été mal dimensionnés pour contrer les
effets de cet aléa. Cependant, dans de nombreux cas, ces dégâts sont liés également
à l’ignorance ou au non-respect de certaines règles de construction.

La sensibilité hydrique des argiles

Les matériaux susceptibles de gonfler (et de se rétracter) sous l’action de l’eau


sont les sols argileux, qu’on appelle couramment « argiles », « glaises », « marnes
» ou « limons ». Ce sont des sols fins qui contiennent une proportion importante de
minéraux argileux naturels. Ces sols sont collants à la main lorsqu’ils sont
humides et durs quand ils sont desséchés.

Le minéral argileux est essentiellement la kaolinite, famille la plus représentée


dans le sous-sol français et qui est plutôt stable structurellement. On trouve
également les illites, les chlorites et les montmorillonites, ces dernières dites
très « gonflantes » (très sensibles aux variations hydriques du sol). En effet, les
argiles sont constituées d’un empilement de feuillets. Dans le cas des
montmorillonites, ces feuillets sont plus distants que pour les autres types
d’argiles. Ainsi, les montmorillonites laissent pénétrer une plus grande quantité
d’eau entre ces feuillets, d’où le fait qu’elles soient plus gonflantes.

Lors de périodes de sécheresse (notamment longues ou qui se succèdent), une


évaporation de forte intensité se produit, notamment dans les sols constitués de
montmorillonites, entre la surface et le banc argileux, et ce jusqu’à une
profondeur de 2 à 4 mètres alors que sur une saison normale, les variations de
teneur en eau du sol ne perturbent son équilibre hydrique, que sur une profondeur
de l’ordre de 1m.

Les variations de volume des sols dues aux modifications de la teneur en eau (de
l’ordre de 30% dans les cas extrêmes) sont causées par des phénomènes de
capillarité et surtout de succion dus à la végétation environnante. En effet, le
pompage hydrique d’un arbre s’exerce dans un rayon égal à 1,5m sa hauteur.

Les sols argileux présentent un retrait volumique (une dizaine de centimètres) lors
de l’évaporation de l’eau interstitielle. Cette diminution de volume a lieu
verticalement (tassement) mais aussi horizontalement (apparition de fissures de
dessiccation).
Ce retrait volumique évolue de manière linéaire en fonction de la teneur en eau
Wnat jusqu’à une teneur en eau Ws définie comme la limite de retrait. A partir de
cette limite Ws, le sol perd de l’eau sans grande variation de volume, il se
désature : les vides du sol perdent leur eau et se remplissent alors d’air.

Le tassement différentiel et les désordres engendrés

Les mouvements du sol qui sont à l’origine des désordres aux constructions pendant
une sécheresse intense sont dus essentiellement aux diminutions de teneur en eau.
Plus exactement, ce sont les tassements différentiels du sol qui provoquent ces
désordres : une partie de la maison « descend » plus que l’autre.

Les semelles de fondations ont pour fonction de diffuser les charges du bâtiment
(poids des matériaux et charge d’exploitation) dans le sol, jusqu’à une profondeur
qui n’excède pas, en principe, 4 mètres sous le niveau d’assise ; dans le cas
général, elles sont dimensionnées pour être hors-gel, c’est-à-dire entre 0,60 et
0,80 m de profondeur suivant les régions.

Si, à la profondeur des semelles, le terrain est constitué d’éléments rocheux


(calcaire…), aucun incident grave n’est à craindre puisque cette partie du sol ne
sera pas concernée par d’éventuels tassements en raison de son insensibilité aux
variations hydriques du sol. Si par contre une couche de sol fin argileux se trouve
intercalée, le pavillon court le risque de subir des mouvements générateurs de
désordres :

Dans le cas d’une sécheresse, nous avons vu que du fait de l’évaporation de l’eau,
l’argile connaît un phénomène de retrait qui va causer un tassement (vertical) et
que par la présence d’autres points durs (moins sujets à un tassement), cela sera à
l’origine d’un tassement différentiel .
Lors d’une période climatique normale, en dehors de toute incidence de sécheresse,
un tassement différentiel apparaît lorsque les charges transmises par la
construction ne sont pas bien réparties d’un point d’appui à un autre. Ajouté à la
présence d’une argile « jeune » (temps géologique) donc compressible, on aboutira
inéluctablement à un tassement différentiel néfaste à la structure.
Dans les deux cas, à cause de la modification de l’équilibre initial, des fissures
(voire lézardes) apparaîtront : en diagonale ou en escalier comme on le verra
après, des fissures horizontales sous les chaînages[1] des planchers, voire
verticales au droit des changements de matériaux.

