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SUJET :
Juin 2016
I
RESUME
DEDICACE
REMERCIEMENTS
réalisation de ce travail.
IV
SIGLES ET ABREVIATIONS
INTRODUCTION
Dans les pays en développement tout comme dans les pays développés,
l’emploi constitue une pierre angulaire du développement. Il a des
impacts économiques et sociaux bien au-delà des revenus qu’il peut
procurer. En effet, il participe à la réduction de la pauvreté, au
fonctionnement des villes, et offre des perspectives de développement
individuel aux jeunes.
1
BM (2013), Rapport sur le développement dans le monde, consulté sur le site www.worldbank.org le
3 février 2016 à 10h 05mn
2
Cependant, cette jeunesse fait face à des défis majeurs. Ces défis sont
essentiellement l’éducation et la formation de qualité, l’emploi décent
pour tous ainsi que des conditions socioculturelles favorables à son
épanouissement (PNJ, 2008). La question de l’emploi est préoccupante
au Burkina Faso. En effet, le taux de chômage global des jeunes est de
3,2%, soit 12,3% en milieu urbain et 0,7% en milieu rural, mais derrière
ce faible taux se cache un niveau élevé de sous-emploi. En témoigne le
fait que 56,6% des occupés soient des aides familiales (RGPH, 2006).
Pour atteindre ces objectifs, le Burkina s’est doté en 2011 d’une stratégie
dénommée Stratégie de Croissance Accélérée et de Développement
Durable(SCADD). Cette stratégie vise entre autres l’intensification de la
création d’emploi afin d’absorber une masse croissante de nouveaux
actifs sur le marché du travail, réduire le chômage et la pauvreté,
accroitre les revenus et les conditions de vie des populations.
jeunes. C’est donc un domaine qui mérite une attention particulière, afin
de le permettre de jouer pleinement son rôle d’amortisseur social et
d’absorption du chômage des femmes et des jeunes et par conséquent
limiter les pertes de devises.
PREMIERE PARTIE :
CADRE THEORIQUE ET
METHODOLOGIE
I.1 PROBLEMATIQUE
3
« Améliorer la protection sociale et promouvoir l’emploi » du Bureau International du Travail / Union
Européenne, p.11
8
I.3.OBJECTIFS DE L’ETUDE
L’intérêt de cette étude réside dans le fait que les jeunes constituent non
seulement la couche la plus importante mais aussi la plus touchée par le
chômage et le sous- emploi. En effet 82% des chômeurs sont des jeunes
et 43% des chômeurs ont moins de 25 ans. Or la jeunesse constitue une
ressource précieuse et une force énorme de développement et de ce fait
11
4
(EDOUKOU G. Djassi, (FAO, 2012), Op.cit., p.7).
12
Dans cette section, nous définissons les concepts clés utilisés dans le
mémoire.
I.5.1. Jeune
Le mot jeune est un concept hautement discuté qui change de sens selon
les périodes historiques et les contextes culturels. Différentes sciences
ont souvent différentes façons de définir le mot jeunesse ou jeune. Ainsi
la démographie prend en compte l’âge, l’anthropologie met l’accent sur
les notions de cadets et d’ainés, la biologie considère le temps de la
puberté, la sociologie prend en compte la maturité d’être marié et enfin
l’approche économique met l’accent sur la capacité que l’on a à se
prendre en charge.
Est jeune celui qui n’est pas avancé en âge et connait des mutations
physiques, psychologiques et biologique dont l’âge est compris entre 15-
35 ans selon l’Union Africaine, la CEDEAO et adopté par le Burkina
Faso.
I.5.2. Désintérêt
I.5.3. Emploi
I.5.4. Auto-emploi
I.5.5. Chômage
Dans notre étude, nous retenons cette dernière définition du lexique 2014
du ministère en charge de l’emploi.
