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32-38 Avenue Jean Jaurès Dakar BP 3144 – Tel : 8231040/8239330/8239570 – Fax : 8234654 Télex
51680SG
Ecole Africaine de la Météorologie et de l’Aviation Civile (EAMAC)
B.P 746 NIAMEY – NIGER - Tél: (+227)20723662 – Fax: (227)20722236
Promotion : IEAMAC/SEI2021
i
ANNEXE2 : opération de maintenance ................................................................................... C
ANNEXE3 : Groupes électrogènes ...........................................................................................E
ANNEXE4 : relèvement des valeurs fournies par le GLIDE ................................................. F
ANNEXE5 : Tableau synoptique ............................................................................................. G
ANNEXE6 : L’organigramme de la Représentation de l’ASECNA auprès de la
Centrafrique............................................................................................................................... H
ii
REMERCIEMENTS
Je tiens, avant tout propos, à adresser mes sincères remerciements à Dieu Tout-Puissant
pour la santé qu’il m’a accordée m’ayant permis de passer favorablement ce stage.
Je remercie ensuite tous mes instructeurs de la première année pour m’avoir dispensé
des cours théoriques solides. Certes, c’est leur devoir ! Mais ils ont vraiment fait preuve du
professionnalisme et ont été toujours disponibles à répondre à toutes mes préoccupations.
Je ne peux oublier d’adresser mes remerciements les plus chaleureux à l’endroit de mon
chef de promotion M. SIDI AMADOU pour son dynamisme et ses différents conseils.
Enfin, je remercie toute ma famille pour leur soutien indéfectible m’ayant permis de
passer un séjour agréable.
iii
GLOSSAIRE
ILS : Instrument Landing System
DME : Distance Measuring Equipment
MTO : Météorologie
ELB : Electricité et Balisage
SLI : Sécurité et lutte contre l’incendie
VMA : Veille Météorologique d’Aérodrome
ATS : Air traffic Services
AIM : Aeronautical information Management
CCR : Centre de Contrôle Régional
QIP : Qualification et Intégration du Personnel
CA : Circulation Aérienne
ASECNA : Agence pour la Sécurité de la Navigation aérienne en Afrique et à Madagasca
MIRE : Maintenance Infrastructure Radioélectrique
HF : High Frequency
VHF : Very High Frequency
VSAT : Very Small Aperture Termainal
ATS/DS : Air Traffic Services/ Direct Speech
C/UPV : Chef Unité Piste et voiries
MIGC : Maintenance Infrastructure Génie Civile
C/UR : Chef Unité Réseaux
C/UTEL : Chef Unité Télécommunications
C/UB : Chef Unité Budget
C/UF : Chef Unité Facturation
C/UP : Chef Unité Personnel
C/UTGS : Chef Unité Transit et Gestion de Stock
iv
INTRODUCTION
C’est dans ce cadre précis que nous avons passé favorablement un stage pratique durant la
période allant de 22 Août au 21 Septembre 2022 à la Représentation de l’ASECNA auprès
de la Centrafrique.
Le présent rapport résume nos passages au sein de chaque service et unité visités, les
différentes activités auxquelles nous avons participé, les difficultés relevées et quelques
suggestions.
Le Bloc administratif s’occupe donc de tout ce qui est lié à l’administration, à la formation
et la gestion du personnel et l’exécution du budget de la représentation.
a) Services de la météorologie
Ce service constitue une assistance indispensable à la navigation aérienne en ce qui
concerne la prévision des paramètres et des phénomènes météorologiques tant pour la
circulation en route que pour l’approche. Elle comprend trois unités :
L’Unité prévision/protection : est chargée d’analyser les images satellitaires ; de
tracer et d’analyser les cartes météorologiques mais aussi de rédiger et de diffuser les
renseignements météorologiques nécessaires à la navigation aérienne. Cette unité
comprend trois bureaux :
La prévision : est chargée d’élaborer les prévisions météorologiques adaptées
à l’aéronautique en analysant les données fournies par les stations synoptiques.
