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PARTIE 2 : ADDUCTION ET ÉVACUATION D’EAU

CHAPITRE 1 : ADDUCTION D’EAU

1.1.Définition et composition

1.1.1. Définition

L’adduction d’eau désigne l’ensemble de techniques et procédés pour transporter l’eau d’une
source vers son point de consommation. Dans notre cas, le point de consommation sera le bâtiment.

Quelques types de raccords couramment utilisés :


Exemple de raccordement :

1.1.2. Composition

L’adduction d’eau est composée

1. D’une source (rivière, plan d’eau, nappe, etc.) à partir de laquelle on pompe de l’eau.
2. D’un réseau de transport (canal, canalisation, aqueducs, etc.)
3. D’un équipement de stockage (réservoirs, bassins, château d’eaux)
4. D’’un réseau de distribution vers le consommateur (robinets, fontaines, etc.)

1.2.Systèmes d’adduction d’eau

On utilise différents systèmes d'adduction.

1. L'adduction par refoulement : on utilise un système de pompes pour créer une pression
dans le réseau
2. L'adduction gravitaire : on utilise les différences d'altitude de l'eau, c'est le cas pour les
châteaux d'eau.
1.3.Régulation des pressions dans un immeuble à étages

1.3.1. La pression dans un bâtiment

- Dans les sous-sols et les premiers étages d'un bâtiment, les pressions fournies par le réseau
public de distribution varient entre 6.105Pa et 10.105Pa. Ces pressions élevées sont à la
base des dommages causés sur certains appareils. Dans de tels cas, il est tout indiqué et
indispensable de prévoir des dispositifs de réduction de pression.

- Dans les étages supérieurs d'un immeuble de grande hauteur, les pressions fournies par le
réseau public de distribution peuvent y être trop faibles. Les limites de pression de service
aux dispositifs d'alimentation (1,5.105Pa) ne sont pas toujours atteintes. Il est dans ce cas
necessaire de prevoir des dispositifs d’augmentation de pression.

1.3.2. Réducteurs de pression

Le réducteur de pression (ou régulateur de pression) réduit ou régule la pression de l'eau qui le
traverse et permet d'obtenir à sa sortie une valeur réglée et constante. Il est généralement installé
à l'entrée du réseau d'eau, son role est de proteger toute l'installation des problèmes dus à un excès
de pression qui génère des bruits dans les canalisations, des éclaboussures et une usure prématurée
des appareils électroménagers et des robinetteries.

Réducteur Pression DESBORDES - NF et


ACS - Type 11- Mâle Mâle 1/2" (15/21) -
DN15 - Socla

1.3.3. Surpresseur de pression


a. Pompe

Son rôle est de refouler l'eau vers un réservoir en partie


haute, d'où les canalisations descendent vers les
logements. Une pompe fournie donc l’eau au réservoir.

Elles ont un fonctionnement silencieux et ont une hauteur


d’aspiration généralement limitée à 7m.
b. Surpresseur

Lorsque le réservoir est situé au point vas, un surpresseur à l’aide d’une couche d’air comprimé,
crée une pression suffisante pour faire monter l’eau.

1.4.Phénomènes acoustiques liés


1.4.1. Turbulence à l’intérieur d’un robinet

Le bruit perceptibles produits par une canalisation ne sont atteints que pour les vitesses supérieures
à 3m/s. Dans les robinets en revanche, le bruit est supérieur du fait qu’il est véhiculé par les
canalisations et le fluide.

1.4.2. Coup de bélier

Le coup de bélier est un phénomène de surpression qui se manifeste lors de la variation soudaine
de la vitesse d'un fluide dans un réseau de canalisation. Il se produit par exemple au moment de la
fermeture rapide d’une vanne ou d'un robinet, ou lors de l’arrêt d’une pompe. Lors de la fermeture
d’un robinet, l’inertie de l’eau en mouvement est subitement freinée. Cela génère une pression
élevée ainsi qu’une onde de choc. Cette onde de surpression qui parcourt la tuyauterie se traduit
alors par des vibrations et un bruit sourd, rappelant le son d’un coup de marteau.