On les retrouve à la fois sur les murs de refend[2] , les murs porteurs extérieurs
et sur les cloisons. Elles affectent toute l’épaisseur du mur et peuvent conduire à
des infiltrations d’eau. En général, ces fissures sont comprises entre 0,5 et 2 mm
ce qui est loin d’être négligeable pour un bâtiment.

De plus, ces tassements peuvent provoquer l’affaissement du dallage lorsque le


remblai sous celui-ci n’est pas de très bonne qualité.

Outre ces désordres dans le gros œuvre, on peut apercevoir sur le second œuvre des
distorsions des ouvertures qui vont gêner voire empêcher le bon fonctionnement des
portes et fenêtres.

La fissuration de carreaux ou dans les joints de carrelage, due à leur mise en


compression par les murs porteurs perpendiculaires à la fissure, est souvent moins
impressionnante que les désordres extérieurs, mais elle est très caractéristique
des tassements de terrain.

Certaines parties de la maison auront donc la possibilité de descendre plus que


d’autres, ceci n’étant pas possible puisqu’une maison est généralement un ensemble
lié (hors joints de dilatation), des contraintes importantes vont se générer et
ainsi créer de nombreux désordres: des fissures pouvant conduire jusqu’à une
instabilité de la structure pour les cas les plus extrêmes.

De plus, dans le cas d’un bâtiment sur radier[3], la seule présence du bâtiment
constitue un écran à l’évaporation, d’où une dessiccation moins importante au
niveau de la partie centrale qu’en périphérie.

On pourra noter la forme des fissures « en escalier », qui suivent les joints de
maçonnerie : ceci est caractéristique d’un tassement différentiel du fait du dévers
d’une partie de la structure par rapport à une autre.

Les tassements différentiels peuvent atteindre plusieurs centimètres (10 cm dans de


rares cas, ce qui est assez conséquent pour une maison). Le retrait des sols peut
supprimer localement le contact entre la fondation et le terrain d’assise d’où
l’apparition de vides et des concentrations de contraintes forcément néfastes à la
structure car les fondations n’avaient peut-être pas été dimensionnées pour
supporter cette surcharge.

Certains éléments aggravent ce phénomène d’hétérogénéité de tassement du fait que


l’eau ne s’évaporera pas de manière uniforme tout autour de la maison.

En effet, il se peut qu’une terrasse borde un côté de la maison empêchant ainsi


l’eau de s’évaporer. Des arbres peuvent absorber de grandes quantités d’eau en
période de sécheresse. Inversement, une conduite d’eau fuyarde pourra surhydrater
une partie des sols d’assises.

Il existe donc de nombreuses raisons expliquant pourquoi le sol ne se tasse pas de


manière homogène ce qui créer des tassements différentiels et donc des désordres.

Face à ces tassements différentiels, le comportement de la structure dépend de ses


possibilités de déformation : une structure parfaitement rigide (cas extrême), avec
des éléments horizontaux et verticaux en béton armé, suffisamment ferraillés, peut
résister sans dommage aux mouvements du sol grâce à une nouvelle répartition des
efforts. Dans les bâtiments courants, la structure ne peut supporter sans désordres
les mouvements différentiels des sols de fondation et les flexions parasites
résultantes que jusqu’à un certain seuil (distorsion de l’ordre de 1/500).

On peut noter également, qu’un bâtiment sur vide sanitaire sera moins enclin à ce
type de désordre qu’un autre sur radier général. En effet, dans le cas du vide
sanitaire, seules les semelles du bâtiment sont en appui sur le sol : il y a donc
moins de surface susceptible de subir un tassement donc « moins de tassements
différentiels possibles ».

Une enquête de l’Agence Qualité Construction et le CEBTP (1990-1991), (période de


forte sécheresse) qui a portée respectivement sur 356 et 412 constructions
sinistrées, montre que l’exemple type de la construction sinistrée par la
sécheresse est :

une maison individuelle.


à simple rez-de-chaussée et avec dallage sur terre-plein
fondée sur semelles continues, peu ou non armées, peu profondes (40 à 80 cm) et
reposant sur un sol argileux
avec une structure en maçonnerie, sans chaînage horizontal.
Réf : http://membres.multimania.fr/isacisco/aleasecheresse.htm

Le phénomène de retrait du sol suite aux périodes de sécheresses représente donc


une véritable pathologie du bâtiment. Cependant, il faut savoir reconnaître les cas
où les fissures sont réellement dues à ce phénomène pour envisager les travaux
spécifiques à celui-ci et faire en sorte que le sinistré se fasse aider
financièrement pour la réalisation des travaux.

