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EC/66/SC/CRP.

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Comité exécutif du Programme Distr. : restreinte
31 août 2015
du Haut Commissaire Français
Original : anglais et français

Comité permanent
64e réunion

Sécurité du personnel

Résumé
Ce document fournit un aperçu des mesures prises pour renforcer la sécurité du personnel
depuis la dernière actualisation présentée au Comité permanent en mars (EC/65/SC/CRP.3)
et en septembre 2014 (EC/65/SC/CRP.20). Il expose la manière dont l’Organisation gère les
risques de sécurité dans des environnements difficiles afin de permettre au HCR de rester et
de continuer à fournir une assistance (« stay and deliver ») en application du principe du
Système de gestion de la sécurité des Nations Unies consistant à se demander plutôt
« comment rester » que « quand partir ». Les mesures prises sont aussi conformes au
document du HCR intitulé « Culture de la sécurité 2015-2017 : Mise à jour du plan d’action »
et s’appuient sur le Système de gestion de la sécurité des Nations Unies, dirigé par le
Département de la sûreté et de la sécurité des Nations Unies et coordonné par le Réseau
interorganisations pour la gestion des mesures de sécurité.
EC/66/SC/CRP.24

Table des matières


Paragraphes Page
Chapitre
I. Introduction ............................................................................................................. 1-2 3
II. Travailler dans des environnements de sécurité difficiles ...................................... 3-10 3
III. Renforcer une culture de la sécurité ........................................................................ 11-25 4
A. Conseils et appui ............................................................................................. 12-13 4
B. Effectifs de sécurité ........................................................................................ 14 5
C. Gouvernance et contrôle ................................................................................. 15-16 5
D. Partenariat interinstitutions ............................................................................. 17-21 6
E. Formation........................................................................................................ 22-25 6
IV. Conclusion .............................................................................................................. 26 7

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I. Introduction
1. Le HCR est de plus en plus appelé à opérer dans des zones à haut risque. En
Afghanistan, en Iraq, au Mali, au Nigéria, en République arabe syrienne, en République
centrafricaine, au Soudan du Sud, en Ukraine, au Yémen et ailleurs, son personnel est exposé
aux dangers liés aux conflits armés et aux troubles politiques et civils. L’Organisation doit
veiller à ce que des mesures de sécurité efficaces soient en place et à ce que son personnel
soit préparé à travailler dans des environnements à haut risque, afin de continuer à fournir
une assistance et une protection vitales aux personnes relevant de sa compétence.
2. L’instauration d’une « culture de la sécurité », comprise comme un large éventail de
comportements, de pratiques et d’attitudes qui deviennent la norme pour le personnel d’une
organisation, est un élément central de l’approche du HCR. Elle nécessite l’intégration de la
sécurité et de la sûreté dans le cours normal des opérations et des activités dès les tout
premiers stades. Il faut pour cela que tous les gestionnaires soient responsables de la sécurité,
en la considérant dans une perspective de gestion des risques, et que l’ensemble du personnel
assume également une responsabilité individuelle. Une telle démarche implique l’adoption
de pratiques judicieuses de gestion de la sécurité, comme l’analyse de l’environnement et
l’application des mesures de réduction des risques appropriées. Pour appuyer cette « culture
de la sécurité », le HCR est un membre actif du Système de gestion de la sécurité des Nations
Unies, respectant les directives établies et contribuant à l’amélioration des activités générales
de gestion de la sécurité du Système.

II. Travailler dans des environnements de sécurité difficiles


3. Les conflits en cours dans de nombreuses régions du monde ont continué à poser des
problèmes redoutables au personnel du HCR. Au Moyen-Orient, l’Iraq, la République arabe
syrienne et tout récemment le Yémen, comptent parmi les environnements opérationnels les
plus difficiles.
4. En République arabe syrienne, le HCR a adopté une approche prudente et souple. Les
missions « de l’autre côté de la ligne », qui nécessitent de passer de zones contrôlées par le
Gouvernement à des territoires contestés, exigent beaucoup de ressources et sont souvent
différées ou annulées à cause d’affrontements locaux. En vertu de la résolution 2165 du
Conseil de sécurité, le HCR effectue également des missions transfrontalières depuis la
Jordanie et la Turquie pour fournir une assistance humanitaire aux civils qui en ont besoin
mais les combats sporadiques et la présence de groupes armés entravent les déplacements.
5. Les frappes aériennes au Yémen ont conduit au retrait temporaire puis au retour du
personnel international des Nations Unies. Dans l’intervalle, le personnel national et les
partenaires locaux ont continué à fournir une assistance aux personnes relevant de la
compétence du HCR dans des circonstances extrêmement difficiles.
6. En Afrique, un grand nombre d’attaques ont pris pour cible les travailleurs
humanitaires en Somalie. Les groupes armés ont montré qu’ils pouvaient et voulaient mener
des attaques complexes et répétées, visant essentiellement les Nations Unies. En avril 2015,
une attaque dirigée contre l’UNICEF, à Garowe, a provoqué la mort de quatre fonctionnaires
des Nations Unies et de deux agents de sécurité locaux. Malgré cela, le HCR a renforcé sa
présence en ouvrant de nouveaux bureaux à Kismayo et Baidoa, afin de faire face au retour
des réfugiés somaliens et à un afflux de réfugiés du Yémen. Dans le Kenya voisin, des
menaces répétées ont été proférées contre les Nations Unies à Dadaab. En avril 2014, un
assistant de sécurité local a été blessé dans la tentative d’enlèvement d’un fonctionnaire
international.