Mode de reduction des coup de beliers :

- éviter les coudes trop fermés qui ralentissent la veine liquide ;


- éviter de fixer les canalisations sur des cloisons trop minces, qui transmettent les vibrations.
- installer des antis béliers. Ces régulateurs anti béliers contenant de l'eau et de l'air se fixent
au point haut de l'installation, en les branchant sur la tuyauterie par un té de dérivation à
collets battus.
1.4.3. Trépidation

Il s’agit des vibrations que provoquent un robinet à une certaine ouverture. Ce phénomène
assimilable au coup de belier apparait parfois dans des intallations comprenant une robinetterie
usagée.
Elle provient de l'usure du disque qui oscille en interrompant et en libérant alternativement le
passage du liquide : d'où une succession rapide de coups de bélier. II convient donc de maintenir
la robinetterie en bon état, par changement périodique des têtes de robinet.

1.5.Appareils sanitaires

1. Baignoire : Grand récipient alimenté en eau courante et destiné aux bains.

2. Bac à douche ou receveur de douche : Récipient à fond plat aux rebords peu élevés destiné
aux douches. Le receveur peut être en céramique (grès émaillé), en acrylique et plus rarement
en acier émaillé ou en fonte emaillée. Ils peuvent être à poser sur le planché surelevés ou
encastrés.
Receveur à poser
Receveur à encastrer

3. Cabine multi jets : Equipée de plusieurs douchettes latérales orientables qui fonctionnement
simultanéments à l’aide d’un boitier de commende permettant multiples regalges ( massage
alternatif, pression d’eau localisé, température, etc.)
4. Évier : Appareil sanitaire de forme généralement rectangulaire, à un ou deux bacs, muni le
plus souvent d'un égouttoir, alimenté en eau et destiné au lavage de la vaisselle et des aliments.

Évier à encastrer Évier à poser

5. Lavabo : Alimenté en eau courante et destiné à la toilette.

Lavabo suspendu Lavabo sur pieds Vasque

6. Water-Closet (WC) : appelé aussi WC à siège, est un appareil sanitaire en porcelaine ou en grés
émaillé destiné à recueillir les déjections humaines et à les évacuer dans les égouts.
7. Bidet : Appareil sanitaire à cuvette allongé destiné aux ablutions intimes.
8. Trop-plein : Dispositif permettant une évacuation d’eau lorsque celle-ci dépasse un certain niveau
nettement au-dessus de la capacité principale de l’appareil sanitaire (tank, évier, lavabo, etc.)
9. Robinetterie : La robinetterie designe l’ensemble des robinets d’une installation d’alimentation en
eau.
- Robinet : dispositif permettant de régler à volonté ou d’interrompre l’écoulement de l’eau.
Matériaux utilisés : acier, bronze, alliages divers, resines de synthèse.
Il existe évidemment plusieurs modèles de robinets :

Robinet de puisage Robinet d’arrêt Vanne

Robinet mélangeur ou Mélangeur Pomme ou téléphone de douche

Robinet mitigeur ou mitigeur mono commande


CHAPITRE 2 : ÉVACUATION D’EAU

2.1.Types d’eaux à évacuer

On distingue trois types d’eaux à évacuer

a. Les eaux pluviales (EP) : Eaux provenant de toitures, balcons, cour, etc. et susceptible
d'être accumulées dans des réservoirs (des citernes d'eau pluviale par exemple.)
b. Les eaux vannes (EV) : Les eaux fécales (eaux noires) (F), eaux provenant de l'évacuation
de WC, d'urinoirs
c. Les eaux usées (EU) :
- Les eaux usées domestiques (M) : Eaux usées de bâtiments d'habitation ou de
bâtiments assimilés, sont aussi dites eaux ménagères. Elles proviennent de
l'évacuation des baignoires, des douches, des lavabos, des bidets, des éviers, de
lave- vaisselles, de lave-linge, etc.
- Les eaux usées industrielles (U) : dont les caractéristiques varient d’une industrie
à l’autre (produits toxiques, solvants, hydrocarbures, etc.)
- Les eaux de drainage (D) : Eaux recueillies dans le sol autour du bâtiment.