La protection : rattachée à la prévision, elle est tenue de fournir aux usagers
les dossiers de vol contenant toutes les informations météorologiques relatives
à leurs trajets.
La VMA : constitue l’interface entre la météorologie et les ATS locaux (AIM,
CCR, tour de contrôle…). Elle s’occupe de la surveillance des conditions
météorologiques au niveau de l’aérodrome et de ses environs pour les besoins
d’atterrissage de décollage et d’approche. La VMA observe et signale aux ATS
les phénomènes dangereux aux environs de l’aéroport mais aussi sur la piste.
L’ASECNA étant une agence sérieuse, soucieuse de garantir la sécurité des vols, a instauré
dans ces différentes représentations, un service MIRE selon l’organigramme suivant :
MAINTENANCE INFRASTURES
RADIO ELECTRIQUE (MIRE)
Unité Qualification et
Intégration du
Personnel (QIP)
Les émetteurs HF : Ils utilisent des antennes biconiques pour émettre leurs signaux.
A l’émission, le signal (la voix) est transmis à partir de la tour vers les antennes émettrices par
l’intermédiaire du micro qui convertie le signal sonore en signal électrique ou de l’alternat qui se
comporte comme un interrupteur de commande à distance permettant d’exciter la fonction
émission afin d’éviter de faire fonctionner les émetteurs à chaque instant. Le signal modulé
attaque le faisceau hertzien via un câblage pour être transmis vers la tour où se fera l’émission à
partir de l’émetteur choisis et avec la fréquence d’émission sélectionnée.
Les récepteurs HF : Ils utilisent des antennes biconiques pour la réception des signaux.
Notons que chaque récepteur est associé à une fréquence d’émission donnée. La réception se fait
à partir des antennes réceptrices relié chacune à un multi coupleur composé de plusieurs sorties
dont chacune est relié à un récepteur. La liaison avec la Salle technique est assurée par la fibre
optique. L’étape finale de la réception consiste en la conversion du signal électrique en signal
sonore par des hauts parleurs qui sont des transducteurs électromécaniques.
Les émetteurs et récepteurs VHF
Ils sont installés dans la salle de serveur et disposent d’une antenne VHF locale d’émission
réception. La bande de très haute fréquence (VHF) est utilisée sur les courtes et moyennes
distances pour permettre la communication bilatérale Half-Duplex entre pilote et contrôleur sur
une même porteuse via des émetteurs-récepteurs VHF placés au sol et un transpondeur embarqué
au niveau de l’avion. Ainsi les ondes VHF ont pour avantage une excellente qualité d’écoute,
comparable à celle de la bande FM des radios locales ; mais elles ont une portée limitée (environ
300 Nm). D’où la nécessité d’utiliser des relais satellitaires (VSAT) afin d’étendre la couverture
VHF.
Pour cela, la voix du contrôleur est modulée, convertie en UHF puis émise vers le satellite qui
amplifie et redirige le signal vers la station VSAT concernée. Le signal reçu sera dès lors
démodulé puis réémis en VHF dans l’espace, par l’intermédiaire de l’antenne VHF de la station
avancée. Ainsi Tout avion se trouvant dans le diagramme de rayonnement de cette antenne VHF
La station terrienne/Vsat
Elle constitue le terminal d’émission et de réception d’une liaison de télécommunication
par satellite. Le satellite peut être considéré comme une sorte de relais hertzien dont le rôle
est de régénérer les signaux provenant des stations émettrices et de les retransmettre à
fréquence amplifiées vers les stations réceptrices. Une station terrienne comprend deux
modules :
Une unité extérieure (Outdoor) constituée d’une antenne parabolique d’émission
réception reliée à un réseau VSAT via une liaison satellitaire ;
Une Unité intérieure (Indoor) constituée de baies ou armoires contenant :
- Les équipements de transposition de fréquences (LNA, LNB, IBUC),
- Les Modems IBS et DATUM,
- Le combiner sur lequel débouche les câbles venants de modems,
- Le MOL2P.