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7. L’insurrection au Nigéria a déclenché un déplacement massif et le conflit s’est


propagé au Cameroun, au Niger et au Tchad. Face aux combats récents au Cameroun, le HCR
a revu ses opérations près de la frontière, reclassifiant la zone comme lieu d’affectation
déconseillé aux familles. L’Organisation craint une extension du conflit et redoute de plus en
plus que des tactiques et des attaques plus extrêmes soient utilisées contre les travailleurs
humanitaires.
8. D’autres régions d’Afrique sont toujours en proie à des affrontements violents. L’an
dernier, en République centrafricaine, un chauffeur du HCR a été enlevé et tué, tandis que
d’autres fonctionnaires du HCR faisaient l’objet de menaces dans les bureaux, chez eux et
sur la route. Au Mali, l’insécurité persiste, de vastes portions du pays étant sous le contrôle
d’acteurs armés qui continuent à mettre en danger la vie du personnel et à entraver l’accès
aux personnes relevant de la compétence du HCR. Le Soudan du Sud a aussi été le théâtre
d’hostilités imprévisibles, qui ont conduit à réduire ou à déplacer temporairement le
personnel du HCR et des partenaires à plusieurs reprises. Dans les zones touchées par un
conflit des États de l’Unité et du Nil Supérieur, les programmes et les opérations ont été
ajustés de manière à tenir compte à la fois des besoins opérationnels et des risques. Enfin, les
émeutes civiles et la violence électorale ont gagné de nombreuses parties du continent,
notamment le Burundi. En septembre 2014, un fonctionnaire a été tué pendant qu’il était en
congé dans son pays d’origine, le Burkina Faso, lors de troubles qui ont éclaté soudainement.
9. Malgré les négociations de paix, les menaces et les attaques dans diverses parties de
l’Afghanistan continuent à viser les travailleurs humanitaires. L’an dernier, le HCR a
néanmoins pu fournir un abri et d’autres formes d’assistance vitale dans les provinces de
Khost et Paktika à 250 000 personnes qui fuyaient le conflit dans le Pakistan voisin.
10. Dans l’est de l’Ukraine, le HCR a mis en place des mesures de sécurité pour permettre
au personnel de se déplacer en sécurité afin de venir en aide aux personnes victimes du
conflit. Ces mesures ont inclus une formation ainsi que l’examen et l’évaluation continuels
des conditions de sécurité.

III. Renforcer une culture de la sécurité


11. Les efforts déployés par le HCR pour renforcer une « culture de la sécurité » portent
sur cinq domaines : conseils et appui ; effectifs de sécurité ; gouvernance et contrôle ;
partenariat interinstitutions ; et formation. Si la responsabilité d’assurer la sécurité est
partagée dans toute l’Organisation, ces efforts sont dirigés par le Service de la sécurité sur le
terrain, au sein de la Division des urgences, de la sécurité et de l’approvisionnement.

A. Conseils et appui

12. Les gestionnaires qui coordonnent les activités de protection et d’assistance aux
personnes démunies doivent comprendre l’environnement de sécurité dans lequel ils
travaillent afin de prendre les décisions appropriées en matière de gestion des risques. Le
HCR cherche donc à identifier les menaces qui pèsent à la fois sur le personnel et sur les
personnes relevant de sa compétence. Le Service de la sécurité sur le terrain et les conseillers
de sécurité sur le terrain contribuent à développer cette analyse, qui est complétée par les
informations fournies par le Département de la sûreté et de la sécurité des Nations Unies
(UNDSS) et d’autres sources. La planification pour imprévus et d’autres mesures de
préparation sont élaborées en coopération avec les opérations de pays et les bureaux
régionaux afin de permettre au HCR de mieux anticiper les situations qui se détériorent et
qui nécessitent une réponse. Si les conseils et l’appui ont dans l’idéal un caractère préventif,
le HCR met aussi en œuvre des mesures d’intervention pour permettre aux gestionnaires et