2.2.Composants d’un système d’évacuation

On distingue les systèmes d’égouts publics souterrains et les tuyauteries d’évacuation.

2.2.1. Égouts publics souterrains

Les eaux usées domestiques doivent être rejetées dans l'égout public s'il existe. Ils peuvent être :

a. Un égout public unitaire : égout souterrain qui permet l'évacuation des eaux usées et des
eaux pluviales.
b. Un égout public séparatif : les eaux usées et les eaux pluviales sont évacuées dans deux
égouts souterrains séparés.
c. un égout public global : permet l'évacuation des eaux usées et pluviales sans traitement
préalable.
d. Un égout public partiel : l'évacuation des eaux usées et pluviales y est permise après leur
traitement.

En cas d’abscence d’un égout public, L'autorisation doit être sollicitée pour déverser les eaux,
après leur traitement dans une eau de surface, une voie artificielle d'évacuation d'eaux pluviales
dans le sol.
En République démocratique du Congo, les eaux vannes sont directement conduites dans une
fosse septique, tandis que les eaux usées sont évacuées dans un puits perdu.
2.2.2. Tuyauteries d’évacuation

Il est encore appelé le système d’évacuation vertical.


On distingue :
a. Les colonnes d’évacuation :
- Les descentes ou colonnes d’eaux pluviales
- Les chutes ou colonnes d’eaux fécales
- Les décharges ou colonnes d’eaux ménagères
- Les chutes uniques ou colonnes d’évacuation mixtes
b. Les tuyaux de branchement : canalisation d'allure horizontale entre raccordement et colonne
d'évacuation
c. Les tuyaux de raccordement : Canalisation entre un appareil et un branchement, une colonne
d’évacuation ou égout.
d. Les tuyaux de ventilation : utilisés pour la ventilation primaire ou secondaire (Cfr 2.4.)

2.3.Circuits d’évacuation à l’intérieur d’un immeuble

On distingue dans un réseau d'évacuation intérieur les éléments ci-après :

a. Le branchement de chaque appareil : le diamètre varie avec l'appareil, mais dépasse 50mm
seulement pour les WC.
b. Les collecteurs d'appareils : canalisations d'allure horizontale sur lesquelles se raccordent
les branchements
c. Les canalisations verticales : faisant suite aux collecteurs, là aussi il existe :
- les descentes d'eaux ménagères. Elles reçoivent les décharges d'éviers lavabos,
douches, baignoires, bidets, urinoirs.
- les chutes desservent uniquement les WC
- les chutes uniques : association de 2 premières.
d. Les collecteurs principaux : canalisations d'allure horizontale recueillant en cave les
descentes et les chutes
e. Le branchement d'égouts : qui sont des galeries souterraines accessibles reliant l'égout
public aux diverses propriétés. Chaque immeuble doit avoir un branchement d'égout
particulier qui va du mur de face de l'immeuble à l'égout public auquel il se raccorde le
long du piédroit. Ce branchement d'égout particulier doit être muré du côté de l'égout
public. C'est à l'intérieur que l'on dispose le tuyau d'évacuation générale de l'immeuble
ainsi que le plus souvent les conduites d'arrivée d'eau avec leurs compteurs.
f. Le relèvement des eaux usées : dans le cas général, l'évacuation des eaux usées se fait par
gravité grâce à la pente donnée à la canalisation depuis les appareils jusqu'à l'égout. Il existe
pourtant des cas où le point bas du circuit d'évacuation se trouve au-dessous de l'égout. On
est alors obligé de monter les eaux usées du point bas à l'égout. Il existe pour cela différents
procédés :
- relèvement par air comprimé commandé à main par aéro-éjecteur
- par éjecteurs à vapeur : on utilise la pression de la vapeur pour aspirer les eaux
usées.