Comme applications, la station terrienne assure le déport de la VHF à travers le réseau
VSAT et la transmission des messages RSFTA.
La VSAT (Very Small Aperture Terminal) est un réseau de transmission qui utilise un
satellite en orbite géostationnaire à travers une interconnexion de terminaux VSAT
permettant l’échange des informations (données, voix ATS/DS).
Le réseau VSAT est organisés autour d’un hub (station terrienne) en une topologie bien
précise (étoilée, maillée ou hybride) ; elle effectue la mise en forme des signaux pour les
adapter au satellite. L’architecture interne d’un réseau VSAT comprend trois parties
essentielles :
Le hub (station terrienne) ;
Le satellite ;
Les stations distantes.
L’enregistreur de communication
C’est un dispositif installé dans la salle technique qui permet d’enregistrer sur DVD toutes
les communications VHF, HF et téléphoniques qui pourront être utilisées pour les enquêtes
en cas d’accident.
ii. Les équipements de la navigation
Ils sont constitués des équipements d’aides à la navigation et des équipements d’aides à
l’atterrissage.
Les équipements d’aides à la navigation :
Le VOR (VHF omnidirectionnel range) :
C’est un système de positionnement radioélectrique fonctionnant dans la gamme des
fréquences VHF (30 à 300 MHZ). Il permet à l’aéronef de déterminer son relèvement
magnétique par rapport à une balise VOR située au sol dont la position est connue ;
l’aéronef peut donc connaitre son azimut (angle) par rapport au nord magnétique ; ce
qui lui permettra de définir la radiale sur laquelle il est situé et de connaitre sa route. Il
sera en mesure de suivre n’importe quelle route passant par une station VOR.
CVOR431
Le principe du DME consiste à mesurer le temps qui s'écoule entre l'émission d'un signal
radioélectrique codé en provenance de l'avion, et la réponse émise par la balise au sol en
tenant compte du retard systématique fixé à 50 µs. Les deux signaux utilisent un couple de
fréquences différentes appelé canal. Le DME route est couplé au VOR, et le canal utilisable
(récepteur/émetteur) correspond à des fréquences UHF couplées selon les normes OACI à
des fréquences VHF (108 MHz à 117,95 MHz) qui constituent les fréquences des balises
VOR affichables sur l'appareil. La fréquence du DME est appariée de façon automatique à
la fréquence VHF du VOR auquel il est associé.
La radiobalise au sol est composée d’un récepteur, d’un émetteur, d’une antenne
omnidirectionnelle munie d’un capteur, et d’une baie DME 415 contenant deux
transpondeurs qui fonctionnent en redondance passive. La balise peu répondre jusqu’à 200
interrogations simultanées.
Les différents sous-ensembles intégrés dans la baie DME sont alimentés par diverses
tensions continues provenant d’une baie énergie, à alimentation doublée qui assure aussi
la charge d’une batterie de secours.
GLIDE
Le Localizer
C’est un système de guidage horizontal indiquant aux aéronefs l’axe de la piste. Il est
constitué d’un ensemble de douze antennes unidirectionnelles munies de capteurs situées
en bout de piste qui émettent une porteuse VHF comprise entre 108MHZ et 112MHZ
modulée en amplitude par deux basses fréquences (90 Hz et 150 Hz). La bi fréquence du
localizer de Niamey est 109.9MHZ.
La salle de surveillance
C’est l’endroit où sont installés des écrans de surveillance destinées à veiller sur l’état de
fonctionnement de chaque équipement installé soit aux abords de piste ou à la tour de
contrôle. Elle est équipée pour alerter le technicien en cas de défaut ou de mauvaise liaison
avec l’équipement distant et permet aussi de faire les paramétrages de bases à distance.
a) La Centrale Electrique
La centrale électrique de l’aéroport de BANGUI M’POKO comprend :
Un poste de livraison HT :
La centrale est alimentée à partir de ce poste qui reçoit de l’ENERCA de l’énergie
électrique HT de l’ordre de 15 KV (triphasé).