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au personnel de bénéficier d’un appui lorsqu’un incident de sécurité grave se produit. Des
réponses immédiates visant à sauver des vies, des mesures administratives pour assurer le
respect des procédures opérationnelles appropriées, et un appui médical et psychosocial
peuvent également être apportés.
13. Pour mettre en œuvre les mesures de sécurité appropriées, le HCR maintient un stock
d’équipement pouvant être rapidement déployé pour fournir aux bureaux et au personnel du
matériel permettant de réduire les risques élémentaires, notamment des équipements de
contrôle d’accès et de protection personnelle, des périmètres de sécurité, du matériel
d’éclairage, des films anti explosion et des véhicules blindés. Le Service de la sécurité sur le
terrain peut également envoyer sur demande un ingénieur en structures qui veillera à que les
mesures de réduction des risques soient suffisantes pour assurer une protection contre les
armes dans l’environnement donné. Vu le nombre croissant de demandes d’une telle
expertise, le HCR est en train d’élaborer un outil d’évaluation de la vulnérabilité aux
explosions destiné à donner des orientations sur les mesures de réduction des risques et à
déterminer si l’appui supplémentaire d’un ingénieur est nécessaire. Un groupe de référence
sur le terrain testera cet outil au cours du troisième trimestre 2015.

B. Effectifs de sécurité

14. Le HCR s’attache à maintenir en permanence des effectifs de sécurité hautement


professionnels. L’Organisation emploie actuellement quelque 70 conseillers de sécurité sur
le terrain professionnels et plus du double d’agents de sécurité recrutés localement. Les
conseillers de sécurité sur le terrain sont sélectionnés en fonction de leurs connaissances
professionnelles, de leurs capacités d’analyse, de leurs aptitudes à la communication
multiculturelle et de leur compréhension humanitaire. Ces derniers mois, l’Organisation a
cherché à recruter et à former des conseillers de sécurité sur le terrain africains et
francophones afin de répondre à des besoins spécifiques. Conformément à la politique de
promotion des fonctionnaires nationaux du HCR, le personnel employé en tant que conseiller
de sécurité sur le terrain au niveau national peut être déployé sur le terrain et être ensuite pris
en compte pour des affectations internationales. Le Service de la sécurité sur le terrain déploie
aussi du personnel du Siège ou des conseillers de sécurité sur le terrain régionaux pour
appuyer les opérations dans des situations d’urgence.

C. Gouvernance et contrôle

15. La capacité à trouver un équilibre entre les activités du programme et les risques s’y
rattachant, en prenant les mesures de réduction des risques appropriées et en adaptant la
posture opérationnelle en conséquence, représente une partie importante de l’adaptation aux
environnements à haut risque. Le Comité directeur pour la sécurité, qui est présidé par le
Haut Commissaire ou le Haut Commissaire assistant en charge des opérations et comprend
des cadres dirigeants au Siège et sur le terrain, a été instauré à cette fin. Ces derniers mois, le
Comité directeur pour la sécurité a évalué l’évolution de la situation en Afghanistan, en Iraq,
en Somalie et au Yémen. De plus, les procédures décisionnelles dans les environnements à
haut risque en rapide mutation seront officialisées dans des instructions administratives plus
tard dans l’année.
16. Le Service de la sécurité sur le terrain met au point un « test de stress » pour identifier
les lacunes de la préparation et contribuer à définir les mesures supplémentaires nécessaires.
Ce test sera expérimenté en 2015 et déployé dans un certain nombre d’opérations en 2016.

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D. Partenariat interinstitutions