Les autres causes de désordres :

L’expertise devient difficile par le fait qu’il existe diverses causes possibles
aux fissures des maisons. Les plus courantes sont les suivantes :

La dilatation thermique des matériaux :

Tout d’abord, la dilatation thermique des matériaux et notamment celle des poutres
en bois qui constituent la charpente. En effet, ce phénomène cause quelques fois
des fissures en haut des murs et au plafond.

C’est la raison la plus fréquemment utilisée pour expliquer la non implication de


la sécheresse dans les fissures rencontrées. Dans quelques dossiers, le fait que la
quasi-totalité des fissures soit située en haut faisait tout de suite penser que la
cause de ces désordres était vraisemblablement la dilatation thermique de la
charpente en bois et non le retrait – gonflement des sols d’assise. Toutefois, il
ne faut pas conclure systématiquement que ces fissures en hauteur ne soient pas
causées par un tassement du sol. En effet, suite à ce tassement, le mur qui
s’affaisse peut provoquer des concentrations de contraintes dans la jonction entre
le mur et la charpente, ce qui peut engendrer des fissures.

Autre type de fissures souvent rencontré, celle qui forme les joints entre des murs
solidaires. Cette fissure se fait naturellement entre deux structures qui n’ont pas
été désolidarisées par un joint de dilatation[4] (entre un ancien bâtiment et son
extension par exemple). A priori, ce type de fissures pose plus un problème
esthétique qu’un problème structurel. Cependant, cette erreur de construction peut
engendrer des conséquences plus graves. En effet, lors d’une extension d’une
maison, certains maçons ne désolidarisent pas la partie existante de l’extension.
Or, dans ce cas, un tassement différentiel se produira inéluctablement car les
fondations de ces deux parties n’ont pas été mises à la même profondeur et même si
c’est à peu près le cas, comme tout bâtiment se tasse naturellement après sa
construction, l’extension subira ce tassement alors que l’existant s’était déjà
stabilisé (construit depuis plusieurs années). On constatera donc des désordres si
la structure n’est pas suffisamment rigide.

Présence de végétations avoisinantes :

Par ailleurs, la présence de végétation à proximité du pavillon et le caractère


non-étanche de certains regards[5] provoquent également l’apparition de fissures
dans les murs. Cependant, ces deux causes sont plus difficiles à différencier du
phénomène de retrait des sols dû à la sécheresse, puisqu’elles sont à l’origine
aussi de tassements différentiels. En effet, certaines végétations dont les besoins
en eau sont grands (chênes, peupliers…) entraînent une dessiccation des sols
accélérée en période de sécheresse et par conséquent un phénomène de retrait des
sols. Mais là non plus, ce cas ne permet pas à un dossier d’être pris en compte
comme CATNAT. D’où un abus de langage car il s’agit aussi ici d’un phénomène de
retrait des sols mais qui lui ne permet pas de classer une maison comme sinistrée
CATNAT. En ce qui concerne le cas des regards fuyards, le film d’eau qui en découle
provoque des excavations dans le sol et peut donc entraîner le tassement de la
partie de la structure qui repose sur cette excavation.

La topographie du terrain :

La topographie du terrain, peut également influencer ce phénomène de dessiccation


des sols. En effet, un terrain en pente introduit une série de dissymétries et
constitue un facteur aggravant pour le comportement des fondations.
Considérons le cas où la partie côté amont est fortement enterrée alors que la
partie côté aval est peu ou pas du tout enterrée. La base des fondations reposant
le plus souvent sur une cote uniforme, les fondations amont sont nettement plus
enterrées et donc mieux protégées des variations de teneur en eau que les
fondations aval. Ceci favorise alors l’apparition de tassement différentiel. De
plus, dans le cas d’une pente orientée au sud, les sols, à l’aval de la
construction, sont soumis à un ensoleillement plus important que ceux à l’amont qui
sont à l’ombre du bâtiment. Il se produit donc une dessiccation plus importante à
l’aval, ce qui est encore plus favorable à l’apparition de tassement différentiel.
A noter que cette fois-ci, le tassement différentiel qui fait suite à la
dessiccation du sol, causé par la pente du terrain, permet à un dossier d’être
classé CATNAT.

Les remontées capillaires

Les parois verticales sont généralement constituées de matériaux relativement


poreux : pierres calcaires, briques, parpaings, plâtre.

Lorsque de l’eau ou une forte humidité vient à leur contact, elle migre dans ces
matériaux par capillarité.

L’humidité peut alors s’élever dans ces parois à plusieurs mètres de hauteur.

Les principales victimes sont les constructions anciennes, elles sont fréquemment
le siège de remontées capillaires en parties inférieures des parois : tâches
noirâtres, moisissures, décollement des enduits et revêtements.