I.5.6. Entrepreneuriat
I.5.7. Formation
I.6.REVUE DE LITTERATURE
Nous voudrions par ce thème, montrer d’abord que l’élevage des porcs
contribue à la création de richesses et d’emploi et ensuite passer en revue
les facteurs qui expliquent le désintérêt des jeunes dans la région du
Centre-Ouest pour l’élevage des porcs. Les ouvrages que nous avons
consultés évoquent notre thème sous plusieurs angles. Il s’agit
notamment, la contribution de l’élevage des porcs à la création des
devises d’emplois des difficultés liées à l’accès au financement pour ce
17
6
PAPISE (2003) Rapport sur le diagnostic de la filière porcine au Burkina Faso, pp 35
7
L’élevage amélioré des porcs à but commercial dont le troupeau est parqué et entretenu dans un
enclos moderne.
8
H. SERRE, Précis d’élevage du porc en zone tropicale (la documentation française), pp 208
19
9
Quant à EDOUKOU G. Djassis, il soutient que les systèmes de
financement pour la production animale et l’élevage porcin sont
inexistants ou ne répondent pas aux besoins des éleveurs. Les mauvais
résultats passés en matière de crédit à l’élevage ont créé une culture de
l’échec. Ainsi, l’absence de crédits à l’élevage, la surenchère des coûts
des facteurs de production (alimentation, équipement, etc.) et la faible
capacité des éleveurs ne leur permettent pas d’investir pour augmenter
leur capacité de production.
9
EDOUKOU G. Djassi, (FAO, 2012), Op.cit., pp 64
10
AGNISSAN Assi Aubin, l’introduction de l’élevage bovin chez les Tagbana en Côte-d’Ivoire, p 38
11
Banque d’Etat appelé à jouer un rôle majeur dans la politique de la promotion du monde paysan
20
12
PAPISE, 2003 : Cadre Stratégique et Plan d’Action pour la Filière Porcine au Burkina Faso pp 26-
27, 33, 50
21
13
EDOUKOU.G. Djassi (FAO, 2012), Op.cit. pp. 19-20
22
14
Clarisse UMUTONI, Evaluation technico-économique des élevages de porcs à Bobo (Burkina
Faso), 2012 pp 26
15
Larba Christian DARANKOUM, (Avril 2014), Emploi des jeunes au Burkina Faso : Etat des lieux
et perspectives pp 15
23
16
http://www.bioline.org.br
17
Rapport Shon2, Conseil National de Concertation et de coopération des Ruraux au Sénégal
24
18
PAPISE, 2003, Op cit, pp 12
19
EDOUKOU G. Djassi (FAO, 2012) Op. cit pp 43
25
CHAPITRE II : METHODOLOGIE
II.2.ECHANTILLONNAGE
II.2.3. L’échantillon
Pour atteindre les objectifs fixés dans la présente étude, nous avons
combiné deux méthodes de recherche : quantitative et qualitative qui
sont les suivantes :
II.2.3.1.Méthode quantitative
Des jeunes gens âgés entre 15 et 35 ans ont été sélectionnés de façon
aléatoire à travers une enquête dans les différents sites. Nous avons ainsi
obtenu un échantillon de 100 jeunes équitablement réparti entre les sites
et aussi entre les secteurs retenus pour l’enquête. Les sites sont
notamment les périphéries de la ville de Koudougou et de Réo. Le choix
30
des secteurs dans chaque site a été procédé par un tirage. A l’issue de ce
tirage, les secteurs un (01), quatre (04), six (06), huit (08) et dix (10) de
la ville de Koudougou ont été retenu pour l’enquête. Quant à la ville de
Réo, les secteurs un (01), trois (03), quatre (04), six (06) et sept (07ont
été choisis.
Les limites de cette étude résident dans le fait que nous n’avons pas pu
toucher les responsables des caisses populaires, des associations et
groupements œuvrant dans la promotion de la filière porcine de la
région. Cette situation se justifie par l’indisponibilité de ces personnes
ressources.