17. Le HCR travaille étroitement avec l’UNDSS à l’élaboration de politiques pour le


Système de gestion de la sécurité des Nations Unies. Ces efforts sont coordonnés, tant au
Siège que sur le terrain, dans le cadre du Réseau interorganisations pour la gestion des
mesures de sécurité. Le Service de la sécurité sur le terrain communique quotidiennement à
la fois avec l’UNDSS et avec d’autres membres du Système de gestion de la sécurité des
Nations Unies. Les conseillers de sécurité sur le terrain sont aussi des membres actifs des
cellules de sécurité et fournissent une assistance quotidienne pour renforcer la capacité du
Système de gestion de la sécurité des Nations Unies dans le pays.
18. La création d’un système d’enregistrement unifié en matière de sûreté et de sécurité,
qui enregistrera tous les événements ayant une incidence sur les Nations Unies dans une base
de données centrale, est une réalisation récente majeure d’un groupe de travail du Réseau
interorganisations pour la gestion des mesures de sécurité, auquel le HCR participe
activement. Toutes les agences des Nations Unies y auront accès, afin de garantir
l’intégration totale de cette plateforme et la mise en commun des analyses.
19. Le HCR est aussi un membre actif du Comité directeur sur la criticité du programme,
travaillant avec les agences partenaires à l’élaboration et à la diffusion de principes directeurs.
La criticité du programme est un élément crucial pour la mise au point d’une méthode
structurée permettant de déterminer les activités qui justifient d’être poursuivies lorsque les
risques sont élevés. En septembre 2015, le HCR accueillera conjointement une formation
interinstitutions sur le caractère crucial du programme afin que ses méthodologies et ses
concepts soient connus et compris dans toute l’Organisation.
20. Dans le cadre de la Décennie d’action des Nations Unies pour la sécurité routière, le
HCR a invité l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la sécurité routière, M. Jean Todt,
pour le lancement de sa « Campagne pour la sécurité routière » le 10 juin 2015. D’après
l’Organisation mondiale de la santé, plus d’un million de personnes ont trouvé la mort sur la
route dans le monde entier en 2010 et 50 millions de personnes supplémentaires ont été
blessées. Le HCR œuvre activement à promouvoir une conduite sûre afin de réduire le
nombre et les conséquences des accidents de la route impliquant du personnel du HCR et des
partenaires. Les activités comporteront des ateliers, des campagnes d’envoi de messages et
la création d’une plateforme web spéciale destinée au personnel et aux gestionnaires.
21. En tant que membre actif du Comité de suivi « Sauver des vies ensemble », le HCR
apporte régulièrement la preuve de son engagement en faveur de l’approche « Sauver des
vies ensemble »1 par une coopération étroite avec ses partenaires sur les questions de sécurité.
L’équipe de sécurité du HCR en Jordanie, par exemple, gère des mécanismes de coordination
de la sécurité et fournit une assistance dans ce domaine aux partenaires travaillant dans les
camps de réfugiés de Za’atari et Azraq.

E. Formation

22. Former correctement le personnel au travail dans des environnements à haut risque
reste une priorité du HCR. L’Organisation forme les gestionnaires dans le cadre du
Programme annuel d’apprentissage en matière de gestion de la sécurité et des exercices de
gestion de la sécurité adaptés à des environnements spécifiques sont proposés sur demande.

1 « Sauver des vies ensemble » est un cadre de collaboration en matière de sécurité entre les
organisations intergouvernementales, les organisations non gouvernementales et les Nations Unies, et
a été lancé par le Groupe de travail du Comité permanent interinstitutions sur les approches
concertées de la sécurité en 2006.

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Plus de 200 gestionnaires auront suivi ces formations en 2015. La formation en matière de
sécurité reste une composante cruciale de l’Atelier de gestion des situations d’urgence. Le
personnel continue à recevoir une formation supplémentaire lorsqu’il est déployé dans des
environnements à haut risque et les partenaires opérationnels sont également invités à y
participer, si possible.
23. Le HCR attache une grande importance à la formation des conseillers de sécurité sur
le terrain conformément aux exigences fixées par le processus de certification en matière de
sécurité du Système de gestion de la sécurité des Nations Unies et par l’apprentissage
spécifique au HCR (protection internationale). L’Organisation dispense aussi une formation
destinée à accroître les capacités professionnelles des fonctionnaires nationaux et à identifier
ceux qui ont le potentiel nécessaire pour assumer des responsabilités plus grandes.
24. Le HCR poursuit les actions en cours destinées à former les chauffeurs car il reconnaît
que ces derniers sont particulièrement exposés et prennent des décisions de sécurité qui ont
une incidence sur tous les passagers présents dans leur véhicule. Des vidéos pédagogiques
enseignant aux chauffeurs à s’adapter en permanence et à appliquer de nouvelles techniques
sont en cours d’élaboration. La formation spéciale qui leur est prodiguée comporte aussi des
cours de conduite défensive et de conduite des véhicules blindés.
25. Tenant compte des menaces particulières auxquelles les femmes peuvent être
exposées, le HCR a expérimenté une formation spécifique pour le personnel féminin
consistant en huit modules de cours en ligne et en six heures de formation pratique sur la
manière d’éviter des attaques et l’autodéfense.

IV. Conclusion
26. Le HCR s’attache à assurer un environnement de travail sûr pour son personnel, tout
en cherchant à rester et à continuer de fournir une assistance (« stay and deliver ») aux
personnes relevant de sa compétence. Le renforcement d’une « culture de la sécurité »
reposant sur des pratiques judicieuses de gestion des risques commence par une coopération
étroite avec les partenaires, en particulier les gouvernements hôtes, auxquels incombe la
responsabilité première de la sécurité et de la protection du personnel des Nations Unies. Les
efforts du HCR sont encore renforcés par une analyse et une adaptation continues adaptées
au contexte. L’existence de ressources appropriées pour la sécurité est essentielle et la
formation permet de rendre le personnel du HCR pleinement conscient des risques de sécurité
et apte à y faire face. Dans ce contexte, l’engagement et l’appui indéfectibles de toutes les
parties prenantes est plus crucial que jamais.

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