En effet les maçonneries anciennes ne comportent généralement pas de coupure de


capillarité.

Mais les remontées capillaires ne sont pas toujours visibles, les murs anciens
peuvent respirer sur leurs deux faces pour évacuer cette humidité interne.

Pour pallier ce risque il convient de réaliser une coupure de capillarité (ou arase
étanche) à la base de la paroi et sur toute son épaisseur.

Le vieillissement du béton :

Les altérations du béton sont variées. Elles atteignent soit la matrice cimentaire
soit les armatures, parfois les deux. Leurs origines sont très nombreuses : chaque
étape depuis la formulation, jusqu’à la mise en oeuvre, mais aussi l’agressivité de
l’environnement peuvent être source de dégradation.

Le positionnement des armatures, par exemple, est essentiel : en effet, si elles


affleurent ou si elles sont placées trop près de la surface, leur oxydation sera
favorisée, ce qui induira une dégradation du béton. En effet, une armature oxydée
peut occuper jusqu’à 9 fois plus de volume que le métal initial.
De même, le béton est un produit moulé, aussi, toute imperfection du coffrage
(étanchéité, aspérités traces de rouille…) laissera son empreinte dans le béton.

Les principales causes d’altération :

La carbonatation
La carbonatation est un phénomène de vieillissement naturel qui concerne tous les
bétons, elle correspond à une transformation progressive d’essentiellement un des
composés du béton durci, la portlandite, en calcite au contact du dioxyde de
carbone contenu dans l’air et en présence d’humidité. Cette transformation
s’accompagne d’une diminution du pH (le béton sain a un pH d’environ 13, ce qui
constitue un milieu protecteur pour les armatures en acier et permet la formation
d’une couche d’oxydes passifs. Le pH d’un béton carbonaté est d’environ 9. A ces
valeurs de pH, le film passif est détruit et la corrosion peut se développer).

L’attaque des chlorures


Les chlorures peuvent apparaître dans le béton soit par ses constituants (granulats
de mer non lavés, béton gâché à l’eau de mer, adjuvants contenant des chlorures…),
soit par l’environnement ( proximité de la mer, sels de déverglaçage… ).
Lorsque ces chlorures atteignent en quantité suffisante les armatures (seuil limite
en chlorures totaux : 0.65% du poids de ciment selon la norme P18-011), ils
conduisent à leur dépassivation et à une plus grande sensibilité à la corrosion.
Dans le cas où le béton est déjà carbonaté et que la corrosion est amorcée, les
chlorures jouent un rôle de catalyseur

L’attaque sulfatique
L’attaque sulfatique, comme l’attaque par les chlorures ne se produit que lors d’un
apport suffisant en sulfates. Ces sulfates, sous forme liquide ou gazeuse,
proviennent souvent de pollutions industrielles ou urbaines. Ils peuvent réagir
avec certains composés du béton (notamment les aluminates), pour produire de
l’ettringite secondaire, également appelée sel de Candlot ou trisulfoaluminate de
calcium. Lorsqu’ils sont produits en quantité importante, ces sels à caractère
expansif conduisent à un gonflement du béton et à sa fissuration. Les fissures
produites sont généralement assez fines et surtout sont organisées en un réseau de
mailles, on parle de faïençage.

Le cycle gel-dégel
La transformation de l’eau en glace s’accompagne d’une augmentation de volume
d’environ 9%. Cependant cette expansion de volume n’est pas la seule origine des
fissures. Elle induit également des mouvements d’eau au sein de la porosité. Les
pressions occasionnées par ces mouvements d’eau, lorsqu’elles dépassent la
résistance en traction du béton, peuvent provoquer l’apparition de fissures.

Les dégradations se manifestent sous forme de fissurations internes ou d’écaillage


et concernent essentiellement les structures horizontales (ponts, terrasses…),
susceptibles d’être saturées en eau et donc plus sensibles à l’action du gel.

Chaînage : ceinturage en béton armé (ou métallique), incorporé à la construction de


l’ensemble des murs d’un bâtiment pour éviter l’écartement ↑

Mur de refend : mur séparatif intérieur d’un bâtiment servant généralement à


réduire les portées des pannes de charpente qui supportent la toiture. ↑

Le bâtiment repose sur une grande semelle occupant la totalité de la surface de la


construction. ↑

Joint de dilatation : élément particulier de la construction en deux parties de la


construction permettant le mouvement d’une partie sans en effectuer l’autre. ↑

Regard : ouvrage en maçonnerie ou en béton pratiqué dans le sol pour atteindre une
canalisation. Il permet l’écoulement des Eaux Pluviales (EP), Eaux Usées (EU)… ↑

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