33
DEUXIEME PARTIE :
PRESENTATION, ANALYSE
ET INTERPRETATION DES
RESULTATS
Non 20 0 0 0 20
TOTAL 20 7 3 0 30
Non 70 70,00%
45,00% 41,43%
40,00%
35,00%
30,00%
30,00%
25,00%
20,00% 17,14%
15,00% 11,43%
10,00%
5,00%
0,00%
Autres Travail de femmes Travail salissant Religion
Féminin 18 12 30
Masculin 12 58 70
TOTAL 30 70 100
Primaire 7 15 22
Secondaire 9 32 41
Supérieur 1 8 9
TOTAL 30 70 100
76,00%
24,00%
OUI NON
Oui Non
8%
92%
Epargne 21 70,00%
Emprunt 3 10,00%
Don/Héritage 6 20,00%
TOTAL 30 100%
3%
Traditionnel
Moderne
97%
17%
Oui
Non
83%
98,00%
2,00%
Oui Non
83,00%
Structure
Effectif Fréquence
organisatrice
MRA 2 11,76%
MJFIP 1 5,88%
ONG 8 47,06%
Autres 6 35,29%
TOTAL 17 100,00%
Le tableau ci-dessus montre que parmi les jeunes ayant bénéficié d’une
formation 47,06% ont reçu leur formation à travers les ONG, 35,29% à
travers les autres structures telles que la mairie, les groupements et
association. Quant aux structures étatiques telles que le MRA et le
MJFIP, elles ont formé respectivement 11,76% et 5,88 % de la
proportion de l’échantillon ayant reçu une formation.
III.2.2.3. Formation
pour assurer l’encadrement des éleveurs (un (01) seul agent pour couvrir
tout un département ou toute une commune). Le frais de fonctionnement
sont également insignifiant (3000 f CFA par mois et par agent).
Les personnes ressources ont prodigué des conseils à l’endroit des jeunes
de la région en générale et les jeunes qui pratiquent l’élevage des porcs
en particulier. Ainsi, chaque jeune devrait croire en lui et libérer son
potentiel afin de sortir du chômage et du sous- emploi. Pour ce faire, le
jeune doit être ambitieux, optimiste et cultiver un esprit ambitieux. Il doit
également s’informer, se former et savoir saisir les opportunités qui se
présentent à lui.
52
Après avoir présenté les résultats des enquêtes de terrain, il s’agira dans
le chapitre IV de faire une analyse et interprétation de ces données.
53
Cependant peu de jeunes s’adonnent à cette activité, soit 30% des jeunes
interrogés. Ce qui entraine un manque à gagner en matière d’emplois et
de création de richesses Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que les
deux tiers des éleveurs du tableau 1, n’emploient aucune personne dans
leurs activités d’élevage. Aussi, il ressort du tableau2 que deux tiers des
éleveurs n’ont pas pu encore créer de nouveaux emplois. Ces résultats
pourraient s’expliquer par l’état embryonnaire et traditionnel de
l’activité. Les revenus modiques de l’activité expliqueraient donc en
partie ce comportement de la majorité des éleveurs.
Le désintérêt des jeunes pour l’élevage des porcs peut s’expliquer par
plusieurs facteurs :
estiment que c’est un travail salissant et d’autre pensent que cette activité
est un domaine des chrétiens et animistes. Il faut également noter que la
perception des jeunes de l’élevage de porcs est fonction du genre, de la
situation matrimoniale et du niveau d’éducation.
Aussi, par soucis de partager des tâches de la production sociale dans les
ménages, l’élevage de porc a été progressivement confié aux femmes de
confession religieuse catholique ou animiste. Ceci parce qu’au travers de
56
L’analyse faite au tableau n°5, indique que l’élevage des porcs est
généralement un domaine des jeunes mariés. En effet, 76,67% des
éleveurs enquêtés sont mariés. Ce qui revient à dire que les jeunes
célibataires s’intéressent peu à cette activité.
Le tableau n°7 montre que pour financer leurs activités d’élevage, les
éleveurs utilisent des fonds propres acquis par épargne pour 70%. Un
faible taux d’éleveurs de porcs a dû recourir à un emprunt pour financer
58
leur élevage soit 10%. Cela peut s’expliquer soit par la modicité des
investissements pour l’entretien des porcs par les éleveurs, soit par
l’insuffisance de structures de financement ou les difficultés liées à
l’accès au financement pour ce type d’activité. Par conséquent, les
éleveurs mettent peu de moyens dans leur activité d’élevage.
Il est revenu des entretiens qu’une bonne partie des éleveurs de porcs qui
ont postulé au financement n’a rien obtenu. Ainsi sur 121 projets
d’élevage de porcs, le FAIJ n’a financé que 14 promoteurs soit 11,57%
et le FASI en a financé 12. Ces résultats permettent de dire que les
jeunes ont peu de garantie ou n’ont pas de garantie (hypothèque,
nantissement, aval) pour obtenir le financement.