2.4.Ventilation primaire et secondaire

a. Ventilation primaire ou extracteur (entrée)

C’est le prolongement de la colonne d’évacuation ou de l’égout vers l’air extérieur (à l’air libre)
au-dessus de la toiture. La ventilation primaire sert à la décompression des toilettes, lavabos,
éviers, douches et machines à laver. Elle permet une bonne circulation de l'air. L'entrée d'air ou
ventilation primaire se situe en amont de la fosse ou est assurée par la canalisation de collecte des
eaux usées, prolongée jusqu'à l'air libre

La ventilation primaire permet donc de dépressuriser les réseaux en amont du point d’évacuation.

b. Ventilation secondaire (sortie)

La ventilation secondaire permet d'évacuer les gaz de fermentation générés par la fosse et se situe
en aval de la fosse (ou à sa sortie)
Elle permet donc de dépressuriser le réseau en aval des points d'évacuation.
2.5.Critères d’un bon fonctionnement
a. Les critères généraux
Une installation sanitaire pour l'évacuation d'eau doit répondre aux critères généraux suivants :
- évacuer le plus vite, et dans les meilleures conditions possibles, les eaux usées ;
- limiter les variations de pressions dans les tuyauteries, afin de conserver une garde d'eau
maximale dans les coupe-air. On peut la conserver en adaptant le diamètre ;
- limiter au maximum les sources de bruits propres à l'évacuation
- viter l'accumulation de résidus dans les tuyauteries par une mise en œuvre adéquate (pente)
- obtenir un rapport optimum : PRIX- QUALITE- CONFORT

b. Facteurs influençant le débit d’évacuation :


La détermination des diamètres des tuyauteries d'évacuation, tiens compte des données suivantes :
- Le nombre et le type des appareils sanitaires - le débit individuel des appareils sanitaires
- Le type d'immeuble : Appartements, bureaux, hôtels, hôpitaux, écoles, laboratoires,
industries
- La technique d'évacuation choisie (avec ou sans ventilation secondaire et ou anti siphonage
des coupe-airs)
- Le parcours (rectiligne ou dévié) des tuyauteries d'évacuation
- La hauteur de l'immeuble

c. Débit individuel des appareils


En connaissant le débit de chacun des appareils, il est possible de connaitre la totalité du débit
s’écoulant dans un même tronçon. Cependant, du fait que ces appareils ne fonctionnent pas tous
en même temps, il faut tenir compte par tronçon, d'une certaine simultanéité de fonctionnement.

Cette simultanéité des débits varie en fonction :

- du nombre total d'appareils s'écoulant dans le tronçon considéré


- du type de bâtiment (écoles, bureaux, habitation, etc.)

TD 1 : Calcul du débit probable :

1. Soit 10 lavabos raccordés sur un même collecteur. Determiner le débit probable

Débit total = 10 × 0,50 𝑙/𝑠 = 5 𝑙/𝑠

Débit probable = 0,5 × √5 𝑙/𝑠 = 1,58 𝑙/𝑠

3. Une colonne reçoit les eaux de 12 éviers, 30 lavabos, 10 bidets, et 30 douches. Déterminer le
débit probable pour un immeuble à appartements, un immeuble hospitalier et un groupement
scolaire.