Le poste de livraison est composé de :
Cellules d’arrivées
Cellules de comptage
Cellules de protection des transformateurs
Le commutateur rotatif
Lorsque l’automate qui commande les contacteurs est Hors Service, on utilise l’ultime
secours qui consiste à sélectionner manuellement une source d’énergie en agissant sur le
commutateur rotatif qui peut être calé sur quatre positions distinctes.
D’après ces derniers, il existe deux types de balisages : les balisages lumineux et le
balisages non lumineux.
Balisages lumineux
Les feux de bords de pistes : ils sont de couleur blanche et permettent de delimiter
la piste
Les feux d’axe de piste : ils sont de couleur blanche également et permettent de
tracer l’axe de piste. Ces feux aident les pilotes à bien se maintenir sur l’axe de piste
la nuit ou en cas de mauvaise visibilité.
Feux de seuil de piste : ils sont de couleur verte et indique au pilote là où commence
la piste
Feux de fin de piste : ils sont de couleur rouge et marque la fin de piste
PAPI : il indique au pilote la bonne pente de descente à travers ses jeux de feux. Si
par exemple le pilote voit deux feux rouges et deux feux blancs cela signifie qu’il
est sur la bonne pente de descente, dans le cas contraire on dira qu’il est soit plus
haut soit plus bas.
Les balises non lumineuses sont les marques peintes sur la piste. Il les marques de l’axe de
pise, de bord piste, du seuil de piste, de la zone de toucher des roues etc. ces balises non
lumineuses sont utilisées en cas de bonne visibilité.
3. Unité RSI-MTO
L’unité RSI-MTO s’occupe de l’acquisition, du traitement et de l’acheminement des
données aéronautiques et météorologiques. Elle assure aussi la maintenance :
Des installations téléphoniques (autocommutateurs et téléphones),
Des réseaux ATS/DS,
Des circuits et équipements de commutation de message,
Des serveurs et PC clients,
Des réseaux et systèmes informatiques,
De tous les équipements météorologiques.
Pour la transmission et la réception des données météorologiques et aéronautiques l’unité
RSI/MTO utilise respectivement les réseaux SMT (Système Mondiale de
Télécommunications) et RSFTA (Réseau du Service Fixe des Télécommunications
aéronautiques).
Par définition, un réseau informatique est un ensemble de machines (clientes ; serveurs)
interconnectées par des câbles ou non, communiquant entre elles et partageant des
ressources.
iii. Le MESSIR-MSG
C’est un système météorologique d’imagerie satellitaire constitué d’un radiomètre imageur
très sophistiqué (Le SEVERI) et permettant une visualisation multi spectrale de
l’atmosphère (vapeur d’eau, nuages…) et de la surface de la terre.
Les images prises par le satellite sont envoyées dans un premier temps au centre de contrôle
et de prétraitement à Darmstadt (Allemagne) puis renvoyées au satellite pour la diffusion
vers les centres de réceptions du monde entier. Les cartes une fois élaborées permettront
Le MESSIR RSFTA(AFTN)
C’est un autocommutateur de messages conçu pour permettre la réception et le routage
automatique des messages aéronautiques selon les standards et recommandations de
l’OACI. Il assure la transmission des messages (plans de vol, Notam, messages d’urgence)
Le MESSIR-COMM
Une carte easy routeur possédant deux types de ports : RJ45 et DB25.
Les schémas ci-dessous illustrent les MOL2P utilisés au sein de l’ASECNA avec leurs
débits.
AUTOCOM MAS6
C’est un mini autocommutateur (qui dispose de 6 voies téléphoniques) dont les terminaux
sont le pupitre tactile et le téléphone LCD. Il permet d’assurer la communication à travers
un support satellitaire pour une coordination entre les différents contrôleurs de FIRS
adjacents (communication ATS/DS sécurisée).