C’est dans ce sens que les jeunes interrogés ont énuméré un certain
nombre de conditions qui entravent leur accès au financement. Il s’agit
notamment des garanties, de l’apport personnel. Malheureusement les
éleveurs sont généralement dans des zones non lotie et ne disposent pas
de PUH. Ils soulignent aussi l’inadéquation entre le système de
financement et les besoins de financement des éleveurs traditionnels. En
effet, les éleveurs de base ont difficilement accès au crédit auprès des
institutions financières classiques en raison de leur mode de gestion qui
ne prend pas explicitement en compte la notion de rentabilité financière.
Par ailleurs, bien que l’élevage soit une activité importante dans
l’économie rurale, les institutions de crédits qui font confiance aux
acteurs de la filière porcine souhaitant y investir dans la production, sont
rares. Le secteur de l’élevage est généralement perçu comme un domaine
d’investissement à risque élevé. Les contraintes financières constituent
ainsi un frein à l’entrepreneuriat pastoral. En effet, s’il y a peu
d’investissements dans le domaine c’est en partie dû aux conditions
fixées par les structures de financement qui ne sont pas à leur portée.
Aussi, le nombre limité des banques associé au faible taux de
bancarisation constituent un frein à l’accès au crédit.
L’analyse du graphique n°5 indique que les jeunes interrogés n’ont pas
encore bénéficié d’une formation dans leur grande majorité (83%).
Aussi, 2% seulement de l’échantillon ont suivi une formation en
embouche porcine. Cela suppose que les formations organisées ne sont
pas suffisantes pour atteindre un grand nombre de jeunes.
L’analyse du tableau n°8 montre que les structures étatiques offrent peu
de formations au profit des jeunes. C’est ce que révèle le tableau lorsque
nous avons posé la question de savoir « Quelles sont les structures
organisatrices de ces formations ? », il est ressorti qu’une (01) seule
personne a bénéficié sa formation grâce à la DRJFIP et deux personnes
par l’intermédiaire de la DRRA. Ainsi, les ONG, les groupements …sont
organisateurs de la plupart des formations soit 82,35% de la proportion
de l’échantillon ayant bénéficié une formation.
L’étude révèle que 70% des jeunes ne pratiquent pas l’élevage de porcs.
Sur les 70 enquêtés qui ne s’adonnent pas à l’activité d’élevage de porcs,
30% expliquent leur désintérêt par des raisons culturelles. Pour ces
derniers, l’élevage de porcs est un travail dévolu à la femme. Certains
d’entre eux, soit 17,14% trouvent que cette activité est salissante,
polluante et dérangeante pour le voisinage. D’autres se justifient par la
religion. En effet, la religion musulmane n’est pas favorable à l’élevage
de porc car contraire à ses prescriptions. Ainsi, ce type d’élevage est un
domaine spécifique aux femmes chrétiennes et animistes et par
conséquent exclut un nombre important de la population à la pratique de
l’élevage de porcs. Il en résulte donc que la perception que les uns et les
autres font de l’élevage des porcs reste sans doute l’un des plus grands
obstacles pour les jeunes de s’y intéresser. Ainsi, les différentes
considérations données par les enquêtés confirment la première
hypothèse secondaire.
63
Ainsi 10% seulement d’entre eux ont pu obtenir des crédits. Enfin, il
ressort des entretiens avec le responsable du FAIJ, Koudougou que la
grande majorité des demandeurs de financement n’ont pas eu une suite
favorable. En effet, sur 121 demandes de financement, 14 seulement soit
11,57% ont obtenu le financement. Pourtant, l’élevage des porcs, surtout
celui moderne demande beaucoup de moyens pour l’habitat, l’entretien
des animaux. Ainsi, la méconnaissance des structures de financement par
la grande majorité des enquêtés (76%) associé au faible pourcentage de
bénéficiaires de prêt notamment ceux qui sont dans l’activité d’élevage
de porcs soit 11,57% au niveau du FAIJ confirme donc la deuxième
hypothèse.