Débit total : 12 é𝑣𝑖𝑒𝑟𝑠 × 1,00 𝑙/𝑠 = 12 𝑙/𝑠


30 𝑙𝑎𝑣𝑎𝑏𝑜 × 0,5 𝑙/𝑠 = 15 𝑙/𝑠
10 𝑏𝑖𝑑𝑒𝑡𝑠 × 0,5 𝑙/𝑠 = 5 𝑙/𝑠
30 𝑑𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒𝑠 × 0,5 𝑙/𝑠 = 15 𝑙/𝑠
______________________________
82 appareils = 47 𝑙/𝑠
Débit probable pour un immeuble à appartements :
𝐷𝑝 1 = 0,50 × √47 = 3,43 𝑙/𝑠
Débit probable pour un hôpital :
𝐷𝑝 2 = 0,70 × √47 = 4,80 𝑙/𝑠
Débit probable pour une école :
𝐷𝑝 3 = 0,70 × √47 = 4,80 𝑙/𝑠

2.6.Équipements sanitaires

a. Regard de visite ou chambre de visite

Un regard de visite est ouvrage qui permet de visiter et de curer les canalisations et d’en assurer
l’évacuation jusqu’à la fosse septique ou au puis perdu. Il est mieux de placer les regards ce visite
à proximité ou au pied d’une chutes des Eaux Usées et Eaux Vannes. La distance entre deux
regards ne doit pas dépasser 6m dans une section droite.

b. Chambre dégraisseuse

C’est un bac à graisse en maçonnerie installé en amont d’un puis perdu et/ou d’une fosse septique
afin de recueillir les graisses des eaux provenant de la cuisine
c. Fosse septique

La fosse septique est un contenant étanche en béton, en polyéthylène ou en fibre de verre enfoui
dans le sol. D’anciennes fosses septiques pouvaient être en acier ou en bois mais les risques étaient
respectivement la rouille et le pourrissement.

Les dimensions de la fosse septique dépendent de la taille de l’habitation elle-même, du nombre


de ses habitants et de leur consommation en eau. En République Démocratique du Congo, la
fosse septique est généralement composée de 3 chambres (deux chambres de digestion et le lit
bactérien). Elle peut être cloisonnée en 2 volumes distincts puis reliés par des fentes ou de petits
tuyaux pour faciliter l’acheminement des eaux clarifiées après le processus de rétention des
matières solides ainsi que leur digestion anaérobie (les excretions sont désagrégées sous l’actions
des microbes se développant à l’abri de l’air)..

La fosse septique permet au final la décantation des eaux usées et amorce la décomposition de
leurs composants organiques.
Le bon fonctionnement d’une fosse septique dépend de trois étapes :
- L’arrivée des eaux dans la fosse septique ;
- Le séjour des eaux dans la fosse septique ;
- La sortie des eaux de la fosse septique.
d. Puits perdus ou Puits Perdant

Le puits perdu est une installation externe à un logement qui permet d’assainir les eaux usées
provenant des activités domestiques et les évacuer dans le sol. On parle de puits perdus ou puits
d’infitration parce qu’on considère qu’un puits est completement enfui dans le sol, et de Puits
Perdant parce qu’on fait allusion à son fonctionnement étant de perdre les eaux dans le sol.

e. Citernes d’eau

Une citerne est un ouvrage dans lequel on recueille et on réserve l’eau pluviale ou l’eau
d’adduction au niveau du sol ou au sous-sol.
f. Chateau d’eau

Le château d’eau est un ouvrage surélevé qui permet de stocker l’eau potable et de la redistribuer
par gravitation sous l’effet de la pression vers les robinets de puisage.

Un château d’eau fonctionne selon le principe physique des vases communicants. Ce réservoir
situé en hauteur exploite la force de gravité, autrement dit la pesanteur, afin d’appliquer une
pression suffisante pour alimenter en eau tous les robinets placés à une altitude inférieure à lui.
Un système de pompes monte l’eau au sommet des châteaux d’eau d’où elle va ensuite couler vers
les habitations situées en contrebas.

Leur capacité va de quelques centaines de mètres cubes d’eau à plusieurs milliers pour les plus
grands. Les châteaux d’eau sont généralement en polyéthylène noir, en acier galvanisé, epoxy ou
vitrifié, ou en des tours en béton pouvant mesurer jusqu’à plus de 100 mètres de hauteur.

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