AUTOCOM MAC6
5. Contrat d’interface
Les services MIRE sont liés aux autres services par des contrats d’interface. Comme nous
l’avons mentionné plus haut, tous les services de la représentation utilisent des équipements
pour remplir leur mission. Les services MIRE ont l’obligation de garantir la disponibilité
de ces équipements h24. Ils doivent en assurer la maintenance préventive et curative. Les
obligations des services MIRE ne se limitent pas seulement à la maintenance préventive et
curative. Ils doivent produire, transporter et distribuer de l’énergie sans laquelle ces
Durant notre stage, l’aéroport de Bangui M’poko était en plein chantier. Les ouvriers ont
par inadvertance coupé le câble du transformateur abaisseur qui devrait alimenter le
localizer. Si bien que le localiser n’était pas opérationnel en permanence faute d’énergie.
Nous disposions toutefois d’un groupe électrogène qui permettait d’alimenter le localizer
en cas de besoin. Malheureusement nous devrions le mettre en marche manuellement. Le
contrôleur de service nous appelait à chaque fois qu’un atterrissage était en vue. Nous nous
déplaçâmes en bout de piste pour démarrer le groupe et mettre le locaizer en marche au
moins 15minutes avant l’arrivée de l’avion. Cette opération pouvait prendre quelques
minutes.
L’une des tâches effectuées était le contrôle des valeurs fournies par les capteurs. Toujours
accompagnés des agents hautement qualifiés, nous relevâmes les valeurs fournies par les
petits capteurs implantés en amont de DME et localizer et les comparer à des valeurs seuil.
Ces capteurs se comportent exactement comme un avion. L’objectif de ce contrôle est de
s’assurer que ces équipements fonctionnent correctement. Si les valeurs lues s’écartent
grandement des valeurs seuil tolérées, nous réglons nos équipements de sorte que lesdites
valeurs restent dans les plages admises.
Un jour, pendant qu’un agent CNS chevronné était en train de nous briefer sur le
fonctionnement de son service, il a reçu un appel de la tour de contrôle le sollicitant pour
régler un problème sur la VHF, car il y avait un sifflement abasourdissant. Les contrôleurs
et les pilotes ne pouvaient pas bien s’entendre. Alors nous avons accompagné ledit agent à
la tour de contrôle pour régler le problème. Heureusement ce n’était pas un problème
grave ! Juste un bouton du pupitre s’est enclenché ! Nous l’avons remis à la place et la
communication était redevenue fluide. Grande fut notre joie car c’était la seule
maintenance curative à laquelle nous avons assisté à l’unité CNS.
Une autre difficulté était le vandalisme des balisages lumineux. Toutes les balises
lumineuses ont été volées ou détruites pendant la crise militaro-politique. Nous regrettons
amèrement de ne pas toucher du doigt les balises. Toutefois nous avons acquis quelques
connaissances purement théoriques que nous avons relatées plus haut.
Nous avons également relevé un problème de sous-effectif dans les services MIRE visités.
Heureusement, presque que tous les problèmes susmentionnés sont en train d’être réglés.
Comme nous l’avons mentionné au passage, l’aéroport de Bangui était en plein chantier
durant notre stage. Une nouvelle centrale a été construite et dotée des nouveaux
équipements (nouveaux groupes électrogènes, transformateurs…). Un nouveau bloc
technique abritant les services CNS et RSI a été également construit. Le problème
d’ergonomie restreinte sera donc résolu.
Par ailleurs, des nouvelles balises étaient en train d’être implantés. Courant 2023, les
aéronefs pourraient se poser la nuit sur la piste de Bangui M’POKO.
En outre, ce stage nous a permis de nous familiariser avec notre futur environnement de
travail, à découvrir les difficultés auxquelles un agent peut faire face durant l’exercice de
ses fonctions.
Enfin, ce stage nous a permis de bien nous préparer pour la deuxième année de notre
formation. Car nous avons eu une idée de ce qu’on ferait à l’issue de notre formation et
donc nous pouvions connaitre les cours théoriques nécessaires et, auxquels nous avons
accordé une attention particulière.