Ainsi la majorité des jeunes enquêtés soit 87% n’ont pas reçu de
formation. Cette faiblesse de formation serait due partiellement au
nombre insuffisant du personnel d’encadrement, soit un seul agent
d’appui technique pour couvrir un département ou une commune.
L’ensemble de ces données nous permettent de conclure que la troisième
hypothèse est aussi vérifiée.
Tout au long de notre enquête sur le terrain nous avons pu déceler les
principales causes du non engouement des jeunes pour l’élevage des
porcs. La promotion de l’emploi des jeunes passe par la promotion des
secteurs d’activités et par conséquent la filière porcine est à promouvoir
car le salut de beaucoup de jeunes s’y trouve. Pour plus d’efficacité et
d’efficience dans la production porcine, nous faisons des suggestions et
recommandations à l’endroit des acteurs comme l’Etat, les partenaires
techniques et financiers, les structures de formations et celles de
financement.
AUX ELEVEURS
Pour les jeunes qui ne pratiquent pas l’élevage de porcs, nous formulons
les suggestions suivantes :
CONCLUSION GENERALE
Pourtant cette activité est délaissée par les jeunes de la région du centre-
Ouest pour diverses raisons. Au titre de ces raisons nous pouvons citer la
perception de cette activité par les jeunes, les difficultés d’accès au
financement lié à la méconnaissance des structures et des conditions
d’accès au financement, l’insuffisance de la formation et de
l’information.
L’analyse des raisons du désintérêt des jeunes pour l’élevage des porcs,
nous a permis de nous rendre compte qu’une synergie des actions entre
l’Etat, les partenaires techniques et financiers, les structures de
formations et financement, est nécessaire pour susciter un engouement
des jeunes pour cette activité.
BIBLIOGRAPHIE
Revues
Rapports
Mémoires et thèses
Dictionnaires
Webographie
https://agricultureaufeminin.wordpress.com/2014/02/01/entreprenariat-
agricole-la-porciculture-un-metier-qui-nourrit-bien-son-homme.html
http://www.bioline.org.br
http://www.memoireonline.com/10/09/2741/m_Etude-diagnostic-de-
lelevage-ovin-dans-la-commune-de-Saint-Louis.html (13 février 2016)
73
RESUME.................................................................................................... I
DEDICACES ........................................................................................... II
INTRODUCTION..................................................................................... 1
I.5.2.Désinterêt .................................................................................. 12
II.2.ECHANTILLONNAGE................................................................ 28
III.2.2.3. Formation........................................................................ 50
BIBLIOGRAPHIE .................................................................................. 70
ANNEXES
i
I. FORMATION
1. Quels sont les atouts de la région en matière de l’élevage des porcs ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
.................................................................................................................................
2. Quelles sont les contraintes du développement de l’élevage de porcs ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
........
3. Combien de sessions de formations offrez-vous par an ?
...........................................................................................................................................
....................................................
4. Quels sont les types de formations organisés ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
.................................................................................................................
5. Quelle est la stratégie mise en place pour atteindre le plus grand nombre de jeunes ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
............
II. ACCOMPAGNEMENT
6. Organisez-vous des sorties pour le suivi des activités des jeunes promoteurs de
l’élevage porcin ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
ii
7. Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans le suivi des jeunes éleveurs de
porcs ?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
................................................................................................................................
8. Quelles propositions d’amélioration avez-vous pour ce sous-secteur de l’élevage dans
la région ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………….
9. Quels conseils avez-vous pour les jeunes promoteurs dans l’élevage porcin et pour les
jeunes non éleveurs?
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........................................................................................................................................
...........
Je vous remercie
iii
Nom de structure :
2. Quel est le taux de fréquentation de votre structure par les jeunes éleveurs ?
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………….
6. Quelles sont les difficultés rencontrées avec les jeunes promoteurs d’élevage de
porcs?
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
……………………………
7. Organisez-vous des sorties pour le suivi des activités des jeunes promoteurs d’élevage
ayant bénéficié de crédit ?
Oui Non
8. Quels conseils avez-vous pour les jeunes promoteurs dans l’élevage porcin et pour les
jeunes non éleveurs?
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………....
JE VOUS REMERCIE